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Bonjouuur ! J'ai besoin de votre aide. Je suis en seconde, et j'ai un travail de français à faire sur l'acte III scène 7 d'Andromaque de Racine, dont voici l'extrait : Pyrrhus continue. Madame, demeurez. On peut vous rendre encor ce fils que vous pleurez. Oui, je sens à regret qu’en excitant vos larmes Je ne fais contre moi que vous donner des armes Je croyais apporter plus de haine en ces lieux. Mais, Madame, du moins tournez vers moi les yeux. Voyez si mes regards sont d’un juge sévère, S’ils sont d’un ennemi qui cherche à vous déplaire. Pourquoi me forcez-vous vous-même à vous trahir ? Au nom de votre fils, cessons de nous haïr. A le sauver enfin c’est moi qui vous convie. Faut-il que mes soupirs vous demandent sa vie ? Faut-il qu’en sa faveur j’embrasse vos genoux ? Pour la dernière fois, sauvez-le, sauvez-nous. Je sais de quels serments je romps pour vous les chaînes, Combien je vais sur moi faire éclater de haines. Je renvoie Hermione, et je mets sur son front, Au lieu de ma couronne, un éternel affront. Je vous conduis au temple où son hymen s’apprête, Je vous ceins du bandeau préparé pour sa tête. Mais ce n’est plus, Madame, une offre à dédaigner : Je vous le dis, il faut ou périr ou régner. Mon cœur, désespéré d’un an d’ingratitude, Ne peut plus de son sort souffrir l’incertitude. C’est craindre, menacer, et gémir trop longtemps. Je meurs si je vous perds ; mais je meurs si j’attends. Songez-y : je vous laisse, et je viendrai vous prendre Pour vous mener au temple où ce fils doit m’attendre. Et là vous me verrez, soumis ou furieux, Vous couronner, Madame, ou le perdre à vos yeux. Voici la question : Le discours de Pyrrhus est marqué par l'opposition. Analysez l'emploie de l'opposition dans le discours de Pyrrhus (termes, figures de style, syntaxe, effets produits). Je ne vous demande bien évidemment pas de faire mon travail ! Mon problème est que je ne vois pas d'oppositions dans ce monologue ! Où est-ce que vous en voyez vous ? Si vous pourriez m'en indiquer, ce serait sympa. Je ferais le reste du travail moi-même. Merci.
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- opposition
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Soit f le fonction définie sur [0;1]par f(x)= x-2√x+1 (x – 2racine de x +1) Et Cf la courbe représentative de la fonction f dans un repère orthonormé. 1) a) Calculer f'(x) b)Montrer que l'axe des abscisses est tangents à Cf au point d'abscisse 1 2) a) Montrer que le point M de coordonnées (x;y) appartient à Cf si et seulement si x>0, y>0 et (racine de x) + (racine de y) = 1 b) démontrer que Cf est symétrique par rapport à la droite d'équation y=x Je suis bloqué sur la question petit 2 j'ai déjà plancher 4 heures dessus donc je demande de l'aide! Merci a celui qui m'apportera une réponse inteligente ( merci de ne pas faire les remontrance habituelle vas faire tes devoir tous seule : Si je demande de l'aide c'est que j'en ait besoin)
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La revanche du topinambour Dimanche 14 mars - 11:25 Image © Yvain Genevay Qui croirait que derrière cette vilaine racine se cache l'un des meilleurs légumes d'hiver? Par Melina Schröter Suite de l'article... Source: lematin.ch
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Bonjour Le 21 octobre 1680, Louis XIV crée la Comédie française : une lettre de cachet, signée à Versailles, consacre la fondation d’une troupe unique, composée de vingt-sept comédiens et comédiennes choisis par le roi pour leur excellence, dans le but de « rendre les représentations des comédies plus parfaites ». La troupe unique jouit du monopole des représentations en français à Paris et dans les faubourgs. À son répertoire figurent Corneille, Molière et Racine, mais aussi Rotrou, Scarron. ******************************************************************************************************************************************************** Historique : 1670 : À Paris, trois troupes de théâtre rivales coexistent : celle du Marais, celle de l’Hôtel de Bourgogne et celle du Palais-Royal, dirigée par Molière. 1673 : Après la mort de Molière, les comédiens du Marais rejoignent sur ordre royal la troupe des comédiens de Molière, et cette nouvelle troupe s’installe à l’Hôtel Guénégaud, rue Mazarine. 