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Ergal

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Tout ce qui a été posté par Ergal

  1. NON, cela ne m'interresse pas. C'est plus des massacres que de vrai "Batailles".
  2. Ergal

    Sarkozy

    Pas prouvé Et alors, c'est très bien, au moins il sait ou en est chaque coin de France et c'est plus facile pour aider les régions et répartir les sources plus facilement. Comme tout les artistes et les politiques. Même réponse, comme tout les gouvernements. Ben au moins il reconnaît ses erreurs. Pas comme certains gauchistes, en l'occurrence les socialos. FAUX. La France est le pays ou l'on travaille le moins. Et pourquoi dire qu'il veut remettre la France au travail. Se qui veulent travailler plus pourront gagner plus. Se qui ne veulent pas ben tapis pour eux.
  3. Ergal

    Le Bar ForumFr

    Pas chez moi, il y a une bruine qui tombe. Bon, j'y vais moi, je vais à l'observatoire spatial pour continuer à travailler sur Saturne. Salut Tavernier.
  4. Ergal

    Le Bar ForumFr

    Raph33 t'es courageux: sous la pluie !!!!
  5. Ergal

    Le Bar ForumFr

    B'jours, un coca SVP. Ben, il n'y a personne ici ?
  6. Avenir: Fait rédige un petit exposé sur Cortez ici. Même si se n'est pas tout à fait dans le sujet et on en discute après.
  7. Ergal

    Segolène Royal sur TF1

    Es-ce si compliqué de communiquer avec respect. On dirait des gamins en train de se disputer à celui qui pourra prendre le ballon le premier. Alors que vous semblez avoir entre 25 et 30 ans.
  8. vos honoraires sont à combien ? Il s'agirait de ne pas se faire rouler par des avocats.
  9. Il me semble que c'est un Samouraï, non ? Je vai vérifier tout de même...
  10. Dans ce cas, c'est toutes l'armée finlandaise qu'il faut féliciter: tenir trois mois avec seulement environ 200 000 soldats face au rouleau-compresseur russe
  11. Ergal

    Segolène Royal sur TF1

    Je ne suis pas de mauvaise fois. Il y a eu 5 ans de gouvernement de Gauche car l'Assemblée nationale était constituée en majorité de député de gauche. Donc la aussi il y a de la mauvaise fois de ta part. Jacque Chirac ne peut rien faire si l'assemblée et le Sénat ne lui sont pas acquis donc la politique était forcement de Gauche, d'après toi les 35 heures seraient ils passés si l'assemblée nationale aurait été composée de députés de droite ? C'est logique
  12. Ergal

