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hhenry

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Tout ce qui a été posté par hhenry

  1. Tu n'as pas l'air de bien connaitre les témoins de jéhovah. C'est pas bien clair ce que tu racontes. Ce n'est pas parce-qu'ils refusent le sang qu'ils meurent. Petite info : Suivant les commandements bibliques, les Témoins de Jéhovah n'acceptent pas de transfusion. Mais ce n'est pas pour autant qu'ils refusent la médecine, y compris la chirurgie lourde.Actuellement, certains chirurgiens et anesthésistes se posent la question de savoir si tous les patients ne devraient pas recevoir un traitement identique. Ces dernières décades, plusieurs études ont démontré que, loin de sauver des vies, les transfusions sanguines peuvent être dommageables à de nombreuses personnes.Le problème n'est pas tant la contagion par des agents infectieux, bien connue du public, mais le sang lui-même. Etude après étude, on se rend compte que les transfusions sont indéniablement liées à des taux de décès plus élevés, même si on ne comprend pas encore exactement pourquoi.« Probablement 40 à 60 % des transfusions sanguines ne sont pas bonnes pour les patients », dit Bruce Spiess, anesthésiologiste cardiaque à la Virginia Commonwealth University de Richmond.On a commencé à faire usage de sang à des fins médicinales pendant les deux guerres mondiales. Il servait à sauver les soldats en urgence. Aujourd'hui, les transfusions se font en plus petites quantités, et concernent du sang préalablement stocké. Il sert à stabiliser le taux d'hémoglobine du sang.L'étude canadienne [réalisée en 1999] a démontré que moins de patients mouraient à l'hôpital, à hauteur de 22 contre 28 %, si on leur administrait des transfusions uniquement en cas de chute du taux d'hémoglobine en-dessous du seuil de 70 grammes par litre, plutôt qu'en cas de chute sous la barre des 100 grammes par litre [comme on le fait en général].Une étude plus récente a montré que chez les patients ayant subi une attaque cardiaque et dont le taux d'hématocrite est supérieur à 25 %, une transfusion est associée soit à un risque de décès multiplié par trois, soit à une deuxième attaque cardiaque endéans les 30 jours, par rapport aux patients non transfusés (Journal of the American Medical Association, vol. 292, p. 1555).Une étude similaire conduite au Royaume-Uni a même rapporté un chiffre de décès dans les 30 jours 6 fois supérieur à celui des patients non transfusés.« Il n'existe pratiquement aucune étude de qualité dans le domaine de la chirurgie ou des soins intensifs ¿ hormis dans des situations de saignement tellement important qu'il entraîne la mort ¿ qui fasse l'éloge des transfusions sanguines, et elles sont au contraire nombreuses à souligner leur nocivité », explique Gavin Murphy, directeur de l'étude anglaise et chirurgien cardiaque au Bristol Heart Institute.L'American Society of Anesthesiologists (et d'autres tout aussi importantes) a incité ses membres à faire preuve de retenue dans l'utilisation du sang. Cependant, des experts déplorent le manque d'application de ces conseils, et vont jusqu'à souhaiter de plus grandes restrictions en matière d'utilisation médicale du sang. Pour eux, les transfusions ne devraient être effectuées qu'en tout dernier recours.James Isbister, du Royal North Shore Hospital de Sidney et conseiller de la Croix Rouge australienne, explique qu'habituellement, tant qu'un produit n'a pas prouvé son efficacité, il n'est pas utilisé, mais qu'avec le sang c'est l'inverse.Il apparaît aujourd'hui que les transfusions ont une influence négative sur le système immunitaire du receveur.« Plus les patients reçoivent de sang, plus ils ont de chances d'être infectés », affirme Mary Rodgers, de l'University of Michigan à Ann Arbor. Elle a étudié les effets des transfusions sur les opérés du c¿ur aux Etats-Unis.
  2. Et quels sont les contradictions dans leurs croyances ? Sur quels points , vous les avez bloqués ? merci
  3. Bonjour virgule.6, le nombre de place n'est pas limité chez les Témoins de Jéhovah !
  4. hhenry

    2009 Année Darwin

    On n'a jamais pu prouver expérimentalement la macroévolution en provoquant des mutations ou en observant l'adaptation des animaux dans la nature (voir les pinsons de darwins). On a esayé de provoquer expérimentalement des mutations sur la drosophylle mais cela n'a rien donné. Soit les nouvelles générations étaient fragilisées et mourraient, soit les drosophylles redevenaient normales. Par contre, les scientifiques ont réussit à prouver la microévolution ! en remarquant par exemple l'adaptation des animaux dans leur milieux naturels.
  5. hhenry

