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Verax

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Tout ce qui a été posté par Verax

  1. Verax

    À partir de Rien.

    La moindre des choses signifie simplement qu'elle est irréductible, qu'on ne peut plus la réduire à une autre chose sans que ce ne soit plus une chose, qu'elle possède le minimum faisant qu'une chose est une chose, il n'est pas question de sa quantité mais de sa qualité. Il ne faut pas la voir comme un point qui ne pourrait pas devenir ''plus petit'' mais comme une chose qui ne saurais avoir moins d'importance, moins de valeur, moins de sens. Disons que ce rien, l'espace, n'est pas une quantité, c'est la quantité, tu décides de lui donner l'envergure que tu veux au départ, c'est au choix. En ce qui concerne la masse, elle n'a de sens que dans l'inertie, dans le fait d'être réfractaire au changement de son mouvement propre, et si tu parles d'un espace plus petit piégé dans un espace plus grand, la fracture d'une bulle provoquera une augmentation de la place nécessaire pour loger les résultats de cette division, tu obtiendras une résistance des plus grosse bulles environnantes qui devront faire de la place d'une façon ou d'une autre pour ces nouveaux arrivants. Tu remarqueras aussi un détail, si tu conserves toujours le volume interne total, alors la surface totale pour sa part, augmentera inévitablement, ça peut te servir de repère pour mettre ce que tu n'aurais pas de place à caser quelque part.
  2. Verax

    À partir de Rien.

