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Tout ce qui a été posté par grandfred
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de jean antoine Roa = CONFESSIONS D’UN "BLACK BLOC" Pourquoi ce titre pour cette publication ? Dans les années 70, j’étais un "Black Bloc " avant la lettre. Effectivement ce terme n’existait pas, mais la jeunesse (17/25 ans) ‟radicale“ se retrouvait dans des groupes issus directement de mai 68 et d’obédience Marxiste (Trotskistes, Maoïstes) ou Anarchistes. Vers la fin des années 70, le gouvernement d’alors et son Ministre de la justice Alain Peyrefitte fit voter par l’Assemblée Nationale une loi ‟ Sécurité et Liberté“ dite ‟Loi anticasseurs“ qui fut abrogée après 81. .....(....)..... En nous appuyant donc sur ces ouvrages qui mettait en avant l’absolue discrétion nécessaire pour se rendre sur les lieux de l’action, ce que le simple bon sens aurait de toute façon pu nous dire, nous, nous rendions sur les lieux de départ de chaque manifestation, par petits groupes, jamais plus de deux ou trois, voir seuls. Nous descendions dans diverses stations de métro à proximité de la tête de cortège. Une fois là, tout aussi discrètement, nous nous glissions ou tentions de nous glisser, dans les premiers rangs. Une maladresse, une trop grande visibilité de notre part et nous étions, le mot exfiltré n’était pas employé, alors, extraits manu militari et a une vitesse supersonique de la manifestation par les services d’ordre, notamment celui de la CGT, rompus par de longues luttes, au maintien de celui-ci. Cependant, si ce service d’ordre était rude, voir violent, je ne l’ai jamais vu nous laisser tomber lorsque l’un de nous tombait entre les griffes des CRS, toujours quand ils le pouvaient, ils nous extrayaient de sous la pluie de matraques, nous engueulaient, nous insultaient, nous traitaient de contre productifs, mais nous extrayaient. Ce ‟groupe“ fluctuant, se formait le temps d’une manif. Nous n’étions pas de noir vêtus, nous n’avions pas de masques, nos blousons étaient disparates, mais tous épais et nous portions invariablement le keffieh palestinien que nous remontions jusqu’à notre nez afin de se protéger pensions nous, des effets des gaz lacrymogènes. Nous n’avions pas ou alors rarement de sacs à dos. Nous arrivions avec des sacs dans lesquelles se trouvaient, un casque de motard, un lance pierre, des boulons dont nous avions également rempli nos poches, une matraque, la même que celle des forces de l’ordre, puisque ce modèle était en vente libre. Certains arrivaient avec dans les sacs, des cocktails Molotov. Il y avait les passeurs et les lanceurs pour les cocktails. Après la pluie de boulons et de jets de cocktails Molotov, nous essayions de nous rapprocher le plus possible des premières lignes de CRS, pour engager un corps à corps, c’est là que les matraques rentraient en jeu. Notre objectif, n’était pas de faire tomber le gouvernement, notre naïveté n’empêchait pas une certaine lucidité, non, notre objectif était d’exacerber les CRS, de les faire sur jouer la répression, de créer ainsi les conditions d’une situation ‟ insurrectionnelle“ . Quand au vandalisme contre certaines enseignes qui symbolisaient et qui symbolisent toujours, le luxe, l'argent, notre cible préférée était le seul magasin Fauchon, caviar foie gras et grands millésimes. Pourquoi cette longue digression sur ma propre histoire, sur l’histoire de toute une génération ? Parce que, il faut le dire et le répéter, les Blacks blocs s’inscrivent dans une histoire, dans une mémoire collective des luttes en France et dans le monde. Que leur jeunesse, exprime toute la radicalité, le dégout du compromis et que contrairement a ce que nous disent les médias, ni cette radicalité, ni ce dégout ne sont nouveau. Parce que l’intransigeance est une des caractéristique de la jeunesse en lutte et que si on n’est pas intransigeant, radical a ce moment de la vie, on est très vite soumis Parce que, c’est une période, l’adolescence durant laquelle l’individu, le groupe, ce construisent, pardonnez moi, j’ai oublié l’auteur de cette citation ‟…..Nous sommes ce que vous ne serez jamais plus, vous êtes ce que nous ne voudrons jamais être…… “ En ce 1er mai les médias mettent la loupe sur les Blaks blocs et sur la marche blanche de Wambréchie pour la petite Angélique, de l’émotionnel, il faut du sensationnel suscitant l’émotion tel est le degré de professionnalisme de ceux qui se réclament du journalisme dans les médias de l’audio visuel. De l’émergence de groupes fascistes avec des moyens beaucoup, beaucoup plus importants tels les identitaires capables d’affréter un bateau cet été pour sillonner la méditerranée contre les embarcations transportant des migrants, ou encore cette opération, elle aussi anti migrants dans un col des alpes avec hélicoptères et tout le tintouin, rien ou quasiment rien. Pourtant, au vu des moyens utilisés, ces groupes sont autrement inquiétant que les BLACKS BLOC. https://www.facebook.com/jeanantoine.roa?hc_ref=ARSOGSGw4N0_BDz8kSa2W7YoYoEprGuXVzh6NFOvm4myXxevyi75w2qKzGTBbc6SU58&fref=nf