    2009 Année Darwin

    on a réussi à croiser un pigmée avec un esquimau ! Cela prouve la macroévolution ! :smile2:
  6. hhenry

    2009 Année Darwin

    é propos des formes dites intermédiaires, Charles Darwin écrivit : ¿Si les espèces dérivent d'autres espèces par des degrés insensibles, pourquoi ne rencontrons-nous pas d'innombrables formes de transition ? Pourquoi tout n'est-il pas dans la nature à l'état de confusion ? Pourquoi les espèces sont-elles si bien définies ? (...) ¿Pourquoi ne trouvons-nous pas fréquemment dans la croûte terrestre les restes de ces innombrables formes de transition qui, d'après cette hypothèse [évolutionniste], ont dû exister ? (...) ¿Les recherches géologiques (...) ne présentent cependant pas, entre les espèces actuelles et les espèces passées, toutes les gradations infinies et insensibles que réclame ma théorie.¿ Comment Darwin s'expliquait-il ces lacunes ? Laissons-le répondre : ¿Je me bornerai à dire ici que les documents fournis par la géologie sont infiniment moins complets qu'on ne le croit ordinairement.¿ Ce qui ne l'empêcha pas d'ajouter plus loin : ¿Mais, si nous concentrons notre examen sur une formation quelconque, il devient beaucoup plus difficile de comprendre pourquoi nous n'y trouvons pas une série étroitement graduée des variétés qui ont dû relier les espèces voisines.¿ La situation a-t-elle changé sous ce rapport depuis l'époque de Darwin ? Les types intermédiaires faisant chaîne entre les grands groupes d'organismes vivants ont-ils été trouvés parmi les fossiles ? Notez ce qu'écrit le célèbre évolutionniste George Gaylord Simpson, professeur à l'Université Harvard, dans son ouvrage Les facteurs principaux de l'évolution (angl.) : ¿Il demeure vrai, comme tout paléontologiste le sait, que la plupart des espèces, des genres et des familles, et presque toutes les catégories nouvelles au-dessus du niveau de la famille, apparaissent brusquement. Nous ne trouvons aucune succession continue et progressive de formes transitionnelles.¿ Ce même fait est signalé par R. S. Romer, professeur de zoologie à l'Université Harvard. écrivant dans le livre La génétique, la paléontologie et l'évolution (angl.), ouvrage édité par les illustres évolutionnistes Glenn L. Jepsen, Ernst Mayr et George Gaylord Simpson, Romer déclare : ¿Pour ce qui est des brusques changements évolutifs dans les lignes animales, le processus a pu être typiquement néo-darwinien, soit l'accumulation de nombreuses mutations adaptatives de faible amplitude, une accumulation cependant extraordinairement rapide. Malheureusement, il existe en général peu de preuves sur ce point parmi les documents fossiles, car des formes évolutives intermédiaires représentant ce phénomène sont extrêmement rares. (...) ¿Les ¿chaînons' manquent là où nous désirons le plus ardemment les voir, et il est très probable que de nombreux ¿chaînons' continueront de faire défaut.¿ é propos de cette question des chaînons manquants, D'Arcy Thompson a écrit dans son ouvrage Croissance et morphologie (angl.) : ¿Quatre-vingts années d'étude de l'évolutionnisme darwinien ne nous ont pas appris comment les oiseaux sont descendus des reptiles, les mammifères, des premiers quadrupèdes, les quadrupèdes des poissons, ou les vertébrés des invertébrés. Nous rencontrons des difficultés analogues même chez les invertébrés (...). Le fossé entre les vertébrés et les invertébrés, les vers et les c¿lentérés, les c¿lentérés et les protozoaires, (...) est tellement énorme qu'il nous est impossible de voir d'un bord du gouffre à l'autre. (...) ¿Nous franchissons une barrière chaque fois que nous passons d'une famille à l'autre, ou d'un groupe à un autre. (...) ¿Un ¿principe de discontinuité' est donc inhérent à toutes nos classifications, (...) et ce sera toujours en vain qu'on cherchera des passages intermédiaires pour combler les lacunes.¿ Nous nous trouvons devant les mêmes faits dans le domaine de la vie végétale. Heribert Nilsson, professeur de botanique à l'université de Lund, en Suède, écrit dans son livre La spéciation synthétique (angl.) : ¿Si l'on examine les grands groupes spécifiques de la flore fossilisée, on est frappé de constater qu'à des intervalles réguliers au cours des temps géologiques, ces groupes apparaissent subitement, pleinement épanouis et bien diversifiés. Et l'on est tout aussi étonné de remarquer qu'au bout d'une période qui se mesure, non simplement par millions, mais par des dizaines de millions d'années, ces groupes disparaissent aussi brusquement qu'ils sont apparus. En outre, au terme de leur existence, ils ne se transforment pas en des formes de transition les reliant aux types principaux de la période suivante ; ces formes intermédiaires font complètement défaut.¿ Non seulement il n'existe aucune forme de transition entre les grands groupes d'animaux et de végétaux parmi les documents fossiles, mais il n'y a aucun type intermédiaire entre les grands groupes de végétaux et d'animaux actuellement vivants. Dans son livre La génétique et l'origine des espèces (angl.), le célèbre évolutionniste Dobzhansky, professeur à l'Université Columbia, déclare : ¿Si nous assemblons le plus grand nombre possible d'individus vivant à une époque donnée, d'emblée nous remarquons que les variations observées ne revêtent aucune forme de distribution continue. On trouve plutôt une multitude de distributions séparées et discontinues. Le monde vivant n'est pas une série unique dans laquelle deux variations différentes sont reliées par une suite ininterrompue de formes de passage, mais plutôt une série de séries plus on moins séparées et distinctes, dont les formes intermédiaires sont absentes, ou tout au moins rares.¿ Parmi les anthropoïdes vivants, censés être nos plus proches voisins zoologiques, on ne trouve aucun type intermédiaire, aucun grand singe qui se rapproche de l'homme. De même, parmi les animaux vivants, il n'y en a aucun qui représente une forme de transition montrant l'origine des anthropoïdes. On ne trouve non plus aucun des ancêtres supposés des anthropoïdes parmi les fossiles. Le livre Les Primates, publié en français en 1966, déclare à ce sujet : ¿Malheureusement, nous ne disposons que de documents fossiles très incomplets sur l'origine des Anthropomorphes. Nous ne savons pas à quel moment et en quel lieu les premiers Anthropomorphes ont commencé à se différencier à partir des Singes proprement dits.