    Ce topic est en soi un ramassis d'idées Genesiis, si tu n'en perçois pas la réalité et les effets réels alors je ne vois pas l'utilité de continuer. Sinon, tu peux reprendre ce que tu auras chercher à éviter par cette remarque, soit ce qu'est une propriété, ce qu'est la substance permettant de dire d'un groupe, d'un ensemble, que c'est ce que se partage les éléments qui en font partie.
  3. T'as qu'à prouver que je le suis pas, c'est pas plus compliqué que ça.
  4. Et l'argument voulant qu'il y ait La vérité et DES vérités, que La vérité est La vérité et qu'une vérité est une vérité, que La vérité n'est pas UNE vérité et que UNE vérité n'est pas LA vérité, cet argument, qui respecte le principe premier de la logique, celui d'identité, à savoir que ''ce que je dis'' est ''ce que je dis'', cet argument a-t-il été évoqué et défendu dans votre débat? Si on part du principe d'identité ''A = A'', en disant que c'est une vérité relative permettant d'être cohérent lorsqu'on parle de vérité, et qu'on lui trouve une forme encore plus précise, faisant de cette vérité (A = A) un simple cas particulier découlant d'une forme plus précise ne dépendant que d'elle-même, reconnaitrais-tu le caractère absolue de celle-ci, son identité en tant que vérité absolue? Ce qui fait qu'une vérité en est une, et que des vérités ont un point commun permettant de se montrer digne de ce nom, c'est plus qu'une simple vérité, c'est plus qu'une relativité, c'est indémontable et non indémontrable. La vérité absolue ne sera telle que si elle est le sujet du débat, sinon on aura des vérités relatives au sujets à débattre. En effet, peu de gens sont capables de distinguer leur dires de leur personne, de rester objectif et de suivre les règles du jeu sans se mettre eux-même en jeu. Maxime valable uniquement pour les idiots, il faut le préciser. :p Mais c'est ce que je démontre ici, qu'il est possible d'avoir toujours raison sans avoir recours à tous ces stratagèmes. Simplement en gardant une cohérence et en s'y tenant. :p Mais comme il a été dit plus haut, ceux qui ont raison sur nous nous sont trop souvent insupportable, ce sont les petits egos qui en souffrent le plus.
  5. Encore une fois, t'es incapable de te faire une vraie idée de ce que décrit ce stratagème. T'as pas idée à quel point t'as pas idée, t'as pas idée de ce qu'est le sujet du petit débat qui nous oppose, soit toi, en personne. Le fait que toi, oui toi, tu n'aies pas idée de ce dont tu parles. Pas le reste de la planète, mais toi. Le sujet c'est Crâbe fantôme qui n'a pas idée de ce qu'est Dieu et cela le disqualifie d'une éventuelle participation au débat puisqu'il ne sait pas de quoi il est question, il n'en a pas idée. Je ne deviens pas insultant puisque le sujet est déjà l'insulte à l'intelligence de tout débatteur digne de ce nom, celui qui aurait une idée de ce dont il est question, une insulte désigné par le fait juger de la pertinence d'un sujet dont il n'a pas idée. Le sujet est la malveillance de celui qui se refuse à voir la vérité de sa position, sa malhonnêteté intellectuelle résidant dans le refus d'admettre qu'il n'a pas idée de ce dont il est question tout en cherchant à discréditer la validité du sujet dont il n'a pas idée. Je ne devient pas malveillant puisque je me fait défenseur de la bienveillance de ceux qui ont une idée de ce dont il est question, je me fait défenseur du débat lui-même. Le sujet est l'injure suprême à tout débatteur, soit de ne pas reconnaître le fait de savoir de quoi il est question pour pouvoir débattre, soit de parler de n'importe quoi d'autre que du sujet tout en se disant pertinent. Je passe sur la vulgarité. Maintenant, je passerai aussi sur le fait que tu aurais utilisé ce stratagème envers ma personne, et je te remercie encore une fois pour l'exemple.
  6. Tu me dit qu'il n'existe aucune preuve de ce dont t'as pas idée, même si t'avais une preuve, t'aurais pas idée de quoi ce serait la preuve. Tu vois, tu dévie sur un autre sujet pour cacher que t'as pas idée. Quand t'as pas idée du sujet, ben t'es pas qualifié pour débattre, c'est simple. Si tu veux pas admettre que t'as pas idée de quoi tu parles, ben c'est plus simple de dire que c'est un débat stérile plutôt que de dire que c'est ta conception qui l'est. C'est de la fierté mal placée, c'est tout. J'en ai rien à cirer des raisons qui font que tu te censures et que tu t'empêches de faire une idée du sujet. C'est ton droit le plus strict, je dis uniquement que quand t'as pas idée de ce quoi il est question, ben t'es pas qualifié pour en parler, c'est ça le petit débat qui nous oppose, et c'est sur cette question que tu glisses sans cesse et que tu réponds pas, que chacune de tes réponses est une preuve du fait que tu ne sais pas de quoi il est question, en évitant soigneusement de dire ce que ce serait pour toi ou que t'en aurait une idée personnelle. Celui qui ne cherche pas à comprendre finit toujours par atteindre son but, ne pas comprendre. Malheureusement, ce n'est pas le but du débat. :p
  7. T'es aveugle ou quoi? Sérieusement là, je me demande. Si tu veux manquer de respect envers quelqu'un, t'as qu'à lui dire que ce en quoi il croit est maudit et arriéré. Tiens, pour être cohérent avec toi, tu me comprendras je le sais, je te dirai que j'ai le plus grand respect pour toi et tes maudites pensées arriérés, mais tu comprendras certainement que mon respect sera encore plus grand si j'ajoute que ce que ce que tu penses est d'une débilité innommable, tu comprendras que je suis d'une tolérance incontestable. Je sais que tu me comprendras, tu le feras si tu te comprends, sinon tu ne me comprendras pas, et tu me donnera raison en se faisant.
