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Savonarol

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Tout ce qui a été posté par Savonarol

  1. Je vous suggère de lire cet article. L'article entier.
  2. Excuse-moi mais qui est dans le délire et qui est dans la réalité entre toi et moi selon les éléments qui nous permettent de juger de qui a raison et de qui a tort ? Tu dis que nous sommes en démocratie : je t'explique ( et c'est pas la première fois) qu'un système qui propose deux choix identiques n'est pas un système démocratique, c'est un vaste foutage de gueule avec lequel on peut choisir de marcher, mais qui reste un foutage de gueule, et absolument pas une démocratie. Ensuite, si tu ne parviens pas à voir qu'il n y a strictement plus aucune différence entre gauche et droite aujourd'hui en France, c'est à dire de ce que l'on nous présente comme la manifestation de la démocratie via les élections, c'est à dire du choix du citoyen entre un modèle et un autre (ou plusieurs ) ; c'est que tu es idiot ou malhonnête.
  3. Tenir compte de la réalité, c'est précisément le contraire de la paranoïa.
  4. Je lui ai déjà expliqué bien plus longuement la même chose des dizaines de fois. Son plafond de verre s'enclenche automatiquement et il te répond "complotisme" quand bien même tu lui énumères de quoi rendre indiscutable cette suite de simples constats. Comme beaucoup, il s'interdit de penser sur certains sujets; c'est un mécanisme de défense psychologique; on appelle ça le déni.
  5. A partir de quoi tu déduis ça ? La décadence n'est pas une chose subjective, c'est observable, on peut la souhaiter, l'encourager ou la combattre, mais c'est compliqué de la nier à partir du moment où l'on sait ce que "décadence" veut dire. "Une manifestation, c'est des pauvres qui défilent devant d'autres pauvres". Je n'ai pas manifesté depuis mes 15 ans, à l'époque où nos profs nous avaient poussé dans la rue pour contrer le CIP de Balladur, et je ne le ferai jamais. J'ai déjà expliqué longuement dans d'autres topics comment renverser le pouvoir; bien plus efficacement que n'importe quelle manif encadrée par la police et autorisée par le pouvoir. La France est un pays particulier dont le peuple sait former très rapidement des contre-élites pour chasser le pouvoir en place, corrompu et non-représentatif des intérêts de la nation. Toute l'Histoire de France depuis a fin de la monarchie est une suite de pouvoir qui s'écroulent, se renversent, se remplacent. (chose en quoi on peut légitimement comprendre la volonté de stabilité des royalistes; même si je ne le suis pas à titre personnel). Ce qui est assez amusant, c'est qu'aucun des exemples que tu cites ne va dans le sens de l'intérêt de la nation. Ce sont une suite de mesure sociétales. Je ne suis pas un démocrate. Je ne fais que vous rappeler ce que c'est que la démocratie et en quoi le régime dans lequel nous visons n'en est pas une, mais un cirque où des acteurs qui bossent pour des banquiers se succèdent tous les 5 ans au pouvoir et simulent des divergences d'opinion devant les caméras fin de faire croire au plus grand nombre qu'il existe une différence entre eux. Aucun scrupule à voir disparaître une démocratie qui n'en a jamais été une. En fait, voici la profondeur de votre vue politique : "obtenir les mêmes droits (que quoi ? Que qui? )" pour les homosexuels, et ainsi , vous dites "le monde est plus juste". Mais quelle indigence que de considérer que ce genre de choses aient jamais été une vue, courte moyenne ou longue pour l'intérêt du peuple, et même pour celui "des homosexuels" pour peu que cela existe en terme de communauté - ce qui n'est pas le cas. Oh, je le représente bien plus que tu ne l'imagines, et en tout cas beaucoup plus que tu ne le représenteras jamais, c'est à dire dans tout ce qu'il contient d'esprit logique et de volonté d'unicité. La question que je me pose, c'est qu'est ce que ça pourrait bien te foutre qu'un pays que tu connais si peu et que dont tu méprises autant les habitants sombre dans la dictature ? Ca te ferait un pied à terre en moins pour les vacances de noel, mais après ? Evidemment que je suis déçu, sinon je n'aurais jamais éprouvé la volonté de réfléchir à tout ça, et j'en serais resté au stade de l'adolescence avec tout ce que cela implique d'atrophie intellectuelle, comme toi.