¿ D'aucuns prétendront cependant que le cheval au moins fournit un exemple classique d'une évolution attestée par des formes intermédiaires fossilisées. Les défenseurs de l'évolutionnisme citent l'éohippus, petit animal de la taille d'un renard, comme point de départ d'une série de fossiles progressivement plus grands, aboutissant au cheval moderne. En fait, les fossiles ne confirment nulle part cette classification en une série évolutive. On a trouvé dans la même couche géologique deux et parfois trois types différents de chevaux. Certains d'entre eux ont été trouvés à des endroits très éloignés les uns des autres. é propos de l'évolution du cheval, un article publié dans Science News Letter portait ce titre : ¿Le petit éohippus n'est pas l'ancêtre direct du cheval¿. L'article déclarait : ¿L'arbre généalogique du cheval ne correspond pas à celui qui a été construit par les hommes de science. Lors d'une réunion de l'Association britannique pour l'avancement des sciences, tenue à édimbourg, T. S. Westoll, géologue et professeur à l'université de Durham, a affirmé que l'arbre généalogique du cheval devenue classique chez les évolutionnistes, qui commence par l'éohippus, de la taille d'un chien, et monte en ligne directe jusqu'à l'équinus des temps actuels, est complètement erroné.¿ écrivant au sujet de la série de fossiles qui sont censés relier l'éohippus au cheval moderne, l'évolutionniste Lecomte du Noüy déclara ce qui suit, dans son ouvrage L'homme et sa destinée : ¿Chacun de ces intermédiaires semble avoir fait une apparition ¿soudaine', et l'on n'a pas encore reconstitué (faute de fossiles) le passage entre ces intermédiaires. (...) Les formes connues restent séparées comme les piles d'un pont démoli. (...) La continuité que nous pressentons ne sera peut-être jamais établie sur des faits.¿ LA THéORIE de l'évolution soutient que la première particule vivante sur la terre surgit par ses propres moyens à partir de la matière inanimée. Toute matière terrestre est composée d'éléments chimiques de base. Un élément est une substance constituée entièrement d'atomes de même numéro atomique, qui ne peut être décomposée par les méthodes normales d'analyse chimique. A-t-on constaté des tendances évolutives dans les éléments terrestres ? Non, car la plupart des atomes sont stables, alors que certains d'entre eux se transforment par désintégration en un élément stable plus simple. Ce fait est en accord avec le principe scientifique auquel on a donné le nom d'¿entropie¿. Ce terme désigne essentiellement la tendance qu'a toute structure organisée à rétrograder vers une structure moins organisée. Il n'y a jamais un gain d'ordre sans l'intervention d'une force extérieure. Prenons un exemple : Les éléments de la terre, livrés à eux-mêmes, parviendraient-ils à s'assembler pour former une automobile, voire un simple organe de transmission ? Bien au contraire, les éléments demeurent inchangés. Même lorsqu'ils sont façonnés par l'homme pour former une machine, celle-ci se dégrade si elle est abandonnée. Voici une autre analogie : Déposez dans un grand tonneau des morceaux d'acier, de verre, de caoutchouc et d'autres matières, puis faites tourner le tonneau des milliers de fois. En ouvrant le récipient, découvririez-vous que ces matériaux se sont organisés d'eux-mêmes, de façon à former une voiture ? Jamais ! Quel que soit le nombre de fois que vous répéteriez cette expérience, vous ne trouveriez qu'un mélange de ces diverses substances. Nous pouvons dégager de ce fait une vérité fondamentale. Il faut se rendre à l'évidence : La matière inanimée ne cherche pas à s'améliorer ; elle tend, au contraire, vers un état de neutralisation ou de stabilité. Il ne sert à rien d'invoquer l'aide d'énormes périodes de temps. Le temps produit la décomposition, la désintégration. Il provoque la corrosion des métaux, l'érosion des roches. Le temps est un principe de destruction et non un facteur constructif. Le temps est l'ennemi de l'évolution. Cela est également confirmé par le principe de l'inertie. Ce terme désigne la tendance qu'ont tous les corps à demeurer immobiles s'ils sont déjà au repos, ou, s'ils sont mobiles, à se déplacer toujours dans la même direction, à moins qu'ils ne soient soumis à l'action d'une force extérieure. Par exemple, un ballon ne s'élèvera pas du sol tout seul ; il faut quelqu'un pour le lancer. Une charrette restera immobile, à moins de subir l'action d'une force. La matière inanimée, dépourvue de mouvement, d'énergie et de vie, serait restée indéfiniment inerte sans l'intervention d'une force extérieure directrice et organisatrice. Dans sa critique du livre Mécanisme et vitalisme (angl.) de R. Schubert-Soldern, la revue Discovery de mai 1962 déclarait : ¿¿Toutes les molécules résultent d'une tendance électrochimique à la neutralisation. Elles sont, par conséquent, des manifestations de tendances vers la stabilité.' Cependant, malheureusement pour les matérialistes, la vie est, d'une manière caractéristique, instable, et ¿il est inconcevable qu'un groupe de substances tendant toutes à un état de stabilité puisse produire l'instabilité chimique permanente qui caractérise la matière animée'. Il est donc inconcevable qu'un composé organique puisse se former en l'absence de la vie. ¿On ne peut même pas imaginer la matière inorganique dans des conditions où le carbone, l'oxygène et l'hydrogène puissent se combiner pour former un sucre plutôt que de l'eau et du gaz carbonique42.'¿ Ainsi, les faits ne révèlent aucune évolution progressive des éléments de la terre vers des substances plus complexes ou des composés organiques. Par ailleurs, si l'évolution était une réalité, les éléments inanimés auraient dû se transformer, non pas simplement en d'autres éléments ou en des corps composés organiques, mais en quelque chose d'infiniment plus compliqué : en une cellule vivante.
  7. hhenry

