-
Compteur de contenus
4 533 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par saintluc62
-
-
Fird Eaglin Jr, connu sous le surnom de Snooks Eaglin, est un chanteur-guitariste de blues américain, né à La Nouvelle-Orléans (Louisiane), le 21 janvier 1936 et mort le 18 février 2009 à l'âge de 73 ans. Eaglin a perdu la vue peu après son premier anniversaire des suites d'un glaucome. Vers l'âge de cinq ans, on lui offre une guitare dont il apprendra à jouer en écoutant la radio (son surnom lui vient d'un personnage de radio nommé "Baby Snooks"). Assez tôt, Eaglin abandonne ses études pour rejoindre les Flamingoes, un groupe local formé par Allen Toussaint. Il ne le quittera qu'à sa dissolution, au milieu des années 1950. Eaglin a souvent joué dans les rues entre ses tournées ou lorsque le travail de studio manquait ; c'est là qu'il sera découvert par Harry Oster, un folkloriste de l'université de la Louisiane. Il enregistrera ensuite chez Folkways Records, Folklyric, et Prestige. Considéré comme un superbe bluesman, son style vocal rappelle celui de Ray Charles. C'est probablement dans son disque That's All Right (Heritage, 1961) qu'il en fait la meilleure démonstration. Avec les années, sa capacité à assimiler et à s'approprier n'importe quel morceau s'est développée au point de lui valoir le surnom de « jukebox humain ». discographie: http://www.wirz.de/music/eaglfrm.htm
-
et bonjour à toustes http://www.youtube.com/watch?v=4pdXWsqX6VM http://www.youtube.com/watch?v=FZaHMbVKhV8 http://www.youtube.com/watch?v=31kbIMT2sYU Les morceaux exceptionnels continuent...
-
William James « Willie » Dixon (né le 1er juillet 1915 et mort le 29 janvier 1992) était un musicien, contrebassiste, compositeur, arrangeur, producteur et chanteur de blues américain. Son influence artistique chez Chess Records, autant que son rôle au début de la carrière de Chuck Berry et de Bo Diddley, ont été prépondérants. Par ses multiples talents, il a largement contribué à façonner une bonne partie du Chicago blues de l’immédiate après-guerre. Il est né William James Dixon à Vicksburg dans le Mississippi. Au cours de son enfance, il se frotte à plusieurs reprises avec la justice ce qui l'amène à quitter le Mississippi pour Chicago en auto-stop. Là bas, grâce à sa carrure imposante, il devient boxeur et parvient même à gagner le titre Golden Gloves dans la catégorie poids-lourd en 1936. Parallèlement à cela, Dixon apprend la contrebasse, mais ses progrès sont arrêtés quand il résiste à un recrutement pour la Seconde Guerre mondiale et est emprisonné pour dix mois. Après la guerre, il retrouve son professeur, Leonard Baby Doo Caston, avec qui il forme le Big Three Trio, et enregistre pour Columbia Records. Dans la foulée, Dixon signe pour Chess Records comme musicien de studio et compositeur attitré un peu plus tard, en 1951, où il est employé à plein temps du label. Il devient le contrebassiste de Howlin' Wolf dans un groupe où il côtoie James Cotton, l'harmoniciste de Howlin' Wolf. Ses relations avec Chess sont alors parfois tendues, mais il laisse son empreinte sur le label de 1948 au début des années 1960. Dans les années 1970 et 1980, sa santé se détériore en grande partie à cause du diabète qu'il avait depuis plusieurs années et qui le contraindra par la suite à être amputé d'une jambe. Il remporte un Grammy Award du Meilleur disque de Blues traditionnel en 1989. C'est également à cette époque que Willie Dixon est promu au Rock and Roll Hall of Fame. Willie Dixon meurt à la suite d'une défaillance cardiaque à Burbank en Californie le 29 janvier 1992 et est enterré au Burr Oak Cemetery à Alsip dans l'Illinois. L'influence de ses années chez Chess reste prodigieuse. Il ira même jusqu'à affirmer une fois "I am the blues" (je suis le blues). Il est en effet une des influences majeures du genre que ce soit à travers son écriture originale et variée, ses performances scéniques, ses enregistrements ou son vaste travail de production. Discographie Willie Dixon a enregistré plusieurs albums sous son nom : Willie’s Blues (1959, Prestige) Peace? (1969, Yambo) I am the Blues (1970) What Happened to my Blues (1979, Ovation) Hidden Charms (1988) Ginger Ale Afternoon (1989, Varese Sarabande) The Chess recordings & More (1990, Chess MCA) Son jeu de contrebasse était de grande qualité. On peut l'entendre par exemple sur les premiers enregistrements de Chuck Berry qui font le lien entre le blues et la naissance du rock 'n' roll. Le génie de Dixon en tant que compositeur, tient dans sa capacité à transformer des thèmes musicaux archaïques du sud en des arrangements contemporains. Cela donne des chansons avec des fondations de blues et la légèreté de la musique pop. Les groupes de rhythm and blues britanniques des années 1960 par exemple se sont beaucoup inspirés du catalogue de chansons de Dixon. Willie Dixon reste célèbre pour son travail comme producteur pour Chess Records à Chicago et est considéré comme un des personnages clés dans la création du Chicago blues. Il travailla notamment avec Chuck Berry, Muddy Waters, Howlin' Wolf, Otis Rush, Bo Diddley, Little Walter, Sonny Boy Williamson, Koko Taylor, Little Milton, Eddie Boyd, Jimmy Witherspoon, Lowell Fulson, Willie Mabon et Memphis Slim. Par la suite, un de ses grands succès fut de réunir de célèbres musiciens de blues pour créer des ensembles de Chicago blues qu'il envoyait tourner en Europe. http://www.youtube.com/watch?v=743jML8yQZg http://www.youtube.com/watch?v=JbcYo4kaDzs http://www.youtube.com/watch?v=gOF1ROkvBbA
