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garotoubib

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Tout ce qui a été posté par garotoubib

  1. C'est très souvent (pas tout le temps) du au traitement. Les experts disent que les médicaments antidépresseurs cause suicides au lieu de les prévenir En juin 2001, un jury au Wyoming a déterminé que la drogue Paxil / déroxat, un antidépresseur a fait tuer un homme son épouse, sa fille et sa petite-fille avant de se massacre lui-même. Le jury a attribué à la famille survivante $8 millions dans les dommage
  2. Une victime de réactions a une drogue médicale n'est pas fou, ou alors on est tous fous. Un antidépresseur serait à l’origine de la tuerie de Pouzauges LaNutrition.fr, le 02/07/2010 Rappels des faits Le 31 mai, le docteur Emmanuel Bécaud (34 ans) a tué son épouse et ses quatre enfants, avant de se suicider. Un drame d’une violence inouïe. Les quatre enfants, âgés de 3 à 9 ans, ont été tués dans leur lit avec une bûche. Leur mère a été poignardée à douze reprises avant d’être égorgée. Le docteur Bécaud s’est pendu après avoir accompli son forfait. La sertraline, un antidépresseur, pourrait être l’élément déclencheur dans la folie meurtrière de Pouzauges (Vendée). Xavier Pavageau, le procureur de la République de Vendée, indique ce matin dans sa conférence de presse que les analyses toxicologiques ont révélé la présence de cet antidépresseur – et de lui seul – dans le sang du médecin. C’est la seule piste solide dont dispose le procureur. Car, aux yeux des proches, cet acte meurtrier demeure incompréhensible. Le docteur Bécaud était unanimement apprécié de ses patients. Il aimait sa femme et ses enfants, n’avait aucun antécédent de violences. Les proches ont confirmé que le couple vivait en harmonie. Le médecin était-il simplement surmené par son travail ou dépressif ? Difficile à dire. Une chose est sûre, il prenait depuis quelque temps de la sertraline – un antidépresseur générique longtemps commercialisé sous le nom de Zoloft – appartenant à la famille des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Le médicament aurait joué le rôle d’un détonateur. L’avis d’un expert Par quels mécanismes, la sertraline aurait-t-elle pu déclencher cette violence ? Le journaliste Guy Hugnet enquête depuis près de 10 ans sur les antidépresseurs. Il a interrogé David Healy (professeur de psychiatrie et de neuropsychopharmacologie à l’université de Cardiff, expert international des antidépresseurs) sur les effets des ISRS : « En prenant ces traitements beaucoup de gens deviennent hostiles, agressifs, suicidaires, perdent leurs inhibitions. Certains, par exemple, se mettent en tête d’aller acheter des armes. Chacun d’entre nous est sujet à des impulsions qu’il contrôle plus ou moins. Avec ces médicaments, comme avec les street drugs (cocaïne, crack), les gens n’arrivent plus à contrôler leurs impulsions. » Le délire mortel du docteur Bécaud relance la polémique née avec l’arrivée du Prozac au début des années 90. Le médicament miracle, et ceux qui ont suivi (Déroxat, Zoloft, Séropram etc… aujourd’hui commercialisés sous forme de génériques), traînent une réputation sulfureuse. Tous ont été impliqués dans des affaires criminelles. Certaines ponctuées de procès qui ont vu les fabricants condamnés. Aux Etats-Unis, mais aussi en Angleterre ou en Australie. En savoir plus Dans son dernier livre, « Antidépresseurs, mensonges sur ordonnance » (Ed. Thierry Souccar), Guy Hugnet décrit en détail la mécanique qui amène les gens à « péter les plombs » après la prise de ces traitements. Propos illustré par de nombreux exemples : affaire Wesbecker, Donald Shell, fusillade du lycée Columbine… Guy Hugnet veut dénoncer le silence autour des antidépresseurs et relancer un débat depuis trop longtemps occulté : « En France, c’est l’omerta. Les dangers de ces médicaments s’arrêtent à la frontière. Les médecins les prescrivent comme des petits pains sans en connaître les dangers réels. Pour preuve, le docteur Bécaud lui-même ignorait les risques. Quant aux médecins qui savent, ils ne disent rien par peur d’être traînés en justice ». Pour lui, le jour où les langues des patients vont se délier, on découvrira que des centaines voire des milliers de personnes sont, chaque année, poussées au suicide ou à des actes violents à cause des antidépresseurs. « Il est grand temps que les autorités sanitaires préviennent les gens des risques qu’ils encourent. »