  6. Eh bien mon gros, je vais te dévoiler un scoop : je ne mets pas à sac les cliniques d'IVG, je ne tabasse pas d'homosexuels, je me fiche complétement de leurs histoires qui sont (et ne devrait QUE être) du domaine privée; mais j'use de ma liberté d'expression et de ma possibilité d'infléchir sur le pouvoir lorsque celui-ci est inique, pour dénoncer le lobbing qui va contre les intérêts objectifs de la nation, pour pointer du doigt son délitement, la progression de la bêtise populaire et les manipulations des élites. Pourquoi ? Parce que c'est comme ça que le peuple reprend le pouvoir : en prenant accédant à ce qu'on lui cache. Me soumettre ? Voilà une vulgate tout sauf démocratique, un langage d'esclave et je n'en suis pas un. L'intérêt supérieur de la nation, c'est aussi et bien sans doute surtout lutter pour en préserver les intérêts. Jamais vu une connaissance aussi approximativement grotesque de l'Histoire du monde. "Comme les choses évoluent, ne cherchons pas à les rendre meilleures". Vu que tu vas probablement crever quoiqu'il arrive, on va arrêter de financer ta chimio si tu chopes un cancer. Ton système de pensée est d'une naïveté et d'un manque de profondeur à peu près aussi solide que la manière qu'un antifa à de comprendre le monde. Ma vision du monde est actuellement en place dans la majorité des pays du monde, et elle reviendra fatalement à l'ordre du jour en France lorsque ce pays-ci reprendra les rennes de SES intérêts, et non de pays étrangers et de groupes commerciaux élus par personne. Et si "je me mets tout le monde à dos", ici , c'est parce que je renvoie méthodiquement les idiots à leurs contradictions et que personne n'aime se rendre compte qu'il est idiot. Et ça, c'est parce que je suis émotif, je ne sais pas mentir; et c'est pour ça que je ne fais pas de politique. Mais dis-toi bien qu'il y a aussi des professionnels de la politique à partager ma vision du monde, et qu'on ne peut pas bannir le peuple français comme on banni un membre dérangeant. Ce que tu n'as pas l'air de comprendre, c'est que les gens comme moi, ils sont bientôt majoritaires.
  7. C'est justement ce que tu ne comprends pas et ne comprendras jamais : si la politique s'établie dans l'intérêt du plus grand nombre, c'est précisément parce que le plus grand nombre n'est pas l'élite, il ne peut pas partir ailleurs si ça ne lui plaît pas, il ne peut pas changer de pays pour aller "partouzer" au Maroc ou ailleurs. La sédentarité du peuple implique que l'on s'occupe de lui parce qu'il est attaché à sa terre et que c'est lui qui fait exister le pays. L'intérêt supérieur de la nation, c'est de préserver son existence en tant que nation, et non d'aller contre ses intérêts objectifs, SAUF à penser qu'on chie sur le peuple et qu'on a pas à tenir compte de ce qu'il désire. Que ce soit à l'époque où la France était un royaume ou dans les dernières années de cette république sur le point de tomber, l'intérêt des dirigeants s'est toujours fait au nom du plus grand nombre sans quoi le pouvoir n'est plus le pouvoir et s'effondre avec le reste de la société lorsque l'opinion public n'est plus suffisamment crédule. Si toi tu trouves ça grotesque, c'est parce que ton système de pensée est tellement médiocre qu'il t'interdit de considérer la réalité du système où tu vis.(où tu vis d'ailleurs ? Pas sûr, tu sembles très très mal connaître le pays dont tu parles la langue). C'est pour ça que l'intérêt supérieur de la nation, ça ne te parle pas; tu n'en as pas besoin.
  8. T'as déjà vu un peuple quitter sa nation ? Tout le monde ne vit pas le cul dans un airbus.
  9. Ouais, et les parents c'est tous des cons, d'ailleurs j'vais fuguer, j'en ai marre, j'veux une playstation fuck la société.