-
-
James Henry « Jimmy » Dawkins (né le 24 octobre 1936 à Tchula, Mississippi et mort le 10 avril 2013 (à 76 ans) à Chicago, Illinois) est un chanteur et guitariste de blues. Il déménage à Chicago en 1955, où il travaille à l'usine et joue dans des clubs locaux qui lui vaudront une réputation de musicien de sessions. En 1969, grâce aux efforts de son ami Magic Sam, il enregistre son premier album solo Fast Fingers sur le label Delmark Records, remportant le Grand Prix du Disque du Hot Club de France. En 1971, Delmark sort son second album All For Business avec comme chanteur Andrew Big Voice Odom et le guitariste Otis Rush. Il commence à tourner en Europe et au Japon, et enregistre plusieurs albums en Europe et aux États-Unis (il participe entre autres à l'enregistrement du légendaire Bad Luck blues de Cousin Joe chez Black & Blue). Dawkins a également tenu une chronique dans la revue Living Blues dont il a participé à la création. Dans les années 1980, il enregistre peu, et commence sur son propre label Leric Records à promouvoir d'autres artistes. À partir de 1991, il recommence à tourner et à enregistrer. En 1995, il reçoit 3 nominations pour les W.C. Handy Award dans les catégories : Best Blues Instrumentalist - guitare, Contemporary Blues Album of the Year (1994's Blues And Pain), Blues Song of the Year (Fool in Heah). La resortie de Fast Fingers lui vaudra un W.C. Handy Award comme Best Reissue Blues Album of the Year en 1999. Discographie 1969 : Fast Fingers 1971 : All For Business 1971 : Jimmy Dawkins 1971 : Tribute To Orange 1972 : Transatlantic 770 1975 : I Want To Know 1976 : Blisterstring 1976 : Come Back Baby 1981 : Hot Wire '81 1982 : Jimmy and Hip: Live! 1985 : Feel The Blues 1986 : All Blues 1991 : Blues From Iceland 1992 : Kant Sheck Dees Bluze 1994 : Blues And Pain 1995 : B Phur Real 1997 : Me, My Gitar & The Blues 2002 : West Side Guitar Hero 2004 : Tell Me Baby http://www.youtube.com/watch?v=Y4ZpizkfqUI
-
http://www.youtube.com/watch?v=Td4HNj7ZaRs http://www.youtube.com/watch?v=zR7VHblYpRs http://www.youtube.com/watch?v=Wy2xG2UCc4k
-
http://www.youtube.com/watch?v=yxr9_Z2n8uc
-
Mes musiques de voyages... Musiques du monde
saintluc62 a répondu à un(e) sujet de saintluc62 dans Musiques
bonjour à toustes et bonne semaine -
-
Peter Green, de son vrai nom Peter Greenbaum, est un guitariste et compositeur britannique de blues et de rock, né le 29 octobre 1946 à Londres. Il effectue ses débuts de musicien en 1966 au sein des Peter B's Looners de l'organiste Peter Bardens (ex-accompagnateur de Van Morrison chez Them et futur Camel) avec lequel il enregistre un simple. Dans cette formation, il côtoie notamment le batteur Mick Fleetwood. En juillet 1966, John Mayall lui propose de remplacer définitivement Eric Clapton au sein de ses Bluesbreakers – après qu'il eut opéré quelques remplacements ponctuels sur scène – où il ne tarde pas à retrouver Mick Fleetwood. Green ne reste qu'une seule année dans la formation de John Mayall, le temps d'enregistrer l'album A Hard Road, une authentique réussite où il démontre toute l'étendue de son talent de guitariste, notamment dans deux morceaux instrumentaux : the Stumble et Supernatural. En septembre 1967, Peter Green quitte John Mayall et part fonder le Fleetwood Mac en compagnie de Mick Fleetwood et de John McVie, également un musicien des Bluesbreakers. De 1967 à 1970, sous l'impulsion de Peter Green, le Fleetwood Mac va être l'un des groupes majeurs de la scène rock. Guitariste virtuose, au style très fluide, Peter Green se révèle également un compositeur très inspiré. On lui doit notamment le morceau Black Magic Woman, immortalisé plus tard par Carlos Santana, dans une version quelque peu différente. Alors que le Fleetwood Mac est à son apogée au début de 1970, la santé mentale de Peter Green, son leader, devient préoccupante. Personnalité complexe et torturée, il vit mal son statut naissant de super-star. Il cherche le réconfort dans la religion, mais également dans les paradis artificiels, ce qui ne fait que détériorer un peu plus son état. Peter Green aurait ainsi eu une vision d'un ange qui lui aurait demandé de consacrer les recettes du groupe à la paix dans le monde. C'est suite à cette vision qu'il écrit Green Manalishi. En mai 1970, il quitte brutalement le groupe, pour enregistrer un album solo instrumental au titre prémonitoire : The End of The Game ("game" : jeu de mot, signifie en même temps le "jeu" et le "gibier"... La pochette montre un félin couché sur une branche d'arbre). Peter Green abandonne alors la musique. Pris dans une spirale mystique, il vend ses biens, puis est un temps interné en hôpital psychiatrique. Il cumule les petits