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Fabcan

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Messages posté(e)s par Fabcan

  1.   Je pense que vous connaissez mal le rationalisme cartésien ou que vous le confondez avec le positivisme d’Auguste Compte qui exclu la métaphysique et se veut avoir une confiance aveugle en l’expérimentation pure et les données appelées scientifiques pour le coup (là est le dogme car il y a imposition de la méthode), que seules la raison peut établir avec véracité. Or chez Descartes la métaphysique est la prémices racinaire (l’arbre*) par laquelle va se construire le savoir, il n’est en rien question d’une raison transcendante à l’image de Dieu comme vous le dites et à tort, car la raison chez Descartes est un outil d’analyse corruptible au demeurant, elle à pour fonction de trancher entre le vrai & le faux. Cette opération ne peut se faire qu’après avoir « vérifier » la pertinence de ce qui fonde la raison, de ce qui la constitue, c'est-à-dire les connaissances préalablement acquises et l’influence émotionnelle, le conditionnement en somme, avec lequel on a grandi qui agit sur la raison comme un catalyseur, un filtre.

    Cette pensée a été véritablement révolutionnaire (rappelez vous du contexte de l’époque, la science et la philosophie dépendent de la scolastique et d’Aristote) puisqu’elle a permis de marquer, dans un premier temps, une scission d’avec la philosophie spéculative d’Aristote, et d’introduire les concepts de la mécanique dans la philosophie tout en posant des règles à l’élaboration de la science ; c’est lé début de la philosophie moderne ! Donc c’est très très réducteur ! que de dire « Descartes nous lègue un dualisme »…. qui n’était pas très nouveau… Par contre sa méthodologie, qu’il n’impose pas ** comme un dogme, mais dont le modèle, du fait de son succès a été « institutionnalisé » à postériori, peu donner l’impression d’un cadre figé dans le domaine de la recherche de la vérité. De fait, Descartes a écrit plus sous genre autobiographique, en exposant sa pensée et son cheminement qu’en édictant des lois de philosophie à suivre comme la vérité ; car il le dit, il peut se tromper. Descartes laisse ainsi la porte ouverte à l’innovation dans son domaine ; ses principes sont peu nombreux.

    Si vous donnez l’hypothèse de la non existence de Dieu, il faudra non pas spéculer mais le démontrer. Or Descartes a bien démontré cette notion au travers des idées innées. De fait, il pose que chaque chose nous environnant, imprègne en nous leurs idées. Or comment le parfait peut il exister en nous ? c’était la question du philosophe. Puisque rien de parfait existe dans un monde fini, comment se peut il faire que cette idée me vienne ; et de fait on remarque que chaque chose qui existe en notre esprit prend sa source dans l’existence, sans que nous inventons un élément qui n’aurait jamais existé. Donc, selon les principes de logique, un cercle s’établit :

    L’existence marque des idées en moi, indépendamment de moi alors que je n’ai pas la capacité de créer une conception nouvelle et inconnue sans me baser sur une substance idéelle existante, au préalable (comme un animal fantastique par exemple qui se compose bien d’éléments existants). Cela dit, le parfait est une idée en moi, mais pas existant dans ce que je vois (tout est fini) et le fait que l’idée ne peut émerger en moi que par sa préexistence, implique alors nécessairement que le parfait existe, or la seule idée de parfait… vient de la nature de Dieu. Cela a permis de mettre en exergue ce qui deviendra un étalon de recherche de vérité : le fameux je pense donc je suis.

    Contrairement à ce que vous pensez sur la subjectivité qui nous conditionne, tout en ayant véritablement raison, vous omettez une caractéristique principale de l’esprit, c’est la possibilité de se penser et de constater son état, ce qui donne le moyen de se libérer de ses conditionnements. Donc vous n’êtes pas condamné à la soumission perpétuelle de votre propre subjectivité, vous pouvez vous en défaire à tout moment comme Descartes l’a fait. Le fameux Connais toi, toi-même. C’est par contre un exercice difficile que de renoncer à ses habitudes… mais c’est le but de la philosophie. (Apprendre à mourir pour renaitre). La maïeutique de Socrate..bref.

      

    *Toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches sont toutes les autres sciences, qui se réduisent à trois principales que sont la médecine, la mécanique et la morale.