  8. T'as pas bien lu, tu devrais mettre les énoncés en perspective, je vais te donner un bel exemple de contradiction telle que relevé : ''Il faut être tolérant envers leur maudites croyances débiles.'' Là, t'as une contradiction dans l'affirmation elle-même, t'as une affirmation qui n'a pas besoin d'être comparée à quoi que ce soit d'autre, on appelle ça une affirmation contradictoire, tout court, une contradiction en soi. Si t'es incapable de discerner un argument ''Ad hominen'' de la mise en lumière d'une contradiction dans le propos et uniquement dans le propos, ben t'es malhonnête, t'as pas l'art d'avoir raison, ton bouclier est en beurre et t'as l'œil croche, tu viens de te mettre une autre flèche dans le pied. :p C'est pire que ça, t'as même pas idée de ce que c'est, et t'en donne la preuve à chaque réponse. :p T'es pas qualifié pour en débattre l'ami, et de toute façon, on ne débat sur quelque chose qui serait prouvé, ce serait pas un débat, ce serait une discussion. Tu veux débattre sur le fait qu'une chaussure en cuir est une chaussure en cuir? On ouvre un sujet?
  9. Il n'y a rien dans ''ta'' besace à arguments, alors tu n'es pas qualifié pour un débat sur le sujet, car pour débattre, faut avoir une idée de quoi on va débattre, c'est la moindre des choses. Ne pas chercher la vérité, c'est dire qu'on s'en moque, et se réfugier dans le mensonge, c'est dire qu'on s'en moque et de se retrouver plus souvent qu'à son tour sur des sujets qui en parle, question de se moquer des participants. Celui qui s'en moque vraiment, il ne vient même pas dire qu'il s'en moque, normal puisqu'il s'en moque. T'as pas idée, ça c'est de la stérilité, stérilité parce que tu t'interdis d'y penser, parce que tu t'interdis de t'en faire une idée. Jolie réponse, et comme pour me donner raison, le petit monsieur n'avance aucun contre-argument. Il se contentera donc de dire que ce n'est pas ce qu'il a voulu dire, et encore une fois, il le fera avec une attaque personnelle. T'aurais pu dire que t'avais mal choisi tes mots, que c'est vrai que ça parait mal quand tu y repenses, que tu pourrais offrir un texte plus correct qui reflèterait vraiment ta pensée avec cohérence, mais t'as choisi l'autre chemin, l'autre sujet. Tu sais quoi, mon ego est tellement surdimensionné que j'ai même pas besoin qu'on approuve mes dires, ça voudrait dire que je doute de moi devant une évidence qui crève les yeux. :p
  10. T'as été mis tout simplement devant tes propres contradictions, tu te trouves toujours une excuses pour ne pas assumer tes propos, c'est ton discours qui est analysé ici, pas ta personne, tu tombes dans un piège que tu ne vois même pas. La vérité, celle que tu devrais voir si t'en cherches une, c'est que tu te contredis, que tes mots, ton choix de mots, te trahis effrontément, tu devrais réfléchir avant d'écrire et t'assurer d'être cohérent. Est-ce que t'as remarqué que je t'ai pas dénoncé comme personne, t'as le droit d'être comme tu veux, mais vouloir faire croire aux autres que tu serais en accord avec tes paroles, sinon avec tes beaux principes, ça fait de toi un ben mauvais combattant sur le plan du débat, ton bouclier est fait de beurre et tes flèches ne visent pas la bonne cible, tu finis par te les tirer dans le pied, et c'est bien dommage pour toi. :p Mon ego, l'ami, il est plus grand que tout ton monde, tu réussiras jamais à le désouffler sinon en t'assumant et en faisant face avec cohérence.
  11. Peu importe le type de discours, il est question de débat. Il y a un sujet sur lequel on demande de débattre, soit de montrer la cohérence la plus totale, indémontable, du début à la fin. La première nécessité, c'est d'avoir une idée de ce que l'on va avancé, de savoir au minimum de quoi on parle, de connaître et de bien choisir le type de flèches que l'on va décocher, de s'assurer qu'elles soient solides et précises, ces flèches sont les arguments, et si elles ne peuvent percer le bouclier de l'adversaire, la cohérence de son discours, alors celui-ci aura finalement raison sur nous. Dieu est un sujet de débat, si on n'a pas idée de quoi il s'agit, si on ne s'est pas fait une idée de ce que c'est, alors c'est qu'on a pas d'arguments pour avancer dans le débat, qu'on est sans armes et nu au départ. Or, il vaut mieux dire que l'on ne sait pas ce que c'est plutôt que de dire que le sujet ''Dieu'' ne se qualifierait pas pour un débat, il vaut mieux car dans la réalité, c'est nous, en tant que sujet, qui ne sommes pas qualifié pour en débattre. Si on ne cherche pas la vérité, ça n'implique pas de se réfugier dans le mensonge, se mentir à soi-même est encore la pire des choses en vérité.
  12. Les gens qui ont la malchance d'avoir raison de nous nous sont trop souvent insupportables, au point où certains souhaiterait même leur mort, on ira même jusqu'à dire que leur ego (qui est la représentation que la personne a d'elle-même, et non la représentation qu'on a nous-même de cette personne) serait surdimensionné. La recherche de la vérité ne fait pas de cas des amitiés et autres considérations de ce genre, on se doit de ne pas tenir des possibles blessures causées à l'amour propre de l'adversaire lorsqu'on est sur ce chemin, en toute justice cette recherche se doit d'être neutre aux sensibilités. Si ces dommages collatéraux adviennent, alors c'est que l'adversaire est mis face à sa vérité, et souvent, il ne le supportera pas. Or si il ne sait pas reconnaître ses 4 vérités sur ce chemin, comment reconnaîtra-t-il ''la'' vérité si jamais il se retrouve face à face avec elle, qu'en ferait-il en sachant qu'il est incapable de se faire face à lui-même? Si les débateurs sont incapable de démontrer l'idiotie d'un des participants, et que ce participant respecte les règles du débat, alors l'idiot gagne par défaut, car c'est l'idiotie qui sort gagnante du débat, idiotie car il faut être idiot pour ne pas réussir à pourfendre l'idiotie, on se retrouve sous sa coupe et on boit les gouttes amères qu'elle nous prodigue.
  13. Verax