    2009 Année Darwin

    Un peu de science : Le phénomène "entropie" Par expérience personnelle, sans doute savez-vous que toute chose tend vers le désordre. Comme peut le constater quiconque a une maison, tout ce qu'on laisse sans soin a tendance à se détériorer ou à se décomposer. Les scientifiques appellent ce phénomène ¿ la seconde loi de la thermodynamique ¿, et nous en vérifions les effets tous les jours. Reléguez une voiture ou une bicyclette neuve dans un coin, et elle deviendra un morceau de ferraille. Abandonnez une maison, et elle tombera en ruine. Qu'en est-il de l'univers ? Lui aussi est soumis à cette loi. Vous pourriez donc penser que l'ordre existant dans tout l'univers devait à la longue céder le pas au désordre total. Or, il semble que ce ne soit pas le cas, comme l'a découvert le mathématicien Roger Penrose en étudiant l'état de désordre (ou entropie) de l'univers observable. Une interprétation logique de ces découvertes amène à la conclusion que l'univers était dans un état ordonné à son début et qu'il est resté extrêmement organisé. L'astrophysicien Alan Lightman a fait remarquer que les scientifiques ¿ trouvent curieux que l'univers ait été créé dans un état aussi hautement ordonné ¿, ajoutant qu'¿ aucune théorie cosmologique concluante ne pourra se dispenser en dernier lieu d'expliquer ce problème d'entropie ¿, de dire pourquoi l'univers n'est pas devenu chaotique. En fait, notre existence va à l'encontre de cette loi reconnue. Dès lors, comment se fait-il que nous soyons en vie sur terre ? Comme nous l'avons déjà dit, il s'agit là d'une question essentielle à laquelle nous devrions vouloir une réponse
  8. hhenry