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ahahahahahahha ni l'heure ni le lieu ??? les robotcops ont crus que ce serait le 03 05 18 dans la creuse !!!! allez je re cite moiselle jeanne = Manifestations du 1er-mai : la préfecture de police redoute "une journée en enfer" « Si ce défilé traditionnel des organisations syndicales ne suscite pas de difficultés particulières », des « militants de groupes contestataires issus de mouvances extrémistes entendent, à l’occasion de la manifestation traditionnelle du 1er mai, s’en prendre violemment aux forces de l’ordre ainsi qu’aux symboles du capitalisme », explique la préfecture de police (PP). Présence de black blocs ? Le communiqué cite notamment en exemple sans le nommer, le Mili (Mouvement inter luttes indépendant), qui a lancé un appel général sur Facebook à « faire vivre une journée en enfer » à Emmanuel « Macron et son monde ». https://www.ouest-france.fr/societe/police/defile-du-1er-mai-paris-la-prefecture-de-police-craint-des-violences-5733689 heu quelques personnes s'en sont pris à une voiture de radio france !! pas les 40 000 de la farce insoumise !!! et il semble bien que les BB se soient invités = Si aucun autre incident n'a été signalé dans le cortège, l'AFP décrit une ambiance plus tendue à l'arrivée place de la Bastille. Peu après 16h, quelques manifestants y ont scandé "ni dieu ni maître ni Mélenchon", "tout le monde déteste la police" ou "aha anticapitalista". Quelques jets de projectiles et quelques coups sur les camions de médias, dont celui de Radio France, ont conduit ces derniers à quitter la place. https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/05/fete-a-macron-la-voiture-de-radio-france-netait-visiblement-pas-invitee_a_23427776/
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tu es un petit malin !! je te dits qu'il fallait lire sur le net et tu me parles de flicage ? et 'moiselle jeanne donne une source mais toi, tu ignores son com ...,,??? j'ai eu la réponse du pourquoi du comment de la chose !! si les keufs ont laisser faire c 'est à cause de cela =
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extraits ....(......)...... Cette absence de réaction de Gérard Collomb face aux groupes d'extrême droite n'est pas une première. Il faut d'ailleurs rappeler que l'organisation des jeunesse des identitaires, Génération identitaire, est basée à Lyon. Plusieurs de ses responsables lyonnais étaient d'ailleurs parmi les organisateurs de "Defend Europe Alpes". Lyon a pu devenir la capitale de l'extrême droite lyonnaise, sans que l'ancien maire y trouve a redire. L'extrême droite a au conrtaire trouvé dans le vieux Lyon un terreau favorable (voir carte ci-dessus), du fait de la présence dans le milieu universitaire d'un certain nombre de penseurs d'extrême droite comme l'historien Bernard Lugan ou les révisionnistes. C'est à Lyon-III, bastion de l'extrême droite universitaire; qu'enseigne Bruno Gollnisch, là où fut soutenue la thèse négationniste d'Henri Roques dès 1985. Robert Faurisson était lui aussi enseignant, mais à Lyon-II. Et ce n'est pas un hasard si c'est encore à Lyon que Marion Maréchal Le Pen veut lancer son académie de sciences politiques. Un projet qu'elle assume comme "politique", "dans lequel tous les courants de la droite pourront se retrouver et s'épanouir" et qui vise à "détecter et former les dirigeants de demain". .....(.....).... Selon le Groupe antifasciste de Lyon et des environs (le GALE), les jeunesses identitaires se sont implantées à Lyon dès 2004. Elles y ont ouvert un local, la Traboule, situé à Lyon Saint-Jean, en 2011, ainsi qu'une salle de boxe, l'Agogé, dans ce même arrondissement. Toujours dans le 5e arrondissement de Lyon, très prisé par l'extrême droite lyonnaise, le GUD, relancé en 2011, a ouvert un local, le Pavillon noir, ainsi que des magasins de vêtements qui y vendent les marques prisées par les skinheads (Fred Perry, Ben Sherman) et un salon de tatouage. Au titre des hauts-lieux de l'extrême droite dans le vieux Lyon, on compte aussi la maison bleue, ouverte par Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac, dont les formations respectives, l'oeuvre française et les jeunesses nationalistes ont été dissoutes après la mort de Clément Méric, militant antifasciste parisien tué le 5 juin 2013. Depuis Yvan Benedetti a réactivé le parti nationaliste français, dont le logo fait référence au parti de Mussolini. En 2018, le GUD, qui s'est rebaptisé Bastion social, mouvement se revendiquant de l'idéologie national-social sur le modèle de Casa Pound en Italie, a aussi ouvert un local dans le 5e arrondissement lyonnais, quai de Pierre Scize, au-dessus de la basilique de Fourvière. "Leur stratégie, explique Lakhdar* du GALE, c'est de lisser leur image comme les identitaires. Les membres du bastion social sont pour la plupart des fils de famille qui se revendiquent comme des "gentlemen fascistes" et qui ont cessé de s'habiller en néo-nazis, même si il y a parfois parmi eux des petites mains issues des milieux populaires". Ce qui ne les empêche pas d'infiltrer les hooligans lyonnais ..........