  10. Délire et non-réponses. Les besoins de la majorité correspondent à ceux que je liste précédemment, et non aux lubbies que tu prétends défendre. Ce qui me place du coté de la majorité (je défends ses intérêts) , c'est à dire de la manifestation de la démocratie en adéquation aux principes républicains; que toi non. C'est ce à quoi ton délire voudrait te faire croire, néanmoins la réalité est là pour te mettre face à tes erreurs. Aucune société ne fonctionne sur la base de tes lubbies, zéro, pas une seule. En revanche, toutes fonctionnent sur la base de la prise en compte des priorités sociales. Et que le pays soit peuplé de blancs ou de noirs; tout le monde a besoin de se nourrir et de se loger, c'est pour ça que c'est autour de ça que s'agence la politique, depuis toujours. Quel rapport entre cette réponse et ce à quoi elle est censée répondre ? Profondément, je m'en bats les couilles des transexuels,ça n'est pas un sujet qui m'intéresse et je crois que ça se voit; je ne fais rien pour le cacher. Là, je prenais un exemple de la manière dont on sort une maladie de la liste des maladies pour en faire une communauté politique. Explique moi à partir de quels critères on établie que telle comportement est pathologique ou non ? Ben oui, si tu fais une élection avec un parti qui prône tes idées, il fera 0,5% et ça sera normal. C'est pour ça que vous êtes obligé de vous constituer en lobbie, parce que démocratiquement: vous ne valez rien. Personne ne vous suit ailleurs que sur les réseaux sociaux, parce que dans la vraie vie, quand il vaut voter et prendre des décisions pour la vie de la nation, les gens arrêtent de délirer et redeviennent sérieux le plus possible. Alors si l'évolution de la société c'est renoncer au principe de démocratie, vous êtes en effet sur la bonne voie; mais ça ne vous rend pas plus crédible. En attendant, ça fait quoi de savoir qu'on ne pèse rien politiquement sur le champ démocratique ? Ca donne des envies de dictatures ? Ca a changé depuis la dernière fois que je t'ai posé la question; je ne vais pas te faire l'offense de croire qu'au vu des réactions à ta dernière réponse il y a quelques mois ( et qui étaient des rires) tu as "adapté" ta réponse pour te rendre plus crédible, non. Je ne le ferai pas. Mais précisément je ne fais pas de politique, mon bonhomme. Je me contente d'en parler, comme toi. Je n'ai pas de prétentions de "changer le monde" , je n'ai pas un tempérament suffisamment obsessionnel pour ça et je ne me corromps pas avec ce genre de choses. C'est ça qui me permet de comprendre à peu près où ça foire, parce que je suis dépassionné, je regarde le monde d'un point de vue objectif, mon vécu et mon histoire ne participent pas de la création d'une lubbie dont je sentirais qu'il me faut cristalliser ma vie entière autour, contrairement à toi. Je ne fais pas d'appels à la prière, moi. Je me contente de rappeler comment la société fonctionne, pourquoi elle fonctionne comme ça et ce qu'il se passe si elle arrête de fonctionner comme ça. Ben c'est juste que si moi je traduisais le moindre de tes propos par "casdenor est pro-pédophilie ou "casdenor en fait, il veut que tout le monde s'encule" ou "casdenor veut couper la bite du monde entier pourvu qu'il soit blanc et hétéro", ça serait juste pour me faire un kif (ça s'appelle troller), mais ça ne ferait pas avancer le débat. Alors je sais que le débat, c'est pas quelque chose qui t'intéresse forcément ( je vois pas comment l'expliquer autrement) et que de toute façon, tu vas rembobiner ton obsession depuis le début, comme le mec dans Shutter Island, mais au moins je fais toujours autant preuve de patience avec toi pour t'expliquer où ça cloche Ca reste la priorité de l'écrasante majorité, dont tu te contrefous magistralement. Tu veux dire une République ? Oui ça me plait comme concept, mais c'est juste l'inverse du monde que tu défends. Je veux construire la nation autour de la communauté nationale. Comme tout le monde (sauf toi) Je ne colorie pas la communauté nationale en blanc ou en mâle, ça c'est ton délire.