    2009 Année Darwin

    excuse-moi, mais ces fragments d'os et ces crânes ne prouvent nullement qu'il s'agit d'homo abilis. On n'y était pas à l'époque ! De toute façon, on pourra dire ce qu'on veut sur ses fragments pour satisfaire des idées pré-conçus ! Je n'y adhère pas du tout. Par contre, je suis persuadé de l'existence d'un créateur ce qu'en témoigne la nature. Mais, je ne suis pas créationniste fondamentaliste. Ces derniers croient que les jours de création dans la genèse sont de 24 h chacunes. Voila ce à quoi j'adhère : Cet emploi large du mot ¿ jour ¿ pour désigner des unités de temps de durées différentes est manifeste dans le récit de la création que rapporte la Genèse. Il y est question d'une semaine de six jours de création suivis d'un septième jour de repos. La semaine que devaient observer les Juifs sous l'alliance de la Loi que Dieu leur avait donnée était un calque en petit de la semaine de création (Ex 20:8-11). Le récit des écritures concernant chacun des six jours de création se termine par ces mots : ¿ Et vint un soir et vint un matin ¿, un premier, un deuxième, un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième jour (Gn 1:5, 8, 13, 19, 23, 31). Toutefois, cette conclusion n'apparaît pas à propos du septième jour, ce qui indique que cette période, durant laquelle Dieu se repose de sa création relative à la terre, se prolongeait. En Hébreux 4:1-10, l'apôtre Paul montra que le jour de repos de Dieu se poursuivait dans sa génération, soit plus de 4 000 ans après le début de ce septième jour, période de repos. Cela démontre que chaque jour de création, ou période de travail, dura pour le moins des milliers d'années. Un ouvrage (A Religious Encyclopædia, vol. I, p. 613) fait observer ceci : ¿ Les jours de création furent des jours de travail créateur, des étapes dans la création, mais non des jours de vingt-quatre heures. ¿ ¿ Par P. Schaff, 1894.
  9. hhenry

    2009 Année Darwin

    montre moi des partis de squelettes de l'homo habilis qui permets d'estimer la taille et et le poids ! concernant l'ours polair et l'ours brun : cela ne prouve pas la MACROévolution ! Ce sont des ours, même espèce !
  10. hhenry