    À partir de Rien.

    Tout mensonge est un vrai mensonge, ce qu'il contient n'est pas la vérité mais il a une vérité quand même, cette vérité existe. Si je te dis que cette maison est rouge alors qu'elle est bleu, c'est qu'il existe une maison rouge mais que celle-là ne l'est pas. Le fait que Pierre n'est pas présent est marqué par son absence, cette absence est bel et bien présente, elle existe. Si je dois être en classe et que je n'y suis pas, mon devoir ne s'estompe pas, je dois quand même y être, mon devoir s'estompe lorsque je suis en classe, puisque je n'ai plus le devoir d'y être lorsque j'y suis, j'ai maintenant le devoir d'y rester. En effet, c'était bien une petite note. :p Peu importe les mots qu'on utilise, l'important c'est d'être cohérent avec nous-même. Ceux qui chercheront à comprendre ce qu'on dit, finiront bien par mettre leur propre mots dessus.
  14. Verax

    À partir de Rien.

    On peut aisément les confondre en effet, c'est valable pour moi, pour toi et aussi pour Heidegger. L'important c'est de ne pas confondre ce qui est et ce qui n'est pas, et de ne pas confondre le lieu commun ou se retrouve les deux côtés de la médaille, l'affirmation de l'être et la négation de l'être, ce lieu commun, cette médaille, c'est l'existence.
  15. Verax

    À partir de Rien.

    En effet, il n'est pas, il existe seulement, il n'a pas d'être, il a seulement l'existence.
  16. Je sais pas, tu m'as vu écrire quelque part que Dieu existe? Tu m'as vu écrire quelque part que Dieu n'existe pas? T'as raison sur un point cependant, là, j'ai raison sur toute la ligne en disant que tu comprends pas de quoi tu parles, ni de quoi je parle. C'est bien de se réfugier dans l'ironie, ça évite de tenir un discours honnête et de se montrer cohérent envers soi-même.
  17. C'est bien d'éviter la question, ça démontre juste que tu ne sais pas de quoi tu parles. Si tu le savais, tu ne te gênerais pas pour en parler, mais comme tu ne le sais pas, alors ça ne te gêne pas de ne pas en parler. Ça me fait dire que t'as peur de ne pas avoir raison, que t'as peur qu'on voit que tu sais pas ce que c'est mais que t'y crois pas quand même. Que t'as pas idée de ce en quoi tu ne crois pas. Ce que tu fais est digne du Stratagème XXXI. À une petite exception près, celle de ne pas comprendre ce que tu dis en plus. CQFD
  18. Verax

    À partir de Rien.