  11. Avec ma solution, tout le monde est heureux et occupé et donc tu trouves beaucoup moins de temps pour fomenter une névrose autour des problèmes que la société actuelle génère, puisque je l'ai réparée. Tu ne sais même pas ce que sont mes idées que tu te dépêches de qualifier de meurtrières. Très bon exemple qui justifie mon tout premier post. Un modèle de société cohérent pour la majorité de ceux qu y vivent aurait pour conséquence de fixer une ligne directrice au pays, c'est à dire pour ceux en sont citoyens, indépendamment de leur lubbie personnelle qui ne regardent qu'eux. Un modèle, un paradigme et non une anarchie individualiste qui mène à l'explosion et l'exacerbation de ses névroses. Cela veut dire que nous ne construiirions pas la société autour des 0,0002% de transexuels qui la composent, non en effet. Pas plus qu'on ne bâti des hôpitaux pour n'y recevoir que les 0,002 % de personnes atteintes de maladies orphelines. Dans ma société en bonne santé, il y a fort à parier que de fait, ce problème existerait moins. Déjà parce qu'au plein emploi, il y a des logements pour tout le monde, ce qui rend plus compliqué toute discrimination au logement , et à l'embauche évidemment. Ton homophobie, ta transophobie, c'est le symptôme d'une société qui crève de son manque de cap, du désoeuvrement intellectuel de ses citoyens et de l'absence de vision politique de ses élites qui pousse à ce qu'on ne s'intéresse plus qu'à ses sujets périphériques du type "un trans qui cherche un appart" au lieu de creuser le problème à la racine, c'est à dire celle du logement et de ses prix, qui sert la majorité (principe de démocratie) et ne consiste pas à coller des pansements sur des plaies ouvertes. Ma vision est la bonne, la tienne est un genre de conglomérat de personnes qui n'ont rien à voir entre elles et que tu tentes de réunir sous un genre de bannière commune dont ils ne veulent même pas, ce qui est plutôt logique; qui aurait envie de se faire représenter en fonction de ses handicaps ou de son orientation sexuel? mis à part ceux qui ont construit une idéologie derrière, bien sûr. En fait, dans mon sujet, je démontre à quel point votre lutte est du vent ( moi et d'autres) et à quel point cela n'est plus qu'un outil de manipulation du pouvoir pour que les gogos se croient encore utiles en politique, ou s'imaginent en faire. Et je précise que 100% des sociétés dites libres fonctionnent sur ce modèle que j'aimerais réhabiliter, c'est à dire sur un modèle efficace qui prend en compte l'intérêt du plus grand nombre. Aucune société ne s'est jamais construite pour l'intérêt d'une minorité. Et c'est normal : la société, c'est la majorité qui la construit et fait qu'elle existe. Être atteint d'un mal être que l'on ne peut juguler qu'en passant sur une table d'opération pour se faire fabriquer un pénis ou couper celui qu'on, ça ressemble fort à une pathologie dont l'opération et le traitement hormonal seraient la cure, d'ailleurs ça l'était encore jusqu'en 2009, avant que cela soit retiré de la liste des maladies mentales suite à la pression des lobbies (et non suite aux résultats d'études médicales et de compte rendu médicaux, par exemple) Ne pas dire de quelqu'un de malade qu'il est malade parce que "ça ne se fait pas", c'est déjà s'empêcher de réfléchir au problème. Au nom du plus grand nombre ? Intéressant, alors pourquoi personne n'en veut jamais ? Pourquoi ceux qui , comme toi, défendent ce "modèle de société au nom du plus grand " ne sont jamais mandatés par ce même "plus grand nombre" ? Et pourquoi la totalité des mandats politique sont accordés à des personnes qui promettent de construire une société en s'occupant de ce dont JE parle et JAMAIS de ce dont TU parles et que tu présentes être l'intérêt du plus grand nombre ? J'ai une piste : parce que ça n'est précisément pas l'intérêt du plus grand nombre; c'est du minoritarisme; ce qui est précisément l'inverse. Et rappelle moi ce que tu fais pour lutter contre toutes ces morts, déjà ? Ah oui je sais, twitter, blog, cyber militantisme. Les "gens qui meurent" se sentent d'un coup beaucoup moins mort, tant il est vrai que jouer au muezzin depuis sa petite forteresse virtuelle, c'est pas du tout une attitude d'autiste. Mais c'est ta névrose, ça mon pote. Je n'utilise même pas ton lexique, je ne fonctionne pas avec ces mots-pièges dans lesquels tu t'enfermes. Une société du plein emploi sert l'intérêt de tout le monde, puisque tout le monde cherche un emploi. Une société qui fourni des logements à tous sert l'intérêt du plus grand nombre puisque tout le monde a besoin d'avoir un toit au dessus de sa tête. Voilà un très bel exemple de société pour tous où je te garantis qu'on n'aurais même plus suffisamment de névrosés en son sein pour que tu te rappelles ce qui t'avait mené à penser le monde au travers de ce qu'il générait précisément de plus malsain. Néanmoins, on ne peut pas établir une société autour des personnes schizophrènes puisqu'elles sont minoritaires. Cela dit, on peut les soigner, on le fait déjà, mais ça n'est pas une orientation politique, tu en conviendras. Ces réponses sont des absences de réponses, sors de ta crise de balancement et lis un peu ce à quoi tu réponds. Lis bien. Une société qui fonctionne bien, c'est une société qui s'occupe du plus grand nombre en tenant compte de ses besoins immédiats qui sont la volonté de se nourrir, de se soigner, de se loger et de se sentir en sécurité. Cela veut dire; une société qui fonctionne pour tout le monde, car précisément en République, il n'est reconnu que l'intérêt général et le citoyen, rien entre, et c'est cela qui fait que ça fonctionne. L'intérêt du pays, c'est l'intérêt supérieur de la nation, non de ce qui le divise.