  3. États-Unis : des enfants turbulents traités aux anti-dépresseurs deviennent des enfants tueurs en 2003, aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique a distribué l’équivalent de 16.4 miliards de dollars en échantillons gratuits aux médecins. Ces échantillons sont littéralement responsables de la mort d’innocents. Deux jeunes garçons qui ont eu « la chance » de se voir offrir des échantillons gratuits de l’anti-dépresseur Zoloft sont aujourd’hui en prison.Après une visite chez leur médecin de famille, Christopher Pittman et Zachary Schmidkunz, tous deux agés de 12 ans, sont rentrés chez eux avec un sachet d’échantillons de Zoloft, sans avoir reçu la moindre information sur les effets secondaires de cet anti-dépresseur. Sous l’influence du médicament, chacun d’entre eux à commis des meurtres et attend aujourd’hui son procès. Ces médicament antidépresseurs SSRI (selective serotonin reuptake inhibitor inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine) sont distribués couramment à des enfants de moins de 12 ans. Le Dr Thomas Moore, membre du Drug Safety Research group a mené une enquête sur l’utilisation des antidépresseurs chez les jeunes enfants. Les résultats montrent que, dans la période de 1998 à 2001, aux États-unis, l’utilisation de SSRI auprès d’enfants à doublé, et que dans 90% des cas les médicaments ont été prescrits en dehors de toute recommandation clinique. Par exemple, chez les garçons entre 6 et 12 ans, 52% des anti-dépresseurs administrés ont été prescrits pour traiter un déficit d’attention, de l’hyperactivité supposée chez l’enfant ou des troubles du comportement. Typiquement ces médicaments sont combinés avec la prise d’un antipsychotique ou d’un stimulant. « Il n’y a pas de preuve scientifique démontrant l’efficacité d’une telle combinaison de médicaments pour soigner les troubles du comportement, par contre il y a amplement de preuves démontrant que ces mélanges sont dangereux. » explique le Dr Moore. Et pourtant l’étude montre que 17% des enfants se voyaient administrer des médicaments n’ayant pas prouvé leur efficacité lors de tests cliniques et que 42% des enfants interrogés prenant deux anti-dépresseurs simultanément, voire plus. « Ce que nous constatons est que, quand le médecin voit que son traitement médicamenteux ne fonctionne pas, au lieu de l’abandonner ou d’essayer autre chose, il augmente les doses ou bien combine deux ou plusieurs médicaments. Les résultats de ces cocktails ne sont pas toujours prévisibles. » Ainsi, Christopher Pitman, garçon un peu turbulent, âgé de 12 ans. Perturbé par la séparation de ses parents et la perspective de devoir aller vivre chez ses grands-parents, Christopher s’était vu prescrire l’anti-dépresseur Paxil par le médecin scolaire. Arrivé chez ses parents, et n’ayant plus de pilules, il était allé voir le médecin de la famille pour en obtenir une nouvelle dose. N’ayant pas d’échantillons gratuits de Paxil sous la main, le brave médecin lui avait donné à la place un sachet de pillules Zoloft et avait écrit les instructions sur le sachet. 48 heures après que la prise de Zoloft ait été augmentée à 200 milligrammes, Christopher prit le fusil de son grand-père, s’introduisit dans la chambre à coucher où dormaient ses grands-parents, et les assassina tous les deux, à bout portant dans leur sommeil. Ensuite il mit le feu à la maison et se mit au volant de la camionnette de son grand-père, toujours armé. Le lendemain deux chasseurs retrouvèrent le garçon de 12 ans dans une forêt tout proche. Il déambulait en hurlant des propos incohérents, parlant avec des interlocuteurs invisibles et brandissant toujours son fusil chargé. http://www.voltairenet.org/article140938.html Article en traduction automatique de l'anglais : Le tireur Adam Lanza probablement