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nonobonobo

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Tout ce qui a été posté par nonobonobo

  1. Toi t'arrêtes de suite d'écrire des mots compliqués qui font mal à la tête, pris un à un, alors mis bout à bout..... T'es pas très très gentille Madame :)
  2. Et quels sont ils? Sont ils en opposition totale avec l'information sur la fessée? Notre gouvernement ne peut il pas traiter 2 ou 3 sujets en même temps? Pourquoi avons nous donc 16 ministres alors, si nous devons prioriser chaque question, une à une????
  3. du courage?

    non juste une destinée, celle d'emmerder le monde au maximum !!!!!

    gnark, gnark, ganrk :D

  4. Saucisse, j'ai explosé de rire en lisant ton smiley sur le topic de nouvel an !!!!!!!! :D

    Des bisous par là ;)

  5. Déjà? :D Pardon, promis je ne le ferais plus. :blush:
  6. Bonjour, moi aussi j'ai pris des fessées, des coups de pied au cul, une gifle, une fois, par ma mère (envers qui j'avais été pire qu'insolente). Mais je pense qu'une autre forme de sanction est possible. :) Rappeler qu'il y a plus grave n'empêche en rien une réflexion sur la fessée. "Je ne trouve pas ça inutile de rappeler que y a beaucoup plus grave, car pour faire une loi sur ce sujet, faudrait déjà que d'autres types de violences exercées sur les enfants et bien plus traumatisantes soient éradiquées. Si c'est pour prendre des mesures contre quelque chose comme la malnutrition, il faut déjà réunir les conditions favorables pour une telle mesure, en interdisant le nutella, et les Mc Do. " Tu relis le truc là? :D Si c'est chacun son éducation et chacun ses choix, alors autorisons à chaque parent de tuer son enfant. Justement, la fessée n'est que le reflet des émotions du parent, pas de l'enfant. Mais c'est l'enfant qui la subit. Paradoxal. Bien souvent la fessée n'est pas expliquée, et même si elle l'est, alors elle démontre son caractère inutile. (Imaginons un type qui me fait une queue de poisson, je suis en colère, vexée, j'ai eu peur, il m'a mise en danger, etc.... Vais je pour autant le frapper? Non. C'est pareil avec mes gosses, toute bêtise induit un sentiment chez le parent, la fessée ne sert à rien). Je ne raille ni ne critique personne, j'explique juste qu'une autre éducation est possible. Il faut relire mes premiers posts sur ce sujet en 2010, j'étais du même avis que vous, mais j'ai essayé, et je suis aujourd'hui convaincue.
  7. Si, j'avais le choix, et ces métiers, exercés un peu en parallèle, en horaires décalés, me satisfaisaient. Ensuite, je ne les trouve pas "petits". Sans femme de chambre, aucun entretien dans les hôtels. Et ceux qui exercent des "grands" métiers, aiment le propre, l'ordre, donc ils ont besoin des "petits" métiers. Sans l'un il n'y a pas l'autre. :)
  8. Bonjour, J'aurais bien une réponse, elle tient en 3 lettres. :D Sinon, il n'est pas indigne d'être femme de ménage, femme de chambre, ou plongeur. :) J'ai exercé les 3, je me suis enrichie d'un point de vue humain (financier, ça dépendait vraiment de mon job, des clients, et de leur capacité à lâcher un pourliche). Il n'y a pas de sot métier, car chacun a son utilité dans la société. Que ferait le directeur commercial, ou le médecin sans un éboueur chargé de ramasser ses poubelles?