(...............................)............ Si les antifascistes lyonnais sont très actifs, ni la mairie, ni le préfet n'ont rien trouvé à redire à l'OPA de l'extrême droite la plus radicale sur le vieux Lyon. Ils ont au contraire parfois préféré s'en prendre aux organisations qui s'opposent aux néo-fascistes et "criminaliser les forces politiques de gauche", juge Lakhdar. En juin 2017, le préfet, soutenu par la ville, s'est opposé au passage de la gay pride dans le 5e arrondissement, alors que les organisateurs souhaitaient montrer qu'il n'y a pas de quartier réservé à Lyon. Et en décembre, le préfet a interdit une marche organisée par les antifascistes. La présence des militants des groupes d'extrême droite intimide et angoisse, y compris hors du 5e arrondissement. Le 19 mars dernier, c'était les militants de Génération identitaire qui tractaient et distribuaient des sprays lacrymogènes aux jeunes femmes, probablement blanches, devant la gare très fréquentée de Lyon Part-Dieu, dans le 3e arrondissement. Attaques de locaux comme celui de la CNT, syndicat anarchiste, fin mars 2018, agressions racistes et homophobes dans le 5e arrondissement, à Saint-Jean, Saint-Paul ou Saint-Georges, mais aussi sur la Croix-Rousse ou à la Guillottière, ll'extrême droite tente de faire de Lyon sa chasse gardée. "Avec la complicité de la police", juge le GALE, pour qui "les fascistes font le sale boulot des flics dont ils partagent le mode d'action". .....(..............).... Ni la municipalité, ni la police ou la justice n'ont réagi, malgré les témoignages liant ces agressions aux locaux de l'extrême droite. Le 11 avril dernier, les néo-nazis ont attaqué à coup de barres de fer et de taser les spectateurs d'un concert d'un groupe de hardcore organisé dans le 9e arrondissement sous les mots d’ordre « no racism, no sexism, no fascism ». Ce ne sont pas les agresseurs qui ont été placés en garde à vue mais l'un des spectateurs blessé ainsi que deux autres militants interpellés lors du rassemblement de soutien organisé dans la foulée. Après de nombreuse tentatives d'intimidations à son encontre, les militants d’extrême droite s'en étaient même pris en 2017 à l'horloger de Saint-Paul, qui défend une vision ouverte du patrimoine lyonnais. Après cette agression qui avait fortement inquiété, le nouveau maire Georges Kénépékian, a déclaré vouloir s'attaquer au problème. en entier sur https://www.lautrequotidien.fr/fil-rouge/2018/4/30/la-complaisance-de-grard-collomb-vis-vis-des-identitaires-nest-pas-nouvelle
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ben il fallait lire un peu ce qui se disait sur le net !!!! sinon un article extraits .....(......)... Deux ont été vus jetant un projectile sur les CRS, en l’occurrence une bouteille en verre et un caillou, mais il est permis de se demander sur quels critères les autres ont été arrêtés – parfois loin du cortège, et bien après sa dispersion. .............(....)....... Manifestement, pour certains, c’est juste qu’on les avait sous la main, qu’il s’agisse de cette auxiliaire puéricultrice de 46 ans, accusée d’avoir ramassé un terminal de carte bleue dans le McDo ravagé de la gare d’Austerlitz, ou de cette frêle apprentie vitrailliste de 24 ans angoissée comme tout, à qui l’on reproche d’avoir eu dans son sac une clé Allen – le petit L métallique à embout hexagonal, que la justice considère comme « une arme de catégorie D2 ». Par définition, les plus aguerris échappent au tribunal « Mais où sont les “black blocs” ? », a raillé un avocat de la défense. Par définition, les plus aguerris, ceux qui savent se fondre dans la foule après les violences et échapper aux arrestations, n’atterrissent pas dans un box de tribunal, où les prévenus des 3 et 4 mai, visage marqué par la fatigue de quarante-huit heures de garde à vue, n’avaient parfois même pas l’air de seconds couteaux, mais plus de dommages collatéraux ne comprenant pas bien ce qu’ils faisaient là. Beaucoup devaient leur présence au tribunal non pas à la commission constatée d’une infraction, mais uniquement à l’accoutrement sombre qu’ils avaient enfilé le jour de la manifestation, ou à la possession de sérum physiologique ou de masques destinés à contrecarrer les effets des gaz lacrymogènes. A l’exception d’un prévenu condamné trois fois pour des graffitis, tous avaient un casier judiciaire vierge. Aucun n’était un marginal en rupture avec la société, bien au contraire. Un ingénieur sorti de l’Ecole centrale de Lyon, un cuisinier, des étudiants en sciences, en histoire ou en psychologie, un cadreur, une directrice de production dans le cinéma… La 23e chambre du tribunal de Paris a eu affaire à une jeunesse de la classe moyenne, éduquée, parfaitement insérée, et animée d’une conscience politique et de convictions réelles, notamment au sujet de la justice sociale ou de l’écologie. « Je cherchais uniquement à exprimer mes opinions » Aussi a-t-il semblé curieux à certains de devoir se justifier d’aller à une manifestation. Coline S., par exemple, la benjamine des prévenues, 19 ans. Cette