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Tout ce qui a été posté par Savonarol
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J'ai déjà répondu à ça...
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A quel moment j'ai parlé de cours d'éducation sexuelle? Oo
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Ben la République n'a jamais fait la promotion de l'hétérosexualité (sauf à considérer que les cours de sciences nat en sont?) , il n'a pas non plus enseigné la Bible ou le Coran, il n'incite pas les élèves à se marier, ni avec des hommes ni avec des femmes, ni avec des blancs ni avec des noirs. En me répondant ça, tu reconnais donc que l'EN est politique, donc pas dans son rôle d'impartialité. Et je renvoie aux derniers modèles politiques à avoir utilisé l'école comme outil de propagande (Staline, Hitler, Mao, Pol Pot) , sans compter tous ces pays africains qui ont compris très vite qu'un enfant soldat était plus facile à manipuler qu'un adulte soldat. Pas sûr que ça soit des modèles à suivre quand on a des idéaux démocrates.
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Si j'étais taquin, je dirais que "modèle de société" ça n'existe pas, on a tous notre modèle de société. Le mien a des règles et se veut cohérent. ^^ Non, je me base simplement sur les fondamentaux de la république, mais je suis ouvert à tout autre modèle de société tant qu'il est assumé pour ce qu'il est et qu'on essaie pas de me la faire à l'envers en me prétendant que l'huile et l'eau c'est pareil, ou que ça n'existe pas. Tu devrais mettre à profit ce talent en dépassant la troisième ligne quand tu débats avec le reste du forum.
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C'est subtil, mais ne pas aborder un sujet qui concerne chaque personne individuellement ne suppose pas forcément qu'on a une position par rapport à lui, mais plutôt le soucis d'une certaine neutralité. Oui, c'est aux citoyens (en théorie) de choisir le modèle de société qu'ils veulent pour leurs enfants, c'est au coeur du problème. Ce modèle de société est censée décider où placer les déviances et les perversions, parce que la société n'est pas censée être individualiste et n'est pas censée tenir des définitions personnelles des uns et des autres pour ériger ses lois (car ça serait du coup impossible) Non je ne confonds pas, la République n'est pas censée faire de la propagande dans les écoles et la République est une et indivisible, elle ne reconnait que l'intérêt général et le citoyen, rien entre, ni race ni religion ni orientation sexuelle. Tout cela relève de la vie privée de chacun et chacun est supposée libre d'en faire ce qu'il veut tant qu'il reste dans le cadre de la loi. C'est ça , la société si on l'imagine libre.
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Ben c'est un peu la même chose qu'un gamin qui irait demander au prof de lui parler de l'histoire de l'Ecosse au XIIeme siècle en plein programme sur la révolution française. Le prof peut lu répondre mais il ny est pas obligé, pas plus qu'il n'est obligé (ou ne devrait l'être) à dispenser une opinion politique, fusse t-elle celle du pouvoir. C'est la frontière entre instruire et faire de la propagande (même si je t'accorde qu'elle est ténue). A part dans les régimes totalitaire, l'instruction n'est pas censée être politique. L'Etat n'a pas à s'ingérer dans la construction politique des enfants. C'est ça aussi la démocratie, la cellule familiale à le droit d'être homophobe ou raciste, d'être athée ou catholique, d'être juive ou chrétienne (mais c'est relatif, comme nous l'avons déjà vu ^^ ) le libre arbitre est une chose précieuse. C'est la raison pour laquelle les religions veulent mettre la main sur le libre arbitre, et c'est la raison pour laquelle il existe des écoles communautaires juives, chrétiennes ou musulmane. Si l'Etat fait pareil, il sort de ses prérogatives de neutralité. Non car c'est relatif. Chacun a son petit schéma de représentation et l'Etat n'a pas à imposer celui qui l'arrange, ça n'est pas son rôle.