    **Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde : et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées.

      

      Il ma paru que l’atome pouvait se disséquer en quark mais je ne suis pas sûre. Ce qui montre que c’est pourtant bien divisible… et toute matière n'est elle pas aggloméra de particules atomiques… de là on peut dissocier à l’infinie jusqu’à atteindre le premier élément ? à demander à Monsieur le physicien Déjà utilisé… La finitude s’inscrit bien dans la limite de la durée. Nous sommes tous (tout élément confondu) confronté à « la mort » ce qui nous donne le moyen de dire que la norme d’aujourd’hui périra demain, pour qu’émerge une autre norme, dans ce domaine l’histoire le montre clairement. Donc le fait de transposer la finitude à la norme ne permet pas de dire que cela est une " vérité" pour autant puisque celle-ci dépend de la subjectivité d’un groupe d’individu qui la instituée, et rien ne dit qu’ils aient été dans ce « vrai ».

    Je reprends en conséquence votre exemple sur le massacre des juifs. Les nazis ont considéré d’un point de vue purement subjectif que les juifs étaient un « fléau » (considérez que je me place dans leur vision), ainsi il a fallu psychologiquement, pour justifier l’acte infâme de tuer, qui en notre nature, nous répugne (JJR sur la corruption des mœurs, notre nature est bonne) ; donner une raison rationnel à l'agir. Mais souvenez vous que nous sommes d'avis que le subjectif conditionne la raison. Ici il n’est donc pas rationnel de tuer, mais bien émotionnel en ce que le filtre (catalyseur) de ce qui forme la norme ou l’idéologie va tenter de trouver des justifications raisonnables selon cette optique désorientée par la subjectivité qui domine l'esprit et l'empêche de s'en départir, la raison va donc produire du vrai.

    En d’autre terme il faut dire que le subjectif est certes nécessaire à notre constitution pour donner à notre raison moins de froideur mais la raison doit avoir la prééminence sur l’émotion pour garder un contrôle sur soi. C’est bien cela qui nous différencie d’avec les animaux.

    On pourra ne pas être d’accord, soit mais on pourra échanger toujours

    PS: je m'excuse des fautes de frappe; je ne vois pas très bien dans l'obscurité de ma pièce et ce petit encadré blanc me gêne... désolé si vous voyez des fautes d'écritures.

    :)

    Si la métaphysique est le substrat de la méthode cartésienne, alors elle est evidemment spéculative. C'est ce que l'on appelle les axiomes, les atomes de base, ce que vous voulez comme mot. Et admettre cette métaphysique releve de la croyance, et en changeant de métaphysique, on changerait les résultats. En clair, la raison a pour racine la croyance et la spéculation, et j'ai bien du mal a voir ou pourrait emerger une vérité unique, une morale incoercible ou que sais-je. Quant a l'existence de Dieu, la preuve est grossiere et sophistique ne valant meme pas d'etre lu. Ce qu'il dit est cohérent mais dépendant de ses définitions, ses axiomes et de ses croyances. Je pourrais tout aussi bien dire "l'etre humain est un logicien parfait s'il ne se laisse abuser par des illusions, or il est impensable que l'etre humain puisse penser l'infini car radicalement different de lui, donc l'etre humain s'est trompé donc Dieu n'existe pas". Cette preuve est grossiere. Dieu existe, ou Dieu n'existe pas. Ce sont deux possibilités. Il y en a une multitude d'autres a étudier qui sont toutes aussi interessantes. Mais aucune n'est foncierement plus vrai que l'autre car ne releve que de croyances. Le probleme de ceux qui parlent comme vous, c'est qu'ils prennent trop au sérieux ce qu'ils disent, comme si vos propos pouvaient reveler une part essentielle d'une vérité mystique. Or tout les propos sont du memes accabit, ils se valent tous. Et vu qu'on en est dans les citations, malgrès que je sois un ignard de premiere, un sot et un benet, et que je ne sois pas un magnifique intellectuel comme vous autres, je vais me permettre de paraphraser Sartre "Une pensée, faite de toutes les pensées et qui les vaut toutes, et que vaut n'importe laquelle". Et pour finir, une autre de Kierkegaard  "Je suis un ami de la liberté de penser et aucune pensée n'est assez absurde pour que je n'aie pas le courage de la retenir." 

    Par la suite, il m'a semblé voir du Rousseau et ses propos selon lesquels l'homme serait bon par nature. Et bien moi, j'aimerais bien savoir ce que veut dire etre bon par nature. On en revient toujours a la morale unique et supreme, a la vérité vrai, a l'objectivité et a tout ce raffiot de sottises. Comme si l'etre humain était quelque chose par nature. L'etre humain se définit par ses actes et ses pensées, et n'est absolument rien par nature. Car rien n'a de sens, personne n'est supreme. Entre nous, il y a, je crois une difference fondamentale, c'est que vous, vous pensez votre vie au lieu de la vivre. En ce qui me concerne, je l'ai assez pensé et j'essaye enfin de la vivre.