étudiante – histoire de l’art et anglais cette année, réorientation en sociologie l’an prochain – vivant chez ses parents dans le 4e arrondissement de Paris a été arrêtée vers 20 h 30 dans le Quartier latin, et a dû répondre de la possession d’un masque chirurgical dans son sac. « Pourquoi allez-vous à la manifestation avec ce genre d’instruments ?, lui a demandé la procureure. – J’ai constaté que lors des manifestations, il y avait parfois des tirs de lacrymogènes qui pouvaient être néfastes pour le nez, la gorge ou les yeux, et je ne voulais pas en pâtir ou en subir les séquelles, répond la jeune femme dans un langage presque châtié. Je n’étais pas à l’avant du cortège, j’ai porté ce masque à partir du moment où des gaz lacrymogènes se sont propagés autour de nous. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/05/04/violences-du-1er-mai-amende-et-relaxes-pour-les-premiers-manifestants-juges-a-paris_5294609_1653578.html#TGDvECRDu9C6fjS8.99
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oui il y a des albanais ! mais ils sont de moins en moins car micron a demandé au président de ce maffialand d'intervenir !! tu vas devenir macroniste = https://www.ouest-france.fr/societe/immigration/gerard-collomb-en-visite-en-albanie-pour-lutter-contre-l-immigration-irreguliere-5447219 les albanais sont des migrants ! les syriens, les Afghans, les irakiens, les soudanaisetc... qui fuient un pays en guerre ou sous une dictature sont des réfugiés !! ben moi aussi !! la corruption semble être devenue la norme !!!
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non le 1er mai n'est pas une fête !! remeber 1 mai 1886 à chicago !! et afin de ne pas faire de hors sujet, on en parle sur le topic suivant m et les gens qui fuient les talibans, les daesch et cie sont donc des intégristes ??? tu nous prends pour qui ?, aux dirigeants corrompus D’Irak, d’Afghanistan ? etc.....? aux dictateurs de Syrie, du soudan, d’Érythrée ??etc...... tu es sérieuses ??
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tu es pour les forces de l'ordre capitaliste ?, allez bonne lecture Les remontrances culpabilisantes et les stratégies de justification manichéenne qui émanent des gestionnaires du mouvement social ont tenté de moraliser la question de la violence. La question de la violence n’est pas affaire de moralité, mais bien de stratégie. Demandez aux services d’ordre de la CGT. Nous vous épargnerons les vulgaires soupçons d’infiltration du cortège par la police. On n’a pas eu besoin d’un fonctionnaire infiltré pour ouvrir le bal. S’il y a un contexte qu’il faut rappeler pour saisir l’importance du rapport à la police pendant ce mouvement, c’est la longue phase de promo des keufs depuis l’État d’Urgence associée à une recomposition nationaliste exclusive et excluante, autant dans les discours que dans les faits. Cette période de la chasse à ceux qui ne sont pas « Charlie » n’a pas su résister au conflit déclenché par la loi Travail. Le conflit de classe a dissipé les illusions d’une unité française par et pour la bourgeoisie, tout en laissant une corporation de flics gonflés à bloc. Moins de carotte, plus de tonfas… Le nouveau cycle de luttes annonce une intervention policière débridée contre les mouvements sociaux « classiques », à l’image de la gestion des mouvements de prolétaires opérant en périphérie des centres bourgeois, comme ça a été le cas à Aulnay-sous-Bois à travers l’utilisation de balles réelles et le positionnement de snipers par les forces de l’ordre. En gros, il y aura moins de carottes (la terre n’est plus fertile) et plus de tonfas (le pétrole n’est pas cher). Si l’on prend en compte la déconnexion entre les partenaires sociaux, seuls participants aux instances de dialogue gouvernemental, et le reste du mouvement, on peut parier gros sur la matraque à gogo lors des prochaines sorties contre-insurrectionnelles, les syndicats n’étant plus en mesure d’assurer une partie du maintien de l’ordre. Ainsi, dans les prochaines luttes auxquelles on va participer, il y a de fortes chances que le premier interlocuteur soit la Police (le second étant la Justice, le troisième l’Administration Pénitentiaire) et, à ce titre, l’expérience de l’affrontement lors du mouvement a été forte de conseils et d’indices. Une lutte qui remet en cause, y compris seulement en une infime partie, l’ordre social capitaliste (à travers une intervention concrète contre l’exploitation, la propriété privée, la « neutralité » de l’espace public ou encore le monopole étatique de la violence légitime) connaîtra la répression. C’est en partie grâce à ce curseur que l’on peut évaluer le caractère subversif d’un mouvement, notamment celui contre la loi Travail. Si la centralité de la manifestation fait partie intégrante des mesures répressives instaurées par l’État, l’utilisation du flashball, de la fouille, des grenades de désencerclement ou de la nasse fait partie des techniques qui s’y pratiquent logiquement. Des stratégies contre l’encadrement policier. Faire foule puis faire feu. Face à cet état de fait, plusieurs fractions des