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Puis-je savoir à quel moment l'école "laisse penser que les homosexuels sont pervers et déviants " en se s'occupant pas du schéma de représentation des enfants? Est-ce que ne pas enseigner le génocide rwandais "laisse à penser qu'il faut génocider les tutsis?" Non, l'enseignement se fait vis à vis de la communauté des citoyens indépendamment de leur sexualité qui ne regarde ni l'enfant ni le citoyen , et ne concerne que celui qui la vit, sinon c'est de la propagande. Mon comportement de citoyen se fait envers un autre citoyen, qu'il soit homosexuel ou autre, je n'ai pas à le savoir, pas plus que lui n'a à connaitre et "assumer" le fait que j'aime mettre des fessées en levrette.
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Oui, c'est une façon moins violente de changer les moeurs que la répression ou la violence mais c'en est une. On appelle ça "communication" aujourd'hui (ça veut dire exactement la même chose, mais "propagande" a une connotation plus dépréciative) C'est la-dessus que se base l'arsenal politique, et ça comprend la manipulation et le mensonge.(comme d'expliquer que plus rien n'existe puisque tout existe relativement à qui on est ou à qui on a envie d'être ...)
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Tu mets le doigt sur le noeud du problème : si la morale est relative et individuelle, alors elle n'existe plus. Or c'est bien ce qu'il se passe, non pas que la morale change, mais qu'elle se dilue dans les divers code de moralité individuels. C'est dans l'air du temps d'ailleurs. Cela marque la fin de la reconnaissance d'une autorité morale au profit d'un genre de panel anarchique de représentation. Selon qu'on saute d'une personne à une autre, une chose est morale puis ne l'est plus, une chose est déviante puis la déviance n'existe plus. Ca veut dire que le dialogue est permis jusque dans le n'importe quoi puisque la référence est perpétuellement individuelle et que la morale deviendrait un genre de donnée flottante qui permet absolument tout "relativement" à l'opinion de celui qui les avance. Plus de codes pour personne, donc aucune manière d'élaborer une structure de pensée. On peut pas enseigner le solfège si pour l'un DO est MI, ou MI est FA, et que finalement les notes n'existent plus ou n'ont jamais existé. Oui j'ai compris sauf que c'est ce que je dis : si la morale est individuelle, elle n'existe plus. C'est pour ça que la morale est liée à l'autorité morale. Si je tire sur la corde du raisonnement, je dis qu'une conduite perverse n'est pas forcément la définition que tu en donnes, parce que "ça dépend" et que "pour moi c'est autre chose", ce qui m'ouvre le droit de jouir de mon propre code morale qui me laisse disposer de mes propres perversions comme je l'entends en dehors de tout cadre moral. Un couple qui s'encule en public ne jouit plus de sa liberté individuelle , il l'impose à un public qu'il juge devoir trouver ce spectacle normal. C'est donc pervers oui, Mais le prosélytisme peut très bien prendre une dimension plus intellectuelle (la propagande) Inciter le plus grand nombre à croire que la perversion n'existe pas pour finalement ne pas avoir les armes intellectuelles pour la combattre , voilà qui est pervers (et malsain). Tout à fait, c'est pourquoi l'homosexualité (et autre forme de sexualité) n'ont jamais été combattu en France sous une autre forme que l'aspect propagandiste (donc pervers) qu'elles empruntent. La caricature tue la réflexion. Cela dit : J'affirme qu'un enfant est un être faible et influençable , c'est la raison pour laquelle toute société totalitaire à compris que la meilleure propagande était celle qu'on dispensait à l'école, très jeune. Les nazis, les soviétiques, avaient leur propre "jeunesse" politiques. Je pense qu'on peut faire croire absolument n'importe quoi à un enfant si on y met la volonté. A plus fortes raisons si on est dépositaire de l'autorité morale. (l'école) Y'a toute une génération de petites têtes blondes qui ont cru dur comme fer que les juifs n'étaient pas des êtres humains et que leur mort étaient donc permise (et même souhaitable) .