  2. Bonsoir Fabcan, ravie de vous lire.

    je vous dirai avec emphase: Descartes est votre ami (non que je fais sa promotion mais vos questions relèvent de sa philosophie; en bonne cartésienne je me dois de vous le dire)... En effet que vous en ayez marre je peux le comprendre mais que cela n'influence pas votre objectivité. Par ailleurs il n'y a rien de mystique dans la métaphysique !? il ne s'agit pas de croyance mais d'admettre l'existence de ce qui n'est pas perceptible (Einstein : Il est absolument possible qu'au delà de ce que perçoivent nos sens, se cachent des mondes insoupçonnés") De manière naturelle je me dois de vous dire si je pense et que je peux me remettre en doute quand bien même tout serait illusion, je dois admettre mon existence et de fait je conçois mon existence différente des "corps" en ce que je ne suis pas divisible. Donc je ne subis pas les même lois, et il est admissible de dire que je suis éternelle.

    Ce que je ne peux pas me représenter n'implique pas l'inexistence de la chose en question car il est en notre nature d'être ignorant de fait, cette carence en savoir qui est elle incommensurable ne nous donne l'argument de nier ce qui ne tombe pas dans notre représentation. Et de fait je pense que si vous admettiez d'essayer de dégager la nature de l'apparence vous trouverez beaucoup de réponses aux questions que vous posez. Notamment dans notre sujet de la normalité ou du beau.

    Pour ma part je pense que la normalité est une norme qui ne vit qu'un temps, le temps présent accompagnant l'habitude des hommes et je dirai même que c'est l'habitude institutionnalisée.

    Au plaisir

    Bonjour,

    Encore une fois, me citer le pere du rationnalisme qui a quoi, 400 ans d'age, ce n'est pas argumenter. Descartes n'a rien résolu avec son rationnalisme doctrinal qui devait soit disant faire de nous les maitres les plus puissants de l'univers. 400 ans, c'est dire l'anachronisme qui convient pour décrire ce qu'est Descartes. D'ailleurs, n'est-ce pas le fameux Descartes qui avait trouvé une preuve ontologique de l'existence de Dieu. Drole de preuve pour un cartésien. Il me semble qu'hériger la raison en Dieu tout puissant a aboutit a une impasse, cette derniere se matérialisant par l'execution rationnel de juif (oui oui, c'est rationnel de vouloir bien griller un juif au four). En outre, Descartes n'a jamais rien résolu et la seule chose qu'il nous ait légué est le dualisme corps/ame, ce qui mene a une voix de garage sans possibilité de se garer avant le mur. J'espere que vos air-bags fonctionnent bien. Le probleme de la raison est qu'elle est spéculative, comme vous le soulignez. Il pourrait y avoir divers mondes au dela de notre perception des sens. Oui sauf que ces divers mondes sont hypothétiques donc spéculatifs. Admettre leur existence revient a spéculer, et si je vous affirmais que ces mondes n'existent pas, vous seriez bien forcé d'admettre que j'ai peut etre raison. On n'en revient a croire. Donc la raison doit rester cloisonner a ce qu'elle sert faire, c'est-a dire etre un jeu de l'esprit ne pouvant refleter la vérité vrai (sic), mais pouvant appréhender des abstractions, généraliser et catégoriser nos perceptions sensibles. Car si, comme vous l'affirmez de but en blanc depuis des heures, votre cheval de bataille est de combattre de maniere rugueuse l'illusion, alors il serait temps d'attaquer la premiere qui corrompt la puissance de vos raisonnements : l'existence de la vérité unique pouvant etre atteinte par l'appareil rationnel. D'ailleurs quelle drole d'illusion que de me dire de rester objectif, comme si nous pouvions echapper a notre enveloppe corporelle le temps d'une micro-parole. Nos pensées sont conditionnées par l'individualisme de notre corps, et nos propos sont donc soumis a notre subjectivisme. Et je ne vois pas par quelle transcendance divine il se pourrait que des propos subjectifs deviennent objectifs.

