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bena11

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Tout ce qui a été posté par bena11

  1. Surtout que que le pays est la Mal-aisye, pays musulman et tolérant. :p
  2. Heureusement qu'il y a encore des femmes... « Le jeûne est une forme de méditation. C’est aussi une façon de penser au passé, dans l’espoir d’améliorer notre avenir. » Bravant la chaleur estivale, un groupe de femmes de tout le pays campe devant la résidence du Premier ministre. Leur but : implorer Benjamin Netanyahu de reprendre les négociations de paix avec les Palestiniens. Lire la suite
  3. Humour ! Modérateur Agent trouble ou double ? Quand tout le reste échoue, nous pouvons fouetter les yeux des chevaux arabes. Et les faire dormir, et pleurer... Morrison à la sauce Ben. :p
  4. Les boites noires sont dans le noir complet car elles ont une durée limitée dans le temps. Mortes et enterrées elles aussi...
  5. pcq, Maître, mon voisin m'a fait du mal, dit le disciple. - prends le bien, répond le dernier prophète Le lendemain, même refrain Maître, mon voisin m'a fait encore plus de mal - rends-le-lui en bien, répond le dernier prophète Le surlendemain, coup de théâtre Maître, mon voisin est décédé - c'est ta bonté qui l'a tuée, déduit le dernier prophète. Quelques siècles plus tôt... Maître mon voisin m'a fait du mal dit le disciple - aime-le comme toi-même, répond Jésus Le lendemain, même refrain Maître, mon voisin m'a fait encore plus de mal - aime le comme je vous aime, répond jésus Le surlendemain, coup de théâtre Maître, mon voisin est tombé amoureux de moi - et Jésus ne fut pas triste de le voir gay Quelques siècles plus tôt... Maître, mon voisin m'a fait du mal, dit le disciple. - Qu'est-ce qu'il t'a fait ? au juste ? demande Moïse Il m'a arraché un œil, se plaint le disciple - la loi dit : œil pour œil, rappelle Moïse Le lendemain le disciple revint Maître, mon voisin vient de m'arracher le deuxième œil - fais lui pareil, répond Moïse Et comment je fais pour le voir, je n'ai plus d'yeux pour voir ? demande le disciple - tant mieux, comme ça tu ne le verras plus tête de nœud , dit Moïse.
  6. Je veux savoir, Depuis le 11 Septembre 2001, les informaticiens travaillent sur la prise de contrôle à distance d’un avion. L’alternative à un détournement par la force serait celle d’un détournement par la douceur, autrement dit par une ­action directe sur l’informatique. Dès 1984, les Américains avaient fait décoller un Boeing vide avant de l’écraser volontairement, pour étudier la propagation de l’incendie. Depuis le 11 septembre 2001, la question n’est plus seulement de faire voler un avion sans pilote, mais de prendre le contrôle d’un appareil dont le pilote serait soumis à une menace intérieure, en neutralisant toute action provenant du cockpit. Nombre de sociétés ont étudié la question, et la convergence de leurs travaux a permis à Boeing de déposer, en 2006, un brevet de contrôle à distance, depuis un ordinateur connecté à l’intérieur ou à l’extérieur. Les Américains n’ont pas été les seuls à développer des technologies dans ce sens, et il est théoriquement possible que cet avion ait été détourné par une action sur l’informatique embarquée. Sans doute faut-il voir une coïncidence dans le fait que la société Freescale Semiconductor, elle-même impliquée dans ces technologies, a reconnu avoir perdu vingt de ses cadres chinois et malaisiens dans le vol MH370. .
