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toby5863

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Messages posté(e)s par toby5863

  1. Encore une preuve de la bêtise (ou plutôt l'aveuglement) des créationnistes.

    Dire que les fossiles attestent que l'évolution est fausse c'est vraiment se foutre de la gueule du monde.

    Another plus.gif

    Je sais même pas comment on peut arriver à ce genre de débat vide de sens. L'oeuvre que nous a laissé Darwin depuis des siècles a été mainte et mainte fois prouvé, tout comme celle de notre ami Newton (c'est bizarre je crois qu'il y avait un sujet en parallèle de celui-ci qui avait le même genre de problème).

    Et dire que les fossiles prouvent le créationnisme, vous en avez d'autres des comme ça?

  2. Considérons un autre paradoxe (sans rapport avec le premier) :

    Considérons un segment [AB] et un points P qui lui appartient.

    Alors le nombre de points sur [AP] est différent du nombre de points sur [AB], et pour s'en convaincre il ne reste qu'à faire une bijection de [AP] sur [AB] :

    segments.png

    Si le nombre de points étaient égaux, à chaque points de [AP] correspondrait un unique points de [AB] (c'est ce qu'on appelle une bijection en langage mathématique).

    Cependant prenons la bijection triviale de l'identité. A chaque points de [AP] correspond le même points de [AB], si bien qu'une fois que tous les points de [AP] sont "consommés", il reste encore des points sur [AB], c'est à dire ceux situés sur le segment [PB] !!!

    Donc contrairement à ce qu'on vous a toujours enseigné, il n'y a pas le même nombre de points sur deux segments de taille différente... :sleep: ... :o°

    Où est l'erreur?

    J'ai bien compris qu'on ne pouvait comparer 2 ensembles non finis, mais pourtant il semble logique qu'il y a plus de points sur AB que sur AP non? (et d'ailleurs je vois pas comment on pourrait dire:

    Cependant prenons la bijection triviale de l'identité. A chaque points de [AP] correspond le même points de [AB], si bien qu'une fois que tous les points de [AP] sont "consommés", il reste encore des points sur [AB], c'est à dire ceux situés sur le segment [PB] !!!

    Sans que ça soit le cas

  3. Je pense pas que ça soit ça, c'est comme dire que lim x -> 0 1/X n'est pas égale à l'infini, mais à un nombre très grand, vu que x n'est jamais égale à 0

    Ca fait tellement longtemps que j'ai pas travaillé avec des segments, que je me demandais si justement on pouvait additionner des longueurs qui n'ont pas la même direction / même sens ?

    Ca me semble bizarre de dire si admettons un bureau fait 1m de largeur et 2m de hauteur de dire que la taille totale du bureau en lui même fait 3m

  4. J'a rien lu mais d'après la première phrase c'est impossible, sinon d'où sortiraient les triangles isocèles et équilatérales thumbsup.gif

    je vais edit si je trouve où est l'annerie laugh.gif

  5. mon préféré : laugh.gif

    Le paradoxe EPR et la non-séparabilité

    La dualité onde-particule en mécanique quantique n’est pas un problème en soi. Elle met simplement en évidence le fait que les particules élémentaires ne se comportent pas comme les objets de la vie quotidienne et que nos concepts familiers sont inadéquats pour décrire le monde microscopique.

    Des difficultés plus sérieuses se posent lorsque l’on considère certaines des conséquences de l’indéterminisme. C’est en particulier le cas du paradoxe EPR, basé sur une expérience proposée en 1935 par Albert Einstein, Boris Podolsky et Nathan Rosen, dans le but de mettre en évidence des contradictions supposées de la mécanique quantique.

    L’expérience

    L’expérience est la suivante. Imaginons un laboratoire tapissé de détecteurs de photons. Au milieu de la pièce, plaçons un atome stimulé de façon telle qu’il émette simultanément deux photons après un certain laps de temps. Pour des raisons de symétrie, ces deux photons doivent se déplacer dans des directions exactement opposées. C’est bien ce que l’on observe : lorsque l’un détecteur indique la capture d’un photon, le détecteur placé du côté opposé fait de même.

    Jusqu’ici, pas de problème. Mais analysons la situation du point de vue de la mécanique quantique. Selon cette dernière, les photons n’ont pas de direction particulière avant d’être détectés, tout comme un électron n’a pas de position précise. Toutes les directions ont une probabilité identique tant que nous n’observons pas les particules. Ce n’est que lorsque nos détecteurs capturent l’un des photons que le choix d’une direction se produit.

    Le paradoxe

    C’est là le problème : le premier photon ne se voit affecté d’une direction particulière qu’au moment où nous le capturons et de même pour le deuxième. Pourtant, lorsqu’ils sont détectés, les deux photons se trouvent dans des directions exactement opposées. Comment les deux particules peuvent-elles apparaître simultanément aux extrémités opposées de la pièce si elles n’ont pas échangé d’information au départ ?

    Remarquons que la taille du laboratoire est sans importance. Si nous plaçons nos détecteurs aux quatre coins du Groupe local, le résultat sera identique. Les deux photons, même séparés par des millions d’années-lumière, seront détectés au même moment dans des directions exactement opposées, bien qu’ils ne savaient pas dans quelle direction ils se propageaient avant d’être observé

  6. La théorie des cordes est une des théorie le plus avancées selon moi dans la recherche actuelle, et celle-ci prédit bien 11 dimensions, il y a parmi les plus grands scientifiques de notre époque qui bossent dessus (Edward Witten, Brian Greene pour ne citer qu'eux). Je ne pense pas que cela soit des pures realités mathématiques. Faut arreter de tout le temps balancer sur les maths, car ce sont les outils creés par eux qui ont aider tous les scientifiques (en physique par exemple) à obtenir les théories que nous connaissons à l'heure actuelle. Un truc à savoir aussi c'est que les plus grands physiciens sont aussi de grand mathématiciens (newton a créés ses propres outils, et witten en plus d'être selon certains le nouvel Einstein, serait un des plus grands mathématiciens aujourd'hui).

    Après nous avons bel et bien des objets purement mathématiques (tel les tachyons) mais je ne pense pas que ceux-ci aient une par majeure dans la recherche actuelle

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