1680 : Le 18 août, un ordre du roi, expédié de Charleville, enjoint aux deux dernières troupes de comédiens français établis dans Paris de jouer dorénavant ensemble. Le 25 août, jonction entre les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne et ceux de l’Hôtel Guénégaud – les comédiens de Molière, dont le chef est La Grange – qui donnent leur première représentation commune. Le 21 octobre, une lettre de cachet, signée à Versailles, consacre la fondation d’une troupe unique, composée de vingt-sept comédiens et comédiennes choisis par le roi pour leur excellence, dans le but de « rendre les représentations des comédies plus parfaites ». La troupe unique jouit du monopole des représentations en français à Paris et dans les faubourgs. À son répertoire figurent Corneille, Molière et Racine, mais aussi Rotrou, Scarron. Louis XIV et Molière déjeunant à Versailles (peinture d'Ingres) 1681 : Le 5 janvier, les Comédiens-Français se lient entre eux par un acte d’association qui ne sera jamais remis en cause. La troupe réunit des comédiens fameux, tels que : Armande Béjart, Catherine De Brie, La Grange, Hubert, Du Croisy, Baron, Jeanne Beauval, Mlle Champmeslé – l’interprète favorite de Racine–, Poisson, etc. 1682 : Le 24 août, dotés d’un brevet de pension de 12 000 livres, ils vont connaître les avantages d’une protection de tutelle, mais en contrepartie de cette subvention, ils se trouvent plus étroitement assujettis aux caprices royaux. Le privilège des «Comédiens du roy » est souvent remis en cause par les troupes rivales, le théâtre de la Foire et surtout les Comédiens-Italiens. C’est par opposition à ceux-ci que se répand le nom de « Comédie-Française ». 1687 : Les comédiens reçoivent l’ordre de quitter leur théâtre, l’Hôtel Guénégaud, dont la proximité effarouche les ecclésiastiques du nouveau collège des Quatre-Nations (aujourd’hui l’Institut, quai Conti). 1689 : Après diverses tentatives infructueuses, la troupe s’installe rue des Fossés-Saint-Germain (n° 14 de l’actuelle rue de l’Ancienne-Comédie). Le 18 avril, le théâtre construit par l’architecte François d’Orbay ouvre ses portes. Au répertoire figurent les comédiens-auteurs Champmeslé, Dancourt et Poisson, en compagnie de Dufresny, Regnard et Crébillon… Les succès n’empêchent pas la troupe de surmonter avec difficulté les années de crise de la fin du règne de Louis XIV. 1716 : L’avènement du Régent, avec un retour au luxe et au plaisir, contraint les Comédiens-Français à brandir leur monopole face à la troupe reconstituée des Comédiens-Italiens et au théâtre de la Foire qui prospère. La compagnie renouvelée inscrit à son répertoire les premières tragédies de Voltaire, des oeuvres de Destouches, Gresset, Piron, Fagan, Nivelle de LaChaussée, créateur d’un nouveau genre dramatique, la « comédie larmoyante », et, en concurrence avec les Italiens, quelques unes des comédies de Marivaux. Leurs interprètes ont pour nom Mlle Duclos, Mlle Dangeville, Adrienne Lecouvreur ; puis, au milieu du siècle, Mlles Clairon, Gaussin,Vestris, et les comédiens Lekain, Préville, Molé… 1756 - 1759 : Face à l’autorité des premiers Gentilshommes de la Chambre, chargés d’appliquer les nouveaux règlements mis en place en 1757 et 1766 par Louis XV qui a pris en charge les dettes de la société, les comédiens s’affirment, construisent de petites loges, d’un gros rapport, et, avec l’appui de Voltaire, débarrassent la scène des banquettes réservées aux spectateurs privilégiés. La mise en scène, le décor, le costume, le jeu évoluent sous l’influence notamment de Lekain et Mlle Clairon vers plus de naturel et d’authenticité. 1770 : Les comédiens quittent leur théâtre vétuste et s’installent provisoirement dans la Salle des Machines du palais des Tuileries. Larive, Dazincourt, Fleury et Mlle Contat y connaissent leurs premiers succès. 1775 : Création du Barbier de Séville de Beaumarchais avec Préville dans le rôle de Figaro. 1778 : Apothéose de Voltaire. Son buste est couronné sur la scène en sa présence. 1782 : La troupe inaugure sa nouvelle salle du Faubourg-Saint-Germain (l’actuel Odéon), construite pour elle par les architectes Peyre et deWailly. 