  7. Premiers raids israéliens dans des colonies liées à la mort d'un bébé palestinien Israël a durci son action contre les extrémistes juifs en lançant des raids dans des colonies et en plaçant des figures de l'activisme anti-palestinien en détention sans inculpation, après la mort d'un bébé... Meïr Ettinger est présenté à la cour de justice de Nazareth, en Israël, le 4 août 2015 (AFP Des hommes portent le corps de Saad Dawabcheh, père du bébé palestinien brûlé vif, lors de ses funérailles à Douma en Territoires palestiniens, le 8 août 2015 Sous le feu des critiques d'une partie de l'opposition et de l'étranger qui l'accusent d'accorder une "impunité" aux auteurs d'attaques antipalestiniennes, le gouvernement de Benjamin Netanyahu a multiplié depuis l'incendie criminel du 31 juillet en Cisjordanie occupée condamnations, appels à la fermeté et arrestations. Pour la première fois depuis l'attaque, une unité spéciale de la police israélienne chargée de la lutte contre les crimes racistes, a mené des raids dans des colonies de Cisjordanie, y "arrêtant plusieurs suspects dans le cadre de l'enquête sur les événements de Douma". La police n'a pas précisé le nombre de ces arrestations. Lire la suite : Source : AFP
  8. « Bonne nuit ! Malaysia 370. » Le copilote prend congé de ses interlocuteurs  Sauf que la nuit dure depuis 500 jours... Après chaque crash, on retrouve toujours des centaines de débris et assez rapidement. Là, un seul morceau a été retrouvé au bout de seize mois. Sauf pour le Rio Paris de AF on a cherché 2 ans. Et maintenant ? :p
  9. Bibi le pyromane, Abbas le complice Le père de Ali Saad Dawabsha, le bébé palestinien mort brûlé vif il y a une semaine, a succombé à ses blessures. L'incendie de la maison des Dawabsha par des extrémistes juifs a mis le feu à la région poussant les Palestiniens à sortir dans la rue. Un acte terroriste qui a mis en lumière l'agressivité et la sauvagerie des colons et activistes de l'extrême droite israélienne qui se retrouvent dans la politique ultranationaliste du Likoud au pouvoir. Des extrémistes tolérés, voire encouragés, représentant un vivier électoral important susceptible de faire basculer une élection, courtisé par des partis politiques israéliens qui virent volontiers à droite pour leur faire un clin d'œil complice. --- Lire la suite : Mon lien La mère de Ali Saad Dawabsha est toujours entre la vie et la mort, brûlée sur tout le corps au troisième degré. Son pronostic vital est engagé et sa mort programmée ravivera les douleurs. Les Palestiniens attendant toujours les conclusions de l'enquête de la police israélienne et l'arrestation des assassins pyromanes alors que le monde entier attend de Mahmoud Abbas de passer à l'acte et de déposer plainte au Tribunal pénal international pour crime de guerre. par Moncef Wafi
  10. :bad: Le père du bébé palestinien brûlé vif succombe à ses blessures Les débris à l'intérieur de la maison calcinée des Dawabcheh, incendiée par des colons israéliens. Saad Dawabcheh, le père du bébé palestinien brûlé vif il y a une semaine dans l'incendie de leur maison par des extrémistes juifs, a succombé samedi à ses blessures, un décès qui risque de relancer les tensions dans les Territoires palestiniens. Leur petite habitation dans le village de Douma, entouré de colonies israéliennes dans le nord de la Cisjordanie occupée, a été réduite en quelques instants à un tas de cendres. Les murs noircis ont été recouverts des mots "Vengeance" et "Prix à payer", la signature habituelle des colons et activistes de l'extrême droite israélienne. Ce "prix à payer", c'est celui qu'imposent des extrémistes juifs, qui, depuis des années, agressent et vandalisent Palestiniens, Arabes israéliens et même soldats israéliens. Ils disent agir en représailles aux destructions de colonies sauvages, qui sont illégales non seulement aux yeux de la communauté internationale mais aussi de la loi israélienne, ou aux décisions politiques israéliennes qu'ils estiment contraires à leur volonté de coloniser tous azimuts les Territoires occupés et évincer les lieux de culte chrétiens et musulmans du "Grand Israël". AFP Est-il nécessaire pour les Sionistes de faire porter l’étoile jaune aux Arabes ?
  11. Recadrons le sujet de ce 'fil' : Entre l'indifférence affichée envers Mohamed Dorra, cet enfant palestinien assassiné, en direct, dans les bras de son père qui essayait de le couvrir en suppliant les bourreaux de la Tsahal de ne pas tirer-une scène affligeante et bouleversante. C'était hier. Et dans la même démarche cynique et monstrueuse aujourd'hui, Israël persiste et signe en nous faisant découvrir en direct un four crématoire 2015, où un bébé de 18 mois, Ali Saad Dawabcha, a péri, brûlé vif par un feu provoqué par des colons.