  12. C'est pourtant simple: créer une société à la mesure des désiratas de tous, c'est ne plus créer de société du tout. Comme c'est la société qui bâti les repères (famille, civisme, école) la diluer dans les bobos de sa minorité, c'est à dire tenter de rendre le bobo à la mesure de la société au lieu d'en faire ce qu'il doit être : une affaire privée; on vide la société de sa substance et à la fin elle n'existe plus. Et tes victimes sont encore plus larguées qu'elles ne l'étaient au départ. En 3 ans avec les clés du pays , je te fais ça de la main gauche. La mise en pratique des mes solutions prendrait comme du ciment rapide, mais quand je parle de solutions, bien sûr, je ne parle pas de coller des pansements sur une plaie qui saigne en expliquant au malade qu'il va bien et que le monde est simplement intolérant vis à vis des hémorragies. Je parle de refonder la société pour ce qu'elle doit vraiment être : un modèle de civilisation cohérent, avec ses règles et sa vision du monde. Donne moi un exemple concret de ce que tu entends par là ? Par quoi se matérialise "ma violence" et par quoi se matérialise " ta vision du monde progressiste" , concrétement ? Un exemple de la vie de tous les jours stp. Dans mon topic sur le minoritarisme, sur plusieurs pages où lorsque j'explique que si l'on traite les problèmes sociaux, les problèmes sociétaux qui découlent de la non-gestion de ces problèmes sociaux se multiplient, et l'on tu me réponds qu'on peut très bien s'occuper de tout en même temps, ce à quoi je réponds que faire plusieurs choses antagonistes en même temps c'est ne rien faire du tout. Prenons à nouveau un exemple concret : les transsexuels sont-ils des malades ou non ? Ben non, tu défends un modèle d'absence de société au nom du plus petit nombre et au dépend des intérêts du plus grand nombre. C'est à dire l'exact contraire de ce que tu prétends pourtant défendre. Tu y ajoutes en plus des mots type "massacre" pour passionner à outrance le débat, c'est à dire le sortir de toute raison et ainsi empêcher que l'on y réfléchisse intelligemment. C'est aussi contreproductif que si je disais "Ah, casdenor en fait il veut que tout le monde s'encule habillé d'une camisole de force"; mais j'imagine que tu le fais exprès Comme je te l'ai expliqué des centaines de fois, une société qui fonctionne selon un modèle cohérent et qui fonctionne pour sa majorité (principe de démocratie) et non en priorités pour ses éléments marginaux, c'est une société qui promeut l'insertion du plus grand nombre en son sein et non l'individualisation des personnalités au détriment de toute vie collective. Le fait de gérer une société pour son plus grand nombre ça ne veut pas dire exterminer les minorités, juste considérer les problèmes par ordre d'importance, et par définition, les problèmes des minorités ne sont pas en tête des priorités d'un pays qui conçoit se diriger pour le bien du plus grand nombre. Ma société, c'est réfléchissons à comprendre pourquoi les individus se cognent et se cogneraient-ils autant si la société fonctionnait réellement, c'est à dire si ses citoyens s'y intégraient vraiment., selon des règles communes et non selon une liste de désidératas passionnés et toujours plus longs sur la base de névroses autour desquelles on ne peut rien bâtir de sain, jamais. Une personne schizophrène est un malade, c'est grave et il faut le soigner, mais il n'est pas représentatif des membres de la société où il vit et autour de laquelle / pour laquelle, la vie de la communauté s'organise. Ton obsession sur "le mâle blanc hétéro cisgenre" vient du fait qu'il représente à tes yeux la normalité, typiquement autour de laquelle une société s'organise puisqu'elle concerne le plus grand nombre; et que le plus grand nombre est encore composé, en France de blancs hétéros (par contre, pas majoritairement d'hommes et c'est le seul point que je te concède ) . Le problème serait qu'un jour, la norme change et que l'équivalent