cortèges ont su mettre en place des stratégies d’action malgré l’étau. Tout d’abord, à la banalité de l’encadrement policier d’une manifestation, les « cortèges de tête » ont répondu par le harcèlement de celui-ci, jusqu’à imposer une distance de sécurité aux forces de police et une incapacité (encore trop limitée) d’intervention et d’interpellation par les éléments mobiles, civils ou BAC. L’utilisation de banderoles renforcées en bloc, destinées à tenir une charge, à mettre en échec les tirs de flashball, à offrir un espace de protection, un point de repli, à permettre de s’y dissimuler ou encore de s’y changer est une technique qui a fait ses preuves. Cette technique rejoint les consignes liées à l’habillement (couleur sombre, moins repérable), à la protection individuelle (coquilles, plastrons, lunettes de piscine, masques à gaz, lunettes de squash, etc.) et au comportement à tenir en garde à vue (se taire et refuser la comparution immédiate), c’est-à-dire une autodéfense collective qui absorbe les individualités. Avec des street medics (équipes médicales) et des legal teams (équipes juridiques) qui assurent le suivi des blessés et des interpellés. http://www.19h17.info/2018/05/04/le-chant-des-casseurs/
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ah les stals ne comprennent toujours pas !! même en 2018 !! tu n'as rien lu de ce que j'ai mis comme lien ici ?? tu ne lis pas les autres coms ???
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ma pauvre fille ! décidément, tu as un cerveau fais pour travailler dan une banque et non pour comprendre les autres humains ! j'ai parlé de l'histoire de ma famille pour tenter de te faire comprendre que nous n'avons rien oublié des vexations, du racisme, du rejet subi ! et toi, ma pauvre fille, tu es incapable de comprendre ! déjà que tu comprends trop souvent de travioles ce que tu lis ici !! ma pauvre fille !
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tu persistes dans tes mensonges !!!! tu sais bien que ce con croit que les BB sont d'extrême droite !!! et le SO de la cgt collabore avec les keufs ! et, en plus, tu dois avoir une mémoire de poisson rouge ou tu es vraiment ..... de mauvaise foi puisque je t'ai encore rappelé ceci = extraits Ni Dieu, ni maître, ni Mélenchon": heurts entre militants radicaux et partisans de la France insoumise en marge de la manifestation Publié le : Samedi 23 Septembre 2017 - 17:25 Mise à jour : Samedi 23 Septembre 2017 - 17:28 En marge de la manifestation de samedi organisée par la France insoumise, des heurts ont été rapportés place de la République. Des "black blocs" ont participé à l'événement après avoir relayé des appels sur Internet....(...).. Des coups ont été échangés entre ces militants vêtus de noir et le visage dissimulé, et les partisans de Jean-Luc Mélenchon. L'altercation a cependant été brève selon le journaliste de l'AFP. En marge du cortège, des groupes de militants radicaux scandaient des slogans comme "Ni Dieu, ni maître... ni Mélenchon". Avant la manifestation, annoncée de longue date, Internet et les réseaux sociaux ont relayé des messages appelant les "black blocs" à participer au cortège pour montrer qu'ils sont "les vrais insoumis" ....(.......)..... http://www.francesoir.fr/politique-france/ni-dieu-ni-maitre-ni-jean-luc-melenchon-heurts-entre-militants-radicaux-et-partisans-de-la-france-insoumise-paris-place-bastille-republique-bagarre-black-bloc
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es tactiques de manifestations offensives dites « Black Bloc » consistent principalement à s’anonymiser et user de techniques de déplacement collectif, par exemple en s’habillant en noir, en dissimulant partiellement ou totalement son visage et en défilant en cortèges serrés. Elles complexifient les process d’exfiltrage par la BAC et de surveillance par les agences de renseignement (qui se comportent, de fait, comme des polices politiques) et rendent possible, pour ceux qui le souhaitent, éventuellement en sortant des cortèges puis en les réintégrant, des passages à l’action directe tels que affrontements ou casses de vitrines mais ce n’est ni encouragé ni découragé : chacun-e fait ce qu’il/elle veut. Certain-e-s se préparent à l’avance à agir en groupe mais, là encore, il n’y a aucune obligation et ce n’est même pas toujours d’ailleurs souhaitable. Un black bloc n’est donc pas un « casseur » (ni nécessairement un flic infiltré, comme le pensent certains complotistes simplets) qui s’agrégerait à une foule de manifestants a posteriori mais l’une des stratégies possibles dont peuvent s’emparer un groupe d’individus pour une raison X à un endroit Y à un moment Z. Sa constitution doit donc se comprendre comme un phénomème éphémère, lié à la conjoncture et sociologiquement poreux. En particulier, un black bloc n’est pas constitué uniquement d’hommes mais comprend également des femmes. En s’offusquant de la casse des vitrines et distributeurs des banques, le pillage des grandes enseignes du productivisme, le saccage du mobilier urbain plein de publicités hideuses et sexistes, l’incendie