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anhdo

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Tout ce qui a été posté par anhdo

  1. Thierry Grosnon Copé est quand même d'une médiocrité républicaine rare. Utiliser la cérémonie du 8 mai pour convoquer par mail les militants UMP afin de venir rendre hommage à Sarkozy et profiter au passage pour siffler Francois Hollande, un jour de commémoration nationale, montre qu'à côté Nadine Morano ou Maryse Jouassin font figure de bonnes sœurs Coluche : "Attendez que la Gauche passe en 2012" JOURNEE NATIONALE A LA MEMOIRE DES VICTIMES DES CRIMES RACISTES ET ANTISEMISTES COMMIS PAR L'ETAT FRANCAIS ET D'HOMMAGE AUX «JUSTES» DE FRANCE Dimanche 17 juillet 2011 Mémorial du Fort de Queuleu / METZ En présence de l'Association Nomade In Metz, représentante du peuple Rom, Tsigane, Gens du voyage Dimanche 17 juillet 2011, comme chaque année depuis 1993, aura lieu, dans chaque ville de France, une commémoration à la « Mémoire des victimes des crimes racistes et antisémistes commis par l'état français et d'hommage aux "Justes" de France ». A cette occasion, l'association Nomade In Metz, associée à la Ligue des Droits de l'Homme, et représentante de tous les groupes désignés improprement par le terme « Gens du Voyage », déposera une gerbe au monument du Fort de Queleu. Il s'agit là d'une première dans l'histoire du département, car, en effet, cette cérémonie accordera officiellement une place au drame tsigane dans notre mémoire nationale. Depuis 70 ans, nos livres d'histoire ne sont restés que très peu loquaces sur ces pages sombres et méconnues de la plus terrible tragédie ayant ravagé le monde et l’humanité. Pourtant, avant que les souvenirs ne s’effacent à jamais et que la mémoire ne se dilue dans l’oubli, il est important de réparer cet oubli mémoriel et historique. Nous nous souvenons de ce peuple, hommes, femmes et enfants confondus, nés pour la liberté et persécutés parce qu'ils l'aimaient tout simplement. Ils furent pourchassés par le régime de la Collaboration, enfermés dans des camps d'internement disséminés sur le territoire français et privés d'une liberté qui, pourtant, constituent la vie-même des gens du voyage. Le devoir de mémoire, c’est la dette des vivants à l’égard des morts. La présence de la communauté Rom à cette commémoration interrogera nos comportements actuels à l'égard du nomadisme, qui reste encore un mode de vie difficilement compris et rejeté par la majorité de la population sédentaire. Cette cérémonie se fera une nouvelle fois l'écho d'une volonté d'atteindre l'humanité qui demeure en chacun de nous, en proposant à chacun de dépasser les préjugés qui nous habitent et devenir les artisans du droit à la différence. Cette journée de commémoration et de recueillement aura pour but de faire respecter l’égalité réelle entre tous les citoyens et de contribuer à lutter contre toutes les discriminations et notamment celles à l’égard des gens du voyage. Cette journée répond au souhait exprimé par la communauté juive, ainsi que par de nombreuses personnalités françaises, de voir reconnaître officiellement la responsabilité du régime de Vichy dans les persécutions et les crimes contre les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-45). Le décret n° 93-150 du 3 février 1993, signé par le président de la République François Mitterrand, institue "une journée nationale commémorative des persécutions racistes et antisémites commises sous l’autorité de fait dite "gouvernement de l’État français" (1940-1944)". Cette commémoration est fixée le 16 juillet, date anniversaire de la rafle du Vélodrome d'Hiver, si ce jour est un dimanche ou sinon le dimanche suivant. Les 16 et 17 juillet 1942, près de 13 000 personnes – hommes, femmes et enfants – sont arrêtées par des gendarmes et policiers français sous les ordres de Jean Leguay, adjoint et représentant en zone occupée de René Bousquet, secrétaire général du ministère de l'Intérieur pour la police de Vichy. L'opération est menée à partir de listes préalablement établies par la préfecture de police. Quelque 7 500 personnes, dont 4 000 enfants, sont rassemblées au Vélodrome d'Hiver, dans les pires conditions car rien n'est prévu pour les accueillir, avant d'être transférées dans les camps d’internement du Loiret ; les autres sont directement amenées à Drancy et déportées vers l'Est au cours de l'été. Cette rafle n'est pas la première, mais en raison de son ampleur et de la participation de l'État français, elle est la plus importante. Elle fait suite à la politique mise en œuvre par le gouvernement en place. Le souvenir de cet épisode tragique de l'Occupation était déjà précédemment entretenu par des cérémonies organisées au sein de la communauté juive. Le décret prévoit en outre l'érection, aux frais de l'État, de monuments et de stèles à Paris, à l'emplacement d'un camp de regroupement et également dans chaque ville chef-lieu de département. Un