    Quant a la division des corps, je trouve votre concept douteux. Aucun corps n'est divisible une infinité de fois. Il peut se réduire de maniere pratique a ses "atomes", un peu comme votre esprit/ame. Et dans ce cas, je ne vois pas en quoi la matiere, et le caractere de ce qui est fini, ne pourraient etre vrai et existant. J'en reste a ma position sur la norme qui reste vrai, meme si elle est fini et temporelle. Elle est la résultante produite par notre conscience collective, c'est-a dire la société. Et que l'on ne me dise pas que la société n'est pas un etre vivant unique, et qu'elle est réduisible a la somme de ses individus. En clair, nous ne serons probablement d'accord sur rien.

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  3. Bonjour Fabcan.

    Par état, je signifie le moment d'un élément, tel qu'il est et peut être représenté et interprété (c'est le moment présent de ce que dégage l'objet). Cela n'implique donc pas l'existence; car l'apparence est dénuée de substance. Le même objet il y a 10 ans n'aura pas le même état dans 10 ans dans la conscience des gens (le fameux kitch), ce qui montre une variable dans l'évolution non pas de l'objet en lui même, qui existe du fait de sa substance propre, mais de sa représentation dont ici je fais mention par état. Ce qui le rend indépendant vis à vis de la "vérité" au sens de la notion d'essence qui elle, est immuable.

    Ce qui me permet alors d'introduire l'idée du subjectif et de la non existence de la norme.

    En preuve les textes de lois que le temps rend caduc. Au moment de leur promulgation elles "existent" que par la représentativité du pouvoir qu'elles véhiculent, mais le pouvoir changeant, ne permet plus à ces lois une quelconque validité et donc l'existence. Par contre la justice, elle est immuable et se répète dans toute constitution de société.

    Est ce que vous voyez la nuance ou je m'exprime mal ?

    Je n'ai pas la prétention de comprendre ce que vous dites, en tant que pauvre petit sujet subjectif. Vos propos sont ainsi sous la guillotine d'une double interpretation : la votre dans votre facon de les formuler et la mienne dans la facon de les interpreter. La vérité vrai, eternelle, incoercible et immuable, et tout ca et tout ca... En fait j'en ai marre. Elle vient d'ou cette vérité mystique? Existe-t-elle? Ou bien n'est-elle qu'une assertion équivalente a l'existence divine? Je répondrais bien oui a cette derniere question. Car si n'existe et n'est vrai que ce qui est immuable, alors il devient réellement véridique que vous n'existez pas car votre seul petit etre est subjectif et objectité dans votre petite conscience.Or quel etre humain vivant serait assez fou pour dire qu'il n'existe pas? La seule possibilité est de faire emerger encore une sorte d'ame ou que sais-je; en clair, de la métaphysique douteuse. Les choses n'existent et ne sont vrais qu'a condition que nous puissions nous en forger une representation. En ce qui me concerne, l'apparance et l'ephemere sont tout aussi réels et véridiques que de pretendus vérités vrais (d'ailleurs, j'aimerais bien voir l'existence d'une vérité, ca ne vous dérange pas de m'en montrer une). 

  4. Donc je peux essayer de dire que la norme est un état, d'un moment donné, caractérisant un phénomène communément partagé, indépendamment de la notion de vérité (purement subjective et accidentelle); est ce que vous partagez cela ?

    J'ai du mal a comprendre. Vous dites que la norme est un état donc il est evident que cela sous-entend qu'elle est et a une existence. Et vous concluez par le fait qu'elle est independante de la vérité. Donc la vérité est independante de l'existence et de ce qui est??

    La norme, c'est le nom vulgaire et banal pour désigner l'etre vivant qu'est la société.

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  5. Personne n'a dit qu'une femme pouvait féconder un homme que je sache.

    Fabcan, tu savais qu'il y a une différence entre  la procréation et la sexualité pour le plaisir des sens.

    Tu crois que deux hommes qui copulent ensemble, le font pour procréer ?? ou parcequ' ils ont du plaisir à faire l'amour ensemble ??

    A moins que là encore j'interprète mal ta phrase.

    Je laisse tomber. Bonne soirée.

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  6. @ Valefor

    Je ne me reconnais pas du tout dans le féminisme radical que vous venez de citer, je ne suis pas dans une guerre des sexes, une femme qui aime la compétition, est une hommasse pour vous, grand bien vous fasse, une femme entreprenante est  bien souvent une femme trop agressive comme vous l'avez dit sur un autre sujet, c'est votre ressenti.