sous médicaments Le contrôle des armes ? Nous avons besoin de contrôle des médicaments ! Dans fusillades impliquant des armes à feu et l'esprit qui altèrent les médicaments, les politiciens cherchent immédiatement à blâmer les armes, mais jamais les médicaments. Presque tous les fusillades massives qui ont eu lieu en Amérique au cours des deux dernières décennies a un lien avec des médicaments psychiatriques, et il semble tragique événement d'aujourd'hui est dirigé dans la même direction. Selon ABC Nouvelles , Adam Lanza, le tireur présumé, a été étiqueté comme ayant une « maladie mentale » et un « trouble de la personnalité." Ce sont précisément les mots généralement entendus dans une personne qui est « traités » avec l'esprit qui altèrent les médicaments psychiatriques . Un des effets secondaires les plus fréquents de médicaments psychiatriques accès de violence et des pensées de suicide. Les tireurs du lycée de Columbine étaient, bien sûr, sur les drogues psychiatriques au moment où ils ont tiré leurs camarades de classe en 1999. Les tendances suicidaires et violents, des pensées destructrices, sont quelques-uns des effets secondaires comportementaux admis de psychotropes médicaments d'ordonnance. Aucune arme à feu ne peut, à elle seule, tirer sur quiconque. Il doit être déclenché par une personne qui prend la décision de l'utiliser. Et tandis que des gens comme NY maire Bloomberg sont prévisible essayer d'exploiter la mort de ces enfants à appeler pour les pistolets à décaper de tous les citoyens respectueux de la loi qui ont rien fait de mal que ce soit, les appels personne pour les médicaments de contrôle. http://www.infowars.com/school-shooter-adam-lanza-likely-on-meds-labeled-as-having-personality-disorder meurtes, suides, violences induits par les antidépresseurs ou leurs sevrages exposé de plus de 3900 cas essentiellement criminel School Shooting Prozac sevrage 2008-02-15 Illinois ** 6 morts: 15 blessés: auteur a été en sevrage de Med & a Agirt de manière erratique School Shooting Antidepresseur Prozac 2005-03-24 Minnesota ** 10 morts: 7 blessés: Augmentation de la posologie d'une semaine avant Rampage School Shooting Paxil [deroxat] Antidepresseur 2001-03-10 Pennsylvanie ** 14 ans, fille, Shoots & Wounds Classmate à l'école catholique School Shooting Antidepresseur Zoloft 1995-10-12 Caroline du Sud ** 15 Year Old Lance Deux enseignants, faisant un mort: Alors assassin lui-même School Shooting Medicaments pour la Dépression 2 2009-03-13 Allemagne ** Y compris 16 morts Shooter: Antidepressant Utilisation: Shooter en traitement de la dépression School Shooting Plot Sevrage des médicaments pour la Dépression 2008-08-28 Texas ** 18 Year Old School Columbine Emplacements une attaque School Shooting Anafranil Antidepresseur 1988-05-20 Illinois ** 29 ans, femme tue un enfant: cinq plaies: Kills Self School Shooting Luvox/Zoloft Antidepressants Luvox / antidépresseurs Zoloft 1999-04-20 Colorado ** COLUMBINE: 15 morts: 24 blessés School Shooting sevrage antidépresseur Prozac 1998-05-21 Oregon ** Quatre mort: vingt blessés School Shooting Antidepresseur 2006-09-30 Colorado ** Man Agressions Girls: One & Self Kills École Machette Attack médicaments pour la dépression 2001-09-26 Pennsylvanie ** Les attaques Man 3 enfants et 11 enseignants à l'école primaire School Shooting Antidépresseurs 1992-09-20 Texas ** Man, Angry Plus Daughter's Report Card, Lance 14 tours dans l'école primaire School Shooting Threat Medicament pour la dépression * 2004-10-19 New Jersey ** Plus de Teen-médicamenteux apporte Loaded Armes à l'école School Shooting Antidepressant? 2007-04-18 Virginie ** Possible SSRI utilisation: 33 morts à Virginia Tech School Shooting Antidepressant? 2002-01-17 Virginie ** Sevrage possible SSRI Mania: 3 morts à l'École de droit School Shooting Antidepresseur Prozac 1992-01-30 Michigan ** School Teacher Shoots & Son assassin surintendant à l'école .... http://translate.googleusercontent.com/translate_c?hl=fr&u=http://www.ssristories.com/&rurl=translate.google.com&usg=ALkJrhhfvfp3qQtiQncMq1QQ8KmrKXbumg
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