boulots durant plusieurs années, dont celui de fossoyeur. Il refait surface en 1979 avec l'album In The Skies, très chaleureusement accueilli par la critique. Mais après quelques autres albums de qualités inégales, il sombre à nouveau dans une longue dépression et la schizophrénie. Il faut ensuite attendre plus d'une dizaine d'années pour retrouver la trace de Peter Green, qui sort de son silence au milieu des années 1990. Poussé par Nigel Watson, il fonde alors le Splinter Group, à la tête duquel il joue un soft-blues de qualité. Le Splinter Group a enregistré de nombreux albums et continue de se produire régulièrement sur scène. Les fans ont énormément critiqué ce groupe, car Green n'y chantait pas, n'était pas guitariste soliste, se contentant d'un rôle de second plan. Green semble alors avoir recouvré la santé, tant psychique que physique. Le groupe se porte bien, il comprend entre autres Nigel Watson, cochanteur, coguitariste. Peter Green Splinter Group, Soho session, Hot foot powder, Reaching the cold 100, ou Destiny road sont de belles réussites. Le Splinter Group a continué de vivre dans un relatif anonymat immérité jusqu'en 2005. Une dispute avec Nigel Watson fut la cause de l'arrêt du groupe. Une compilation de l'œuvre de Peter Green a été éditée en octobre 2008 : elle regroupe sur 4 CD l'essentiel de ce guitariste, une bible pour les amoureux de ce légendaire bluesman et instrumentiste. Quelques concerts de promotion furent organisés en 2009, avec une nouvelle formation, Peter Green and Friends, où Green retrouve une place de soliste mais a perdu beaucoup de sa technique. L'artiste a repris une Les Paul en 2009, presque 20 ans après l'avoir abandonnée, comme l'illustre son concert au Bluesgarage (Allemagne). http://www.youtube.com/watch?v=nB6zg05CxYg
-
-
J.J. Cale, de son vrai nom John Weldon Cale, est un auteur, compositeur, interprète et guitariste américain, né le 5 décembre 1938 à Tulsa, en Oklahoma. Ses initiales « J.J. » lui sont attribuées, à ses débuts, par le patron d'un cabaret, pour le différencier de John Cale, à l'époque membre du groupe The Velvet Underground. Il grandit à Tulsa, dans l'Oklahoma. Il enregistre, le 6 octobre 1958, sous le nom de Johnny Cale (chez Mercury), un single Shock Hop & Sneaky, puis sous le nom de Johnny Cale Quintet, deux autres singles (chez Chan) : The Purple Onion [instr.], Troubles, Troubles, Troubles et Ain't That Lovin' You Baby, She's My Desire, puis joue en compagnie de Leon Russell. Ils accompagnent Delaney & Bonnie et, en 1965, J.J. Cale compose After Midnight, qui n'attire pas vraiment l'attention, jusqu'à ce qu'Eric Clapton reprenne ce titre en 1970. En 1967, il fait partie du groupe Leather Coated Minds, dont le seul album, Trip Down Sunset Strip, est maintenant un collector, davantage pour l'apparition de J.J. Cale que pour sa réelle valeur musicale. En 1972 il enregistre son premier album Naturally, suivi quelques mois plus tard de Really. Sa musique est une sorte de country rock largement teinté de blues. Il est le principal initiateur du « Tulsa sound » (son de Tulsa), et sa musique est souvent qualifiée de laid back, en référence à son jeu de guitare très inspiré et décontracté, ainsi qu'à sa voix marmonnée. Bien qu'étant très exigeant sur le son de sa guitare, il est connu pour sa simplicité et son accessibilité, et l'on prétend pouvoir encore le rencontrer jouant seul, au fond d'un bar, accompagné seulement de sa guitare. Il a beaucoup influencé les artistes des années 1970 et 1980, notamment Mark Knopfler dans son jeu de guitare et sa façon de chanter, ainsi qu'Eric Clapton, qui a d'ailleurs repris plusieurs de ses chansons (After Midnight, Cocaine, I'll Make Love To You Anytime et, plus récemment, Travelin' Light). En 2006 il enregistre avec Eric Clapton Road to Escondido, où il signe la plupart des titres. Beaucoup d'autres artistes de renom ont puisé dans le répertoire de J.J. Cale : Lynyrd Skynyrd, Santana, Freddie King, Chet Atkins, Widespread Panic, Jerry Garcia Band, Seldom Scene, Bill Wyman, Jim Gordon, Dr Hook, Waylon Jennings, Clarence Gatemouth Brown, Bryan Ferry, Kansas, Cissy Houston, Maria Muldaur, Randy Crawford, Johnny Cash, John Mayall, The Tractors, Poco et beaucoup d'autres encore, comme Francis Cabrel, en France. Cale est l'un des personnages principaux du roman Visas antérieurs de Luc Baranger, paru aux éditions Gallimard en 1996. Albums studio 1972 : Naturally 1972 : Really 1974 : Okie 1976 : Troubadour 1979 : 5 1980 : Shades 1982 : Grasshopper 1983 : # 8 1989 : Travel-log 1992 : Number 10 1994 : Closer To You 1996 : Guitar Man 2004 : To Tulsa & Back 2006 : The Road to Escondido (avec Eric Clapton) 2007 : Rewind - The Unreleased Recordings 2009 : Roll On Compilations et albums live 1984 : Special Edition 1997 : The Very Best of J.J. Cale 1997 : Anyway The wind Blows - The Anthology 2001 : Live 2003 : In Session At Paradise Studios, Los Angeles, 1979 (avec Leon Russell) 2011 : The Silvertone Years Participations 1965 : Leon Russell, Everybody's Talkin about the Young - Dot 1966 : The Surfaris, Chicago Green/ShowBiz - Dot 1967 : The Leathercoated Minds, A Trip Down The Sunset Strip - Viva 1968 : Sonny Curtis, Sonny Curtis - Viva 1970 : Don White, Overtime - Dot 1973 : Art Garfunkel, Angel Clare - CBS 1973 : Leon Russell, Hank Wilson's Back - Shelter 1973 : Bob Seger, Back in '72 - Palladium/Reprise 1973 : Jimmy Rogers, Gold Tailed Bird - Shelter 1974 : Leon Russell, Stop All That Jazz - Shelter 1975 : Leon Russell, Will o' the Wisp - Shelter 1976 : Maria Muldaur, Sweet Harmony - Warner 1978 : Jessi Colter, That's the Way a Cow-boy Rocks - Capitol 1978 : Gordon Payne, Gordon Payne - A&M 1978 : Neil Young, Comes a Time - Reprise 1978 : Eddy Mitchell, Après minuit - Barclay 1978 : Jonas Band Fjeld, Back In the USA - Mercury 1979 : Lee Clayton, Naked Child - Capitol 1980 : Don Schlitz, Dreamers Matinee - Capitol 1980 : Lawler & Cobb, Men From Nowhere - Elektra 1984 : Christine Lakeland, Veranda - Comet 1989 : Usual Suspects, Goodbye - Suspex 1990 : Emile Wandelmer, Lover's Café - WEA 1990 : Christine Lakeland, Fireworks - Loft 1991 : Paul Simon, Rhythm of the Saints - CBS 1992 : John Hammond, Got Love If You Want It - Pointblank 1993 : John Hammond, Trouble No More - Pointblank 1993 : Christine Lakeland, Reckoning - SkyRanch 1994 : Ben Keith, Seven Gates - Reprise 1994 : The Tractors, The Tractors - Arista 2006 : Tony Joe White, Uncovered - Swamp Records 2010 : Eric Clapton, Clapton - Reprise Records. (Clapton y reprend 2 titres de J.J. Cale : River Runs Deep (en duo avec lui) et Everything Will Be Alright. On peut aussi entendre J.J. Cale sur No Way To Get Along). 2013 : Eric Clapton, Old Sock - Bushbranch (Duo Clapton /J.J. Cale sur le titre "Angel", paroles et musique de J.J. Cale) http://www.youtube.com/watch?v=R-fb7Bmde8M
-
-
Joe Bonamassa, né le 8 mai 1977 à Utica (État de New York), est un chanteur et guitariste de blues rock américain. Il est actuellement le guitariste de Black Country Communion, un groupe de hard rock composé de lui, Jason Bonham, Glenn Hughes et Derek Sherinian. Joe Bonamassa a commencé à apprendre la guitare à l'âge de 4 ans. Son père Len Bonamassa tient un magasin de musique à Utica dans l'état de New York. Il a donc baigné dès son plus jeune âge au milieu de guitares mythiques. À l'âge de 11 ans, après une courte période d'apprentissage avec le musicien de country Danny Gatton, il avait déjà beaucoup appris sur la country, le blues et le jazz, il fit la première partie de BB King, ce dernier ne tarissant pas d'éloge sur le petit prodige. Par la suite il ouvrira pour plusieurs grands artistes tels que Buddy Guy, Foreigner, Gary Moore, George Thorogood, Robert Cray, Stephen Stills, Joe Cocker et Gregg Allman. À 14 ans, il est invité au Fender Guitar Event, et rencontre à cette occasion Berry Oakley (le fils du bassiste des Allman Brothers Band). Il forme alors avec lui, le groupe Bloodline, en compagnie de Erin Davis (le fils de Miles Davis) et de Waylon Krieger (le fils de Robby Krieger, le guitariste des Doors). Leur seul album donnera deux singles classés dans les charts : Stone Cold Hearted et Dixies Peach. En 2000, sa rencontre avec le producteur Tom Dowd débouchera sur son premier véritable album solo A New Day Yesterday. Cet album permet à Joe d'exprimer tout son talent sous forme d'un power trio et il place un premier titre solo dans les charts US : Miss You, Hate You. L'autre titre phare de l'album est A New Day Yesterday, adapté du titre éponyme du groupe Jethro Tull sur leur album stand up de 1969. Fort de cette expérience, Joe Bonamassa entame sa première tournée US en solo accompagné de deux musiciens expérimentés qui le suivront jusqu'en 2005 : Kenny Krame à la batterie et Eric Czar à la basse. Cette tournée sera immortalisée le 21 décembre 2001 en vidéo lors du concert de Fort Wayne dans l'Indiana. De retour en studio, il enregistre son second album So,It's like That toujours avec le même trio avec des titres comme So, It's Like That, Mountain Time qui seront repris en 2009 au Royal Albert Hall. Dans cet album, le son de Joe Bonamassa s'affirme et dévoile aussi un chant plus posé. L'année suivante est particulière pour Joe Bonamassa car elle est l'année de l'enregistrement de l'album Blues Deluxe. Dans cet album, Joe exprime toute sa passion du blues et de ses influences (B.B King sur la chanson you upset me baby). Il compose même un morceau phare de sa carrière Woke Up Dreaming qui montre ses talents de guitariste acoustique. En 2004, l'album Had to Cry today démontre un son des plus aboutis et une variété technique sans précédent. Abordant tous les styles à sa portée de Had to cry today particulièrement incisif à Travellin' South avec un jeu de bottleneck précis et rapide. Joe livre aussi un hommage à son mentor Danny Gatton décédé peu avant, avec son morceau instrumental Revenge of ten gallon Hat où Joe montre qu'il maîtrise presque aussi bien la Telecaster que son maître. Dans les mois qui suivent, Joe Bonamassa et son power trio repartent en tournée avec la découverte du continent européen. Un nouveau dvd sera enregistré en Allemagne Live at Rockpalast. En 2005, sa rencontre avec Kevin Shirley producteur très réputé de la cote ouest, est déterminante. Il évoque lui même à plusieurs reprises sa surprise que Kevin Shirley the Caveman, s'intéresse à sa musique. Ce dernier va faire décoller la carrière de Joe Bonamassa, même s'il faut en passer pas plusieurs modifications : 1 - Son power trio est remplacé par des musiciens plus expérimentés (des fans sont encore divisés quant à l'éviction de Kenny Krame et Eric Czar). Joe Bonamassa fait alors connaissance avec le bassiste Carmine Rojas, le clavieriste Rick Mellick, le batteur Anton Fig pour ne citer qu'eux. Le son de Bonamassa devient plus recherché, sophistiqué, complexe et l'ajout d'un clavier n'y est pas étranger. 