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Non mais " à la base " , moi je répond à ça : " A la base" y a plus de discussion si tout est digression à partir du moment où ça ne suit pas la ligne que tu te fixes. Je dirais bien "pervers", mais je crois que ce mot n'a plus de sens.
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C'est tellement vrai que je suis jaloux de ne pas l'avoir écrit (La partie en gras résume tout)
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Pardon mais qui aurait cru , il y a 50 ans en arrière, que l'Europe telle qu'on la connait pourrait exister ? Avec une monnaie unique quelque soit la nation et son pouvoir d'achat ( la même en Roumanie et en Allemagne ). Vous pensez en jours ou en mois, eux pensent en générations. Quand Brezinski a commencé à évoquer le mondialisme, la CEE n'existait même pas encore, le mur de Berlin n'était pas encore tombé, les américains soutenait Saddam Hussein et l'ennemi était le communisme. Ensuite vous parlez de volonté, ça veut dire que vous partez du principe que le monde entier souhaite le mondialisme comme le souhaitent les mondialistes. Ben non, c'est une entreprise mondiale , DONC agressive, donc de déstabilisation, l'idée étant de gagner du terrain via l'opinion publique contre ce qui peut représenter ce qu'il reste d'esprit nationaliste (Russie, Iran) . Je comprend même pas qu'on puisse douter d'une évidence pareille, personne ne s'en cache, et surtout pas les mondialistes. Non, ce que je dis s'observe, se vérifie, c'est une idéologie et un projet pour le monde dont ceux qui l'ont ne se cachent pas de l'avoir. Je crois en fait, que beaucoup de gens ne supportent pas l'idée de se faire enculer. Ils ne peuvent pas imaginer qu'ils n'ont en fait pas le contrôle de leur existence, et qu'on les manipule comme des pantins (ça s'appelle la politique), et c'est un réflexe de defense mentale normal que de se construire un genre de sanctuaire qui nous préserve de cette impression d'être un urinoir à politique. Je crois que si l'homme ne possédait pas cette capacité à tout tourner en dérision, la moitié de l'humanité se serait déjà suicidée de désespoir. En disant ça, vous placez la gouvernance mondiale au même rang que les théories sur les reptiliens ou sur le fait que les américains n'auraient pas marché sur la lune. Vous dites "les théories du complot". Comme si le phrase elle même était un genre de formule magique qui suffit à s'éviter de considérer l'analyse comme... une analyse, mais plutôt à la voir comme le genre de délire d'un fou. A noter que "fou" a souvent servi au pouvoir (et lui sert encore) à nommer ce contre quoi il lutte. Le peuple, lui, appelle "fou" ce qu'il ne comprend pas, et par extension, ce qu'il ne veut pas comprendre.
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Non mais le mondialisme est loin d'être un complot. Le "nouvel ordre mondial", c'est ce que Jacques Attali appelle "le gouvernement mondial" et c'est dans la logique du mondialisme, c'est à dire finir par transformer les nations en genre de préfectures inféodées à un commandement mondial avec des règles communes pour chaque nation et un simple regard folklorique envers leurs identités respectives. En fait, faire avec le monde ce qu'on a fait avec l'Europe. C'est loin d'être un obscur dessein, c'est revendiqué, assumé, voulu, mais le peuple est désarticulé ( et tout de même très con, faut avouer) et sa nature actuelle étant de tout prendre à la dérision, on voit pas pourquoi il prendrait ça autrement que par la dérision, d'autant plus que "ça fait science-fiction".
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C'est possible, mais vous ne donnez qu'une définition et vous basez vous entière analyse sur cette définition. C'est bien de rappeler la vie en société n'est pas régie par la psychiatrie et ses barèmes, mais par des codes propres à la vie en société (dont les termes déviance, perversion, etc) De celle qui dit qu'il y a des malades et des bien portants au lieu de nier leur existence respectives. Si, à partir du moment où ce que font deux adultes consentant est montré au grand public comme absent de sa dimension perverse ou déviante, et où donc cela entre dans la dimension sociétale, et donc peut potentiellement toucher des individus autre que ces deux personnes (genre mes enfants) , ça me concerne directement et ça concerne tout le monde. On ne change pas le sens des mots ou leur définition pour faire plaisir à "deux adultes consentants dans la sphère privée", ou alors on ne s'étonne pas que je considère que ça me regarde. Je fais le contraire d'un jugement de valeur, en revanche vous devriez vous relire, vous ne répondez rien là et vous faites dans la voyance de pilier de comptoir.
