Aller au contenu

Kub0

Membre
  • Compteur de contenus

    397
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Kub0

  1. Cherche petit scarabée et tu comprendras !
  2. Evidemment que si ,ils sont des représentants de Dieux,mais oui ce ne sont que des hommes avec leurs qualités et leurs défauts. Mais cela pour moi ,n'a pas d'importance, je crois en Dieu,car je l'ai bien souvent rencontré,perdu,retrouvé et maintenant j'essaye de ne plus le perdre de vu ! Mais je n'incite personne à croire !
  3. Je te retourne la question : qui es tu pour te prendre pour dieu et penser à sa place ? Bien des homosexuels sont croyants, crois tu que dieu ne les aime pas ? crois tu qu'ils les condamne ? as tu une vision si misérable de dieu ? Bel esprit... Ne détourne pas mes propos jeune homme ,Dieu ne reconnais pas l'homosexualité ! Evidemment qu'il les aiment! Mais le mariage et l'adoption , c'est pas lui qui le demande!
  4. Ma foi ,j'aurais eu le mérite d'essayer Et si dieu passait son temps à se faire pénétrer par Saint Pierre, est ce que l'homosexualité te paraitrait plus naturelle? Abruti,va ! Toute cette litanie est une compilation d'arguments auxquels j'ai déjà opposé les miens. C'est une vision partiale, faussement précautionneuse et totalement figée sur l'hétérosexualité. Et il y a mélange des notions de mariages religieux et mariage civil. Ils n'ont pas à être confondus. Justification sur une pratique habituelle, pas sur un fondement raisonné. Qu'on ait pratiqué le mariage hétérosexuel jusqu'alors ne fait pas office de preuve de vérité canonique et immuable sur le concept de mariage. On a bien élargi nos champs de conceptions sur tout un tas de sujets. (en fait, je réponds à Xavier Lacroix). Ce signifiant fera partie d'une conception élargie. Il ne disparaît pas et ne se dissout pas non plus : il est facile de voir la différence entre les couples homos et hétéros. Il ne s'agit même pas d'abolir un privilège mais un monopole excluant. Et oui, mais les enfants sont et étaient déjà impliqués de toute façon. Ils sont déjà inscrits dans la société hétérosexuelle. Dogme. Voeu pieux et précautionnisme de pacotille. Il n'y a pas de continuité quand on est adopté et le fait d'avoir un couple adoptant hétéro n'offre pas de garantie démontrable par rapport à un couple adoptant homo. On tombe dans la supputation. La généalogie d'un adoptée est d'emblée erratique. On ne s'arrange pas un arbre généalogique pour la coquetterie : on le subit. Et c'est encore une légitimation hétérocentriste : ça a toujours été comme ça donc ça doit être comme ça. Sa littérature surabondante est sa bibliographie ! :smile2: Tu sais qu'être parent, c'est expérimental pour tout le monde sauf que dans le cas d'un enfant biologique, personne n'a de compte à rendre et ça donne bien des drames. Les couples homosexuels adoptants seront sélectionnés, scrutés, la société telle qu'elle est sera sévère avec eux. Ça donne de bonne bases de départ. ============ Pour les propos de papy75, je me sens monter un dégoût même s'il ne se sodomise pas. D'ailleurs, tu n'es pas très au fait de la sexualité lesbienne. Il peut y avoir pénétration anale (langue, doigt, sextoys,...). Ce n'est pas ça qui permet de juger des droits d'un individu. Ce n'est pas juger des droits d'un individu,mais que tout simplement Dieu le condamne! Tu te substitues à Dieu ,c'est bien,mais qui es tu .... yop !
  5. Bon,ben voila croire en Dieu ,n'est pas obligatoirement accepter ses représentants,qui ne sont que des hommes !
  6. Moi je pense que sur beaucoups de sujets sexualité , science ,l'homme veut instituer une loi,sa loi ,pour tout un tas de raisons bonnes ou mauvaises,par sincérité , fraternité etc....Mais je pense que c'est une erreur ,de s'interposer à la loi Divine! Pourtant je suis loin d’être un fanatique religieux ,je crois en dieu et c'est tout !
  7. De quelles consignes tu parles ? Peut être chez certains,mais là n'est pas le débat ,en quoi ce que dit cet homme ,du fait qu'il suit la parole de Dieu pourrait te faire penser qu'il a du dégoût!