1784 : Création triomphale et tumultueuse du Mariage de Figaro de Beaumarchais, comédie annonciatrice de l’esprit révolutionnaire. 1789 : La Comédie-Française, à la suite des événements politiques, prend le nom de Théâtre de la Nation. La Révolution accorde aux comédiens les droits civils, mais elle met fin à la situation privilégiée de la Comédie. Au cours de cette période, la Comédie-Française connaît tous les périls, la dissidence des comédiens « républicains», qui scinde la troupe : conduits par Talma, ils s’installent dans un théâtre récemment construit par Victor Louis, rue de Richelieu, dit « Théâtre de la République ». 1793 : Le 3 septembre, le patriotisme des comédiens « monarchistes » ayant été mis en cause par leur choix de répertoire, le Comité de salut public ordonne la fermeture de leur théâtre à l’Odéon, leur arrestation et la saisie de leurs papiers. Le dévouement d’un obscur acteur, Charles Labussière, employé au Comité de salut public, les sauve de la guillotine. La chute de Robespierre leur rend la liberté ; mais ruinés, sans salle de théâtre, les comédiens se dispersent dans d’éphémères troupes de Paris et de province. 1799 : La tempête politique apaisée, la réunion de la troupe est réalisée à l’instigation de l’écrivain François de Neufchâteau, devenu ministre de l’Intérieur, puis membre du Directoire. Le gouvernement concède à la société des Comédiens-Français le Théâtre Français de la République, rue de Richelieu. Le 30 mai, la nouvelle Comédie-Française ouvre ses portes. Napoléon se fait le protecteur de la Comédie-Française. 1804 : Le 17 avril, les Comédiens-Français signent un nouvel acte de société. 1812 : Le 15 octobre, le décret de Moscou, signé par Napoléon, ratifie et complète les règlements établis. Dominés par Talma, les nouveaux sociétaires, parmi lesquels Mlle George et Mlle Duchesnois, se disputent les faveurs du public dans un répertoire classique éprouvé qui surclasse un répertoire contemporain médiocre. 1826 : La mort deTalma prive la troupe de sa principale étoile. Le répertoire en crise est prêt à accueillir les auteurs de la nouvelle école romantique. 1830 : Sous la direction du baron Taylor, commissaire du gouvernement, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Victor Hugo imposent le nouveau genre au répertoire : le drame romantique connaît son point culminant avec « la bataille » d’Hernani, le 25 février 1830, tandis qu’évoluent le jeu des acteurs, la mise en scène et la conception du décor. 1843 : L’échec des Burgraves de Victor Hugo laisse la place à des oeuvres de facture plus traditionnelle. La tragédie classique revient à la mode avec Rachel, véritable vedette d’une troupe renouvelée. 1849 : Le prince-président Louis Napoléon met fin à une longue période de flottement administratif et financier en créant la fonction d’administrateur, dépendant directement du ministère de l’Intérieur. 1850 : Les deux premiers administrateurs nommés, successivement Arsène Houssaye (1850-1856) et le baron Empis (1856-1859), font de la Comédie-Française la troupe ordinaire de l’Empereur. 1859-1871: Sous l’administration d’Édouard Thierry, une troupe homogène, où figure durant quelques mois la jeune Sarah Bernhardt, fait triompher la comédie bourgeoise et consacre des auteurs comme Banville, Ponsard, Émile Augier. 1870 : Pendant le siège de Paris, le foyer est transformé en lieu d’accueil des blessés.1871-1885 : Le nouvel administrateur, Émile Perrin, ancien directeur de l’Opéra, attire à la Comédie-Française le Tout-Paris. Une troupe d’élite joue Hugo, Dumas fils, Pailleron, Bornier, Coppée et Erckmann-Chatrian dans les mises en scène somptueuses de l’administrateur. 1885-1913 : Les vingt-huit années de l’administration Claretie sont caractérisées par des difficultés financières, une troupe tragique plus brillante que la troupe comique, et un répertoire contemporain où domine la comédie de moeurs (Hervieu, Brieux, Lavedan, Donnay, Porto-Riche, Bataille, Mirbeau, de Flers et Caillavet). 