Mais, Ved, la ou je rejoins Guillaume, c'est que ce qui fait mon identité, c'est mes émotions, mes pensées, mes souvenirs, mon expérience, et pas seulement un hypothétique "principe vital".
Après ma mort, ma matière se retrouvera dans d'autres plantes et animaux, en aucun cas il ne me viendrait à l'idée de dire "je serai un pissenlit", parce que non, ce ne sera pas moi.