    2009 Année Darwin

    Une brochure éditée en 1999 par l'Académie américaine des sciences donne à penser au lecteur que les fossiles découverts par les scientifiques sont plus que suffisants pour attester qu'il y a eu macroévolution. Elle déclare : ¿ On a découvert tant de formes intermédiaires entre les poissons et les amphibiens, entre les amphibiens et les reptiles, entre les reptiles et les mammifères et dans la lignée des primates qu'il est souvent difficile d'identifier de manière catégorique le moment de la transition d'une espèce à une autre. ¿ Cette affirmation pleine d'assurance est tout à fait surprenante. Pourquoi ? En 2004, National Geographic (édition américaine) a décrit l'ensemble des fossiles comme un ¿ film de l'évolution dont 999 images sur 1 000 ont été perdues au montage ¿. Les ¿ images ¿ restantes (1 sur 1 000) font-elles vraiment état d'une macroévolution ? Qu'indiquent exactement les fossiles ? De l'aveu de Niles Eldredge, évolutionniste fervent, ils révèlent que, sur de longues périodes, ¿ la plupart des espèces n'accumulent que peu ou pas de changements ¿. é ce jour, des scientifiques du monde entier ont exhumé et catalogué quelque 200 millions de grands fossiles et des milliards de microfossiles. Nombre de chercheurs s'accordent sur ce point : ces archives fournies et détaillées révèlent que tous les grands groupes d'animaux sont apparus brusquement et sont demeurés pour ainsi dire inchangés, et que beaucoup d'espèces ont disparu aussi rapidement qu'elles étaient apparues. Après examen des témoignages fossiles, le biologiste Jonathan Wells écrit : ¿ Au niveau des règnes, des embranchements et des classes, il est évident que la descendance avec modifications à partir d'ancêtres communs n'est pas un fait observé. é en juger par les témoignages fossiles et moléculaires, ce n'est même pas une théorie bien fondée. ¿ Les mutations peuvent-elles produire de nouvelles espèces ? De nombreux détails d'une plante ou d'un animal sont déterminés par les instructions contenues dans son code génétique, le ¿ plan de fabrication ¿ que renferme le noyau de chaque cellule. Des chercheurs ont découvert que des mutations, ou changements aléatoires, dans le code génétique peuvent produire des modifications chez les descendants de plantes ou d'animaux. En 1946, Hermann Muller, prix Nobel et fondateur de l'étude de la génétique, en particulier des mutations, a déclaré : ¿ Non seulement cette accumulation de changements rares et, le plus souvent, infimes est le principal moyen d'améliorer artificiellement les animaux et les végétaux, mais, plus que cela, c'est la façon dont l'évolution de la nature s'est produite, guidée par la sélection naturelle. ¿ L'enseignement de la macroévolution repose en effet sur l'affirmation selon laquelle les mutations peuvent produire non seulement de nouvelles espèces, mais aussi des familles entièrement nouvelles de végétaux et d'animaux. Y a-t-il un moyen de mettre à l'épreuve cette affirmation audacieuse ? Voyez ce que 100 ans d'étude de la génétique ont révélé. é la fin des années 30, les scientifiques ont adopté avec enthousiasme l'idée que, si la sélection naturelle pouvait produire de nouvelles espèces végétales à partir de mutations aléatoires, alors une sélection artificielle, c'est-à-dire dirigée par l'homme, pourrait le faire encore plus efficacement. ¿ L'euphorie gagna les biologistes en général, et les généticiens et les sélectionneurs en particulier ¿, a rapporté Wolf-Ekkehard Lönnig, scientifique à l'institut allemand Max Planck de recherche en phytogénétique, dans une interview pour Réveillez-vous ! Pourquoi cette euphorie ? M. Lönnig, qui étudie les mutations génétiques des végétaux depuis 28 ans, explique : ¿ Ces chercheurs estimaient que le moment était venu de révolutionner la méthode traditionnelle de sélection des plantes et des animaux. Ils pensaient qu'en provoquant et en sélectionnant des mutations favorables, ils pourraient produire des végétaux et des animaux nouveaux et améliorés. ¿ Aux états-Unis, en Asie et en Europe, des scientifiques ont lancé des programmes de recherche (largement financés) utilisant des méthodes qui promettaient d'accélérer l'évolution. Après plus de 40 ans d'efforts intensifs, quels ont été les résultats ? ¿ Malgré un coût financier énorme, constate le chercheur Peter von Sengbusch, la tentative pour cultiver des variétés de plus en plus productives par irradiation s'est avérée un échec complet. ¿ Commentaire de M. Lönnig : ¿ Dans les années 80, les espérances et l'euphorie des scientifiques s'étaient soldées par un échec mondial. De nombreux pays occidentaux ont abandonné l'étude de la sélection par mutation en tant que branche à part entière de la recherche. Presque tous les mutants présentaient des ¿ valeurs de sélection négatives ' : soit ils mouraient, soit ils étaient plus faibles que les variétés sauvages. ¿ Et pourtant, les données aujourd'hui disponibles