Des mots tôt et des mots tard,
Qui pétaradent au matin ou tard quand vient le soir
Le mot coeur, le mot "t'y vas"
Pour que les mots "tifs" et les moments tannés
Arrêtent les renvois vers le bât
Et délivre par le bas le con damné
Le condamné amour,
Condamné amour tous jours
Condamné à vie, Perrine,
Peut être me suis-je égaré,
Et les rêves, anges, heures,
Me jouent-ils détours et me turlupinent
J’étais pourtant sur d’être aimé et veillé
Mais sur le Styx le passeur
D’un pas sur, susurre et m’assure
Qu’il est bien entendu mon futur.