2 - Son matériel devient de plus en plus pointu (collaboration avec les fabricants Van Weelden, Category 5, Caroll Ann Amps et surtout un modèle signature Gibson Les Paul). 3 - l'image, le look de Joe B. change, le guitariste se fait de plus en plus élégant, apparaissant en costume noir ou gris sur scène avec des lunettes noires S'en suivent deux albums You & Me et Sloe Gin dont le morceau éponyme symbolise à lui seul l'évolution technique & stylistique de Bonamassa. L'album The Ballad of John Henry le fait sortir du milieu du blues US pour le révéler au public international avec des morceaux comme Stop!. Son jeu est remarqué pour sa fluidité, ses solos enlevés et sa justesse. Joe Bonamassa s'est construit une réelle identité sonore, reconnaissable entre toutes. C'est donc tout naturellement qu'il démarre une nouvelle tournée mondiale où les sold out commencent à être une habitude... En 2009, son concert au Royal Albert Hall de Londres lui permet de se faire connaître en Europe. Ce concert reste pour lui une consécration car il joue là où jouait son idole plusieurs décennies auparavant : Eric Clapton. Ce dernier lui fait le privilège de partager la scène avec lui pour le morceau Further on up the Road, un DVD du concert sortira à la suite de cette date. Bien que peu connu en France, il fait salle comble en novembre de la même année à l'Olympia (lui-même en a exprimé sa surprise sur scène). Toujours en 2010, il joue sur la scène du Montreux Jazz Festival, après Buddy Guy. On le retrouvera aussi avec ce même Buddy Guy et Eric Clapton lors du festival Crossroads Guitar Festival en 2010. En juillet 2010, il assure la première partie de ZZ Top au Zénith de Toulouse, aux Arènes de Bayonne et à celles de Nîmes. Dès cette année, les tournées mondiales s'enchainent pour Joe Bonamassa, sans compter les projets annexes comme Black Country Communion, la collaboration avec Beth Hart. En avril 2013, il clôture sa tournée the guitar event of the year à Paris, au Grand Rex, après avoir enflammé de nouveau Londres et aussi avoir annoncé la sortie du live/dvd de sa tournée acoustique. Joe Bonamassa vit actuellement en Californie près de Malibu, à quelques kilomètres à peine des studios The Cave de Kevin Shirley Véritable technicien de la guitare, Joe Bonamassa possède un jeu très incisif et rapide, qui sait rester mélodique, et emprunte des tonalités jazzy, à la Robben Ford. Dans une interview de Guitariste magazine (n°265), Joe Bonamassa cite les 3 albums qui ont eu le plus d'influence sur lui : L'album Beano de John Mayall (Blues Breakers with Eric Clapton), l' Irish Tour '74 de Rory Gallagher, et Goodbye de Cream. Cependant son style peut être considéré dans la même veine Blues-Rock que Gary Moore, Stevie Ray Vaughan, Kenny Wayne Shepherd et Jonny Lang. Le son de Joe Bonamassa est aussi unique que son jeu. Au niveau technique il a très tôt évolué majoritairement sur des Fender Stratocaster & Telecaster (avec parfois des Gibson Les Paul. Le tout était branché avec des amplis Marshall Silver Jubilee et Super Lead Plexi (parfois Line 6 en tournée) ce qui donnait un grain particulier au son de Bonamassa (surtout avec sa stratocaster goldie équipée de micros Gold Lace Sensor). On retrouve le son des Marshall Silver Jubilee (plus ou moins coloré) dans tous ses albums. Depuis 2005 et son album You & Me (et sa rencontre avec Kevin Shirley probablement]] Joe Bonamassa redécouvre la Gibson Les Paul et s'équipe d'un matériel encore plus pointu (on note sa collaboration avec Peter Van Weelden qui lui a fourni le grain si caractéristique du Twinkleland). Il se dote d'un modele signature chez Gibson en gold top et collabore avec de prestigieux fabriquants de micros, effets, etc. (Jorge Tripp pour Way Huge ou Seymour Duncan) Studio En 2000, Joe Bonamassa débute sa carrière solo, et enregistre son premier album A New Day Yesterday, contenant une reprise de A New Day Yesterday de Jethro Tull (1969). Cet album est produit par le producteur Tom Dowd (producteur sur l'album d'Eric Clapton Layla and Other Assorted Love Songs). En 2002, So, It's Like That atteindra pourtant la 1re place du Billboard Blues Chart. En 2003, Blues Deluxe contenant 9 reprises de classiques du blues, qui atteint aussi la première place. En 2004, Had to cry today En 2006, You & Me En 2007, Sloe Gin contient beaucoup de reprises et des titres composés en collaboration avec d'autres artistes. En 2009, The Ballad