  9. Bonjour, je raisonnais comme vous.... avant. Aujourd'hui, je n'ai plus que très rarement recours à la fessée, et j'ai 4 enfants (10 ans, 8 ans, 3 ans et 20 mois). Le plus souvent la fessée est la simple manifestation de ma peur, de ma colère, de mon exaspération. Elle n'est jamais une manière d'éduquer, juste une sorte d'éxutoire pour mes propres sentiments. Mauvais exemple, car ceux que vous donnez sont aujourd'hui interdit au sein des écoles publiques. Non. Si la punition est expliquée, alors elle est éducative, ni traumatisante, ni violente. J'ai essayé bien des méthodes (copie de lignes, mise au coin, interdiction de jeux, obligation d'aider aux tâches ménagères, etc...) et mes aînés, qui ont connu les fessées sont aujourd'hui bien plus cool et sympa que du temps où je ne savais pas comment leur expliquer mes sentiments. Attention, ce ne sont pas des anges, ni des terreurs, disons que ce sont des gosses comme les autres, qui font des bêtises, racontent des bobards (parfois), mais qui comprennent aujourd'hui que la fessée ne résout rien. D'ailleurs lorsqu'ils se chamaillent aujourd'hui, ils ne se frappent plus. Etrange, non? :) Pourquoi toujours cette tendance à dire "puisqu'il y a pire, ne faisons rien" ??? Certes la violence verbale et l'humiliation ne sont pas aussi visibles, cependant si l'on peut déjà travailler sur l'arrêt d'un principe éducatif (dépassé),ça amènera peut être à prendre en compte d'autres choses... La télé réalité est faite pour notre société actuelle de consommation instantanée. Ceux qui regardent, comme ceux qui produisent, ou bien encore ceux qui en vivent sont en plein dans ce concept d'instantané. La fessée est un truc instantané. Souvent les parents regrettent après coup. Mais il est trop tard. Plutôt que d'exprimer ma colère sur le cul de mes gosses, j'ai choisi de dialoguer, d'expliquer, de punir, de rester ferme, sans en passer par un coup, qui ne me soulage même pas. Mon fils de 8 ans a récemment mis le feu au garage. Il n'a pas pris un seul coup de pied au cul (qui aurait été mérité, mais mon époux a préféré taper dans la cuisinière calcinée, il s'y ai cassé un orteil :D), même moi je lui ai promis qu'il allait recevoir, mais non. J'ai réfléchi et trouvé plus utile de le priver de sortie, et de lui faire débarrasser entièrement les restes de nos affaires. Les skis ont brûlé, les chaussures avec? Il n'ira pas au ski (avec nous) cet hiver. C'est compliqué à mettre en place, c'est un vrai travail sur soi, et ça, oui c'est une chose incroyablement dure, car on n'est plus dans l'instant. :)
  10. Bonjour, alors voici les dernières mesures, prises par la municipalité et l'équipe enseignante : les mercredis matins sont dévolus aux arts plastiques (alors qu'il me semblait que les élèves étant plus concentrés le matin, il aurait été judicieux de mettre ces 3 heures à profit sur les enseignement généraux) ; l'équipe enseignante a renouvelé l'activité "patin à glace", chaque vendredi après midi, sur 6 semaines (autant vous dire que les gosses ne sont jamais de retour avant 16h15, quand l'école est censée se terminer à 16h, merci pour ceux qui ont des RDV ou autres activités à 16h30, c'est baisé) ; la natation (pour toute l'école, des TPS aux CM2) aura lieu sur 6 jours, le matin. (cherchez plus à comprendre, là c'est peine perdue) ; les enseignants propose les APC (aide pédagogique complémentaire) pour le B2I (si vous ne savez pas ce qu'est le B2I, tant pis pour vous, y'a google, c'est en gros la réponse que j'ai reçue) ; et enfin la municipalité doit "organiser une réunion" pour les TAP, une fois par semaine, 1/2 heure... Autant vous dire que certains parents sont ravis de cette réforme. Au delà de tout ça, on a une équipe pédagogique qui cartonne, nous prévenant de la grève de jeudi (hier) "contre la réforme des rythmes scolaires" (*sic* z'ont pas du comprendre que la réforme était passée), le lundi soir... Cette grève est dans les tiroirs depuis le 20 octobre, la moindre des choses était de nous en informer et surtout d'étayer un peu leur propagande (ben oui, demander la réduction des effectifs, quand ils sont 19 en classe ; la réduction de leurs heures de travail, et augmentation du salaire de base ; la création d'une classe de TPS, avec impossibilité matérielle, donc augmentation des effectifs de la classe maternelle ; et accessoirement des créations de postes de remplaçant, quand notre école est pourvue d'un remplaçant attitré...) Bref que de bons arguments en faveur de l'éducation nationale. Ils font vraiment honte à cette profession et entretiennent le mythe de l'enseignant qui a choisi cette voie pour les 16 semaines de congés payés. C'est lamentable.
