Les plus beaux portraits.

Timothy Allen

Un Saddhou indien le regard emprunt de tristesse face à la caméra, la raison est inconnue mais surement profonde.

Sébastien Meys pour ce portrait... "Un regard profond et si humain"

Gorilles, portraits intimes.

On dirait un homme... c'est dingue.

Vivian Maier

http://fr.wikipedia.org/wiki/Vivian_Maier

Je la remet ici car j'adore ce cliché. La peintre Frida Kahlo et la chanteuse Chavela Vargas. Elles sont incroyablement belles.

Philippe Lopez

Otto Steinert

Andrée Putman

Jean Baptiste Huynh

http://www.jeanbaptistehuynh.com/contenu.php?id_contenu=2&id_dossier=2

Louise Bourgeois_Plasticienne

Belles rides d'expression, d'une longue vie animée et passionnée.

(Elle meurt le 31 mai 2010, à l'âge de 98 ans.)

Je pense que je ne connais rien d'aussi révélateur sur les atrocité de la condition afghane que le regard de cette jeune femme des zones montagneuses. Ce portrait est un portrait du photographe McCurry. Attendant le moment de vide, de liberté de l'expression du regard pour prendre la photo, le moment ou le regard révèle la pensée. Il n'y a rien d'aussi prenant que la terreur presque maladive qu'on lit dans les yeux de cette femme dans son visage impassible et pourtant tellement émotif.

L’année 2002, de retour en Afghanistan, marque ses retrouvailles avec la jeune Afghane, Sharbat Gula, devenue femme et mère de famille. Burqua relevée sur un regard éteint de bête traquée,« Sa peau est marquée ; elle est ridée maintenant, mais elle est toujours aussi saisissante. » confit Steve Mccurry. Un portrait qui hantera à jamais la photographie contemporaine.

En expo actuellement à Nice.

Perso, cette photo me fait peur par rapport à la première, non pas le temps qui passe mais cette colère intense et résignée que je vois dans son regard.

Oui, la peur au coin de sa propre rue...

Certes, je ne dis pas le contraire........mais moins d'esthétisme photogénique.

Et pour un peu plus de "fraîcheur", ce portrait de La jeune fille à la perle, adapté avec talent et intelligence à l'écran : une fresque fidèle (pour autant qu'on le sache ) à l'ambiance de l'époque et à l'esprit du peintre.

Dorothée Smith

Jean claude Dreyfus

Atypique et une sacrée masse !

Michel Simon

Bonjour

Don McCullin

Rien de plus émouvant à nos yeux que la beauté scellée dans son secret...

Bonjour !

(heuuuu....j'ai choisi, en toute simplicité, le portrait de Romy Schenider, réalisé avec des diamants ! )

Vik Muniz est un plasticien et photographe né à São Paolo en 1961. Il utilise tous les matériaux possibles et imaginables pour détourner les oeuvres les plus célèbres de la planète. Des projets passionnants à découvrir en photographie et en vidéo. Le film Waste Land est consacré à son travail dans les décharges de Rio de Janeiro.

Œuvres réalisées par les "Catadores" (ramasseurs de déchets recyclables) eux mêmes, sous la direction de V.MUNIZ , exemples :

Rien de plus émouvant à nos yeux que la beauté scellée dans son secret...

Angèle Etoundi Assamba en parle autrement au travers ces clichés...

Gustavo lacerda

Photoquai 2013

Si Gustavo Lacerda photographie les albinos du Brésil depuis 2009, son intérêt se situe bien au-delà de l'exotisme ou de la marginalité d’un phénomène génétique stigmatisé par la société. A ses yeux, les albinos illustrent une beauté très particulière, une sensibilité d’une nature différente. Ses portraits de garçons et de filles aux traits furtifs, aux visages et aux regards diaphanes, aux lèvres délicates, vêtus de tons pastel qui se fondent dans le décor dessinent la poétique toute personnelle d’un artiste qui revendique l’influence de l’Américaine Diane Arbus.

De l’avis de Gustavo Lacerda, obtenir une ambiance de travail positive en studio n’est pas simple. Il faut surmonter la méfiance, voire la suspicion de modèles qui, souvent, ne comprennent pas les contraintes de la mise en scène. Mais, ajoute le photographe, c’est justement de cette difficulté que s’accomplit la tentative de s'emparer d'une beauté unique, pleine de subtilités, et qui recouvre, au-delà de son étrangeté, un mélange d’orgueil et de timidité.

http://www.photoquai.fr/2013/photographes/gustavo-lacerda/

Diane Arbus

Arbus à la frontière

La question de la « frontière » est précisément l’un de caractères dominants du travail de Diane Arbus. Les limites entre enfance et monde adulte, entre femme et homme, entre « normalité » et déviance… « L’appareil photo est une sorte de passeport ».

Curieuse, insatiable, elle impose son regard sur les populations marginales. Inspirée dans cette entreprise par l’enseignement de Lisette Model qui sait elle aussi scruter la diversité humaine, la jeune femme aime l’être humain dans tous ses états.

http://loeildairain.wordpress.com/2011/10/29/lautre-monde-de-diane-arbus/