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Tout ce qui a été posté par grandfred
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sources ?? et le fric ne fait pas tout pour certains ! la 6ième extinction est en route, la vacuité de cette société , les différentes pollutions, un monde de plus en plus inégalitaire, des votants qui adulent des banquiers (macron) et des bourgeois (mélancon, les le pen, les socialiste, les sarko, les wauquiez, les fillon) etc.... un tas de bonne raison qui font que même un bon salaire ne rempli pas le vide de cette société et alors ??, si j'avais 30 ans de moins, je serais peut être black block ! j'ai fais un choix différent mais je comprend la motivation des révoltés !
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tu ignores donc comment tes ancêtres polonais ont été accueillis par les mêmes mots que tu oses écrire ????, extraits Durant l'entre-deux-guerres, les Polonais sont venus massivement travailler dans les mines du Nord : ils sont plus de 500 000 à émigrer en France, dont près de la moitié dans le Nord-Pas-de-Calais. C'est la plus forte immigration dans l'hexagone, après l'immigration italienne (voir notre article). Recrutés notamment par les compagnies minières pour participer à la reconstruction du pays, les travailleurs polonais ne sont pourtant pas vus d'un bon œil : incompris, régulièrement vilipendés, ils sont considérés comme les principaux responsables de la baisse des salaires, et sont accusés d'être des bandits et des agents de propagande du bolchevisme. ........(.......)....... https://www.retronews.fr/actualite/la-douloureuse-integration-des-polonais-en-france et https://wikirouge.net/Racisme_en_France#Racisme_anti-polonais
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Menace d'ultra-gauche » : histoire d'une intoxication médiatique et politique La dégradation d'un fast-food est décrite comme l’Apocalypse. Macron évoquait récemment, dans un discours très officiel, une terrifiante «mouvance organisée, structurée et engagée dans une démarche insurrectionnelle ». Son ministre de l'intérieur appelle à présent à pourchasser « ceux qui prônent l'insurrection ». Pas un jour ne passe sans qu'un reportage anxiogène sur « la menace d'ultra-gauche » ou un article à charge sur les mouvements sociaux ne soit diffusé. Ces dernières années, pourtant, nous avons surtout assisté à un durcissement considérable des répressions. Des dizaines de mutilations, voire de morts, causées par les armes de la police. Des assignations à résidence d’écologistes. Des procès de militants accusés sans preuve de « tentatives d'homicide » voir de « terrorisme ». Finalement, en agitant le spectre d'une «menace d'ultra-gauche », le gouvernement justifie et légitime à postériori les attaques qu'il porte à celles et ceux qui lui résistent. Pas l'inverse. Venons en aux faits. Pour justifier la fuite en avant sécuritaire actuelle, les médias nous répètent à longueur de journée qu'il y aurait une « montée de la radicalité » de la contestation, une « augmentation des violences en manifestation ». Un tableau effrayant. Mais, même s'ils sont répétés mille fois, ces mensonges ne constitueront jamais des vérités. Alors, augmentation de la violence ou pas ? Rapide retour historique sur quelques épisodes de luttes en France contemporaine. - A la fin du 19ème siècle des mouvements insurrectionnels émergent partout en France alors que les premiers syndicats, fondés par les anarchistes, prônent l'abolition du capitalisme. Dans la première décennie du 20ème siècle, des affrontements très durs ont lieu un peu partout, notamment à Paris, Limoge, Lille ou Nantes, avec des barricades, échanges de coups de feu et incendies de maisons patronales. Quelques années plus tôt, une partie du mouvement anarchiste s'illustrait par des actions particulièrement déterminées, avec des attaques armées contre le Parlement, la police et les patrons. Les émeutes et les attentats font alors la une de l'actualité de l'époque. - Dans l'entre-deux guerres, le mouvement social se restructure, galvanisé par la Révolution russe. La solidarité internationale est forte. En 1925 par exemple, deux anarchistes américains, Sacco et Vanzetti, sont condamnés à mort. Des manifestations de soutien réunissent des dizaines de milliers de personnes en France. Des émeutes éclatent dans plusieurs villes, dont Nantes, où la préfecture reçoit des tirs d'armes à feu. En 1936, un mouvement de grève puissant arrache de nouveaux droits en France, alors que des groupes de militants de toute l'Europe partent en Espagne lutter les armes aux poings contre le fascisme. - Après guerre. Dès la