of John Henry contient sept titres qu'il a écrits, plus cinq reprises. En 2010, Black Rock enregistré en Grèce. En 2010, Black Country Communion le premier album du super groupe du même nom: Black country communion. En 2011, Dust Bowl qui contient des titres joués avec John Hiatt, Gleen Hughes et Vince Gill plus des reprises. En 2011, Black Country Communion II le second album de Black country communion. En 2011, Don't Explain avec la chanteuse de blues et de rock Beth Hart. [1]. En 2012, Driving Towards the Daylight avec la participation de Brad Whitford. En 2012, Afterglow le troisième album de Black country communion. En 2013, We Want Groove avec le Rock Candy Funk Party, groupe de jazz-funk. Live Live From Nowhere In Particular (2008) Live At The Cabooze Live At The Rockpalast (en video) A New Day Yesterday Live Live At The BBC avec la participation de Sandi Thom Live from the Royal Albert Hall (DVD) avec la participation de Eric Clapton Live from New-York at beacon theater (DVD) avec la participation de Beth Hart, John Hiatt et Paul Rodgers An Acoustic Evening at The Vienna Opera House (CD & DVD
-
-
Clarence Gatemouth Brown, né à Vinton, Louisiane, le 18 avril 1924 et décédé le 10 septembre 2005, est un chanteur, harmoniciste, guitariste et violoniste américain de blues. Clarence "Gatemouth" Brown a grandi à Orange au Texas. Sa carrière musicale professionnelle a commencé en 1945, comme batteur à San Antonio. Il a été surnommé « Gatemouth » pour sa voix profonde. En 1947, il joue pour la première fois de la guitare lors d'un concert de T-Bone Walker dans une boîte de nuit de Houston. Il se rend à Nashville pour participer à un show télé, et enregistre quelques singles country. Il se lie d'amitié avec Roy Clark. À la fin des années 1960, il décide de quitter le milieu musical et s’installe au Nouveau-Mexique comme shérif adjoint. Au début des années 1970, le public européen s'enthousiasme pour la roots music (en) particulièrement le blues. Du fait de sa notoriété, Brown est sollicité pour des tournées en Europe tout au long des années 1970. Dans les années 1980, une série d'album a relancé sa carrière aux États-Unis. Il réalise alors de 250 à 300 concerts par année. En 1982, il remporte un Grammy Award pour l'album Alright Again!. Dans les années qui précédent sa mort, il voyage dans le monde en Australie, en Nouvelle-Zélande, Amérique Centrale, en Afrique, et dans l'ancienne Union Soviétique. Les « gens ne peuvent pas venir chez moi, ainsi je vais chez eux, » disait-il. En septembre 2004, on lui diagnostique un cancer du poumon. Déjà souffrant de l'emphysème et de maladies de cœur, Brown décide de renoncer au traitement. Pendant sa carrière, il a joué une grande variété de guitares, Gibson L-5 (en) et Fender Telecasters, mais sa guitare favorite était une Gibson Firebird du milieu des années 1960. Malgré ces changements d'instruments, il est cependant resté fidèle à une technique employant l'attaque des cordes aux doigts de la main droite (pouce compris), sans usage d'aucun médiator ou onglet, technique qui donne à son jeu à la fois la virtuosité, la fluidité et la douceur d'une attaque pourtant très dynamique. Et comme beaucoup de guitaristes "naïfs" (au sens noble), il utilisait systématiquement la transposition au capodastre, qui permet de penser la musique en une seule tonalité de base (souvent la tonalité de Mi majeur). Pour ces raisons, son son superbe jeu guitaristique est resté instantanément identifiable et d'une efficacité redoutable. On peut s'en rendre compte dans les diverses versions disponibles de son morceau de prédilection dénommé "Okie Dokie Stomp". Malgré son caractère inimitable au sens strict, son style à influencé beaucoup d'autres guitaristes de blues tels qu'Albert Collins, Guitar Slim, J.J. Cale, et Johnny "Guitar" Watson. Albums personnels San Antonio Ballbuster (1948) The Blues Ain't Nothin' (1972) Just Got Lucky (1973) Cold Strange (1973) Sings Louis Jordan (1973) Black Jack (1975) Down South in Bayou County (1975) Gate's on the Heat (1975) Bogalusa Boogie Man (1976) Makin' Music (MCA) avec Roy Clark et Steve Ripley (1979) Alright Again! (1981) One More Mile (1982) Atomic Energy (1984) Pressure Cooker (1985) More Stuff (1985) Real Life (Live) (1987) Texas Swing (1988) Standing My Ground (1989) The Original Peacock Recordings (1990) No Looking Back (1992) Live 1980 (1994) The Best of Clarence Gatemouth Brown, A Blues Legend (1995) Man (1995) A Long Way Home (1996) Gate Swings (1997) Okie Dokie Stomp (1999) American Music, Texas Style (1999) Guitar in My Hand (2000) Okie Dokie (2000) The Definitive Black & Blue Sessions: Sings Louis Jordan (2001) Back to Bogalusa (Verve, 2001) avec Sonny Landreth His First Recordings: 1947-1951 (2002) 1947-1951 (2002) Hot Club Drive (2003) Timeless (2004) 1952-1954 (2005) Heat Wave (2005, Black & Blue) avec Lloyd Glenn, enregistré à Nice en 1977. Participations 1994 : Talking Timbuktu de Ali Farka Toure (World Circuit) avec Ry Cooder et Jim Keltner 2000 : Bad luck blues de Cousin Joe (Black & blue) avec Jimmy Dawkins (enregistré à Toulouse en 1971.)