    Sur un grand nombre de sujets, j'ai pris aussi la défense des hommes, seulement vous  voulez imaginer les femmes ou les hommes que dans la case qui vous plait ou rassure, toutes celles, ceux  qui ne rentrent pas dans cette case préfabriquée par vos idéaux, votre culture, politique n'est pas une vraie femme, ou un  vrai homme, personnellement j'appelle cela du Diktat, pour rester polie.

    Il y a des femmes entrepreneuses, avec des métiers dits "virils", et  des hommes avec des métiers dits "féminins", qui plaisent à certains hommes ou femmes, ne vous en déplaise, que cela ne soit pas le cas de la majorité, ou que cela ne soit pas à votre goût, je m'en fous aussi, et les mentalités peuvent évoluer aussi, certes pas avec des personnes de votre acabit, sectaires et conservateurs.

    Oui et il y a aussi des femmes qui fécondent les hommes avec du sperme et les hommes qui portent les enfants.

  7. Violette Morris avait participé à des épreuves mixtes, car elle ne trouvait plus d'athlète féminine à laquelle se mesurer,vu qu'elle gagnait toutes les compétitions,  et parfois elle a emporté la victoire face à un homme,  que cela te déplaise, c'est ton problème, pas le mien...

    Après elle s'est fait exclure de la compétition, car elle s'était fait retirer sa lourde poitrine. Et cela lui avait été reproché . Elle a fait un procès, car elle trouvait cette exclusion injuste mais à l'époque, elle  a perdu cette bataille juridique, et comble de tout, à cause de féministes hostiles à son comportement hors norme. shrunkface.gif

    http://www.liberatio...la-loi-du-genre

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  8. Le type que j'ai posté n'a pas tellement de muscles. Par contre, je pense qu'il vaut mieux pour une femme d'éviter de se retrouver charger par un tel homme. Que tu le veuilles ou non, les hommes auront toujours des capacités athlétiques supérieures aux femmes.

    Quant a mon rugbyman, il restera pour etre l'un des meilleurs de toute l'histoire. Et ses capacités athlétiques ne se résument pas a des records, vu qu'il participe a un sport collectif. Par contre en tant qu'athlete exceptionnel, il aurait battu facilement les records de ta douce. Il va falloir admettre qu'une femme ne rivalisera jamais avec un homme sur cette dimension la.

  9. Un exemple Violette Morris personne de sexe féminin, qui en avait  rien à branler de la protection masculine, vu qu'elle avait tout ce qu'il fallait  pour se protéger elle même, forte personnalité et force physique.

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    Bon et bien vu que tu passes ton temps exclusivement a citer des articles ou la vie de j'sais pas trop qui pour justifier ce que tu dis, alors tu penses que ta petite gonzesse lanceuse de poid, elle aurait rivalisée physiquement avec un mec comme ca : 

    Bakkies+Botha+Tri+Nations+South+Africa+v+Australia+oDxc8FFwe4ox.jpg

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  10. Ca me rappelle un jour où j'étais à la plage. Il y avait un homme pas trop mal assis sur un rocher, il était seul et semblait assez réservé.

    Tout à coup une  femme se dirige vers sa serviette .......qui était juste à côté de lui.

    Purée un thon ... une horreur mais bon je ne suis pas un homme donc.... Voilà qu'elle le remarque  et commence à lui faire la danse du "rentrededanspaspossible"    ... A moment donné elle a  même ôté le haut du maillot pour lui montrer ses seins ...LOL Je regardais époustouflée tout-de-même  ... eh bien au bout d'un moment elle l'a embarqué :D

    Messieurs soyez un peu difficile quand même :sleep:

    Et bien ce Monsieur a été difficile. Il a opté pour une femme, certe peut etre moche, mais qui a eu les ovaires d'aller l'aborder. Et oui, etre difficile, ne veut pas dire d'aller se casser les dents sur la gonzesse canon qui se prend pour une princesse, alors qu'elle vient du trou du cul du monde.

  11. Ce qui est triste, ce sont les personnes qui soutiennent mordicus l'utilité de leurs paroles et de leurs actes. En quoi est-ce utile au regard de l'existence ?

    Le psychanalyste Jacques Lacan a dit :

    La religion, la médecine, la science, la folie, ... l'Humanité quoi !... rien ne pourra te sauver de ta mortalité.

    Ce qui est triste, c'est de penser la vie comme on se pense soi : une perpétuité.