Libération, des conflits sociaux extrêmement déterminés éclatent pour réclamer de meilleures conditions pour les travailleurs. En 1947, des grèves insurrectionnelles partent de Paris et du Nord de la France pour s'étendre à tout le pays. Entre autres exemples, un avocat est défenestré du tribunal de Marseille par les grévistes qui réclament la libération de manifestants arrêtés. A Saint-Étienne, 30 000 mineurs affrontent les CRS – qui viennent d'être créés par le gouvernement – et les mettent en déroute. Ils vont jusqu'à capturer certaines compagnies et voler leurs armes ! Dans le Nord, les grévistes font dérailler un train et sabotent des machines, l'armée est envoyée. En 1955, d'autres grèves insurrectionnelles éclatent à Nantes et Saint-Nazaire, avec des affrontements particulièrement violents entre ouvriers métallos et CRS, et l'attaque de la prison et du tribunal de Nantes. - Est-il utile de revenir sur Mai 68 ? Des millions de grévistes, une pénurie d'essence et de matières premières, des centaines de barricades, des véhicules incendiés, des milliers de policiers blessés. A Nantes, la préfecture est prise d'assaut et incendiée, à Lyon, un policier trouve la mort, à Paris, des émeutes réunissent des dizaines de milliers d'étudiants dans le quartier latin. Partout, des usines et des bâtiments publics sont occupés. Une secousse sociale considérable. - Dans les années 1970 et 1980, les luttes anti-nucléaires s'illustrent par leur détermination particulièrement élevée. Des chantiers de centrales nucléaires sont attaqués à l'explosif. En Bretagne, le projet de centrale de Plogoff est abandonné après des années d'affrontements quasi-militaires. Des équipements d'EDF sont sabotés ou incendiés dans toute la France. Une péniche accueillant une exposition pro-nucléaire est coulée à Toulouse par une charge explosive. Des manifestations réunissant des dizaines de milliers de personnes se transforment en émeutes géantes. - A la même époque, plusieurs manifestations marquent les esprits. Par exemple l'attaque d'un meeting d'extrême droite à coups de cocktails molotov par une manifestation antifasciste – en 1973 – et une manifestation nationale de sidérurgistes lorrains à Paris marquée par des affrontements très durs et même des braquages, en 1979 ! - Dans les années 1990, la conflictualité de faiblit pas. En 1994, un mouvement spontané part de la jeunesse. Blocus lycéens et manifestations sauvages. Des émeutes éclatent dans plusieurs métropoles, notamment Lyon, Paris et Nantes, où une armurerie est pillée et des barricades allumées sur le cours des 50 Otages. Les syndicats soutiennent les lycéens inculpés jusque devant les tribunaux. L'année suivante, les grèves de 1995 réunissent des millions de personnes. La gare routière de Nantes est incendiée. A chaque fois, le gouvernement doit reculer et retirer ses projets de lois sous la pression de la rue ! Ces quelques exemples ne sont qu'un court aperçu - très incomplet - de la constellation d'agitations diverses de ces dernières décennies. Comme vous pourrez le constater, en réalité, le mouvement social n'a jamais été aussi faible que ces dernières années. Les médias, qui décrivent une « montée de la violence » mentent sciemment, et fabriquent un discours parfaitement inverse à la réalité. A la lumière du passé récent, faire croire qu'une poignée d'affrontements ritualisés pendant la Loi Travail et un Mac Donalds esquinté représenteraient une « nouvelle menace d'ultra-gauche » est une vaste blague. Ce qui est une réalité de l'époque actuelle, en revanche, c'est la remilitarisation du maintien de l'ordre. Avec ses nouvelles armes, la police tire à nouveau dans la foule. L'état d'urgence permet à présent aux forces de l'ordre de garder leurs armes à feu en permanence, des manifestants sont très gravement mutilés voire tués, des peines de prison exorbitantes sont distribuées. Ce qui est tout aussi réel, ce sont les attaques sans précédent du gouvernement Macron, avec une gouvernance ultra-libérale et violente qui ponctionne directement l'argent public pour le redistribuer aux riches, et qui met méthodiquement à sac l'intégralité des conquêtes sociales. Ce qui est réel enfin, c'est la destruction généralisée de la nature et la catastrophe qui arrive, avec l’extinction des espèces, l'empoisonnement des mers et le bétonnage des terres. Mais évidemment, le vrai danger semble venir de « l'ultra-gauche ». « A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ». Georges Orwell
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donc tu serais imaginaire ?? tes marions , ton UPR, tes identitaires sont imaginaires ?? chaque âge saccage sa cage !!!