monument est ainsi érigé à proximité de l'ancien Vélodrome d'Hiver, près du pont d’Inauguration le 17 juillet 1994. En province, la cérémonie officielle s'organise, sous l'autorité du préfet, autour des plaques apposées dans les villes chefs-lieux de départements. Dans un discours, prononcé lors de la commémoration du 16 juillet 1995, le président de la République, Jacques Chirac, reconnaît que "la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l’État français", que "la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable". vaste mouvement de résistance [dans lequel s'engagèrent] de nombreuses familles françaises", des "Justes" qui sauvèrent de nombreux juifs. La loi n° 2000-644 du 10 juillet 2000 reprend et modifie le décret en intégrant un hommage aux "Justes" de France. Ce jour est ainsi l'occasion pour la nation de témoigner sa reconnaissance à tous ceux "qui ont recueilli, protégé ou défendu, au péril de leur propre vie et sans aucune contrepartie, une ou plusieurs personnes menacées de génocide". Par leurs actes, ils ont montré que les valeurs républicaines de liberté, d'égalité et de fraternité n'étaient pas lettres mortes. Nombreux ont été en effet ceux qui ont recueilli des enfants, qui ont apporté une aide matérielle et un soutien moral à des familles qui se retrouvaient privées de tout, leur procurant de faux papiers, les avertissant des rafles ou refusant de donner leur nom aux autorités. Il est impossible de quantifier le nombre des "Justes" de France qui, durant toute l'Occupation, par souci d'humanité, ont caché et sauvé des milliers de personnes. La nation choisit donc de reconnaître les actions des "Justes" et de faire acte de mémoire en les honorant tous lors de cette journée commémorative. LE PEUPLE TSIGANE SOUS LE REGIME DE VICHY Entre 250 000 et 500 000 Tsiganes, sur les 700 000 qui vivaient en Europe, ont été exterminés pendant la seconde guerre mondiale par les nazis et leurs alliés. Ce génocide souvent oublié porte le nom de Samudaripen . Les historiens restent encore prudents et divergent sur les chiffres : les recherches récentes indiquent que près de trois mille tsiganes ont été internés dans l’ensemble de la France entre 1940 et 1946 . Toutefois, les Tsiganes français ont rarement été déportés. Quelle a été la politique à l’égard des tsiganes en France ? Le peuple Rom a de tout temps fait l'objet d'actes discriminatoires. En effet, le rejet de la population des nomades n’est pas né avec Vichy. Les gens du voyage, terme qui désigne l’ensemble des tsiganes, font peur depuis longtemps. Cependant la répression anti-tsigane, en France, se précise surtout fin du XIXème siècle, autour de la Guerre de 1870, période durant laquelle ils sont souvent présentés comme des espions à la solde de l’Allemagne. L'évolution s'est remarquée par la suite dans un contexte de discours sécuritaire et de campagnes de presse xénophobe stigmatisant les nomades. En 1895 a lieu le premier recensement officiel. En 1908 une loi d'Albert LEBRUN sur vagabondage et mendicité inclut les tsiganes. De 1912 à 1969, la loi institue le Carnet anthropométrique, familial et individuel, visé dans chaque commune, à l'arrivée et au départ. Les tsiganes sont donc considérés désormais comme des criminels qu’il faut ficher. La loi du 19/03/1939 qui accorde des pouvoirs spéciaux au gouvernement traite du sort des nomades au sens large, donc tsiganes inclus. Le décret-loi du 06/04/1940 d’Albert LEBRUN interdit la circulation des nomades sur l'ensemble du territoire: ils doivent se déclarer à la gendarmerie, ne disposent plus du droit de circuler et sont astreints à résidence. Ce décret les réprime toujours pour espionnage (étroite surveillance) et prévoit des lieux précis pour les rassembler. Dès fin 1940, l’arrestation et la surveillance reposent sur les forces de l’ordre françaises du Gouvernement de Vichy, et l’idée d’un regroupement concentrationnaire se généralise. L’incitation de regroupement est conjointe aux allemands et aux français de l’époque, mais l’organisation revient aux autorités françaises. Les Préfets ont ordre d’appliquer… D’autre part 22 départements interdisent tout droit de circulation aux forains et nomades, sous peine d’emprisonnement. En 1941 les Allemands renvoient la responsabilité sur les Français ; ces derniers doivent assurer l’encadrement et les frais inhérents. Les historiens évaluent à 3000 les Tsiganes internés en France dans une trentaine de camps, entre 1940 et 1946. Il n’y a pas eu de déportation systématique des Tsiganes de France. Toutefois, le 15 janvier 1944 des Tsiganes, dont 145 français, ont été déportés de Belgique vers Auschwitz. Ce convoi semble le seul cas connu de déportation de Tsiganes de France. Il faut aussi signaler que leur internement a continué encore deux ans après la libération du pays (de 1944 à 1946). La fin de la guerre dans certains cas ne met pas un terme au scandale, puisque, en mars 1946, il y a encore