des quartiers généraux des multinationales criminelles, les bourgeois, qui défendent leurs intérêts de classe, opèrent dans les médias un enfumage total. L’ordre républicain qu’ils invoquent ne visent qu’à cacher l’extrême violence de la pauvreté et à protéger la pyramide ultra-inégalitaire capitaliste. En s’autorisant de nouvelles formes de lutte, le prolétariat ouvre un champ des possibles et prend conscience de son propre pouvoir. En se rendant ingouvernable, chacun reprend sa vie en main et démontre non seulement l’inutilité mais aussi le parasitisme des dirigeants. En combinant formes d’action violentes et non-violentes, sans idéaliser les unes ou les autres, sans nier la satisfaction qu’elles peuvent parfois apporter, les black blocs ont le mérite de déplacer la question des moyens de la lutte immédiatement sur celle de l’offensivité. Pour certains membres de ces groupes, la conflictualité avec l’institution policière est assumée car cette dernière mérite d’être combattue par le simple fait d’exister. Ils marginalisent l’argument récurrent : « C’est la police qui a provoqué en premier ! », ce qui est parfois vrai mais parfois également utilisé hypocritement. Si cette position n’est pas unanimement partagée, il est cependant clair que tous les manifestants authentiquement anticapitalistes (ce qui ne nécessite en aucun cas d’avoir une connaissance fine des textes de proposition de lois systématiquement dirigé contre eux, peu importe leur nom) ont tout à gagner à ne pas se désolidariser les uns des autres et à se protéger physiquement face aux violences policières et à la surveillance des polices politiques. Certains ne sont effectivement pas prêt à aller à l’affontement pour diverses raisons. Mais même ces individus non-violents, lors des mouvements sociaux, en adoptant certaines pratiques défensives, en restant bienveillant les uns envers les autres, en résistant mieux au lacrymogène à l’aide d’un masque à gaz, en se protégeant le crane avec un casque de vélo ou de chantier, en se protégeant les yeux avec des lunettes de piscine, de chasse, de soudure, en fabriquant et en portant des banderoles renforcées et des boucliers, en stockant et en distribuant du sérum physiologique et des solutions de maalox, en empêchant les séparations de cortèges, restent offensifs et font le pari comme les autres que le rapport de force peut s’inverser. En manifestation comme sur internet, Anonymisons-nous ! Protégeons-nous ! Soyons solidaires ! Que la peur change de camp ! Si Eric Ciotti souhaite en savoir plus, il peut toujours consulter les articles suivants liés à l’actualité récente et la question de la violence et des débordements : https://paris-luttes.info/les-black-blocs-expliques-a-eric-ciotti-et-a-ma-grand-mere-5655?lang=fr
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pour l'instant c 'est la bande opposée, les robots cops, qui a du sang sur la mains !!! et ne me dit pas que c 'est de la propagande de gauchos = « Transparence et de redevabilité » En 2016, c’est l’ONG française de défense des droits de l’homme Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT) qui avait enquêté sur le sujet et rapporté 89 cas de blessures graves survenues entre 2005 et 2015 et ayant entraîné la mort à 26 reprises. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/02/17/le-nombre-de-tues-et-de-blesses-graves-par-la-police-desormais-recense_5258461_1653578.html#GAm64CFxM5Yzx3hE.99
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les stals nous feront toujours rire ! allez une petite archive qui fait rire =
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de vrais françois fillon, jean marine le pen, cahuzac et cie !!!! hein ??? tu es sûre que ce n'est pas la Corée du nord ?, ou bien groland ??
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cesses d'accuser les anars d'être complices de ces fachos d'islamistes !! je t'ai donné des liens pour te monter que chacun de tes coms est diffamatoire ou relève de l'ignorance ! je t'ai donné des sources et tu n'y réponds pas autrement qu'en disant, sans preuves, que ce sont des conneries ! la haine t'aveugle pour lutter contre des fachos, tu irais donc rejoinde d'autres fchos avec 40 ans de moins ?? extrait d'un long article en 3 parties = Sauf que la « Ligue » en vrai, c’est un peu plus compliqué. Parce que les militants qui passent leur temps à clasher Dieudonné se chambrent aussi entre eux en se faisant… des quenelles. Parce que les mêmes qui se présentent comme un mouvement d’autodéfense face aux agressions antisémites tombent aussi sur un gamin feuj du 19e qui a le malheur d’avoir une « gueule de gitan » ou qui gazent quelques années plus tôt des militants juifs du mouvement de gauche mainstream « la Paix Maintenant ». Ou encore parce la bande qui va faire exploser le scooter du boss d’un mouvement néonazi va, un an plus tard, participer à la sécurité d’une réunion du Bloc Identitaire. https://www.streetpress.com/sujet/1410186250-la-ligue-de-defense-juive-en-vrai tu affirmes mais tu ne prouves rien.... à part que tu es bouffé par la haine !