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Les black blocs sont différents selon les lieux et les époques en termes de composition de classe, de sexe et de race (pour reprendre le triptyque des des féministes africaines-américaines comme Angela Davis et Patricia Hill Collins). On y retrouve des anarchistes, des communistes, des écologistes, des féministes et des queers, des sociaux-démocrates en colère et des individus aux études, au chômage, occupant de petits boulots, etc. Cela dit, un slogan du black bloc précise : « Qui nous sommes est moins important que ce que nous voulons. Et nous voulons tout, pour tout le monde. » Devenu une icône de la rébellion, le black bloc est l’objet d’un certain romantisme révolutionnaire. Y participer représente pour plusieurs la preuve d’un radicalisme militant, alors que d’autres y voient l’expression d’une virilité teintée de misogynie. D’ailleurs, des femmes préfèrent former de petits black blocs non mixtes, ce qui leur assure une solidarité plus forte entre elles. Médias et black blocs Un des arguments avancés pour discréditer le black bloc consiste à prétendre qu’il retient toute l’attention médiatique au détriment des manifestations non violentes. Or, des spécialistes de la sociologie des communications ont constaté que les manifestations paisibles sont souvent peu couvertes par les journalistes, qui n’en rapportent que rarement les revendications. ...(...................)... Au Brésil en 2013, des centaines de milliers de personnes visitaient les pages Facebook des black blocs locaux. C’est aussi sur des médias autonomes qu’on peut lire des communiqués de black blocs expliquant leurs motivations, et le choix de leurs cibles : firmes multinationales qui exploitent le salariat et polluent, banques qui maximisent leurs profits en gérant l’endettement collectif, policiers qui protègent l’élite politique et les compagnies privées, etc. Mais pour qui saisit la logique politique anarchiste, pas besoin d’explications : la cible est le message. Les black blocs sont donc une des expressions de l’« ère des émeutes » ou « age of riots », marqué par une crise de la légitimité politique, l’austérité et une militarisation de la police. Dans ce contexte,« l’émeute est le langage des sans-voix », pour reprendre le constat de Martin Luther King. Quelle violence ? ............(..............). Le black bloc n’est pas l’antichambre du terrorisme. Quant aux islamistes, les activistes du black bloc ne partagent pas leurs valeurs ; certains participants à des black blocs ont même rejoints les Kurdes pour combattre l’État islamique. Quant à la « violence » du black bloc, dans le cadre de l’histoire politique, elle demeure très limitée, notamment en comparaison avec les luttes armée des groupes terroristes d’extrême gauche des années 1970 par exemple – même si briser des vitrines et lancer des projectiles à la police est évidemment criminel. Cette violence a même été qualifiée de « symbolique » par certains universitaires et assimilée à de la performance artistique. Il s’agit de profaner des symboles du capitalisme (devanture de banque, vitrine de magasins de multinationales du vêtement ou de la restauration rapide, etc.). Certains usent, cependant, de divers moyens afin de défendre la manifestation contre les forces de l’ordre, voire attaquent ces dernières avec divers projectiles (cailloux, bouteilles, feux pyrotechniques, plus rarement cocktails Molotov). Si cette question de la « violence » soulève bien des débats, la solidarité à l’égard du black bloc s’exprime de plus en plus dans les mouvements sociaux, par exemple de la part d’un syndicat d’enseignants au Brésil qui invitait le black bloc à ses manifestation, d’autochtones lors des mobilisations contre la tenue de Jeux olympiques sur des « terres volées » à Vancouver en 2010, ou dans les « cortèges de tête » contre la Loi travail en France en 2016, où des centaines d’individus manifestaient aux côtés du black bloc. https://www.nouvelobs.com/societe/social/20180501.OBS6030/que-veulent-les-black-blocs.html