des internés tsiganes dans certains camps. La date du dimanche 17 juillet 2011 marquera l'histoire du département, puisqu'il s'agira de la première fois que la Moselle dédiera cette journée de la Mémoire des victimes des crimes racistes et antisémistes commis par l'état français et d'hommage aux "Justes" de France au peuple Rom, au même titre que le peuple juif. LE FORT DE QUEULEU / METZ: UN CAMP D'INTERNEMENT EN FRANCE OCCUPEE Le Fort de Queuleu, érigé à la fin du XIXe siècle, près de Metz, faisait partie de la première ceinture fortifiée commencée sous le Second Empire afin de protéger Metz. Un décret impérial du 9 novembre 1867 déclare d'utilité publique l'acquisition des terrains pour l'édification des forts à Saint-Quentin, Saint-Julien, Queuleu, Saint-Privat...La construction débute l'année suivante. d'ébauche. Il est terminé entre 1872 et 1875 par les Allemands, qui lui donnent le nom de "Feste Goeben", du nom d'un général allemand qui s'était distingué au cours des combats, notamment lors de l'attaque des hauteurs de Spicheren. C'est à partir du mois d'octobre 1943, alors que les prisons étaient pleines, que le Général, commandant alors la place de Metz ,met la casemate "A" du Fort à la disposition de la Gestapo. Le lieu deviendra ainsi un camp où sont pratiqués les interrogatoires. Les nazis y interneront près de 1800 hommes et femmes, résistants et otages (âgés de 18 à 70 ans) en attente d'un procès; 36 prisonniers y mourront dans d'atroces circonstances, battues à mort. Une fois cette période achevée, certains détenus seront transférés vers les camps de Schirmeck pour les femmes, et du Struthof, pour les hommes, et quelques-uns au camp tout proche de Woippy; 400 personnes ne reviendront jamais de déportation. Le Fort de Queuleu fonctionne ainsi 10 mois avant d'être évacué le 17 août 1944. Selon le SS Anton Dunckem, «les arrestations de communistes se sont multipliées et, en raison de l'organisation de leurs troupes, il devint nécessaire, pour faciliter les enquêtes, de les regrouper dans une prison spéciale; c'est la raison pour laquelle, à la demande de Schmidt, chef de la Gestapo de Metz, et avec l'avis de Gauleiter, j'ai demandé à l'autorité militaire de mettre à notre disposition le Fort de Queuleu. Le personnel de surveillance de ce camp fut fourni par une unité de Waffen SS de Metz ». En 1971, les anciens déportés du Fort de Queuleu se regroupent au sein d'une amicale. Ils élèvent un Mémorial inauguré le 20 novembre 1977. Dans la crypte, sont conservées les cendres des martyrs de camps de concentration. La visite du Fort permet de voir les salles d'interrogatoire, les dortoirs, les cellules...ainsi qu'un musée présentant des documents et notamment une liste, non exhaustive, des internés. Une plaque commémore le nom des 36 martyrs morts dans le cul de basse-fosse du Fort. Ce site, marqué par ces heures tragiques de l'Histoire, a été choisi comme lieu de commémoration, à Metz, à l' occasion de la journée nationale dédié à la Mémoire des victimes des crimes racistes et antisémistes commis par l'état français et d'hommage aux "Justes" de France. LA COMPOSITION FLORALE D'INSPIRATION ROM ET CONTEMPORAINE A cette occasion, Bertrand Barthel, Maître Designer en Art Floral, réalisera une gerbe unique aux allures très actuelles et aux influences Rom. Il s'inspirera, en effet, entre autres, du drapeau Rom et de ses couleurs bleu (symbolisant le ciel, la liberté et les valeurs spirituelles tsiganes), verte (Hymne à la nature et à ses valeurs) et rouge. La symbolique de ce drapeau relève d'une roue à 16 rayons qui évoque la route, le voyage, la roulotte, mais également les origines indiennes des Roms, vers le Rajasthan actuel (Roue = « Chakra » en Sanskrit/Hindi). C'est suite au 1er Congrès de l'Union Rom International (URI), qui s'est tenu du 8 au 12 avril 1971, à Londres, que le drapeau Rom a été adopté, tout comme l'Hymne des Roms « Djelem Djelem ». Un drapeau original puisqu'il a la spécificité de représenter un peuple et non pas un pays. Bertrand Barthel est issu de l'école du maître designer Guy Martin. Très vite son travail se démarque de par l'alliage du minéral à l'eau, aux végétaux et à la transparence, qui en font de ses créations des œuvres uniques et hors normes. Il obtient le Trophée d'Or International en 2006. CONTACT: Bertrand Barthel / JOSEE FLEUR 25 rue Franiatte 57950 MONTIGNY LES METZ
  2. Castéras : ce village qui a voté à 100% pour Hollande François Hollande arrivé à l'Arc de triomphe pour les cérémonies du 8-Mai Paris vire à gauche Stephane Guillon-Le reigne Sarko.avi L'Etat emprunte moins cher après l'élection de François Hollande Hollande veut en finir avec l'hyperprésidence
  3. bof pourquoi ressortir ce vieux document? oui ! c'est une gaffe de bonne femme!!! d'ailleurs pour Ségolène aussi on ne comptait plus ses gaffes ? ,bref ces attaques sont mesquines et très féminines en sommes.:smile2: Voici la nouvelle à 17h hier ...