  11. Parce que tu es mature et dotée de raison... C'est pas donné à tout le monde, hein. :D
  12. J'ai, comme à chaque fois, joué franc jeu avec les services sociaux, j'ai expliqué que j'avais de la haine envers mon ex, mais que jamais, je ne l'exprime devant les enfants. Ils s'en foutent. La chambres des naines? Nafoutre, elle est obligée de faire une AEMO pour les 2 grands, elle s'en bat la rate de savoir qu'il y a 2 petites avec.... "Obliger tout le monde", certes, "monde" qui exclut donc mon ex. :D Moi je suis obligée, moi j'ai pris sur moi, j'ai encore fermé ma gueule, j'ai accepté, j'ai souffert, dans l'attente, l'espoir qu'une telle mesure le ferait se réveiller. Même pas. En ce qui le concerne, je n'ai plus aucun espoir. De la patience, j'en ai toujours des tonnes en stock, pour la vie familiale quotidienne.... Pour gratter des peaux de bête (Dieu sait que c'est fastidieux), pour faire de la couture, de la bricole, pour supporter les bêtises des gosses.... Ma mère loue ma patience.... (et pourtant elle a, elle même, travaillé pour la DDASS, gardé environ 50 gosses, donc de la patience elle en était pourvue) elle me surprend à chaque fois qu'elle me fait ce compliment. Mais "patience et longueur de temps" je pense que la "longueur de temps" pèse plus aujourd'hui que la "patience"... :p
  13. Alors pour déposer plainte, j'avais pour obligation d'attendre la fin de l'évaluation sociale... Ensuite je n'ai pas de copie du rapport de l'assistante sociale, mon avocate n'a pas le droit de m'en donner une copie. Tout ce que j'ai, ce sont les notes que j'ai pu prendre lors de la consultation de mon dossier. Enfin, j'ai attendu la fin de l'évaluation sociale pour déposer plainte, mais comme, entre temps le dossier à été transmis au juge des enfants, alors sa décision fait foi. Les gendarmes n'ont pas le droit d'enregistrer ma plainte (sinon ils remettent implicitement en cause l'autorité de la juge) et si je souhaite déposer plainte devant le Procureur de la République, alors il faut que je fournisse les preuves qui justifient mon dépôt de plainte.(donc une copie de l'évaluation sociale, à laquelle je n'ai pas accès)... Voilà, c'est ça la France.... D'un côté une loi reconnaît et condamne la dénonciation calomnieuse, de l'autre, on met tant de barrières à l'instruction de ce genre de plainte qu'il vaut mieux fermer sa gueule. Je pense que je vais jouer autrement.... Et sans avocat, sans frais, j'aurais gain de cause. :)
  14. Père qui a disparu... Donc si on veut l'aider lui, on ne m'impose rien à moi, à la limite j'accepterais des rencontres en lieu neutre, histoire qu'il voit ses enfants, mais il s'en fout. 1 an le 3 novembre qu'il n'a plus eu aucun contact visuel avec ses enfants, sauf le jour de l'audience, en mai.... Si mon ex avait répondu au téléphone, donné suite à cette AEMO, je le vivrais certainement mieux. S'il avait eu mentalement ses 40 ans, alors il aurait assumé. Là il a agit pire qu'un gamin de 5 ans, il a fuit, il se cache, et qui trouve t'on en lieu et place de sa petite personne??? Moi. Moi qui en a marre, moi qui ne sait plus rien de lui, de sa vie, moi qui lui court après, afin de lui expliquer qu'il a eu deux enfants, qui ont (eu) besoin de lui.... Les services sociaux me paraissent semblables aux huissiers, avec leur principe de "si l'on ne peut pas le joindre, alors c'est vers vous qu'on vient réclamer". C'est nul et absurde. Cette dame est très professionnelle et compréhensive, mais elle est aussi obligée de faire son job. D'autant plus que cette aemo est judiciaire. Elle n'a pas le choix, et n'est pas du genre à entourlouper sa hiérarchie... Elle a vraiment un bon fond, elle veut aider mes aînés, mais elle oublie que des enfants j'en ai 4, pas 2. C'est dommage. Aucun soutien à attendre de cette institution, la même qui vient vérifier la propreté de ton frigo, l'équilibre alimentaire de tes gosses, mais qui en passant son temps à ça, laisse mourir d'autres enfants sous les coups de leurs parents. L'aide juridictionnelle est basée sur les revenus, elle avoisine le 0% en ce qui me concerne. :D Donc si je dois ester, je payerais mon avocate (qui elle même est dégoûtée, et me déconseille tout recours, attendons le courrier de l'éducatrice auprès le juge des enfants, puis le mois de mai pour l'échéance de l'aemo). Chais pas. :D La justice a décidé que, donc, puisque je suis une adulte responsable, je me plie aux décisions judiciaires me concernant, moi... Le constat est là : même l'éducatrice n'a jamais réussi à joindre le géniteur de mes enfants, pour appliquer l'AEMO, c'est juste impossible, mais spa grave, car selon l'éducatrice "on peut travailler sur la représentation du père avec vos enfants". :) Mes gosses ont 10 et 8 ans, ils ne sont ni débiles, ni naïfs, ils ont juste constaté que leur père se fout de ce qu'ils peuvent devenir. Mais paraît que l'AEMO leur sera bénéfique. Puisque c'est un juge qui l'a dit, alors qu'il en soit ainsi.....