    Segolène Royal sur TF1

    Je soulignais juste ton erreur.
  13. Ergal

    Segolène Royal sur TF1

    Sur ces 12 ans, il y a 5 ans de socialisme avec Jospin, on a vu le résultat en 2002
  14. Je suis pris. Follement amoureux de mon telescope, de mon ordi nateur, de mon chien... Serieusement je suis célibataire depuis 9 mois, en même temps je ne cherche pas non plus.
  15. Très intérressant, mais cela n'a rien à voir avec le sujet, non ? Ou alors rédige une partie qui nous interresse.
  16. Bataille d'Auerstaedt FRANCE Maréchal d'Empire Louis Nicolas Davout (le chef militaire que j'admire le plus) 22 000 fantassins 4 000 cavaliers 44 canons PRUSSE Charles Guillaume Ferdinand, duc de Brunswick puis Frédéric-Guillaume III de Prusse 60 500 hommes 230 canons *********************************** La bataille d'Auerstaedt opposa l'armée prussienne à l'armée française menée par Louis Nicolas Davout le 14 octobre 1806, parallèlement à la bataille d'Iéna Le 14 octobre 1806 l'armée prussienne, référence européenne depuis un demi-siècle, est mise en déroute au cours de deux batailles simultanées. Le maréchal Davout, commandant l'aile droite de l'armée française, affronte les Prussiens à Auerstaedt. L'Empereur mène une campagne visant à atteindre Berlin. Après un engagement à Saalfeld, il poursuit l'armée prussienne. Pensant qu'elle se trouve à Weimar en retraite vers Leipzig, il joue de vitesse pour l'affronter à Iéna. Ses éclaireurs lui apprennent dans la journée du 13 octobre qu'il rejoint l'ennemi. Napoléon Ier pense avoir devant lui le gros de l'armée prussienne. Dans la nuit du 13 au 14, il envoie Davout en avant pour la prendre à revers. Mais en fait, c'est l'arrière-garde que Napoléon affronte à Iéna, alors que Davout se trouve face à l'avant-garde suivie du gros des troupes ennemies, celles-ci pensant affronter le gros de l'armée française. Le mouvement tournant des trois divisions de Davout devait passer par Auerstaedt où stationnaient au même moment les trois corps d'armée prussiens. En fin de journée du 13 octobre, Naumbourg est occupée et les Français tiennent le pont de Kösen, les Prussiens se disposent en retrait du village d'Hassenhausen. En face de Napoléon, Schmettau avait pour mission de disposer ses troupes en écran pour permettre le reflux du gros de l'armée prussienne, il ne cherche donc pas la bataille. é six heures du matin, dans le brouillard, la division Gudin à l'avant-garde se dirige sur le village d'Hassenhausen. Un premier peloton de cavalerie française traverse le village pour se retrouver face à la cavalerie de Blücher, les Français font quelques prisonniers qui apprennent l'arrivée d'une division. La cavalerie du général Blücher, qui déjà débordait la droite du maréchal Davout, menaçait de la tourner et de l'envelopper. Davout ordonne au 25e régiment d'infanterie de ligne d'aller tenir le village. Avant d'y arriver ils doivent affronter les troupes avancées de l'ennemi (hussards et artillerie) mais après un court combat occupent le village et en contrôlent les accès. é neuf heures, alors que le brouillard se dissipe la division Gudin est fermement établie autour du village lorsque qu'apparait la division prussienne signalée. Voyant les Français, Blücher décide immédiatement d'attaquer, les charges successives de sa cavalerie se brisent sur les carrés des Français et finissent par une débandade. Au nord une batterie à cheval prend alors position pour canonner la droite des Français, cependant Davout avait ordonné à la division Friant de man¿uvrer sur ce côté qui bouscule cette batterie et dans la foulée occupe le village de Spielberg, mais ne parvient à pousser plus loin. En même temps, le village de Popel était enlevé par le colonel Higonet qui prit aux Prussiens un drapeau et trois pièces de canon. Le maréchal Davout, toujours à la tête de la division Friant qui marchait en colonnes serrées, se porta en avant, laissant Auerstadt sur sa gauche. Le feu des batteries que l'ennemi avait sur ce point n'empêcha pas le général Friant de continuer son mouvement ; il s'appuya à droite pour couper la retraite à l'ennemi. Les Prussiens font avancer leur deuxième