    Je veux bien que les mots et les actes n'aient, ni utilité, ni sens. Mais dans ce cas la, j'ai du mal a voir comment nous pouvons réussir a sauver l'existence du marasme decoulant de ces axiomes; car si je te demande de m'expliquer l'essentialité de l'existence, tu le feras avec des mots, si je te demande de me le montrer, tu le feras par des actes... Et comme les mots sont vains, et comme les actes sont aliénés a la strict causalité physique, et bien nous sommes foutu et je ne vois pas bien en quoi l'existence aurait un sens dogmatique et qualitatif supérieur a l'autre idiot d'omnipotent et d'omniscient par exemple. Le nihilisme et les renversements dialectiques constants ne parviennent pas a sauver qu'au bout du non sens, il y reste quand meme un sens : le sens du non sens. 'Fin bref, j'me languis de voir Jedinosaure venir disserter sur le sujet!

    Ha oui, pour répondre au sujet! Une femme entreprenante, c'est cool Raoul et en avant les histoires. Enfin tout depend de la femme et de l'homme concerné. Bien qu'ils pourraient y en avoir plusieurs, transformant ainsi l'entreprise en orgie. Mais jusqu'a preuve du contraire, une femme et un homme, ca forme une relation, et si il y a une personne qui prends des initiatives en majorité au début, la relation permettra de tendre vers l'uniformisation des prises d'initiatives aux deux personnes, ou a la rupture. Car les choses qui ne vont que dans un sens ne marchent que rarement.

  12. 100 au francais. Mais cela dit, les questions sont trop restrictives et decoulent de nos conceptions de mots telles que le destin, ami, bien, etc... Genre la question : Avez-vous du choix pour vos amis? Le mec qui pourrait avoir plein d'amis mais qui ne croit pas fondamentalement au concept de l'amitié en aura rien a faire, il répondra soit 1 soit 6. Le mec qui arrive devant la question "Quand vous devez faire un choix", si il est pense que le choix n'existe pas, la question n'a aucun sens pour lui... "le temps fini par regler tout les problemes", il faut etre con pour pas pencher pour le milieu, c'est a dire 3 ou 4. Il y a certains problemes résolubles par le temps et d'autres non, le tout étant de savoir quand laisser agir le temps ou quand il faut se bouger le cul. Enfin bref, on pourrait ergoter des heures, je trouve que ces tests n'ont aucun interet.

  13. VOUS préférez les minces.... Ne faites pas de votre cas une généralité... Beaucoup d'hommes n'aiment pas les femmes minces vous savez...

    Oui, il est bien connu que les hommes preferent les grosses vaches, surtout les racées Salers et Limousines. Et que souvent, il a des tendances zoophiles avec les baleines et les hippopotames, sans compter leur amour que represente la belle masse d'un elephant. Et il est aussi courrament connu que les femmes preferent les hommes ayant la bedaine du steack-frite sauce mayo alimenté par quelques hectolitres de bieres. Je ne connais pas votre physique, mais vous feriez mieux de revoir les nuances entre généralisation et absolutisme. Sans compter votre notion d'esthétique désuette et primaire, se résumant et se réduisant au subjectivisme de chaque etre humain; ce qui est somme toute le cas pour toutes les choses que nous prononcons et pensons.

  14. tu comprend pas la science n'est pas une idole  comme dieu.

    la science est incompatible  avec la Métaphysique!

    comme l'eau et incompatible avec l'huile car on arrive pas a les mélangés.

    Aucune incomptabilité. Pas de physique sans métaphysique, sinon rien n'aurait de sens. On ne situe peut etre pas le niveau de reflexion au meme niveau, mais au niveau de l'architecture, il n'en reste pas moins beaucoup de similarité entre science et religion. Et j'ai beau rien comprendre aux sciences et aux mathématiques, ca me fera toujours mal au cul d'admettre le lemme de Zorn comme s'il était Dieu, quand il s'agit de démontrer le théoreme de Tychonov, l'existence d'un idéal maximal, ou encore le théoreme d'Hahn-Banach analytique.

  15. Religion et science, c'est la meme chose. On prend des axiomes et on déduit. Il y a juste un rapport au réel qu'il y a dans la science qu'il n'y a pas dans la religion (et encore ca dépend des sciences). La logique peut mener a la folie, il n'y a qu'a voir Gödel qui était probablement trés logique, mais trés logiquement fou. Donc la logique peut mener dans des impasses, et la lucidité a l'hérisie. Les intellectuels sont des personnes adulées. Qui ne reve pas de Kant, Gauss, Euler, Poincaré, Darwin, Turing, Gödel? Ces personnes la sont adulés, il faut arreter de se leurer. Et il faut aussi arreter d'idolatrer la science.

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