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Donc la perversion n'existe plus à partir du moment où elle est souhaitée ? Lorsqu'un type prend du plaisir à se faire fouetter par une fille habillée en cuir qui lui enfonce un gode dans l'anus en l'appelant "Médor", il n y a pas perversion parce-que le pervers est demandeur de sa perversion ? Je m'attendais à une réponse plus nuancée, mais on est pile dans tout ce que ce cinéma autour du genre signifie de dénaturement des mots et de leur sens à coup de "tout dépend", démarche éminemment politique qui consiste à changer le sens des mots pour en faire accepter le sens qu'on leur donne. La perversion désigne, dans un sens général, l'inclination à des conduites considérées comme « déviantes » par rapport aux règles et croyances morales d'une société http://fr.wikipedia....wiki/Perversion " Tout dépend" Lorsque la frontière entre malade et bien portant sera franchie et que tout le monde ne sera plus que "égal", la perversion n'existera donc tout simplement plus.
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Ne peut-on donc pas dire qu'il y a des sexualités intrinsèquement perverses puisqu'elles se basent sur la prise de plaisir via la douleur ? Les concepts se touchent je trouve.
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Ca n'empêche que la religion est le plus gros modèle de société jamais construit par l'homme, et je te rappelle ce à quoi je répondais : tu m'expliques que les religions n'ont pas de bon sens, ce à quoi je répond qu'elles se construisent autour du bon sens. Elles pensent à l'intérêt général (celui du croyant dans le cas de la religion) au lieu de penser à l'intérêt individuel, parce que "l'individu" n'est rien politiquement, il n'existe pas. Une société composée juste "d'individus" a cessé d'exister, c'est pourquoi il est nécessaire pour un groupe humain de se regrouper sous une bannière pour faire force politiquement. Ca peut être une religion, ça peut être une nation, ça peut être une race pour peu qu'on y croit, mais ça ne peut jamais être "un individu" tout seul, l'individu a déjà perdu à partir du moment où l'individualisme a gagné. C'est quoi une perversion pour toi ? Qu'est ce que tu appelles perversion par exemple ?
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La croyance n'implique pas forcément la religion et la religion n'implique pas forcément la foi, mais la religion implique des règles. La religion établie les règles qui expliquent le pourquoi de la croyance et la manière dont elle doit se manifester, elle est morale et établit (par exemple pour le catholicisme) des règles de vie en société basée sur un Dieu unique et universaliste, qui donc reconnaît tout être humain comme sa brebis. Au contraire par exemple des religions norroises basées sur la loi du sang, et donc du clan, excluant de fait une partie de la population (celle hors du clan) de la vie en société du clan. "Les règles sont inhérents à la vie de groupe" , et donc ? La religion fonde les règles de la vie en société depuis plusieurs millénaires sur cette partie de la planète, l'homme ne "s'auto-gère" pas sans produire d'effort et de regard sur lui-même, ça ne sort pas tout seul. As-tu d'ailleurs un seul exemple de vie en société qui ne trouve pas son héritage dans la religion ? Je veux dire par là, basé autour d'un genre d'athéisme qui ne prend que l'homme comme mesure de l'humanité? Le débat sur l'existence de Dieu est un autre débat, là tu écris :" Depuis quand les religions sont dotées de bon sens???? " La religion pense en terme de communauté et d'intérêt général, pas de lutte individuelle et de revendication communautaire, et c'est là tout son bon sens. Non, c'est toi qui en parle dans ce même post (dernier paragraphe) et je t'ai posé une simple question dans un topic où les mots ont du mal à trouver leur sens (cf déviance, ou cf perversion) J'ai un peu la flemme de recommencer ce débat d'ailleurs, puisqu'il sera calqué sur le débat sémantique autour de "déviance" qui a eu lieu la semaine dernière. C'est normal, il va être compliqué de parler de déviances ou de perversion si on explique déjà que ça n'existe pas.