ligne et la division Wartenselen menace de contourner au sud. Depuis quatre heures, la division Gudin luttait contre des forces supérieures, et se trouvait livrée à elle-même par le mouvement de la division Friant. Les Prussiens font reculer les Français qui sont sur le point de céder, dans le village, lorsque la division Morand entre en ligne vers onze heures. Une charge de la cavalerie prussienne est à nouveau décimée. La première brigade de ce corps enleva, à la baïonnette, le village de Hassenhausen. Le duc de Brunswick, qui commandait personnellement la charge, est blessé grièvement à dix heures, ce qui accentue la défaillance des troupes prussiennes. La mort du duc de Brunswick A onze heures du matin, le roi de Prusse ordonna une attaque générale ; le prince Henri, son frère, se mit à la tête d'un corps nombreux de cavalerie prussienne, et tomba avec impétuosité sur la division Morand, qui se défendait contre une division d'infanterie prussienne. Le prince Henri ayant été blessé dans une charge, ses troupes se replièrent et vinrent se ranger derrière l'infanterie, et le général Morand, les attaquant à son tour, les dispersa dans la plaine. Tandis que ces événements se passaient à la gauche de l'armée française, le général Friant lança ses tirailleurs dans la direction des villages de Poppel et de Tauchwitz, qui obligèrent la brigade du prince Henri à se retirer. Les trois divisions prussiennes engagées ayant été forcées de rétrograder, la droite de la division Morand gagna du terrain. Le général de Billy, à la tête du 61e régiment, s'avança vers la tête du ravin qui conduit à Rehausen. Les Prussiens firent renforcer leur droite pour arrêter les progrès de l'aile gauche des Français, tandis que quelques compagnies de tirailleurs filaient le long du vallon. Depuis que le duc de Brunswick avait été forcé de quitter le champ de bataille et avait eu un cheval tué sous lui, le roi de Prusse conduisait en personne toutes les attaques. La gauche des Français étant dégarnie de cavalerie, ce prince voulut tenter d'enfoncer l'infanterie pour tourner ensuite la division Gudin ; mais le maréchal Davout, devinant les intentions du roi de Prusse, envoya le général Morand pour empêcher cette man¿uvre. Le maréchal Davout profitant du succès de ses deux ailes, fit avancer le centre de son corps d'armée, et faisant attaquer le village de Tauchwitz par le général Gudin, l'armée prussienne se retira en désordre laissant sur les hauteurs de Hussenhausen la plus grande partie de son artillerie. Les deux divisions de réserve, commandées par le général Kalkreuth, se mirent alors en ligne. Le prince de Prusse, commandant les grenadiers, et le général Blücher qui avait rallié toute la cavalerie appuyaient le mouvement. Le maréchal Davout se rendit à l'aile droite qui achevait de décider la victoire par un mouvement de conversion, dirigea sa gauche sur le Sonneberg, et envoya sur la gauche des plateaux d'Eckartsberg la division Gudin, qui débouchait des villages de Tauchwilz et de Poppel. Une des deux divisions de réserve de l'armée prussienne étant presque tournée, prit position vers les quatre heures en avant d'Eckartsberg. Une forte batterie la soutenait. Pendant ce temps, le général Grandeau, en tête de la division Friant, arrivait par la droite sur le plateau avec le IIIe régiment. A la vue de ce renfort, les Prussiens abandonnèrent précipitamment leur position, la dernière qui leur restât, laissant vingt-deux pièces de canon au pouvoir des Français. L'ennemi fut poursuivi jusqu'à la nuit ; il éprouva une telle panique, que le général Vialannes, le chassant devant lui jusqu'à trois lieues du champ de bataille, ramassa sur son chemin, sans éprouver aucune résistance, un grand nombre de prisonniers, de chevaux et plusieurs drapeaux. Le roi Frédéric Guillaume III hésite, malgré son avantage numérique, puis fait sonner la retraite vers quatorze heures. Davout le presse de près, et lance la poursuite à dix sept heures, qui provoque la déroute des troupes prussiennes qui se mélangent aux fuyards de la bataille d'Iéna. Source: Souvenir-Davout et Wikipédia ainsi que "L'aigle impérial".
  17. Ergal