  4. PARIS (Reuters) - Adieu "l'hyperprésidence", place à une présidence "normale", respectueuse des institutions, où chaque membre de l'exécutif sera dans son rôle, avec à sa tête le chef d'un Etat, non d'un parti : telle est la promesse faite par François Hollande pour son quinquennat. L'élection du nouveau président avec 51,62% des voix devrait signer la fin de "l'Etat UMP" de Nicolas Sarkozy, du Premier ministre "collaborateur", comme le président sortant avait qualifié un jour François Fillon, et la disparition des réunions de parlementaires de la majorité à l'Elysée, explique-t-on dans le camp du président élu. "L'Etat, ce ne sera plus l'Etat UMP, mais ce ne sera pas davantage l'Etat PS. L'Etat c'est l'Etat, c'est la propriété de tous les citoyens et je leur rendrai cette justice et ce droit", déclarait le 3 mars à Dijon le candidat François Hollande lors d'un discours sur l'exemplarité de l'Etat. Dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres, le président élu veut marquer une rupture avec le quinquennat finissant et un retour au respect à la lettre des institutions de la Ve République. Mon lien
  5. Il pouvait pas rester à Paris? Au final, il a dépensé bien plus hier que Sarko le soir de son élection en 2007. Mais bon, la, on s'en fout, c'est pas grave. Aucune objectivité quand il s'agit du socialiste, hallucinant. Il est à Paris ... mais la Bastille était fermée à 1h30 du matin ! Il faut qu'il vienne car la dernière fois avec François Mitterrand il y a 31 ans ! Ratez cela quand il y a des centaines de milliers de français qui l'attendent sous n'importe quel prétexte ! Si l'on ne comprend pas :dort: :dort: :dort: :dort:
  6. Il faut bien qu'il prenne un Jet privé pour arriver à la Bastille vers 24h30 ! En train ce sera 3-4h ! C'est à dire 3 à 4h du matin ...
  7. Les dirigeants du monde entier saluent la victoire de Hollande La gauche gagnerait les législatives avec 45% des voix si elles avaient lieu dimanche prochain Présidentielle: Quel genre de président sera François Hollande? Philippe Tesson : "La gauche n'a aucun souci à se faire pour les législatives"
  8. Les reports de voix FN sur Hollande est 18% et 60% vers Sarkozy ! FN : 6 électeurs sur 10 se reportent sur Sarkozy ... :smile2:
  9. François Hollande élu président de la République
  10. [/url] Aujourd'hui dimanche 6 mai, vous avez été nombreux à voter pour le changement. Direct : Hollande élu président de la République
  11. #RadioLondres ... Le rhum Guadeloupe est à 71,93°, je répète 71,93 cette année Le rhum hongrois à moins de 32° en Martinique Départ pour Amsterdam à 68,4 € de Martinique Les roses coûtent 62 $ en Guyane
  12. Ils ont déjà dit au revoir... www.huffingtonpost.fr
  13. Droit des femmes : un appel pour voter François Hollande [/url] Pourquoi aucune nouvelle de l'Islande? La Moselle s'enthousiasme pour François HOLLANDE
  14. Comme c'est lamentable de comparer avec la Chine, un pays totalitaire ! Le Front de Gauche c'est quoi ? C'est surtout le progrès social et la défense des plus démunis ... Il faut vivre au présent et pas dans le passé !
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