du blanc hétéro cisgenre que tu vois comme un oppresseur se mue en un homosexuel indoue transgenre , puisqu'alors la majorité ne serait plus représentée y compris dans la réalité de ce qu'elle est. Et le fait que tu fonctionnes par fait divers ( c'est à dire en attribuant un meurtre à la responsabilité de la société entière alors que tu t'emploies précisément à la "déconstruire" ) est d'une incohérence totale, parce qu'il y aura toujours une marginalité de crimes, quelque soit la société (notons qu'il yen a moins au sein des dictatures, mais bon) et qu'on ne peut pas se servir de crimes marginaux pour dicter la politique d'une société entière, en plus pour des gens pas concerné par cela. Autre paradigme la souffrance des individus se matérialisent moins dans une société qui fonctionne bien, si l'on s'occupe à faire remplir à cette société son rôle initial, on coupe le robinet à la manifestation d'être de la plupart des violences. Si une société fonctionne autour du principe de sa cohérence, si elle fournit à ses citoyens ce dont ils ont besoin pour ne pas se sentir largué, c'est à dire le minimum en matière de confort social, alors on réduit tout drastiquement toute propension des citoyens à chercher un exutoire au sein des populations minoritaires.
  13. En détruisant la société, et elles ne sont pas moins violentées pour autant, mais elles finissent par s'imaginer que la société n'existe plus parce qu'elles ne comprennent pas à quoi elle sert. Du coup, elles ne sont plus en marge, puisque la société devient la marge. Mais ça les rendra pas plus heureux, et tu en es bien conscient. C'est pas parce que tout le monde s'est mis à accepter les malades de la polyio qu'on l'a guérit. C'est parce qu'on l'a appréhendé en tant qu'affection pour la comprendre et la soigner. Soigner la maladie ? Mais je signe des deux mains, sauf que toi et les tiens considérez qu'il n y a pas de maladie. C'est toi qui insères une composante "violence" dans cette discussion. Moi, je considère que s'il faut soigner les malades présents, il faut également tout faire pour que la société n'en génère pas davantage. Par ailleurs : la société génère des contraintes d'intégration qui font qu'on ne peut pas infliger aux autres ce que l'on est mais que l'on doit se plier aux règles qui font que la société fonctionne. C'est à dire tenir compte du dénominateur commun qui compose la société où l'on vit au lieu de tenter de la changer pour sa petite personne; car dans ce dernier cas, c'est juste de l'égoïsme qu'on brandit au nom de l'égalité , de la tolérance, toujours comparé à rien; parce qu'on assume pas de vouloir infliger sa névrose à la Terre entière. C'est pourtant ce que tu fais dans chacun de nos échanges lorsque j'ose te parler de hiérarchisation des problèmes, cher casdenor. Je ne sais pas ce qui fait que tu es obsédé à ce point par la violence et par sa terminologie, elle est plus souvent dans ta bouche dans que dans la mienne. En fait, je n'ai pas écrit le mot "violence" une seul fois, mais toi si; à chacun de tes posts. Tu me parles de "passage à tabac", de "poing dans la gueule", tu délires complétement sur ce que je dis alors que pourtant, il suffit de me lire. La société, c'est ce truc qui se construit sur la base de la majorité de ceux qui la font vivre. C'est pas injuste, c'est comme ça, c'est pratique. C'est à ça que je tente de t'expliquer que pour endiguer la souffrance, il faut supprimer ce qui la créé à la racine et pas l'inverse. D'où le besoin d'un modèle de société pour le plus grand nombre, ce qui n'exclut bien évidemment pas une prise en charge de ceux qui n'arrivent pas à s'y assimiler, mais en réduit considérablement le nombre. Ta société, c'est multiplions le nom de terminologies à la con autant qu'il existe de maladies (tout en niant la maladie, logique inside) et ne cherchons surtout pas à comprendre ce qui génère les causes de ces problèmes: contentons nous d'en tolérer la manifestation.