après 100 ans de recherches sur les mutations et, en particulier, 70 ans de sélection par mutation permettent à des scientifiques de dire si les mutations sont capables ou non d'engendrer de nouvelles espèces. Après examen des faits, M. Lönnig conclut : ¿ Les mutations ne peuvent transformer une espèce [végétale ou animale] originelle en une espèce entièrement nouvelle. Cette conclusion s'accorde avec toutes les expériences et les résultats de toutes les recherches effectuées sur les mutations au XXe siècle, ainsi qu'avec les lois de la probabilité. Par conséquent, la loi de la variation récurrente implique que les espèces génétiquement bien définies ont des limites réelles que des mutations accidentelles ne peuvent ni effacer ni franchir. ¿ Pensez aux implications de ce qui précède. Si des scientifiques hautement qualifiés sont incapables de produire de nouvelles espèces en provoquant et en sélectionnant artificiellement des mutations favorables, peut-on attendre d'un processus inintelligent qu'il fasse mieux ? Si les recherches indiquent que les mutations ne peuvent transformer une espèce originelle en une autre entièrement nouvelle, comment au juste la macroévolution est-elle censée avoir eu lieu ? La sélection naturelle mène-t-elle à la création de nouvelles espèces ? Darwin croyait que ce qu'il a appelé la sélection naturelle favoriserait les formes de vie les mieux adaptées à leur environnement, tandis que les moins bien adaptées finiraient par s'éteindre. Les évolutionnistes modernes enseignent que, à mesure que les espèces se sont dispersées et qu'elles se sont retrouvées isolées, la sélection naturelle a choisi celles que les mutations génétiques rendaient les plus aptes à leur nouvel environnement. Au bout du compte, postulent les évolutionnistes, ces groupes isolés ont fini par devenir des espèces totalement différentes. Comme cela a été dit, il ressort clairement des recherches effectuées que les mutations ne peuvent produire des espèces entièrement nouvelles de plantes ou d'animaux. Néanmoins, quelles preuves les évolutionnistes avancent-ils pour soutenir que la sélection naturelle choisit les mutations bénéfiques pour produire de nouvelles espèces ? Une brochure éditée en 1999 par l'Académie américaine des sciences (NAS) déclare : ¿ On trouve un cas particulièrement incontestable de spéciation [apparition, par l'évolution, de nouvelles espèces] dans l'exemple des 13 espèces de pinsons étudiées par Darwin dans les îles Galápagos (ces oiseaux sont aujourd'hui appelés ¿ pinsons de Darwin '). ¿ Dans les années 70, un groupe de recherche dirigé par Peter et Rosemary Grant s'est mis à étudier ces pinsons et a découvert qu'après une année de sécheresse ceux dont le bec était légèrement plus gros survivaient plus facilement. étant donné que la taille et la forme du bec servent, entre autres caractères, à distinguer les 13 espèces de pinsons, ces observations ont été jugées significatives. ¿ Les Grant ont estimé, poursuit la brochure, que s'il survient une sécheresse tous les 10 ans sur les îles, une nouvelle espèce de pinsons pourrait apparaître dans seulement 200 ans. ¿ Cependant, la brochure de la NAS omet de mentionner des faits révélateurs mais gênants. Dans les années qui ont suivi la sécheresse, les pinsons au bec plus petit ont recommencé à prédominer. C'est pourquoi Peter Grant et Lisle Gibbs, un étudiant de troisième cycle, ont signalé en 1987 dans la revue scientifique Nature qu'ils avaient constaté ¿ une inversion dans le sens de la sélection ¿. En 1991, Peter Grant a écrit que ¿ la population [de pinsons], soumise à la sélection naturelle, fluctue ¿ en fonction des changements de climat. Les chercheurs ont également remarqué que certaines ¿ espèces ¿ de pinsons se croisaient et produisaient des descendants qui survivaient mieux que leurs parents. Peter et Rosemary Grant en ont conclu que, si les croisements se poursuivaient, il se produirait des fusions d'¿ espèces ¿ en l'espace de 200 ans. En 1966, le biologiste évolutionniste George Williams avait écrit : ¿ Je trouve regrettable que la théorie de la sélection naturelle ait été développée au départ pour expliquer les changements évolutifs. Elle est beaucoup plus importante pour expliquer la continuité de l'adaptation. ¿ Jeffrey Schwartz, théoricien de l'évolution, a écrit en 1999 que, si les conclusions de M. Williams sont correctes, la sélection naturelle aide peut-être les espèces à s'adapter aux conditions changeantes de l'existence, mais ¿ elle ne crée rien de nouveau ¿. En effet, les pinsons de Darwin ne deviennent ¿ rien de nouveau ¿. Ce sont toujours des pinsons. Et le fait qu'ils se croisent jette le doute sur les méthodes que certains évolutionnistes emploient pour définir une espèce. De plus, le cas des pinsons révèle que même des sociétés scientifiques prestigieuses ne sont pas à l'abri d'un manque d'objectivité dans leur façon d'exposer les faits.
  11. hhenry