  8. Pas du tout orienté comme point de vue.:smile2: Chez Bayard, un éditeur catholique. En France les enfants dits "naturels" sont désormais protégés ; le concubinage est accepté et reconnu, les parents célibataires ne choquent personnes. La perpétuation de la société c'est l'enfant et il peut exister hors mariage. Combien de fois faudra-t-il le répéter ? C'est un point de vue, il en existe d'autres ; comme de considérer que le mariage est simplement un engagement spirituel, la formation d'un foyer (pas besoind 'enfants pour cela). Sinon, faire des enfants serait obligatoire après un mariage. Pas de lien, puisque qu'on peut adopter en étant célibataire et pas en étant en couple, qu'on peut bénéficier de PMA qu'en formant un couple homme/femme. Les repères masculin/féminin ne sont pas acquis que par les parents. les parents ne se baladent pas à poil, en général : ainsi, le premier zizi que verra une petite fille c'est généralement celui d'un petit cousin dans le bain ou d'un camarade de crèche. Puisqu'il y a trauma à l'adoption avec des hétérosexuels, il y a trauma de toute façon. Autant interdire l'adoption si on veut réellement protéger l'enfant. Avec le nombre de familles recomposées ou monoparentales qui existent aujourd'hui, la lignée n'est plus une évidence. Les enfants s'en sortent quand même. Et si, justement, un système de parenté ça peut se changer puisque la parenté ce n'est pas juste un mélange de cellules. Manifeste aussi est l'instrumentalisation de l'enfant pour justifier une interdiction qui repose essentiellement sur un dégoût. Evidemment que c'est l'avis d'un Croyant ,sacré Lili! Pourquoi un dégoût ? La non reconnaissance me parait mieux!
  9. Je crois en Dieu mais je ne suis pas pratiquant . Il a jugé ,il me semble
  10. Pour faire simple et ne pas intellectualiser le truc ! une question: Tu as deux boulangeries ,l'une a un pain dégueulasse,mais le vendeur est sympa ! l'autre a un pain merveilleux ,mais tires tout le temps la gueule! Chez qui va tu ?
  11. Ce n'etait pas ma question ! N’emploie pas des termes si excessif!
  12. Cette union que ne reconnait pas Dieu! Et bien qu'est-ce que ça peut te faire que les homosexuels se marient puisque tu estimes que le mariage civil n'a pas de valeur ? Au yeux de Dieu,pas trop ,il me semble! Es tu croyantes!
  13. Xavier Lacroix est philosophe, théologien, membre du Comité consultatif national d’éthique. Son dernier ouvrage, Le corps retrouvé (Bayard) est une réflexion sur le corps et sa place dans notre société, ainsi que sur la famille et le mariage. « Si l’on veut achever d’affaiblir le sens du mariage, il n’y a qu’à l’ouvrir aux couples homosexuels ». Cette parole d’un grand juriste, Philippe Malaurie, servira de fil conducteur à notre réflexion. Contrairement à une idée à la mode, le mariage n’est pas seulement une « célébration sociale de l’amour », pour reprendre les termes d’un certain Noël Mamère. Anthropologiquement et universellement il est la fête organisée autour de l’union d’un homme et d’une femme qui ensemble s’engagent à fonder une famille. Supprimez les notions d’ « homme » et de « femme », supprimez la fondation d’une nouvelle famille et il vous reste plus que le fameux couteau sans lame dont on a perdu le manche. Il y aurait deux inconvénients majeurs à instituer le « mariage homosexuel ». 1. La disparition d’un signifiant : si l’union entre deux hommes ou entre deux femmes était publiquement instituée et reconnue, sous le nom de « mariage », nous n’aurions plus de terme pour désigner spécifiquement l’union d’un homme et d’une femme. Lorsque nous nous rendons à une « noce », nous fêtons non seulement l’union de deux individus (que nous connaissons parfois à peine) mais celle d’un homme et d’une femme, grâces auxquels le groupe social pourra continuer. Dès lors, ce signifiant se perdrait. Le corps social renoncerait à dire la valeur qu’il accorde à une telle union. Tel est bien le problème central : oui ou non la société va-t-elle continuer à affirmer une préférence, une valeur en ce domaine ? Il le fait bien en d’autres domaines... Pourquoi pas en celui-ci ? 2. D’autant plus que, dans cette affaire, des tiers sont impliqués : les enfants. Qu’on le veuille ou non, le mariage ouvrira tôt ou tard sur la filiation. Et cela pour deux raisons : d’une part, au nom de l’argument de la « discrimination », les couples en question ne manqueraient pas de revendiquer une égalité de droits avec les autres couples mariés. C’est ce qui s’est passé en Belgique où l’adoption a suivi d’un an l’institution du mariage « gay ». D’autre part, le mariage est intrinsèquement cela, et il le reste, dans le droit et dans l’inconscient : il est la fondation d’une famille, il ouvre sur la « présomption de paternité », il prépare une place pour les enfants. L’adoption et l’accès aux « procréations médicalement assistées » sont donc d’avance inscrits dans le mariage dit « homosexuel ». C’est ici que deux principes de méthode doivent être rappelés : - d’une part aborder ces questions du point de vue de l’enfant, et non seulement du point de vue des