    Segolène Royal sur TF1

    Si vous voulez voir les programmes: les programmes
  18. Euh, ne serais-se pas Cortez plutôt: l'explorateur qui à fait la guerre contre les aztèque (ou les Mayas).
  19. SOURCES : http://www.stratisc.org/pub_monclar.htm http://lebibs.free.fr/biographie.htm http://assoc.orange.fr/france-coree/histoire/2ID_BF.html http://www.lalegionetrangere.fr/monclar.php Ahmed Shah Massoud (9 janvier 1953 ¿ 9 septembre 2001) était le commandant de l'Alliance du Nord afghane, du Jamiat-Islami et chef de l'Armée islamique, une armée ayant combattu contre l'occupation soviétique puis le régime des talibans. Sa réputation, et notamment son surnom du « lion du Panshir », vient du fait qu'il avait réussi à repousser sept attaques d'envergure des troupes soviétiques contre sa vallée du Panjshir et aussi de sa personnalité : seul un caractère bien trempé pouvait envisager de lutter seul contre les talibans et seul un esprit avisé pouvait, tout en étant musulman pratiquant, lutter contre les fondamentalistes. Enfin seul Massoud pouvait imaginer la « libération » des femmes afghanes « en respectant la volonté (du maintien des m¿urs) du peuple afghan ». Il est né en 1953 dans le village de Jangalak, dans la vallée du Panjshir, fils d'un officier supérieur de la monarchie Afghane. Il appartient à l'ethnie tadjique. Il a suivi ses études au lycée français Isteqlal de Kaboul, où il a appris le français, avant de faire des études d'ingénieur du génie civil à l'école polytechnique de Kaboul. Jaloux de l'indépendance de son pays, il rejoint la Résistance et la clandestinité en 1973, dès le coup d'état fomenté par le prince Daoud. Pendant cinq années, il fait le coup de feu en compagnie d'à peine une centaine d'hommes, armés de fusils datant du début du siècle. Les communistes prennent officiellement le pouvoir en 1978, et en 1984, au plus fort de la guerre contre les troupes soviétiques, Ahmed Chah Massoud crée et prend la tête du Conseil de surveillance, qui va vite devenir le véritable centre politique de tout le nord de l'Afghanistan ¿ au total son influence s'étend sur 15 des 29 provinces afghanes ¿, avec des attributions très larges comprenant : affaires politiques, administratives et militaires. Il est un tacticien et un stratège hors pair et le seul chef de la Résistance à avoir jamais réussi à imposer une trêve avec l'Armée Rouge en échange de son retrait. Il négociait alors directement avec Iouri Andropov, un des plus fameux directeur du KGB et Secrétaire Général du Comité Central du Parti Communiste entre novembre 1982 et février 1984. Indépendant et opposé aux extrémistes religieux ou politiques, il a toujours eu des relations tumultueuses avec les Pakistanais, les Américains, les Saoudiens, comme avec les tendances pro-iraniennes ou pro-saoudiennes de son propre parti, le Jamiat-Islami. é la différence des Britanniques et des Français, les Américains ne lui faisaient pas confiance (surtout à cause de sa capacité à négocier en 1984 avec Andropov directement) et ne lui envoyèrent que très peu de Stinger qui ont été une arme déterminante dans la résistance Il a été tué dans un attentat suicide le 9 septembre 2001 à Khwadja Bahuddin, dans la province de Takhar au nord-est de l'Afghanistan : les terroristes avaient pu l'approcher en se faisant passer pour des journalistes munis de faux passeports belges . Sa mort a précédé de deux jours les attentats du 11 septembre 2001 aux états-Unis ; il est raisonnable de penser que les deux événements étaient coordonnés. L'élection présidentielle afghane d'octobre 2004 montre que sa présence aurait modifié les rapports entre l'armée des occidentaux et le peuple afghan, mais aussi l'attitude indisciplinée des seigneurs de guerre afghans, et le « renouveau » des talibans. é plusieurs reprises, il avait essayé d'attirer l'attention de la communauté internationale sur le danger représenté par Oussama ben Laden. SOURCE: Wikipédia