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ce sont tes potes identitaires qui serv"ent le pouvoir extraits Tandis que les Identitaires ont pu mener en toute tranquillité leur petite opération devant des gendarmes passifs qui les ont ensuite gentiment raccompagnés, la manifestation antifasciste s’est soldée par l’arrestation de six camarades, dont trois sont passés en comparution immédiate pour « aide à l’entrée irrégulière en bande organisée ». Selon le collectif Délinquants solidaires, en marge de la manifestation, cinq personnes ont également été passées à tabac par des policiers lors d’un contrôle, dont l’une souffre de multiples contusions, d’un énorme hématome à la mâchoire, d’une entorse aux cervicales, et de douleur au niveau de la trachée, qui lui ont valu dix jours d’ITT. En revanche, à notre connaissance, aucun militant identitaire n’a subi ne serait-ce qu’un contrôle d’identité… ...................(.................)...... De nombreuses personnes ont aussi rappelé l’intransigeance du ministre de l’Intérieur dans l’évacuation des facs occupées ou de la ZAD de Notre-Dame des Landes : or son mot d’ordre d’alors, « rétablir partout l’État de droit », ne concerne visiblement pas les actions anti-migrants des Identitaires. Il y a un an, alors que Collomb venait tout juste d’être nommé ministre, l’Auberge des migrants s’était vu bloqué sa distribution de repas à des migrant·es de Calais au nom du « respect de l’ordre public »; Aujourd’hui, le parquet de Gap, qui avait ouvert une enquête suite à l’action des Identitaires au Col de l’Échelle, vient de la classer sans suite, faute « d’infraction constatée » : le procureur de la République de Gap a déclaré sans rire qu’aucun migrant n’avait en effet porté plainte… ..........................(.......................)............. Cette mansuétude a posé question, notamment sur les réseaux sociaux. Elle est d’autant plus troublante qu’en tant que maire de Lyon, Gérard Collomb n’a pas fait preuve à l’égard des Identitaires de sa ville (solidement implantés depuis bientôt huit ans avec leur local la Traboule) d’une très grande fermeté, même lorsque des violences d’extrême droite ont été constatées. En 2013, Armand Creus, conseiller régional et membre du collectif Vigilance, avait critiqué le manque de prise de position du maire Gérard Collomb qui n’avait pas répondu aux questions posées par le collectif sur l’implantation de l’extrême droite à Lyon. Contactée par le site d’informations Slate, la mairie n’avait pas souhaité s’exprimer «pour ne pas faire de la publicité» aux mouvements d’extrême droite… Dans l’affaire du col de l’Échelle, Gérard Collomb semble avoir même validé l’action des Identitaires en annonçant que « des renforts importants de forces de l’ordre vont être envoyés pour faire respecter le contrôle des frontières dans les Hautes-Alpes », comme s’il avait eu besoin de l’action des militants d’extrême droite pour agir : les Identitaires ne se sont d’ailleurs pas fait prier pour s’en réjouir. Les soutiens aux migrants de la zone ont en effet témoigné d’une « re-militarisation de la frontière », avec des contrôles renforcés par une vingtaine de militaires présents sur la route la nuit et des motoneiges. ........................(........................)............... Né en octobre 1994 à Lyon, de son vrai nom Clément Gandelin, il est le fils de Philippe Gandelin, ancien garde du corps de l’ancien maire de Lyon Michel Noir, mais aussi, si l’on en croit le site Lyon People, le photographe officieux de Gérard Collomb, qui était aussi son ami. À l’occasion de son décès en 2010, Lyon People nous précise également que Philippe Gandelin « connaissait quelques arcanes de l’hôtel de ville qu’il gardait fidèlement pour lui. C’est aussi toute une délégation de la Ville qui assistait à son dernier voyage. » Bref, un familier de l’hôtel de ville où Collomb siégeait déjà depuis près de dix ans. La mort de Philippe Gandelin a laissé Clément orphelin : afin de récolter des fonds pour le fils de leur ami, les notables lyonnais se mobilisent. Jean-Claude Pietrocola, PDG de Media Sport Promotion, crée une association des Amis de Philippe Gandelin et organise un « Trophée de Golf » solidaire pour récolter de l’argent, en présent de Clément alors adolescent, comme on peut le voir sur ces photos. Pietrocola est d’ailleurs un habitué de ce genre d’événements sportifs et solidaires, puisqu’il avait organisé par le passé un autre « Trophée de Golf » en soutien à une association d’aide aux enfants hospitalisés, auquel avait participé… Gérard Collomb, qui partage avec Gandelin et Pietrocola la passion du golf. http://lahorde.samizdat.net/2018/05/03/col-de-lechelle-le-porte-parole-des-identitaires-est-le-fils-dun-ami-de-collomb/ alors heureux ??
