Barfaust

Nous sommes responsables de nos actes tant nous sommes conscients.

==>La jeunesse parlons-en, les enseignants fracassaient les mains des élèves avec leur règle autrefois, à présent la tendance s'est inversée au point où l'enseignant n'ait plus le droit de riposter lorsque l'élève lui fait affront. Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres, et l'on voit ici-même que la société accordant davantage de droits à chacun (hommes, salariés, enfants,...) a fini par faire changer notre comportement. Même si l'élève/salarié/... reste soumis aux directives de son supérieur, la loi l'autorise à s'exprimer comme il veut. A donner trop de droits aux hommes, ces derniers se croient autorisés à ne plus respecter autrui si ça leur chante. ==> Il serait bon de songer à relire l'histoire de notre société, celle-ci a depuis plus d'un siècle considéré de plus en plus l'individu et naon la collectivité. Droit de grève accordé aux salariés et aux fonctionnaires, qu'y a-t-il de plus individuel ? On ne vise plus l'intérêt de la collectivité en sermonnant "travaillez sans relâche pour la société", mais de l'individu en lui accordant le droit de revendiquer ses droits/privilèges. La loi de la majorité sera évidemment toujours présente et nécessaire pour que la société puisse subsister, mais aujourd'hui, notre état d'esprit fait que nous voulons/cherchons d'individualiser la société dans laquelle nous vivons

Le respect est capital pour garantir la cohésion sociale. Le temps n'a pas rendu les individus dépravés, décadents ou autres. Le relâchement des moeurs et l'acquisition de nouveaux droits nous ont donné davantage de liberté. La liberté d'expression a permis aux gens de se relâcher au niveau du "respect".... Le respect envers autrui se perd car notre société privilégie l'individualité de chacun (contrairement à ce qui pourrait paraitre). Aujourd'hui le "moha" est mis en avant par rapport aux valeurs dites traditionnelles "famille, travail, patriotisme,...".