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allez les ""z'honnêtes gens" voilà de quoi vous rassurer ! une remise en question non pas des black block mais de ce qu'ils devraient choisir comme option = Pour un black bloc qui bloque autre chose que la manif Nous ne sommes pas hostiles à la technique du Black Bloc et nous l’avons maintes fois utilisée. Et même quand nous n’y sommes pas, nous sommes solidaires des cop(a)in(e)s en pleine action, blessés ou arrêtés. Mais pour nous elle doit servir quelque chose d’autre que la simple joie d’exister ou de se faire plaisir entre les convaincus. Autrement dit nous aimerions un Black Block qui bloque autre chose que la manifestation. 1200 personnes en black bloc, 15 000 dans le cortège de tête pour juste défoncer un mac do et cramer un concessionnaire c’est franchement du gâchis… notamment quand on voit le nombre d’arrestations. Pourquoi cette technique n’est pas utilisée pour bloquer des lieux de pouvoirs, des centres logistiques, décisionnels ? Elle serait pourtant très utile aux actions de blocage et de sabotage… Pourquoi n’est-elle pas utilisée lorsque la pression médiatique est moindre ? C’est pourtant là où on risquerait le moins… « Franchement on s’amusait mieux sans le Black Bloc » Nous comprenons très bien que pour certains, l’expression d’une violence contre les objets symboliques du capitalisme soient un exutoire à une existence sur laquelle s’exercent la violence et le contrôle de l’État. Mais de là à en tirer une théorie générale d’interprétation du monde et de la révolution, c’est pousser le bouchon un peu loin. Ainsi on peut vivre de belles scènes de solidarité dans l’émeute ou des manifestations plus énervées mais on peut aussi avoir des mauvaises expériences : violence gratuite et aveugle, sexisme, répression très violente, arrestations… Comme ailleurs ! Si nous avons réussi à désacraliser la manifestation cadrée par les syndicats, continuons sur notre route et désacralisons l’émeute, le black bloc ou même le cortège de tête. Ce ne sont que des stratégies, des techniques, pas une fin en soi. https://paris-luttes.info/appel-aux-convaincu-e-s-une-10146?lang=fr
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tu es de plus en plus aveuglé par la haine ! c 'est incroyable que tu oses m'insulter, me diffamer et diffamer des camarades en en vomissant que les fachos islamistes sont nos potes ! où étais tu quand nous étions en baston face au parti anti sioniste ? face au bone head ? face au GUD ?, quand nous allions exclure par la force le PIR de différentes manifs ou des barbus criant des slogans antisémites ?,, tu etais où ?? et c 'est toi qui parlait d'aller vivre en Pologne ! parlons en de la pologne actuelle = le droit des femmes de plus en pus réduit, la montée de l'antisémitisme d'état, la répression envers les opposants etc... tu aimes donc les dictatures du moment qu'elles soient bien blanche et chrétienne ??