  15. Oui je suis submergée, et il y a de quoi, quand on se prend non pas une vague, mais bien un raz de marée en pleine tronche... J'ai toujours fait en sorte que mes enfants vivent bien, même lorsque j'avais recours aux Resto du Coeur. Jamais, à aucun moment de ma vie, je n'ai lâché l'affaire, pour mes nains, mes ptits monstres, mes bouffons, pourquoi donc m'imposer un suivi à moi, pour aider leur géniteur? Il ne sait rien de ses propres enfants, il n'était pas là quand sa fille a du être appareillée, il n'était pas mentalement présent quand notre fils a du être hospitalisé (hospitalisation qui m'a coûté 800 euros en tout, car M. n'avait pas fait les papiers pour inscrire les enfants sur sa Sécu) par sa faute !!! Ptain, mais j'hallucine en fait, ce débile laisse le gamin jouer, seul (une chance, habituellement les enfants, 9 et 7 ans alors, devaient surveiller un voisin de 3 ans dans une piscine...), il a le culot de dire "je comprends pas", et lui n'est pas inquiété, jamais. Non, lui on ne le condamnera pas, au contraire, on met en place des procédures pour l'aider. J'aurais aimé une procédure pour m'aider quand je me suis retrouvée sans sécu, sans revenus, sans rien. Ma colère n'interfère pas dans "l'aide" des services sociaux, car je ne l'exprime jamais devant les enfants, jamais. Je me suis toujours interdit d'insulter leur père devant eux. Après quand ils me trouvent en larmes, à la suite d'une visite d'huissier, c'est autre chose, il faut bien que je leur explique... J'ai toutes mes capacités, et je sais me défendre, en posant les mots, mettant de côté les émotions, simplement, comme j'ai appris à vivre en société, je sais désormais jongler avec cette même "société". Mon avocate elle même n'a pas compris le comportement de la juge des enfants (qui a commencé par refuser ma représentation par l'avocate, 600 euros l'audience...) L'éducatrice (et non plus l'assistante sociale, celle là, elle m'a bien menti et prise pour une conne), a bien compris que j'en ai marre, je veux juste pouvoir tourner la page. A la base de tout ça, il y a une dénonciation calomnieuse contre laquelle je n'ai aucun recours légal !!!!! Bordel de merde, ça suffit là, qu'on reconnaisse le caractère frauduleux de l'appel au 119, et qu'on arrête de me faire chier (pour info, l'autre petite pétasse continue de me harceler via le net, je la croise, j'la défonce, c'est un des gendarmes qui m'a expliqué le principe du "pas vu, pas pris") Comment pourrais je bien vivre une situation que je n'ai pas demandé, un état de fait qui met en danger l'équilibre de ma famille??? J'ai tout étudié, sous tous les angles, y'a juste rien. Rien, que je puisse faire, rien qui justifie cette mesure, rien qui ne tienne la route 2 secondes... Je pourrais payer mon avocate (j'ai plus les sous, c'est bon, 2500 euros en une année, c'est djà pas mal quand on est mère au foyer) et tenter un recours, mais le juge des enfants a un certain pouvoir. Pouvoir de me pourrir la vie ! Oui je suis jugée et condamnée (jugée car c'est un juge qui a rendu un jugement mettant en place l'AEMO), et condamnée, car moi seule me plie aux mesures éxigées. Je pensais me réorienter professionnellement dans l'accueil des jeunes enfants, je suis "notée" à la PMI, je peux toujours rêver d'être un jour ATSEM ou nourrice agréée. Voilà, c'est pas beau la vie? Après qu'on me demande de ravaler ma colère, de pardonner, de passer à autre chose, je ne demande pas mieux, mais c'est pas en ayant une éducatrice chaque mois à la maison qui va m'aider dans ce travail sur moi même. C'est pour ça que je refuse désormais toute aide sociale. Je n'ouvre plus ma porte, puisque l'ex peut disparaître sans être inquiété, alors je vais faire de même. C'était en mai ça.... La juge n'a rien entendu.