  20. En 1950, général de corps d'armée, à la veille de sa retraite, il échange ses étoiles contre les galons panachés de lieutenant-colonel, afin de pouvoir encore combattre volontairement à la tête du bataillon français mis à la disposition de l'ONU en COREE.Atteint par la limite d'âge, il rentre en FRANCE en 1951 et, en 1962, succédant au général KIENTZ, devient Gouverneur des Invalides. Monclar décède le 03 juin 1964, aux Invalides. Il a été inhumé dans le caveau des Gouverneurs, dans l'église St Louis. Médaillé militaire, Grand-croix de la Légion d'honneur, Compagnon de la Libération, le général MONCLAR était également titulaire des Croix de guerre 1914-1918, 1939-1945 et des TOE, de la Legion of Merit avec rang d'officier, de la Silver Star, de la Military Cross, et de nombreuses autres décorations étrangères. 7 fois blessé, il était titulaire de 22 citations et invalide à 100%. SES DECORATIONS "Comme un blason, ou un ornement sacerdotal ou un dessin gnostique, l'uniforme, parce que justement il n'est jamais uniforme, ressemble à une lettre en code. Tant pis pour le naïf jouant au blasé, qui n'en voit que le scintillement extérieur, scintillement d'ailleurs toujours plus éteint... Efforts, gloires, humiliations, triomphes, compromis, hommes sauvés, hommes perdus, s'inscrivaient ici en langage cabalistique... Allégorie d'autant plus redoutable que ce n'était pas l'individualité de ces événements qui se retraçait ainsi, mais leur universalité supposée..." Extrait de "La leçon d'anatomie" de Vladimir VOLKOFF DECORATIONS ET MEDAILLES FRANCAISES - Chevalier de la Légion d'Honneur - Officier de la Légion d'Honneur - Commandeur de la Légion d'Honneur - Grand Officier de la Légion d'Honneur - Grand-Croix de la Légion d'Honneur - Médaille Militaire - Croix de la Libération - Médaille de la Résistance avec rosette - Croix de Guerre 1914-1918 (11 citations) - Croix de Guerre 1939-1940 (3 citations) - Croix des TOE (6 citations) - France Libre - Médaille des Evadés - Croix du Combattant volontaire - Médaille Commémorative du Levant - Médaille Commémorative Coloniale - Médaille Commémorative Guerre 1914-1918 - Médaille Commémorative Guerre Interralliée - Médaille Commémorative Guerre Combattant - Médaille Commémorative Guerre 1939-1945 - Insigne des Blessés (7 étoiles) DECORATIONS ET MEDAILLES ETRANGERES - Croix de Guerre Norvégienne avec glaive - Grand-Croix de Saint-Olaf - Grand-Croix Cambodge (local) - Commandeur British Empire - Virtualite Militari (Pologne) - Military Cross (Grande-Bretagne) - Mérite Exceptionnel Syrien - Grand Officier du Ouissam Alaouite - Croix de Guerre Hellénique - Officier Etoile Roumaine avec glaive - Mérite Libanais - Commémorative Libanaise - Commémorative Norvégienne - Grand-Croix Comores (local) - Commandeur de l'Ordre de la Couronne de Léopold II (Belgique) - Silver Star - Legion of Merit (Rank of officer) - Commémorative de Corée - Croix de Guerre Belge - Grand Officier du Dragon d'Annam - Order Military Merit Targuk with Silver Star
  21. RAOUL-CHARLES MAGRIN-VERNEREY, dit « MONCLAR » Plus connu sous le pseudonyme de MONCLAR, était vraiment une extraordinaire figure de guerrier, le type même de l'officier de Légion tel que le montrent la légende et la littérature populaire. Né le 7 février 1892 à BUDAPEST, il fit ses études au Lycée Victor-Hugo à BESANCON et au petit séminaire d'ORNANS. A 15 ans et demi, il s'enfuit de la maison familiale et s'engage à la Légion Etrangère. Premier contact qui sera de courte durée du fait de son trop jeune âge. Entré à SAINT-CYR en 1912, il en sort en 1914 avec la Promotion "Montmirail", est promu sous-lieutenant le 5 août de cette même année, rejoint le 60° RI et termine la guerre avec le grade de capitaine. Il est alors Chevalier de la Légion d'honneur, titulaire de 11 citations, dont 7 à l'ordre de l'Armée, 7 fois blessé et réformé à 90%. Affecté au Levant, il assure le commandement de divers postes ou formations syriennes. Deux nouvelles citations récompensent cet officier pittoresque d'une extrême bravoure. Le 1er mars 1924, il obtient enfin de rejoindre cette Légion dont il rêvait depuis sa jeunesse. Après un bref séjour au 1° REI, il est affecté au 3° REI et prend part à la campagne du MAROC jusqu'en 1927. Il rejoint alors le Proche-Orient et est promu chef de bataillon en 1928. Il est une nouvelle fois affecté à la Légion en 1931 et ne quittera cette arme chère à son coeur qu'en octobre 1941. Affecté au 2° REI, il séjourne au MAROC puis rejoint le 