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tu voudrais aussi les factures de 1789 ? de 1840 ? 1848 ? 1870 ? 1936 ? 19668 et cie ??? allez pour se détendre
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puffff ! c 'est fou ce manquede culture générale ! allez = Le 4 mai 1886 a lieu « le massacre de Haymarket », d’après une place de Chicago où eurent lieu des affrontements armés et mortels entre les forces de police et les manifestants ouvriers. À la suite des événements dits de Haymarket, sept travailleurs, choisis dans les milieux militants de l’immigration allemande, sont condamnés à mort par pendaison, alors qu’aucun lien n’a jamais pu être établi avec une attaque terroriste par la justice bourgeoise, qui statua néanmoins que les sept de Chicago en étaient les auteurs intellectuels. Le jugement et son exécution suscitèrent une vague de protestation à l’échelle mondiale. Ce massacre et la répression qui s’en suivent sont à l’origine de la tradition des syndicats et du mouvement ouvrier en général d’appeler le 1er mai une « journée de lutte de la classe ouvrière ». C’est la naissance du 1er Mai comme journée de lutte et d’action internationaliste. http://www.cnt-f.org/cnt49/1er-mai-une-journee-chargee-dhistoire-ouvriere/ Maria Blondeau, la jeune fille de 18 ans dont le corps est resté sans vie, avec huit autres, sur la place de la mairie de Fourmies le 1er mai 1891, serait tombée en brandissant un bouquet d'aubépines, fleur printanière du Nord (voir l'article sur la fusillade de Fourmies). C'est le sacrifice de sa jeunesse et de son innocence qu'exalte la célèbre chanson populaire Les fiancés du Nord, en ce "premier jour du mois des fleurs". Certains sites affirment que ce n'est pas une aubépine mais une églantine que la jeune fille tenait à la main. Il est vrai que ces deux fleurs sont souvent confondues. En réalité, en 1891, ce n'est ni l'aubépine ni le muguet qui sert de symbole au 1er mai, mais un petit triangle rouge symbolisant la division de la journée en trois fois huit heures, pour le travail, le loisir et le sommeil, en référence au 1er mai de Chicago et au massacre de Haymarket Square. En 1895, le socialiste Paul Brousse aurait lancé un concours auprès des lecteurs de son journal pour leur demander de choisir un symbole pour le 1er mai. C'est l'églantine écarlate qui se serait imposée, en référence au sang des ouvriers mais aussi au poète et dramaturge Fabre d'Eglantine, un des auteurs du calendrier républicain de 1793, qui proposait d'instaurer (le 26 avril et non le 1er mai) un jour du Travail. https://histoirgeo.jimdo.com/2014/10/27/de-l-aubépine-au-muguet-les-fleurs-du-premier-mai/
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tes diffamations, tes amalgames douteux, ton amour pour les marion lepen et Upr et cie montres aussi de quel côté de la barricade que tu es ! celui du capitalisme, du macronisme et cie !
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hein ??? quel rapport avec la manif du 1er mai et ceux que tu cites ?? ah oui !! ce sont des blogs qui font un travail d'informations, de recherches sur tous les fachos = fn, upr, ldj, dieudo, etc..... et là, ben tu défends tes boutiques en diffamant !!! sinon, riions de la farce insoumise = extrait Premier réflexe : on se frotte les yeux, on s’assure d’avoir bien lu. Vérification faite, c'est bien cela : ces groupes qui défilent derrière des portraits de Marx, des banderoles en défense des prolétaires, des slogans en référence au rappeur Booba seraient donc... "des bandes d’extrême-droite". Comment comprendre cette expression de la part de Jean-Luc Mélenchon, dialecticien talentueux, responsable politique cultivé, dont les discours riches et précis montrent qu'aucun mot n’est choisi à la légère ? Les mots « extrême-droite » sont ici une manière de clore le débat. Si ces gens sont d’extrême-droite, alors ils appartiennent à une autre sphère, à une autre société, à autre monde. Cela permet d'esquiver la réflexion. D'éviter de se prononcer sur les relations entre le mouvement social et ces groupes autonomes anti-capitalistes. Des relations ambiguës qu’illustrent bien les points de vue divergents de Philippe Poutou et de Patrick Le Hyaric. Si vous ne voulez pas parler d’un sujet, dégainez le joker "extrême-droite". Au risque du déni, au risque de la risée. Ce n’est d'ailleurs pas la première fois que Jean-Luc Mélenchon use de cet artifice rhétorique... En 2012, lors du défilé du 1er mai, un reporter du Petit Journal tente de s’approcher. Le Petit journal, c’est l’émission satirique de Yann Barthès à l’époque sur Canal +. Voici le dialogue qui suit : - Monsieur Mélenchon, qu'est-ce que ça représente pour vous le 1er mai ? - Ça vous regarde pas, c'est pas pour vous. C'est la classe ouvrière, c'est la gauche. Au revoir. Vous vous êtes la vermine Front national... laissez pas la vermine Front national approcher... Ça va les fachos ? Allez, allez vous-en ! https://www.franceculture.fr/emissions/le-billet-politique/le-billet-politique-du-mercredi-02-mai-2018