  16. Ben en fait, c'est cette obligation légale, cette condamnation (parce que ç'en est une), de me soumettre à une "vérification" mensuelle, pour l'autre. C'est un ensemble de mesures, de choses faites et dites, un ressenti négatif accumulé depuis trop longtemps... C'est cette différence faite entre mes enfants, cette négation de ma maternité pour moitié, la négation de mon couple, et de tout ce que Nono fait depuis 4 ans pour les grands... Je ne comprends pas que "pour aider l'ex à reprendre son rôle de père", on me surveille, moi, on crée des différences entre mes enfants, on zappe l'avis de Nono, et surtout que tout ça part d'une dénonciation calomnieuse, reconnue comme telle ! Après quand l'éducatrice vient à la maison, elle ne fait que me proposer de "repenser à ma première vie de couple, aux moments heureux avec le géniteur des grands", mais tout ça n'a toujours été basé que sur des mensonges... Je veux pouvoir oublier, passer à autre chose, me reconstruire (faire 2 enfants avec un type qu'on a rencontré 6 mois avant, se marier avec, c'est un vrai engagement, une vraie volonté d'aller de l'avant et donner une chance à tous mes enfants de connaître la stabilité d'un foyer serein). Le juge des enfants n'a pas pris toute la mesure de sa décision, elle n'a pas pris en compte, à aucun moment, l'avis de Nono, ni la vie de nos 2 petites. Aujourd'hui, en plus de répondre aux sollicitations de l'éducatrice, je dois faire bonne figure devant les grands, expliquer aux petites pourquoi les grands ont le droit de passer un moment seuls avec la dame, et pas elles.... In fine, je citerai juste mon avocate, qui a su expliquer par des mots simples la situation au juge des enfants : "Ma cliente a porté le couple, puis la famille, tel un fardeau, durant les années de mariage et au delà, en ce qui concerne la procédure de divorce, M. s'est toujours laissé porter par les événements, aujourd'hui, on demande encore à ma cliente de porter les incapacités de M., il est temps pour elle de pouvoir poser ce sac alourdi par le manque de maturité de l'ex, et d'avancer sereinement dans sa nouvelle vie." Voilà c'est tout ce que je demande, qu'on me laisse tranquille, qu'on ne vienne plus, une fois par mois, me parler de l'ex en voulant apaiser ma colère, qui se transforme peu à peu en rancoeur. Si je pouvais ne plus y penser, alors je pardonnerais et je serais sereine. Là, la justice m'empêche de tourner la page. (sinon pour les gosses, ils s'en contrefoutent de leur père, il a zappé, 2 années consécutives, l'anniversaire de son fils, et pour la première fois, celui de sa fille, les 10 ans.... Bordel, j'ose pas imaginer la douleur si mon père avait oublié un seul de mes anniversaires. Ma fille subit, à moi de limiter la casse en étant présente, réconfortante, aimante et en lui démontrant à quel point, on se fout de son avis, à l'autre con)