adultes, de leur sacro-saint « désir » et des scénarios compliqués qu’ils imposeraient aux enfants (on a pu voir définis jusqu’à six « parents » pour un enfant). - d’autre part distinguer entre instituer et accompagner. Il est évident qu’au nom d’une éthique humaniste et a fortiori chrétienne, toutes les situations sont à accompagner. A cet égard, la panoplie offerte par le droit français est loin d’être négligeable. Il va jusqu’à reconnaître une possible « délégation d’autorité parentale » compagnon ou à la compagne (1). Instituer, c’est autre chose : c’est apporter l’appui du corps social, c’est légitimer, reconnaître comme norme. Si était instituée la parenté homosexuelle, c’est une discrimination qui serait instituée : non celle qui est prétendue entre les adultes (qui ne sont pas dans la même situation vis-à-vis de la procréation) mais entre les enfants. Il s’agirait en effet d’ériger en norme, par la loi, que des dizaines de milliers d’enfants puissent a priori être privés des trois biens élémentaires suivants : 1. De la différence entre deux repères identificatoires, masculin et féminin, dans l’univers de leur croissance intime. Ni le masculin ni le féminin – faut-il le rappeler - ne récapitulent tout l’humain. Qu’il soit garçon ou fille, l’enfant a donc besoin, pour la découverte de son identité, d’un jeu subtil d’identifications et différenciations avec ses deux instances paternelle et maternelle. Cela a été étudié avec minutie par une littérature scientifique surabondante. Mais, par un étrange phénomène d’amnésie collective, le discours montant fait froidement table rase de tout cet acquis. 2. De la continuité, lorsque cela est possible, entre le couple procréateur et le couple éducateur. La quête douloureuse de leur origine par les enfants nés « sous x », les difficultés propres à l’adoption indiquent bien que les ruptures dans l’histoire, les dissociations entre les différentes composantes de la parenté sont autant de complications dans la vie de l’enfant. Dès lors, il est souhaitable qu’à la discontinuité liée à l’adoption ne vienne pas s’ajouter une seconde discontinuité, à savoir la perte de l’analogie entre le couple d’origine et le couple éducateur. 3. Le troisième bien élémentaire pour l’enfant sera une généalogie claire et cohérente, lisible. Nous sommes dans un système généalogique cognatique, c’est-à-dire à double lignée. Or, on ne change pas un système de parenté millénaire par petites touches. Il forme un tout cohérent. Manifeste est l’instrumentalisation de l’enfant induite dans la plupart des arguments, y compris lorsque l’on se réfère à de lointaines enquêtes américaines, non lues et non vérifiées, plutôt qu’à ce qu’enseigne avec clarté tant l’expérience qu’une littérature scientifique surabondante. Dans plusieurs publications j’ai montré l’absence totale de crédibilité scientifique des prétendues enquêtes (2). Instrumentalisation de l’enfant aussi lorsque l’on affirme avec Françoise Héritier que « tout ce qui est pensé est pensable, et donc possible (3) ». L’expérimentation de nouveaux modèles, conforme à la méthode expérimentale mise en œuvre dans les sciences, dans la technique ou dans l’industrie ferait fi du fait que l’enfant, personne humaine, ne doit pas être objet d’expérimentation. Voilà donc un ensemble d’arguments pour être plus que réticent face à l’institution du « mariage homosexuel » (expression curieuse si l’on y réfléchit). Du côté « reconnaissance », le corps social fait déjà beaucoup avec l’instauration du « pacs ». Garder leur sens aux noms me semble être une tâche élémentaire de l’éthique et de la société. Intéressant!
  14. Cette union que ne reconnait pas Dieu!
  15. Croire ou ne pas croire,chacun doit trouver son chemin! J'ai toutes les raisons de croire et toutes de ne pas croire!
  16. On vous ment !!!! Je savais que le site d'Aulnay devrait fermé depuis 7 ans !! les syndicats aussi ! et-oui!
  17. Tu te trompes ,je ne suis pas contre l'homosexualité , je l'accepte voir même dire,je l'accepte est un manque d'humilité de ma part! Je peux être d'accord avec toi sur le fait que " L'homosexualité a été créée par Dieu, puisqu'elle existe. C'est une manière de tester la sagesse et l'esprit de tolérance humain. Il veut nous forcer à nous élever au-dessus de la condition de bête pour le rejoindre, et nous pousse à analyser nos comportements. C'est une épreuve que d'accepter l'homosexualité quand on éprouve un dégoût viscéral envers elle. Il faut outrepasser ce sentiment et aller vers ce qui nous réunit, aller vers nos prochains. Et aller vers Dieu. " Mais dieu ne parle pas de leur mariage,ce sont las hommes qui le demande,pareil pour l'adoption qui pour moi en découlera!
  18. Tu es sûr que Le pen est là pour diviser les français ? je ne crois pas moi . Actuellemeent la France est divisée est le FN n'y est pour rien puisqu'il n'a jamais gouverné. Si le racisme et la haine grimpent je pense qu'il faut trouver les vrais coupables ailleurs ! Oui,pour leur eviter de se rassembler ,tout comme Melenchon!
  19. Qui te parle de revenir dans l'heterosexualité ?
×