-
Hello
-
Robert Calvin Bland dit Bobby « Blue » Bland, est un chanteur de blues américain, né à Rosemark, Tennessee (en) dans le Tennessee le 27 janvier 1930 et mort à Memphis le 23 juin 2013. Il est un des pionniers du soul blues. Titres connus Further Up The Road : single sorti en 1957. Est probablement avec Turn On Your Love Light, le titre le plus connu de Bobby « Blue » Bland. Il a été repris par quelques-uns des plus grands bluesmen blancs : Roy Buchanan sur Live Stock (1975), Mike Bloomfield sur Live at the Old Waldorf (enregistré en 1977), Eric Clapton sur Just One Night en 1980 ou encore Gary Moore sur Blues Alive en 1993. Little Boy Blue : single sorti en 1958. Cry, Cry, Cry : single sorti en 1960. Lead Me On : single sorti en 1960. I Pity The Fool : single sorti en 1961. Repris en 1967 par le Paul Butterfield Blues Band sur l'album The Resurrection of Pigboy Crabshaw. Two Steps From The Blues : tiré de l'album du même nom sorti en 1961, est un titre composé par John Riley Brown et Deadric Malone. Une reprise de ce morceau se trouve sur l'album Johnny Winter de Johnny Winter dans sa réédition de 2004. Turn On Your Love Light : composé en 1961 par Dreadric Malone et Joseph Scott. Repris par Them sur l'album Them Again (1966), par le Grateful Dead sur Live/Dead (1969), par Tom Jones sur Live in Las Vegas (1969) ou encore par Jerry Lee Lewis en single en 1967. Your Friends : single de 1962. Une version se trouve sur l'album Live at the Old Waldorf de Mike Bloomfield (enregistré en 1977). Ain't No Love In the Heart of the City : de l'album Dreamer en 1974 et composé par Michael Price et Dan Walsh. Repris en 1980 par Whitesnake, en 2001 par Jay-Z, en 2004 par Vaya Con Dios. Plus d'informations: http://www.bobbybluebland.com/ http://www.youtube.com/watch?v=oGG_9EDZ7eM
-
Hello http://www.youtube.com/watch?v=O2ZKWHzHrCk
-
Mes musiques de voyages... Musiques du monde
saintluc62 a répondu à un(e) sujet de saintluc62 dans Musiques
http://www.youtube.com/watch?v=MmM6TAFkBtU http://www.youtube.com/watch?v=Mizlqu0dvW4 -
-
Eric Bibb ou Eric "Nek Tomer" Bibb (né le 16 août 1951 à New York) est un chanteur/compositeur américain de blues basé à Londres. Sa carrière a tout d'abord commencé en Europe. Son père est Leon Bibb, un chanteur folk vivant à Vancouver. La musique d'Eric Bibb est enracinée dans le blues, mais comporte des éléments de musique folk, country, gospel et Musique soul. Il a été nommé une fois aux Grammy Awards et deux fois aux WC Handy Award pour ses enregistrements solos. Eric Bibb est né à New York dans une famille de musiciens. Le père d'Eric, Léon Bibb, était chanteur et s'est fait un nom dans les années 1960 sur la scène folk newyorkaise ; son oncle était le pianiste et compositeur de jazz John Lewis du Modern Jazz Quartet. Pete Seeger, Odetta et Paul Robertson étaient tous des amis de la famille, ce dernier, Paul, étant le parrain du jeune Eric. Eric obtient sa première guitare acoustique à l'âge de 7 ans. Il grandit entouré de gens talentueux : il dit se souvenir par exemple d'une conversation, à l'age de 11 ans, avec Bob Dylan, qui lui dit à propos de la guitare "joue simplement et oublie tous les trucs trop sophistiqués". À la Junior High School, Eric devient accro à la musique : « I would cut school and claim I was sick. When everyone would leave the home I would whip out all the records and do my personal DJ thing all day long, playing Odessa, Joan Baez, The New Lost City » Ramblers, John White » (Il m'arrivait de sécher les cours et dire que j'étais malade. Quand tout le monde était parti de la maison je balançais alors tous les disques et faisais ma propre sélection comme j'en avais envie, en mettant du Odessa, Joan Baez, The New Lost City Ramblers, John White). À l'âge de 16 ans, son père l'invite à jouer de la guitare dans la House Band pour son émission de TV "Someone New". En 1969, à 18 ans, il joue de la guitare pour la "Negro Ensemble Company" à St Market Place, à New York. Il étudie alors la psychologie et le russe à l'Université de Columbia "After a while it just didn't make much sense at all. I didn't understand why I was at this Ivy League School with all these kids who didn't know anything about what I knew about". À l'âge de 19 ans, Eric plaque tout et part à Paris où, lors d'un meeting avec le guitariste Mickey Baker, il trouve sa voie : ce sera le « blues guitare ». Il trouve ensuite un