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extraits La scène se répétera des dizaines de fois. Dans le viseur, tantôt un espace publicitaire, tantôt une banque ou une concession automobile. Chaque bris de glace est acclamé par le « cortège de tête ». « Les médias, les politiques et les flics parlent de “casseurs” et de “terroristes” quand il s’agit du Black Bloc », lance Antoine, casque à la main et parka North Face sur le dos : « Comme s’il s’agissait d’une violence totalement irrationnelle… En fait, on ne s’attaque qu’à des cibles économiques ou symboliques. Les banques, les assurances ou ce qui représente la violence de l’État par exemple. .....................(................). 17 heures, les policiers ouvrent la nasse. Le cortège investit progressivement la place de la Nation. Les buvettes tournent à plein régime et l’ambiance est encore bon enfant quand les uniformes se mettent en branle. Les deux cordons, de chaque côté du Boulevard Diderot, se placent en travers de l’artère. De l’autre côté de la place, Pierre et Marie, la cinquantaine, discutent avec leur belle-fille quand un jeune encapuché, foulard sur le visage, s’approche doucement : « Excusez-moi madame, vous devriez vous mettre à l’abri sur le côté, on va bientôt charger. » ..........(.............)................. Entre les jeunes les plus radicaux et les syndicats, le divorce est consommé. A l’occasion de la manif du 17 mai, le service d’ordre syndical est même venu muni de matraques télescopiques. Objectif, empêcher les militants violents de se mêler au cortège syndical. Et quand un peu plus tard, des affrontements opposent la police et les hommes en noir, le service d’ordre part chercher des manches de pioches et des barres de fer. Ainsi équipés, ils réintègrent la manif, prêts à en découdre avec « les casseurs ». Qu’est-ce que le Black Bloc ? en entier sur https://www.streetpress.com/sujet/1464688427-manifestations-au-coeur-du-black-bloc
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alors là ! je pleure de rire !! il y a eu des drapeaux de l'ALF donc ""logique"" que Mcdo soit visé en plus de son symbole de la malbouffe et du capitalisme !! http://www.slate.fr/story/142460/alf-cause-animale
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en français ce serait mieux !! Bescherelle ta mère !
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ahahahhahahahhahahahahahha nos chefs ce sont les chats qui contrôlent les reptiliens les illuminatis qui contrôlent les islamo bobo !!! plus sérieux = le « cortège de tête » n’est pas qu’un Black Bloc qui s’organise pour se protéger contre la police, c’est aussi un lieu ou l’on envoie un message aux autres entités sociales partenaires : nous représentons la jeunesse, nous sommes nombreux, nous sommes efficaces, c’est de nous et de nos actions que l’on parlera, nous pesons plus que vous dans le rapport de force ; Nous agissons concrètement en nous affrontant aux murs érigés, en prenant les risques que cela implique, en s’équipant et en s’organisant pour y parvenir. Nous ne défilerons pas sagement : nous sommes en colère et ceci en est notre manière de l’exprimer dans l’espace public. Le « cortège de tête » a cela de différent avec le simple Black Bloc qu’il a aussi le regard tourné vers l’arrière : cherchant à convaincre les autres de rejoindre ses rangs en soulignant par les faits l’historique inefficacité, l’inadaptation au monde d’aujourd’hui des interminables défilés consistant à manger des saucisses et à écouter de la musique, pendant qu’un préposé au mégaphone vous hurle des slogans désuets. ............................(................................)................... Le « Cortège de Tête » est donc un phénomène sociologique intimement lié à la structure des manifestations Françaises, celles de relativement grande ampleur et qui offrent aussi, de par la taille, une forme d’échappatoire en cas de dispersion prématurée. Alors que le « Black Bloc » est la simple définition d’une méthode consistant à s’équiper, à se structurer, à se déplacer et à agir d’une manière codifiée dans une foule manifestante. Pour illustration : le « Black Bloc » que l’on a pu voir agir certains soirs du contre-sommet du G20 à Hamburg à l’été 2017, n’était pas un « Cortège de Tête » puisqu’il était la manifestation elle-même et dans son ensemble. Autre exemple : le « Black Bloc » du contre-sommet de l’Otan en 2009 n’était pas seulement en tête du cortège de la grande manifestation anticapitaliste réunissant plusieurs milliers de personnes : il agissait totalement en marge de celle-ci, parfois à plusieurs kilomètres de distance d’elle. Et par ailleurs en totale autonomie les deux premiers jours du contre-sommet. .......................(.............................).................. http://taranis.news/2017/10/black-bloc-le-cote-obscur-de-la-force/
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et ton pote le guru de l'UPR ??? tu oublies son parcours de technocrate ?? ah c 'est pas pareil !!!