    Peux-tu déjà concevoir l'espace comme étant un objet réel?
  19. Pour moi, l'ennemi, ce sont les préjugés, les idées toutes faites et la généralisation à outrance, comme dans ces paroles : Tu aurais pu choisir de parler de ''certains'' croyants, tu aurais pu choisir d'éviter de qualifier leurs croyances de maudites et d'arriérées, mais tu as choisis de te laisser aller à l'intolérance et au non-respect des convictions de chacun, à faire preuve d'un fanatisme ''athée'' alors que tu devrais, selon tes propres dires, t'en moquer, passer outre. Tu as choisi d'exprimer avec violence ton athéisme, en condamnant d'autres personnes parce qu'elles n'ont pas les mêmes idées que toi. N'y voyez pas une attaque Ad hominen, je ne fais que te mettre face à tes propres dire, face à tes contradictions. Et je trouve ça désolant pour toi. Si ton but est de trouver le paradis sur terre, alors tu devrais revoir ta notion de paradis, ça me semble plutôt infernal comme façon de penser! :p On en revient à la mauvaise foi. Celui qui ne cherche pas à comprendre finira par atteindre son but, ne pas comprendre. Lorsqu'on dit Dieu, comprends-tu ce qu'on veut dire ou comprends-tu ce que tu veux bien ne pas en comprendre? Comprends-tu que les athées et les croyants sont le reflet l'un de l'autre, qu'ils ne savent pas vraiment de quoi ils parlent, parce qu'ils n'ont jamais cherché à s'en faire une idée par eux-même?
  20. Verax

    À partir de Rien.

    En effet, il y a quelque chose qui porte le nom rien. C'est cela, ce rien d'espace existe, mais pas dans le temps, il est ce qui n'existe pas dans le temps, un être intemporel. Notre temps existe aussi, mais il n'est pas encore ce temps, il n'a pas encore eu d'espace pour être, il est absent de l'espace, il est nulle part et n'a nulle part pour être, il est nulle chose. C'est bien ce 0, 0 qui n'est pas rien lui-même mais qui le représente, qui est la chose nulle, insignifiante, mais qui n'est pas nulle chose. Le point de départ, l'univers dans son entier alors qu'il n'était qu'une seule et unique chose, alors qu'il n'avait pas encore de sens, aucun mouvement. À partir de rien, on finit par se retrouver au point de départ, on se retrouve avant notre temps et devant lui, et lorsque le départ est donné alors ce qui n'avait pas de sens commence à en avoir un, il donne vie à ce qui n'existait pas au fur et à mesure que notre temps prend place. En effet le temps existe, et ce temps qui est le nôtre n'est pas le temps, il est en quantité limité, il est compté, il a un début et une fin, au début, il n'était pas le temps, et à la fin il ne sera pas le temps, il ne sera toujours qu'un temps, car ce rien d'espace aura finit par le contenir en totalité, il a tout le temps pour ça, tout ce qui s'y trouvait aura finit par être présent dans l'espace et tout cela ne sera plus que du passé. Mais l'éternité n'est pas une boucle, elle ne se referme pas sur elle-même, elle incarne la différence, toujours elle-même, ne prenant jamais 2 fois le même chemin. Elle est le chemin, ouvert sur de nouvelles possibilités, sur l'infinité de possibilités qu'offre l'espace. L'éternité est la différence qui existe entre le temps et un temps, car le temps est le temps, et un temps est un temps. Il y a un temps pour chaque chose, et il y a le temps pour chaque temps.
  21. Verax

    À partir de Rien.