  17. Bonjour, il est certain que je n'ai pas le choix. Cependant vous m'interrogez sur des sujets complètement différents (aemo judiciaire mise en place par le juge des enfants et dvh, mis en place par le juge aux affaires familiales), quand tout est noté ici, noir sur blanc, il suffit de lire. Je les connais tous, je les ai tous rencontrés, je leur ai parlé, je leur ai aussi, parfois, demander un avis neutre, une aide ponctuelle (notamment quand mes enfants n'avaient pas de lit chez leur père et mangeaient des restes d'une colonie de vacances). Le JAF, aujourd'hui n'a aucun pouvoir, seul le juge des enfants peut choisir de cesser ou maintenir la mesure d'aemo. L'autre bouffon s'est barré, ne donne plus de nouvelles, c'est bien, en vrai c'est ce que je voulais, il ne nuit plus aux enfants. Mais je suis révoltée que ce soit moi qui sois jugée, condamnée, étudiée, scrutée, pour l'aider "lui" à reprendre son rôle. Rôle qu'il n'a d'ailleurs jamais tenu. :) Ce qui me fait tenir c'est l'idée que le juge des enfants puisse revenir sur sa décision, et stopper cette mesure en justifiant de l'absence du père. Avec ça, je pourrais saisir le JAF, afin que l'autorité parentale me soit échue en totalité, et que si la chance voulait me sourire, mon ex en soit déchu. L'idée est qu'il crève, comme ça, mes enfants "orphelins" pourront être adoptés par mon nouvel époux, et avoir un héritage, un jour. (Chez leur géniteur, on avoisine les 100 000 euros de dettes). Enfin, je ne comprends pas cet acharnement contre moi. Si chaque couple séparé, avec démission d'un des parents, devait mettre en place une AEMO, alors les tribunaux ne suffiraient pas, et les travailleurs sociaux verraient leurs effectifs exploser. Ma meilleure amie a demandé une AEMO, pour son fils de 12 ans, qui est violent, avec des tendances meurtrières, elle a du attendre 6 mois pour être informée qu'un éducateur la contactera "sous 3 mois". Moi j'ai rien demandé, j'ai pas de problème, et ben tiens, l'éducateur, c'est le lendemain qu'il débarque... 2 poids, 2 mesures?
  18. C'est pourquoi je m'exprime sur le net, et pas devant ma famille. Ici je peux écrire des "connards", "enculés", "débiles", décérébrés", sans autre conséquence que la lecture des personnes adhérentes au forum, dont aucun de mes enfants. Disons que c'est mon exutoire.... :) Je suis une "sauvage", en quoi la loi réprimande t'elle ce trait de caractère, dès lors que mes enfants sont sociabilisés, scolarisés, éduqués, soignés et bien élevés? Après, je constate que vous n'avez rien lu des 15 pages précédentes (ou bien vous ne comprenez rien).... J'ai moi même saisi le JAF, via l'avocate en charge de mon divorce (quand j'avais une aide juridique totale en 2008, et des revenus en 2013), avocate que j'ai payé à ce jour, 2500 euros (entre les divers dossier), mais 1500 euros, uniquement pour me représenter devant le JAF, et demander la réduction des PA, ainsi que des DVH du père. Alors, bon.... c'est pas que, mais y'a un moment, soit vous apprenez à lire, soit vous ne comprenez pas, mais je risque de ne plus tolérer très longtemps ce genre de remarques déplacées. Merci.
  19. Tu mets exactement le doigt sur ce qui me ronge ma dindasse..... Dans toute cette procédure (de la dénonciation à l'AEMO judiciaire) je n'ai que 2 enfants. Donc c'est aussi une manière pour moi, pour Nono, aujourd'hui de justifier notre opposition. Nono considère qu'il a 4 enfants, en même temps, on est "ensemble" depuis 2010, et n°2 est né en 2006, sur ses 8 années de vie, il en a passé 4 avec Nono, 2.5 avec sa seule mère... Mais puisque le connard d'enculé géniteur de mes 2 grands s'est manifesté, un jour, en 8 ans, devant le juge, alors "il faut l'aider". Pas de problème, j'men vais l'aider, une corde et un crochet.