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la haine d'aveugle ou quoi ??? quelques exemples prouvant que nous sommes très déterminés face à toutes formes d'antisémitismes = - nos actions, si décriées, contre thierry messan, dieudo, le parti anti sionistes, le parti des indigènes et autres connards !! - des tas de blogs anars ou antifas ou de gauche révolutionnaires n'ont eu de cesse de prévenir des arrangements de la farce insoumise et du PCF vis à vis du PIR ! et puis extraits Le site Memorial 98 publie un texte retraçant le contexte dramatique de la montée raciste et réactionnaire précédant l’assassinat de Mireille Knoll. L’assassinat de Mme Mireille Knoll s’inscrit dans le contexte d’une multiplication des actes et propos antisémites en France et en Europe. Les Juifs de France, qui représentent moins de 1 % de la population, sont, selon les statistiques officielles, la cible d’un tiers des actes haineux recensés dans le pays. Ce crime revêt un caractère particulièrement dramatique en raison de l’histoire de cette femme. Elle a survécu à la Shoah. Née en 1932 à Paris, Mireille Knoll a pu s’échapper de Paris avec sa mère avant quelques jours avant l’arrestation massive de plus de 13 000 Juifs en juillet 1942, lors de la rafle du Vel’ d’Hiv. C’est un passeport brésilien hérité de son père qui lui avait alors permis de trouver refuge au Portugal. Après la guerre, elle avait épousé un survivant d’Auschwitz, décédé il y a une quinzaine d’années Elle a été tuée à quelques centaines de mètres de l’Hyper-cacher de la porte de Vincennes, à proximité également du gymnase Japy, lieu de rafles des Juifs pendant la 2e guerre. Son domicile est également très proche du lieu ou a été tuée Mme Sarah Halimi en avril 2017 dans un crime à caractère antisémite. Dans ce dernier cas, il avait fallu plusieurs mois et de nombreuses mobilisations de ses proches avant que soit pris en compte et reconnu par la justice la part de l’antisémitisme dans son meurtre. Dans ce même quartier travaillait Ilan Halimi dont l’assassinat en 2006 avait ouvert un cycle antisémite sanglant. Nous appelons à une lutte active contre l’antisémitisme, qui prend aujourd’hui en Europe des formes alarmantes, particulièrement tragiques en France, alors que partout en Europe et aux USA, les tenants du fascisme et du nazisme sont à l’offensive notamment en Allemagne, Autriche, Hongrie, Pologne, Italie. https://paris-luttes.info/contre-les-crimes-antisemites-et-9845?lang=fr et 24 Mars 2015 Publié par Patrick Granet Fédération anarchiste - L'antisémitisme des Indigènes de la Rép Dans une allocution à la Maison de la littérature à Oslo, le 3 mars 2015, lors d'une conférence sur le thème «Minorités, nationalisme et États-nations», allocution intitulée «Racisme(s) et philosémitisme d'État ou comment politiser l'antiracisme en France», Mme Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République (PIR), a récemment dénoncé le prétendu «philosémitisme» des gouvernements français et les Juifs qui joueraient le rôle de «bonne conscience blanche». En effet, selon elle, «les Juifs» occulteraient «la mémoire de la traite négrière», la mémoire du colonialisme «blanc», mais aussi «la mémoire du génocide des Tziganes» - ce qui expliquerait l'hostilité «de la part des sujets post-coloniaux envers les Juifs» qui les voient comme les «enfants chéris de la République». Selon Mme Bouteldja, les Juifs seraient aussi les «porte-parole de l'Occident ou plus exactement ses goumiers notamment par le biais d'un autre État-nation colonial : Israël». Croyant sans doute innover en dénonçant le «philosémitisme d'État» (1), Mme Bouteldja rejoint ainsi une vieille tradition de l'extrême droite gauloise antisémite qui va d'Édouard Drumont à Alain Soral... En effet, dans ses polémiques contre les partisans de l'innocence du capitaine Dreyfus, l'écrivain antisémite Édouard Drumont dénonçait déjà ceux qu'il appelait les «philosémites», qui, pour lui, étaient des traîtres, des individus en voie de devenir «Juifs». Dès la première page de La Libre Parole il dénonce «le philosémite Leroy-Beaulieu». Dans un article de Jean-Paul Honoré («Le vocabulaire de l'antisémitisme en France pendant l'affaire Dreyfus», Mots, mars 1981, n° 2, pages 73-92), on découvre que la notion de «philosémitisme» est utilisée depuis longtemps comme un euphémisme pour dénoncer ceux qui luttent contre l'antisémitisme... d'État ou populaire. À l'époque, le concept de «politiquement correct» n'avait pas encore été inventé, mais l'extrême droite antisémite française dénonçait déjà le «philosémitisme» et les «compromissions philosémites». On m'objectera que le terme de «philosémitisme» est employé dans les milieux universitaires et intellos et qu'il n'est pas seulement péjorative. C'est ainsi, par exemple, qu'un journaliste du quotidien Haaretz, Yitzhak Laor, a publié un livre, cité d'ailleurs par Mme Bouteldja dans son allocution d'Oslo, intitulé Le Nouveau Philosémitisme européen. etc.....
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tu devrais mieux te documenter !!! pufff ! allez retournes y vers ce beau pays qui a su garder son identité et ses traditions = Dans un communiqué daté du 31 août, le Congrès juif européen (CJE) s’est dit « préoccupé » par la montée de l’antisémitisme en Pologne. Ces derniers mois, de multiples controverses ont distendu les relations entre la petite communauté juive du pays et le gouvernement conservateur. https://www.la-croix.com/Religion/Judaisme/Lantisemitisme-repart-hausse-Pologne-2017-09-04-1200874266
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j'en ai marre de tels propos !! tu as le droit de refuser ce choix de la violence mais c 'est une grosse erreur politique de nier ce qu 'il a comme symboles derrière cette violence!
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il y a encore du racisme envers les descendants ! ho moins qu'avant mais il existe encore !! il suffit d'écouter autour de soi ces ""bon franàais"" ! pour certains, il a fallu 2 générations pour être acceptés ! pour les autres c 'est encore dur même après la 3 ou 4 générations voire plus pour les français des ""DOM TOM"" !
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tu déconnes ??, les italiens, les belges, les polonais, etc....... malgré qu'ils étaient de culture européennes ont été rejetés car soit disant inassimilables