    2009 Année Darwin

    je n'ai pas compris ta phrase : "Parce que le cochon est un animal d'élevage disponible en abondance et sur lequel on peut pratiquer sélection voir même génie génétique pour avoir de spécimens dont les organes désirés soient compatible en vue de greffes!" alors, pourquoi ne pas pratiquer la même chose sur les singes pour des greffes ? autre chose, comment peut-on affirmer la taille et le poids de l'homo habilis si on n'a pas retrouvé les squelettes ?
  12. hhenry

    2009 Année Darwin

    Bonjour, Si on descend d'un singe, pourquoi ne greffe -t -on pas des valves cardiaques de singe aux humains alors qu'on greffe des valves cardiaques de cochon chez les humains?
  13. hhenry

    2009 Année Darwin

    Pour affirmer qu'Il mesurait environ 1.15 à 1.30 m et pesait de 30 à 40 kg, quels sont les squelettes retrouvés justifiant cette espèce homo abilis ?
  14. hhenry

    2009 Année Darwin

    Homo erectusvar addthis_pub="futurasci";var addthis_language = "fr"; var addthis_header_color = "#ffffff";var addthis_header_background = "#000000";var addthis_options = 'facebook, email, twitter, favorites, digg, delicious, myspace, google, live, technorati, linkedin, more';var addthis_localize = { email_caption: "Email", more: "autres...", email: "Email"};Espèce d'hominidé fossile (2,5 millions à 200.000 ans). Première espèce d'humain à conquerir le monde. Taille d'un homme actuel. La capacité cranienne augmente (750 à 1250 cm3) par rapport à Homo habilis. Homo erectus est le premier homme à domestiquer le feu et il invente le biface. On a tendance actuellement à restreindre le terme Homo erectus aux seuls fossiles asiatiques (Pithecanthropus) et à appeler Homo ergaster les fossiles africains et Homo heidelbergensis les fossiles d'Europe. function chge_actions(changement){ document.getElementById('actions_type').innerHTML = changement; } Homo habilisvar addthis_pub="futurasci";var addthis_language = "fr"; var addthis_header_color = "#ffffff";var addthis_header_background = "#000000";var addthis_options = 'facebook, email, twitter, favorites, digg, delicious, myspace, google, live, technorati, linkedin, more';var addthis_localize = { email_caption: "Email", more: "autres...", email: "Email"}; Espèce d'hominidé fossile (2,5 à 2 millions d'années) d'Afrique de l'Est. Il mesurait environ 1.15 à 1.30 m et pesait de 30 à 40 kg. Il maitrisait la pierre taillée. L'Homo habilis a une capacité cranienne développée, allant de de 550 à 680 cm3. quels sont les squelettes retrouvés justifiant cette espèce homo abilis ?
  15. hhenry

    2009 Année Darwin

    En répétant ce que j'ai déja mentionné : Pourtant, les évolutionnistes pensaient que les deux espèces s'étaient succédées (d'abord habilis, puis erectus). Il était admis qu'Homo habilis était apparu il y a 2.5 millions d'années et avait disparu lors de l'apparition d'Homo erectus. Les nouveaux fossiles prouvent que les deux espèces ont vécu à la même époque pendant 500 000 ans (ce n'est pas négligeable !). Il semble maintenant peu probable qu'Homo erectus soit le descendant d'Homo habilis.
  16. hhenry

    2009 Année Darwin

    Bonjour, La théorie de l'évolution est souvent remis en question. que pensez-vous de cela ? Homo habilis et Homo erectus étaient contemporains . Une étude publiée dans la revue Nature La découverte et l'étude de deux fossiles découverts sur la rive est du lac Turkana, au Kenya remettent en cause la filiation et l'ordre entre les espèces du genre Homo ( Projet Koobi Fora) L'équipe internationale de chercheurs est dirigée par Fred Spoor, de l'University College de Londres. Les fossiles retrouvés Trouvés dans la même région les deux fossiles sont surtout étonnant par leur datation : - des fragments de mâchoire supérieure d'Homo habilis datés de 1,44 million d'années, ce qui en fait les plus anciens restes de cette espèce, - un crâne d'Homo erectus superbement conservé et daté de 1,55 million d'années. Une chrologie à revoir Ces datations sont incompatibles avec la chronologie établit jusqu'à présent. On pensait que les deux espèces s'étaient succédées (d'abord habilis, puis erectus). Il était admis qu'Homo habilis était apparu il y a 2.5 millions d'années et avait disparu lors de l'apparition d'Homo erectus. Les nouveaux fossiles prouvent que les deux espèces ont vécu à la même époque pendant 500 000 ans. Il semble maintenant peu probable qu'Homo erectus soit le descendant d'Homo habilis. Des espèces voisines mais pas concurrentes... Continuant leurs spéculations les chercheurs proposent même que les deux espèces soient issues d'un ancêtre commun il y a 2 à 3 millions d'années. Homo erectus et Homo habilis n'ayant pas le même régime alimentaire (plus carnivore pour le premier et plus végétarien pour le deuxième) ils ne seraient donc pas rentrés en compétition et auraient pu vivre cote à cote pendant une longue période. Réactions "La preuve de leur coexistence rend peu probable que l'Homo erectus ait évolué à partir de l'Homo habilis." ¿ Meave Leakey « Cette intéressante découverte remet en question l'origine du genre Homo en Afrique de l'Est, estime Pascal Picq, du Collège de France. Entre 2 millions et 1,5 million d'années, il aurait pu apparaître plus ou moins rapidement ailleurs en Afrique ou, peut-être, en Eurasie comme l'indiquent les fossiles de Dmanisi en Géorgie.» (Le Figaro).
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