  20. Je sais tout ça Nuts... mais ça ne suffit pas ! Si je sais, en tant qu'adulte, faire la part des choses, il n'en est pas de mêmes pour mes enfants (les 4). Exemple... Hier stè ma fête, je suis revenue des courses avec environ 80 euros d'habits.... Un ensemble pour chacun de mes gosses, rien pour moi. C'est ma manière de leur exprimer mon amour, et de faire "la fête" avec eux. Ils en sont hyper reconnaissants, j'ai eu droit à des mercis, bisous et câlins. Pour moi c'est "normal". Si je devais expliquer ça aux services sociaux, je n'ose pas imaginer leur tête... ("Comment? Vous vous ignorez au profit de vos enfants, c'est pas bien ça Madame...." "Il ne faut pas trop vous oublier Madame, vous avez un rôle à tenir, celui de mère, et l'abandon du rôle commence par celui de la personne"...) Ce ne sont pas les exemples qui manquent et j'en ai été témoin plus souvent qu'à mon tour. Donc voilà, si demain je balance une grosse mandale à l'un de mes enfants, ou un monstrueux coup de pied au cul, j'aimerais juste être "comme tout le monde", et pas surveillée par les services sociaux.... Mes enfants (ah non, pas "mes", ceux de "mon ex") sont suivis par les services sociaux, à la limite tant que tout va bien pour eux, je peux battre les naines... C'est n'importe quoi, et mes enfants le ressentent, je jongle chaque jour, pour ne froisser aucun d'eux, et je lutte contre l'exacerbation des sentiments... Autant mes grands peuvent être contrariés de cette AEMO, autant mes petites peuvent l'être aussi de ne pas être associées à leurs aînés. Autant mes grands sont surveillés, autant mes petites s'interrogent sur cette "surveillance" (pourquoi quand la dame elle vient, elle veut juste voir les grands, et pas nous, on a aussi une chambre, des jouets, des livres, des choses à lui montrer, à lui dire, etc...) Voilà, pour "aider" un enculé, on en vient à mettre en péril une famille. Sauf que notre famille luttera contre vents et marées, et sera toujours soudée, j'ai été élevée dans un principe d'égalité, il en sera de même pour chacun de mes enfants. N'en déplaise aux services sociaux. :)
  21. Merci les filles, dindasse, feuille.... Au delà de la compréhension, du réconfort, vous m'offrez une oreille attentive, et ça, c'est important. Je suis dénoncée et calomniée, je dois me plier à l'évaluation sociale, je suis l'idée de l'assistante sociale, pour le bien de mes aînés, au final je passe devant un juge, je suis condamnée et je subis l'AEMO, quand l'autre gros con s'est fait la malle. J'adore la France, ses lois débiles, son ASE qui vient juste fourrer son nez dans les familles au lieu d'aider les enfants qui ont vraiment besoin d'une aide.... J'ai envie de gerber sur ce système pourri, jusqu'au trognon. Même mon avocate n'a pas compris l'AEMO, avec pour unique raison la démission du géniteur... Des dossiers comme ça, elle en a 50 sur le coin de son bureau, elle ne saisit jamais le juge des enfants, c'est toujours classé "sans suite". Le père (dans mon cas) n'a qu'un "droit" de visite et hébergement, pas un "devoir". Les lois sont mal foutues, la vie est mal faite, mais moi, j'ai la chance d'avoir du soutien, de l'écoute, des aides, les moyens de me payer une avocate qui sait "bien" me conseiller... Aujourd'hui, quand j'entends l'éducatrice me proposer une AEMO sur 2 ans "pour le bien des enfants", je me rappelle l'assistante sociale qui m'annonçait "on va déposer le dossier devant le juge des enfants, histoire que M. l'ex soit confronté à ses responsabilités". Ce sera la même chose, je vais dire oui, dans un souci d'apaisement pour le bien de "DEUX de" mes enfants, pour ensuite être redevable? Non ! Des enfants j'en ai 4, y'en a marre de pénaliser les 2 petites (et accessoirement les 2 grands) pour les conneries d'un queutard sans cervelle. Mon aînée rêve régulièrement que son père est mort, et qu'elle vient me demander de signer les papiers pour refuser les dettes.... Elle a été confrontée à la mort, et aux démarches administratives de succession avec le décès de mon frère, elle se rappelle.... Elle confond le tout, mais d'un côté elle n'a pas tort. Si son père meurt demain, en tant que représentante légale, je serais dans l'obligation de refuser l'héritage qui doit avoisiner les 100 000 euros de dettes. Dans le même temps, mes deux gosses, qui ne sont pas de mon mari, peuvent crever la bouche ouverte, ils n'ont aucun droit sur la maison, que je paye à part égale avec mon mari, mais acquise par lui seul, avant le mariage. Bref si je comprend la volonté de "préserver" les enfants, les mesures idoines, je ne comprends pas que je sois seule responsable de ça, quand justement je suis la seule à subvenir à leurs besoins (matériels, financiers, émotionnels, affectifs, etc...) Qu'ils aillent tous se faire foutre, j'en ai marre !