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je veux pas faire le gauchos islamo bobo de profs mais on part dans le hs grave là !!
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tiens tiens ! le 2 paragraphe est contredit par l'avant dernier !! il y a des tas de fonctionnaires à supprimer = la police, la gendarmerie, les militaires, les profs, les services de renseignements, etc....... et seront remplacé par des robots qui ne font pas grève ni de politique et ne sont pas payés !! le bonheur !! c 'est ce que je sous entendais !! mais c 'est trop subtil pour toi !!!
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la france sera toujours une rebelle, fière et courageuse !! en voici 1 preuve que c 'est beau !!!! tu es capable de reconnaître des gens une fois qui ont enlevés leur cagoule ?? tiens une vidéos des services de renseignement sur le cortège de tête= continues à raisonner comme les macron, les édouard philippe et autre gérard collomb !!!
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elle doit bosser chez lehmann brother depuis au moins 2008 !!!!
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non ! j'ai fais un choix de luttes qui est différents des cortèges de tête et des black block il y a fort longtemps !! tu n'as rien compris !! ce n'est pas pour le plaisir de tout péter pour le seul plaisir ! les multinationales, les symboles du capitalisme sont visées !! il y a des dommages collatéraux ?? pas de pot ! tu es actionnaire de chez Mac do ?, crédit agricole et consort ?? ta porsche a été brûlée ?? il va falloir vous attendre à ce que cela continue et monte en intensité ! depuis plusieurs années, il y a une frange de la population qui se radicalise ! certains chez les fachos, islamistes, d'autres vers une préparation d’insurrection, d'autres au sein de l'ultradroite ! ce monde cour à sa perte = pollutions des sols, des airs, des mers, de la nourriture etc... qui s’étend, chômage de masse, précarité généralisée, abrutissement des masses par les médias, repression des zones d'expérimentations de l’alternative au capitalisme, la ruine des idées politiques, les riches de plus en plus riches, les guerres qui se généralise, la montée des nationalisme, la montée des haines en tout genre etc .... !! alors les plus déterminés à ne pas se faire bouffer par ce monde se révoltes !! que ce soit dans les rangs de daesch et cie ! dans les rangs de l'ultra droite ! dans les rangs de l'ultra gauche !! chacun cherche une cause à rallier ! écrire que ces émeutes sont juste pour le plaisir c 'est ne pas comprendre la situation ! c 'est se voiler la face ! enfin, la plupart des black block sont incontrôlés et incontrôlable !!
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ahahahaha pour lui, les journalistes sont presque tous des fachos !! alors !!!! les black block c 'est une réu de gens différents mais ayant comme but de détruire les symboles du capitalisme mais ce ne sont pas tous des libertaires ! il y a aussi des marxistes révolutionnaires, des révoltés, des gens sans conscience polite mais avec la haine du capitalisme , de la précarité, de la pauvreté, d'un monde pollué par des multinationales qui se gavent etc....... et il faut s'attendre à ce que cela continue !! pas de justice pas de paix !!! chaque age saccage sa cage !! et je pourrais rappeler toutes ces révoltes qui ont marqués l'histoire de ce pays !!! qui sème la misère récolte la tempête !!