    La position qu'occupe la Terre par rapport au Soleil n'est pas une propriété de la terre, Genesiis, la Terre reste la Terre peu importe sa position tout comme le Soleil reste le Soleil. La propriété d'une chose, c'est ce qui la définit en tant que chose. La position qu'occupe la terre fera d'elle un satellite du soleil, et si elle quitte son orbite pour être propulsée ailleurs alors sa position lui donnera une autre relativité, ce que tu considères justement comme une appellation arbitraire. Prend un exemple plus simple, définissons un type de nombre que nous voulons isoler des autres, donnons-leur une propriété propre, une substance que seuls eux possèdent et qui les rends uniques par rapport à tous les autres nombres : soit d'être un nombre n'ayant aucunes décimales et d'avoir toujours un successeur distant d'une unité. Tous les entiers naturels se regrouperont sous ce même toit, et ce toit portera comme nom la propriété dégagée. Les nombres dégagés auront la propriété et la propriété ne sera pas un nombre, on appellera la propriété ''entiers naturels'' et je n'aurai pas besoin d'énumérer ces nombres pour t'en parler, je n'aurai besoin que de te parler de la propriété qui les unis. Je te parlerai des entiers naturels pour les couvrir tous comme des semblables, comme ayant une même substance. Si tu me dis que l'espace est une propriété, alors tu devras me donner une définition précise faisant en sorte que si tu me donnes cette définition, alors je le verrai apparaître comme élément qui sera discriminés par rapport aux autres éléments. Tu pourras toujours essayer de me dire que c'est la propriété qu'ont les éléments qui n'ont pas de propriété, qui ne font partie d'aucun ensemble. Mais je te répondrai alors que puisqu'aucun élément n'a cette propriété, alors aucun élément ne la vérifie, et si jamais un élément la vérifiait, peu importe le moyen, alors tu vérifierais que cet élément n'a pas de propriété, donc que ce n'est pas une propriété qu'il a. Maintenant, tu pourras tenter aussi de me dire que l'espace est la propriété qu'aurait tout ce qui prend de la place, mais dans ce cas je pourrais te répondre que l'espace aussi prend de la place, qu'il n'est pas la propriété car il l'a comme tout ce qui prend de la place. On n'a pas ce qu'on est Genesiis, et on n'est pas ce qu'on a. Si on a la propriété, on n'est pas la propriété. Et l'espace a une propriété toute simple, il existe, il a l'existence pour propriété. La seule et unique propriété rassemblant absolument Tout, rassemblant tout et rien à la fois, c'est l'existence.
  22. Verax

    À partir de Rien.

    Les éléments formant l'ensemble ne sont pas une propriété de l'ensemble Genesiis, être l'espace c'est avoir l'être comme propriété. Je pense que tu as confondu le verbe (être le) et le nom (l'être). Ici, il il est question pour l'espace d'être l'espace, de l'être simplement, d'être un être et non d'être l'être. C'est plus clair?
  23. Verax

    À partir de Rien.

    C'est déjà un bon pas. Mal le concevoir est mieux que de ne pas le concevoir du tout, à moins que tu ne veuilles dire par là que ce serait inconcevable pour toi?
  24. Verax

    À partir de Rien.

    Je fonctionne d'une façon assez simple, je cherche des symétries, je cherche l'axe qui permet de se faire une image cohérente. Alors, pour ta question, elle a sa pertinence. Si on affirme que la présence de masse provoque une courbure de l'espace, de façon symétrique, provoquer une courbure de l'espace ferait apparaître une masse. Ne reste plus qu'à s'imaginer de quelle façon cette courbure pourrait être provoquée. Ce pourrait être justement le fait que lorsque l'espace se fracture en particules plus petites, elles occupent plus de place, que lors de cette fracture, les particules d'espace plus petites feraient pression sur les plus grosses pour se faire une place.
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