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Ton esprit de synthèse n'en est plus un à partir du moment où il devient un esprit de caricature. Non, Yardas, le but de la religion n'est pas de réprimer l'homosexualité. J'ai pu constater combien cette question semble centrale chez toi, mais je t'assure que le monde ne tourne pas autour des homosexuels. L'enfer, à une époque où les gens n'ont pas peur de la mort (parce-qu'ils croient en une vie dans l'au-delà) fait rôle de croque-mitaine. Les croyants ont plus peur du diable que de la mort et ont plus peur d'aller en enfer que de faire une crise cardiaque (c'est ce que la dimension religieuse inculque) .
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Dégage, nouvel ordre mondial ! Pas peur ! Pas peur !
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Depuis la nuit des temps ? Outre son mysticisme , la religion se construit sur des règles qui permettent à tous de vivre en bonne intelligence, de contrôler les passions personnelles et l'anarchie qu'elles suscitent., de définir des règles afin de permettre la vie en société. Règles qui restent valables même dans un monde qui vit sans Dieu(x) ou sans religion(s), et où elles deviennent "la loi". La peur du châtiment de Dieu est remplacée à terme par la peur du châtiment tout court. Tu peux ne pas apprécier le sens de la religion et de l'ordre qu'elle implique, mais tu ne peux pas lui nier l'existence de ce sens et de cet ordre qui en découle. Définition de la perversion ?
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« Antifas » : des barbouzes au service de Manuel Valls ?
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Serguei Zoubatov dans Politique
Ce stylo coûte 23€ ^^ Ca coute plus rien ce genre de technologie maintenant. -
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L'extrême gauche française existe? -
Ton postulat part du principe que la société discrimine toutes ces minorités, or c'est faux. Ces affaires concernent les individus, pas la société et encore moins l'endroit où les cervelles sont les plus malléables, c'est à dire l'école. Les gosses auront tout le temps de construire leur névrose à l'adolescence et d'aborder "l'égalité" dans son abstraction lorsqu'ils auront acquis les outils pour juger eux-même. La vulgate sociétale qui consiste à dire "tu n'as rien à dire blablabla les droits aux autres ne changent rien aux tiens" était déjà vide de sans à l'époque du mariage gay, elle l'est encore plus dans cette conversation lorsqu'il s'agit de manipulation d'esprits de gamins. J'ai cru noter que l'enfant était un genre de donnée sans importance, cela dit, pour tous les progressistes qui surfe là dessus. Si je veux avoir des relations sexuelles avec un mort, la société doit-elle se plier à mon égalité ? Ma morte est consentante, je précise. Elle m'a écrit un testament de son vivant qui me permet de disposer de son cadavre et d'en faire ce que je veux. J'espère qu'on va l'enseigner à l'école, cette "différence".
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http://valeursactuelles.com/politique/exclusif.-document-confidentiel-qui-accable-belkacem Théorie du genre. Après avoir menti aux Français sur la théorie du genre à l’école, Najat Vallaud-Belkacem, ministre déléguée des Droits des femmes, tente désespérément de se raccrocher aux branches en faisant signer aux partenaires sociaux, une tribune rédigée…par son propre cabinet ! Valeurs actuelles révèle aujourd'hui les méthodes utilisées par Najat Vallaud-Belkacem et son cabinet. Loin de vouloir mettre un terme à la polémique sur la théorie du genre, le gouvernement tente coûte que coûte de l’imposer. Et cette fois en mouillant les partenaires sociaux, pourtant étrangers à ce débat.