1900 : L’incendie du théâtre fait errer la troupe de salle en salle pendant six mois. 1908 : Les Comédiens-Français, sous la direction artistique de Charles Le Bargy, collaborent aux premiers films des Studios des films d’art. 1913-1936 : Sous les administrations d’Albert Carré (ancien directeur de l’Opéra-Comique), puis de l’auteur dramatique Émile Fabre, la Comédie-Française vit une période de transition. Elle participe pendant la guerre aux représentations du Théâtre aux Armées, donne des galas à bénéfice et joue des oeuvres à caractère patriotique. Émile Fabre, malgré les crises financières et politiques de l’après-guerre, parvient à accueillir une nouvelle génération d’auteurs dramatiques (Jean-Jacques Bernard, Paul Raynal, André Obey). Il fait entrer au répertoire des auteurs étrangers (d’Annunzio et Ibsen). 1935 : La Comédie-Française participe aux premières retransmissions radiophoniques. 1936 : L’auteur dramatique Édouard Bourdet est nommé administrateur. Il est assisté par un comité consultatif composé des metteurs en scène issus du Cartel : Jacques Copeau, Gaston Baty, Charles Dullin et Louis Jouvet. Ces metteurs en scène apportent un regard neuf sur les classiques tandis que des auteurs contemporains français et étrangers – Giraudoux, Lenormand, Mauriac, Romain Rolland, Pirandello – font leur entrée en force au répertoire. 1940-1946 : Pendant la guerre vont se succéder les administrateurs Jacques Copeau, Jean-Louis Vaudoyer et, à la Libération, Pierre Dux. Ils s’efforcent de préserver l’intégrité et le prestige de la Comédie-Française pendant l’occupation allemande. 1946 : Un important décret accorde à la Comédie-Française l’exploitation de l’Odéon – appelé Salle Luxembourg pour le distinguer de la Salle Richelieu – et provoque le départ d’un groupe de sociétaires. 1946-1960 : Les administrateurs André Obey, Pierre-AiméTouchard, Pierre Descaves et Claude de Boisanger affrontent les différentes crises et accroissent le nombre des acteurs. 1959 : L’Odéon est retiré à la Comédie-Française. 1960-1970 : Maurice Escande ouvre le théâtre aux acteurs nouveaux et aux metteurs en scène extérieurs. 1970-1979 : Pierre Dux continue cette politique avec l’exploitation de l’Odéon, revenu à la Comédie-Française en 1971. 1979-1983 : Jacques Toja succède à Pierre Dux. 1983 : L’Odéon est retiré à la Comédie-Française. Nomination de Jean-Pierre Vincent comme administrateur. 1986 : Jean Le Poulain, sociétaire de la Comédie-Française, est nommé administrateur. Le Théâtre national de l’Odéon est rattaché à la Comédie-Française. 1988 : Le 1er mars, décès de Jean Le Poulain. Le 15 juin, Antoine Vitez est appelé aux fonctions d’administrateur général. L’Odéon est de nouveau retiré à la Comédie-Française. 1990 : Le 30 avril, Antoine Vitez disparaît brutalement. Le 4 juillet, Jacques Lassalle est appelé aux fonctions d’administrateur général. 1993 : En août, nomination de Jean-Pierre Miquel pour un mandat de cinq ans. Ouverture du Théâtre du Vieux-Colombier (trois cents places), en qualité de deuxième salle de la Comédie-Française. 1994 : D’importants travaux de modernisation de la cage de scène et de réfection de la Salle Richelieu sont entrepris. 1995 : Les statuts sont modifiés. Le 1er avril, la Comédie-Française devient un Établissement public à caractère industriel et commercial (ÉPIC) placé sous la tutelle du ministre de la Culture. 1996 : Une troisième salle, le Studio-Théâtre (cent trente-six places), est inaugurée à l’automne au Carrousel du Louvre. 2001 : En août, nomination comme administrateur de Marcel Bozonnet. 2006 : Muriel Mayette lui succède. Source
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Multipliez vos framboisiers Dimanche 20 Juin - 19:19 Image © D.R. Les framboises n'atteignent leur maturité que sur des rameaux en bonne santé. Vous avez une saine, belle et jeune culture de framboises et vous aimeriez augmenter votre production sans devoir acheter de nouveaux plants. Pour parvenir à vos fins, vous pouvez soit sortir de terre un rejet et le replanter, soit dégager quelques racines pour les bouturer. C'est facile et c'est juste le bon moment! Par Paul-Alain Magnollay Suite de l'article... Source: lematin.ch
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Dissertation sur Racine ne plagie pas Seneque sur Phedre
un sujet a posté Seconde37 dans Philosophie