  22. C'est ceci : qui m'a heurtée. Je m'interroge donc sur votre lecture intégrale du sujet, ainsi qur vos capacités de compréhension.... Excusez moi, mais recevoir, une fois par mois, une personne payée par mes impôts, pour "faire son job, imposé par un juge", quand la situation est claire (le géniteur de mes aînés est démissionnaire), ça me gonfle. Ma maison n'est pas un bâtiment annexe de l'aide sociale à l'enfance, ma famille n'est pas constituée que des deux grands (je redis que les 2 petites sont ignorées par cette mesure), mon époux n'est pas pris en compte... Ce jugement d'AEMO a été pris dans l'intérêt du géniteur de mes aînés, pas dans le mien, ni celui de mon époux, il ne prend jamais en considération mon couple, ma famille, mon foyer. C'est cette injustice que je dénonce, et que j'explique, au fil des jours et divers entretiens avec les différents partenaires sociaux. Aujourd'hui, voici ce que je pense :
  23. Alors si vous avez bien lu, tout lu, vous aurez compris que l'évaluation sociale fait suite à un appel pour information préoccupante, auprès du 119 (enfance en danger). Les conclusions de cette évaluation sociale affirment que les dires à l'origine de l'IP sont erronés. Malgré cela, il est noté que le géniteur de mes 2 premiers enfants (j'en ai 4) est absent. C'est son choix, sa vie, sa décision,...... Malgré tout, l'AEMO judiciaire a été mise en place, et je suis la seule (avec mon foyer) à la subir, le géniteur de mes aînés ayant disparu de la circulation. Mes enfants sont dans un environnement "sain" (à la campagne, avec une mère au foyer qui se charge, avec application, de leur éducation), ils sont en sécurité, mais ça, la juge des enfants l'a sciemment ignoré, elle a voulu "redonner une chance au père de tenir son rôle". Bref vous avez lu, je n'en doute pas, mais vous n'avez rien compris, je me passerais volontiers de vos avis. Non, mais vous savez lire, sérieusement ?
  24. Bonjour, il serait bon de lire tout le sujet avant de répondre des bêtises, hein..... Merci quand même. :D
  25. Merci de ton soutien Feuille. Sinon, non, j'en ai juste marre. Et comme j'ai expliqué à l'éducatrice, je veux tourner la page (à défaut de déchirer la tête à la pétasse). :D Tant que durera cette mesure de merde, je serais quotidiennement renvoyée à cette dénonciation. Je serais "coupable" de n'avoir pas préservé mes gosses de cette harpie. Si demain le juge des enfants prend conscience que cette mesure coûte bien du fric à l'Etat (pour rien), me fait chier (pour rien), et finalement cause plus de tort que de bien à mes grands, alors, elle décidera peut être de cesser. Enfin je pourrais regarder tout ça de loin, et ne plus être confrontée à une décision injuste prise à mon encontre. Je vais me renseigner sur les recours et dispositions possibles, si jamais le juge des enfants ne revenait pas sur sa décision (prise pour aider le père, qui depuis a disparu...). Au pire, je finirais en taule pour refus de me soumettre à une décision de justice, mes gamins seront alors placés, et là on verra si Mme la putenchef juge des enfants a bien agit dans "l'intérêt des enfants".... :D
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