terrain propice à la création dans son nouveau lieu de résidence en Suède, et retourne à Greenwich Village au moment de l'apogée de la musique folk. De retour à Stockholm, il s'immerge dans le blues et continue à composer et à se produire sur scène. L'album Good Stuff est enregistré live à Stockholm en 1997 ; c'est son deuxième album après Spirit and Blues produit en 1994. Grâce à cet album, Eric connait la célébrité et devient un artiste international de plus en plus reconnu aux États-Unis, en Grande-Bretagne mais aussi en France, Suède et en Allemagne. Albums studio Brothers in Bamako (2012) Deeper In The Well (2012) The Haven (2011) Blues, Ballads & Work Songs (2011) Booker's Guitar (2010) Spirit I Am (2008) Live at FIP (2008) Evening with Eric Bibb (2007) Diamond Days (2007) Praising Peace: A Tribute to Paul Robeson (2006) Eric Bibb, A Retrospective (2006) Just Like Love (2005) A Ship Called Love (2005) Friends (2004) A Family Affair (2004) Natural Light (2003) Painting Signs (2001) Roadworks (2000) Home To Me (1999) Spirit and the Blues (1999) Good Stuff (1998) Rainbow People (1977) site officiel: http://www.ericbibb.com/ http://www.youtube.com/watch?v=SIQGQPIg-2U http://www.youtube.com/watch?v=rIzLbBeUW28
-
-
Bjørn Berge est un chanteur et guitariste de blues norvégien, né le 23 septembre 1968 à Haugesund, Norvège. Récompensé dans son pays lors des victoires de la musique locales, l'originalité de sa musique repose sur le fait qu'il soit très rarement accompagné de musiciens. En effet, que ce soit sur scène ou sur album, Bjørn joue seul. Unanimement reconnu par la presse spécialisée pour qui son talent est, entre autres, de rendre sa musique aussi captivante et vivante que s'il s'agissait d'un groupe complet. Bjørn commence la guitare à l'âge de 13 ans mais passe rapidement au banjo qu'il trouve plus "cool". Après avoir joué du bluegrass pendant plusieurs années, la révélation a lieu lorsqu'il découvre Robert Johnson, Elmore James, Leo Kottke et John Hammond Jr. qui seront ses influences majeures. Bjørn se produit pendant des années dans des clubs et des petites salles avant d'obtenir une quelconque reconnaissance ; ce sont ses années de vaches maigres et d'incertitudes. Il passe son temps à errer de port en port, armé de sa seule guitare comme compagne, à la recherche d'endroits où se produire. C'est au prix de ces nombreuses galères qu'il est aujourd'hui l'un des musiciens les plus respectés de Norvège. Ce n'est qu'en 1999 avec la sortie du 3e album Blues Hit Me que la critique et le public s'intéressent enfin à lui. Succès renforcé avec la sortie l'année suivante de Bag of Nails. Un disque plus direct, plus immédiat qui lui permettra d'être reconnu comme artiste confirmé. Bjørn a depuis sorti les albums String Machine et Illustrated Man et tourné dans le monde entier, seul ou en compagnie de grands musiciens comme Chuck Berry (de 40 ans son aîné). On remarque au cours de ses albums une évolution de sa musique, ainsi des éléments "electro" dans Illustrated Man, la pédale de Delay dans certains morceaux de Blackwood ou l'ajout d'instruments (banjo, harmonica, saxophone dans Once Again, violon dans Crazy Time...). Bjørn Berge, en plus de reprises surprenantes, ne se contente donc plus de sa seule guitare 12 cordes. On loue sa grande maîtrise de l'instrument, qu'il exploite parfaitement, avec sa technique alliant picking et slide, et sa remarquable fluidité. Il scande ses paroles en martelant du pied, remplaçant ainsi les percussions, rarement présentes dans ses morceaux. Bien que ses influences principales restent Robert Johnson et Elmore James, sa curiosité musicale l'empêche de rester enfermé dans un seul style. Il n'hésite pas à incorporer des sonorités issues du funk, du hip-hop, de la folk à une musique issue du blues traditionnel. Il avoue d'ailleurs sa passion pour des artistes comme Beck ou les Red Hot Chili Peppers. Cet éclectisme musical peut en effet s'illustrer dans son "Live in Europe" où il reprend la célèbre "Ace of spades" de Mötorhead, mais encore où il réinterprète le "13 questions Method" de Chuck Berry, et cela non sans humour. Discographie Berge/Flaaten (1994) Bjørn Berge (1997) Blues Hit Me (1999) Bag of Nails (2000) String Machine (2001) Illustrated Man (2002) St. Slide (2004) We're Gonna Groove! (2006) I'm the Antipop (2007) Live in Europe (2008) Fretwork (2009) Blackwood (2011) Mads Finger Ball (2013)