5° REI au TONKIN. Rentrant d'Extrême-Orient, il prend en janvier 1938 le commandement du bataillon d'instruction de SAÏDA, est nommé lieutenant-colonel le 25 juin de la même année, avant de repatir au MAROC avec le 4° REI. Jusqu'au 23 février 1940, date à laquelle il est désigné pour prendre le commandement des "deux bataillons de Légion à destination non fixée", qui viennent d'être mis sur pied. Ce sera le début de l'épopée de la 13° DBLE. Le 13 mai, à BJERVIK, la 13° Demi-brigade livre son premier combat, conquiert sans désemparer quatre objectifs, force l'ennemi à fuir en abandonnant de nombreux prisonniers, des armes automatiques, des équipements impossibles à dénombrer et jusqu'à dix avions bi-moteurs. Du 28 mai au 2 juin, le lieutenant-colonel MAGRIN-VERNEREY et ses légionnaires gagnent, à NARVIK, ce que l'on a appelé "la seule victoire française de 39-40". Victoire qui leur vaut d'être cités à l'ordre des Forces françaises libres, avec attribution de la Croix de guerre avec palme de vermeil, pour avoir libéré 60 prisonniers alliés, fait 400 Allemands prisonniers, capturé 10 canons et un très important matériel. A peine revenu en FRANCE, le lieutenant-colonel MAGRIN-VERNEREY, avec 500 de ses hommes, rejoint les Forces françaises libres en ANGLETERRE le 21 juin 1940. Promu colonel, il adopte aors le nom de MONCLAR (du nom du village de MONCLAR-DE-QUERCEY, dans le TARN-ET-GARONNE). Participant en Afrique aux opérations menées contre les forces de l'Axe, c'est lui qui, à la tête de la Brigade française d'Orient en ERYTHREE, "... prend MASSOUAH, fait prisonniers 9 officiers généraux, 440 officiers, 14 000 Italiens". Promu général, il exerce divers commandements au Levant, participe à la pacification de la SYRIE du nord et termine son séjour comme commandant supérieur des troupes du Levant. Devenu adjoint au commandant supérieur des troupes d'ALGERIE à partir de 1946, il est, en 1948, "chargé de mission permanente d'inspection des unités de Légion". Pendant près de 2 ans, il effectue d'incessants voyages partout où stationnent et combattent des unités de Légion en ALGERIE, au MAROC, à MADAGASCAR, en INDOCHINE.
  22. Pour Jean Moulin. Si on peut le considérer comme un grand personnage de l'histoire car il faisait parti de "l'armée de l'ombre" qu'incarnait la résistance: grand respect pour ces hommes et leur famille.
  23. ERWIN ROMMEL (1891-1944) Erwin Rommel est devenu un général mythique de la Seconde guerre mondiale et de l'armée allemande. Fils d'un instituteur, il n'appartient pas à l'aristocratie qui caractérisait les généraux prussiens. Il participe à la première guerre mondiale en temps que chef de compagnie et combat dans les montagnes du front italien, il s'illustre notamment pour son courage et gagne la croix pour le mérite militaire à Caporetto (1917).En 1940, Rommel est général de division à la tête de la 7eme Panzerdivision pour la campagne de France. Il s'illustre par la rapidité de sa marche vers la manche, quitte à pretexter des panne de radio pour dépasser les ordres. Sa division va tellement vite que l'OKH (etat major allemand) a du mal à le situé sur une cartes et prend le surnom de "division fantôme" Sa grande page de gloire est d'être nommé à la tête de l'Afrikakorps en 1941. C'est un commandement et un front secondaire qui est placé sous commandement italiens Rommel se revelera le véritable commandant en chef. A la tête donc de l'Afrikakorps, il renverse la situation mais sa marche en direction du Caire se révelera être une erreur. La bataille d'El Alamein marque l'une de ses plus grande défaite et donne le signal de la retraite.En 1943 il est nommé chef du Groupe d'Armée B en France et dope le Mur de l'Atlantique. Lors de l'attentat manqué contre Hitler le 20 juillet 1944, il est soupçonné d'y avoir trempé. La Gestapo lui propose alors le suicide avec funéraille nationale ou représailles contre lui et sa famille. Il préfère le suicide et sera entterré en héro. Cette mort contribue au mythe de Rommel après guerre. Chef charismatique, intrépide, il privilégie le commandement en avant quitte à s'exposer. Source: revue « 2eme Guerre Mondiale, thématique n°6: la Wehrmacht »
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