Bonjour je suis Seconde et j'ai une dissertation a rendre pour lundi et je sais pas du tout comment m'y prendre. Le sujet porte sur le livre Phedre de Racine et sur l'acte V scène 6. Le sujet est exactement Développer des argument en faveur de l'originalité Racine (Pour prouver qu'il ne copie pas sur Seneque). J'ai déjà dresser une tableau avec des arguments mais il faudrait le mettre sur un texte au argument les moins importants au plus importants. -1er Arguments -> Racine ajoute un passage qui met en valeur le courage de héros (CITATIONS je crois que c'est du vers 1527 à 1530). -2eme Arguments -> Sa langue est pleine de figures de style et il écrit en alexandrins (Citations que je ne trouve pas). -3eme Arguments -> Racine atténue le caractère violent de la description du corps d'Hippolyte violenté et met en valeur sa souffrance grâce a une gradations (CITATIONS que je ne trouve pas). -4éme Arguments -> Le rôle de Theramene est plus importants chez Racine (CITATIONS que je ne trouve pas). -5eme Arguments -> Il rend le récit vivant avec du discours direct. S'il-vous plait aidez c'est super importants. :cry:-
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BonjourAlors j'ai ma fonction f(x) =√(x²+x) Et j'ai y= x +1/2 Je doit montrer que y est asymptote oblique de f(x). Je dois faire f(x)-y. Et prouver que lim f(x)-y = + oo x==> +oo hors lim √(x²+x)-(x+1/2)= +oo - (+oo) = F.I x==>+oo Donc c'est une forme indéterminé, je fait comment pour résoudre ce problème, je dois factoriser ?
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Jaguar XJ: un voyage à travers le temps Dimanche 05 septembre - 18:42 Image © DR Magnifique et moderne: la XJ actuelle, entièrement repensée. Quatre décennies d'évolution automobile séparent la Jaguar XJ 1 du dernier modèle lancé par la marque, dont les racines britanniques ressortent dans tous les gènes du luxe et de la performance. Etonnant voyage dans le temps au volant de deux ladies de légende. Récit. Par Philippe Clément Suite de l'article... Source: lematin.ch
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Mettez en terre les bulbes à fleurs Dimanche 26 septembre - 17:20 Image © Paul-Alain Magnollay Comme toutes les plantes à bulbes, les tulipes n'aiment pas les sols trop humides. Perce-neige, tulipes, lis, narcisses... la floraison des plantes à bulbes égaie le jardin une fois le printemps venu. Mais elles doivent être plantées maintenant pour développer leurs racines avant le gel. Par Paul-Alain Magnollay Suite de l'article... Source: lematin.ch
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Bonjour à tous! Vous est-il arrivé parfois en écoutant un mot de vous apercevoir soudainement d'un "sens" véritable, qui parce que le mot est utilisé souvent ne saute pas forcément aux yeux? C'est pas très clair, alors voici les exemple que j'ai pu trouver : enregistrer : placer dans un registre interrupteur : qui sert à interrompre (le courant électrique) radiateur : qui irradie (de la chaleur) Je vous propose de découper des mots ensemble, partagez les vôtres! A vous! :cool:
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Bonjour Je doit montrer qu'une courbe d'équation f(x)=√(x²+|x|) est symétrique par rapport a l'axe des ordonnés$ j'utilise la méthode f(a-h)=f(a+h) : Doncnous avons f(a-h)= √((a-h)²+|a-h|) F(a-h)= √(a² - 2ah + h² + |a-h|) Nousavons aussi f(a+h)= √((a+h)²+|a+h|) F(a+h)= √(a² + 2ah + h² + |a+h|) et la valeur absolue me gène pour simplifier les équation
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Bonjour tout le monde, je m'excuse d'avance du dérangement mais j'ai un gros problème. j'ai un énorme travail à faire sur plusieurs livres, analyse, recherches documentaires et j'avoue que là je sature au plus au point ! Je suis actuellement en train de travailler sur Britannicus, et je vous demande à l'aide! J'essaye d'établir un tableau concernant les caractéristiques du théâtre classique. Cad : 1 l'unité de temps 2 l'unité de lieu 3 l'unité d'action 4 l'unité de ton 5 caractéristiques de la pièce concernant la bienséance et la vraisemblance. Pourriez-vous m'aider s'il vous plait ?
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Bonjour à vous, éminents forumeurs! Me voilà face à un problème, que je suis sûre, solvable, mais l'évidence de la solution n'est pas très transparente pour moi. alors je sais que si f(x) = √x alors j'ai f(x)=√(x²+2x+3) alors aussi? Merci pour votre aide, Laktor.