  14. Ma solution est encore meilleure, elle consiste à faire en sorte que le meilleur des cadres soit produit afin qu'il engendre le moins possible de paumés, et donc de malades. En amont, ainsi, on créé un modèle pour le plus grand nombre et on endigue de potentiels mal-être en dictant des règles communes au lieu de passer son temps à coller des pansements sur des plaies ouvertes en hurlant "tolérance". C'est là où tu te trompes, tu comptes changer le monde en en soignant les symptômes alors qu'il faut s'intéresser à la maladie. Sauf que dans la société que tu défends (c'est à dire une absence de société) , la maladie n'existe pas puisque c'est "un droit", du coup comment la soigner ? Tu donnes un "petit manuel du comportement vis à vis des patients atteints de la grippe" avec la volonté de "déconstruire les stétéotypes antigrippe", là où le bon sens voudrait qu'on vaccine un maximum de personne afin qu'ils ne l'attrapent pas. Tiens, mais qui me reprochait d'oser hiérarchiser les problèmes et la manière dont on devait les traiter ?
  15. Lorsque la différence prend n'importe quelle forme et également celui des troubles mentaux, il devient utile de se demander si l'on doit "la tolérer" uniquement du fait que les gens de ton bord politique la baptise "différence" au lieu de "maladie". Du mien, une maladie se soigne mais elle s'endigue également. Et pour le dernier point, c'est le boulot de la société où l'on vit de créer un monde capable d'engendrer un maximum de personnes biens dans leur basket. A l'inverse de la retourner dans le sens de le faire devenir une société calquer sur ce qu'elle compte de personne le plus mal dans leur peau. C'est simple comme bonjour : on détermine le cadre de la société afin que la majorité puisse s'y fondre naturellement et ainsi bien y vivre. L'alternative c'est d'adapter la société pour la minorité de ceux qui s'y sentent mal et ainsi, d'alimenter et de produire encore plus de mal être en en changeant le modèle de base et de fonctionnement. Ca n'est pas le mélodramatique choix casdenorien qui se présente, ça n'est pas "le monde de demain ou l'holocauste d'hier" ; et décréter une ligne directrice pour la majorité , ça ne veut pas dire fusiller ceux qui rencontrent des difficultés. Ca signifie faire en sorte que la société en produise à terme le moins possible.
  16. Qu'est ce qui est le plus sain ? Construire une société qui iraient dans le sens de l'acceptation par la normalisation des symptômes de ceux qui y vivent mal, ou tenter d'en construire une qui favorise le moins possible l'apparition de ce genre de problèmes ? Toute la problématique réside dans cette simple question. Choisir entre passer son temps à coller des pansements sur des hémorragies en "interdisant" l'hémorragie via des textes de loi, où l'endiguer afin que le moins de monde possible ne saigne.
  17. Tout à fait, je crois que notre environnement affectif influence nos goûts et nos pratiques sexuelles ainsi que le reste de notre personnalité. Mais je ne suis pas vraiment le seul à le penser, c'est un lieu commun de la psychanalyse et de la pédopsychiatrie. C'est par ailleurs pour cette raison que la pédopsychiatrie n'a cessé de répéter l'importance de la cellule familiale pour la bonne construction mentale et affective de l'enfant, parce qu'on sait que ce qui se joue pendant l'enfance participe de la structure sociale de ce que l'enfant sera. En fait, ça devrait vous convenir parce que ça en revient à valider votre vision du monde où toute construction serait sociale (ou tout du moins, la construction sociale serait en tête de cortège) . Alors si on pense ça, on est obligé de tenir compte du reste, de ce que cela implique en matière de structure familiale, et donc ce que l'on se doit de défendre en terme de modèle par rapport à ce que l'on doit tenter d'éviter; puisqu'on sait que cela influence et structure. Maintenant, c'est les USA (dont on connaît le pacifisme résolu) c'est vachement mieux en effet. C'est fou comme d'un seul coup tu peux te transformer en enfant de 10 ans et dire n'importe quoi. TorT alors, sinon c'est le verbe tordre. Comme si j'avais besoin de ça. ^^
  18. Reste que la plupart des pathologies mentales se construisent au moment de l'Oedipe et explosent à l'adolescence; qu'on croit à l'Oedipe ou non d'ailleurs, c'est quand même une sacrée coïncidence, et ça on en a la preuve; ce qui devrai te parler à toi qui ne connaît strictement rien d'autre que la preuve en terme de raisonnement (exit les faits, les raisonnements, la logique, les témoignages etc)
  19. Eh bien c'est assez cohérent pourvu qu'on écoute ce que je raconte depuis des mois ici à chaque fois qu'on me le demande. J'aimerais bien que tu développes ça par exemple, qu'on rigole. J'ai pas vraiment l'impression que la France résiste à quoique ce soit en ce moment et je ne raisonne que très peu en terme de projection du passé sur le futur. Les peuples sont ce qu'on en fait, et le résultat du devenir de la France sera le résultat du travail de ceux qui y tiennent contre ceux qui ont pour volonté de la détruire déconstruire, elle et tout ce qui fait qu'elle a occupé une place qui a été une référence de civilisation pour le reste du monde, avant que la référence ultime soit le marché. Je ne crois pas un huitième de seconde que tu ais jamais lu ne serait-ce qu'une ligne de Onfray, cher Alain75.
  20. J'étais à peu près sûr que quelqu'un me renverrait à cette tendance de la négation du freudisme et de ses conclusions, c'est vachement dans l'air du temps et de cette volonté de détruire "déconstruire" tout ce qui ressemble à un repère et assez pratique du point de vue de l'idéologie en place, mais c'est quand même un sacré gâchis. Et j'y peux rien si la perversion narcissique se structure également au moment de l'Oedipe; mais oui j'y vois un début de réflexion intéressant.
  21. L'homosexualité se manifeste pour la première fois au moment de l'Oedipe, exactement d'ailleurs comme la perversion narcissique. http://www.psycholog...jour-ou-j-ai-su
  22. "Théorie du genre" est un terme global que ceux qui la combattent ont très vite corrigé en "idéologie du genre" pour éviter d'avoir à faire à des enculeurs de mouche sémantique. Toutes les déclinaisons que vous donnez à chaque fois servent d'autant de paravent pour circoncire le débat ( de quoi débattre si le sujet n'existe pas?) C'est en fait du même acabit que de dire de son interlocuteur qu'il est fou, ça repose sur les mêmes mécanismes de défense. Ben c'est vraiment des incompétents, les homos, parce que l'homophobie augmente depuis que "les homos" se considèrent comme un groupe politique. Si c'est vraiment ce qu'ils veulent, stopper l'homophobie, faudrait vraiment que quelqu'un leur explique que ça commence par ne pas se revendiquer comme homosexuel parce que ça n'est pas un programme politique, et qu'il n y a pas de "cause homosexuelle".
  23. Et souvent les mêmes ces derniers temps.
  24. Ce qu'on sent surtout, c'est que ce cher Lycan rêve d'une guerre (qu'il ne ferait bien évidemment pas). Hier c'était contre la Syrie, aujourd'hui contre la Russie; il bande sur l'esthétique de la violence. Il ne sait pas que la violence, en vrai, c'est moche, que ça fait mal, il n'a pas du se battre bien souvent dans son adolescence; il est excité comme un gamer par un genre de "mise en pratique" de call of duty. Pour lui, c'est un divertissement. Envoyer ses troupes sur Xbox ou sur iTele, c'est pareil pour lui. Il est juste excité par l'idée de la guerre car il ne sait pas ce que ça implique en réalité. C'est un ado. Pour guérir ce genre de bandaison guerrière, suffirait de confronter ce type d'illuminés à la légion étrangère pendant 3 semaines. Ils en reviendraient pacifistes, des dreads sur la tête et de la ganja dans les poches.
  25. En fait historiquement si, les premiers à s'être insurgés du sort des esclaves étaient leur maîtres lettrés -- ce qui est logique -- , mais c'est un détail.
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