  12. Casse noisette, C'est plus facile de trouver des coquillages que des restes humains, quelle coquille ! :p
  13. Et puis...on veut la suite... MH370 : le débris retrouvé provient bien de l'avion malaisien (Premier ministre malaisien) Le débris d'avion retrouvé la semaine dernière dans l'océan Indien est bien celui du Boeing qui avait assuré le vol MH370 de la compagnie Malaysian Airways et disparu le 8 mars 2014, a annoncé jeudi le Premier ministre malaisien. "Aujourd'hui, 515 jours après que l'avion a disparu, c'est le coeur lourd que je dois vous annoncer qu'une équipe d'experts internationaux a définitivement confirmé que le débris de l'avion trouvé sur l'Ile de La Réunion provient bien (du Boeing) du MH370", a annoncé le Premier ministre Najib Razak à des journalistes. AFP
  14. Exact ! Et une majorité de pays reconnaissent eux la Palestine ! :p
  15. Bof ! Fin XIXème le sionisme, mouvement politique (juif) minoritaire, apparaît sur la scène internationale. Son but est de créer un Etat pour les Juifs quelque part dans le monde. Ce choix se portera finalement sur la Palestine. Cependant cette terre palestinienne " parle arabe " et se trouve habitée par un peuple, les Palestiniens. Pour mettre en avant leur projet, les leaders sionistes élaborent une solution bien avant la déclaration Balfour de 1917. Il s'agit de penser d'abord et d'organiser ensuite le transfert de la population locale palestinienne hors de sa terre. Tous les moyens seront utilisés pour cela et en particulier la force brutale. Ce projet, élaboré en secret dans les premières années, sera progressivement mis en avant par ses leaders après la grande révolte palestinienne de 1936 au cours de laquelle toutes les formes d'oppositions à ce projet par les Palestiniens seront fortement réprimées par la puissance mandataire britannique. Le principal est sans conteste la colonisation qui est la marque infamante que les thuriféraires de cet Etat tentent de masquer : il s'agit d'un processus qui structure depuis le début la construction d'Israël comme excluant les Palestiniens. Exclusion de leurs terres, de leurs maisons, d'eux-mêmes... La dimension religieuse de cette exclusion, dont l'envers est la dépossession et l'expropriation des dominés, a désormais totalement (comme on dit totalitaire) pris le dessus. Le sionisme, idéologie fondamentaliste de cette colonisation a pu séduire des laïcs et des socialistes, y compris révolutionnaires (les kibboutz ont pu participer d'un idéal collectiviste), sa trajectoire aujourd'hui qui l'amène à être un sionisme religieux le met en collusion ouverte, comme jamais, avec tous les mouvements annexionnistes des terres palestiniennes. Le mouvement de la paix en Israël s'est fracassé devant le processus combiné d'une résistance palestinienne indéracinable et d'une colonisation qui, en renonçant à Gaza au prix de la transformer en prison absolue et en espace de guerre totale, travaille à convaincre définitivement les Israéliens qu'ils sont bien le peuple élu et que ce statut fonde qu'ils acceptent le massacre d'un autre peuple. Voir documentaires : " La Terre parle arabe de Maryse Gargour (2007) et " Au nom du Temple " de Charles Enderlin (2014).
  16. PÔvres enfants de Palestine... L'Empire State Building s'illumine pour les animaux en danger Ces projections spectaculaires visent à sensibiliser l'opinion publique aux risques de l'extinction de certaines races. Des images animées géantes d'animaux en danger ont été projetées samedi soir sur l'Empire State Building à New York, une première spectaculaire visant à sensibiliser l'opinion publique aux risques de leur disparition. La projection sur la façade sud du célèbre gratte-ciel faisait 114 mètres de haut pour 56 de large, couvrant 33 étages, et était visible jusqu'à 20 rues au sud. L'image du lion Cecil, tué par un dentiste américain au Zimbabwe, y figurait au milieu de très nombreux animaux dont un léopard des neiges, un tamarin lion doré, une manta (espèce de grande raie), des oiseaux, des mammifères marins, des insectes, et même l'ombre de King Kong grimpant jusqu'en haut de la facade. La séance de huit minutes, accompagnée de musique et de jeux de lumières, s'est répétée tous les quarts d'heure de 21H00 à minuit (01H00 à 04H00 GMT dimanche). Mon lien PÔvres enfants de Palestine...
  17. Un chef de file juif extrémiste arrêté en Israël criminelUne première arrestation a eu lieu après l'incendie criminel qui a coûté vendredi la vie à un bébé palestinien en Cisjordanie occupée. Les services de sécurité israéliens ont annoncé avoir arrêté lundi 3 août un chef de file juif extrémiste, Meïr Ettinger, premier individu arrêté après l'incendie criminel qui a coûté vendredi la vie à un bébé palestinien en Cisjordanie occupée. «Meïr Ettinger a été arrêté à Safed (dans le nord d'Israël) en raison de ses activités au sein d'une organisation juive extrémiste», a indiqué à l'AFP un porte-parole du Shin Beth, le service de sécurité intérieure. Agé d'une vingtaine d'années, Meïr Ettinger, a été arrêté «pour des crimes nationalistes», a affirmé une porte-parole de la police à l'AFP sans préciser s'il était soupçonné d'être directement impliqué dans l'incendie de vendredi ou s'il était inquiété pour sa participation à d'autres violences racistes. Il doit être présenté devant un tribunal mardi pour la prolongation de sa garde à vue, a indiqué la police. Mon lien
  18. LE ROI des Arabes VA FAIRE ALLIANCE AVEC LE Mossad POUR COMBATTRE L'IRAN... :p Il joue à quoi Salmane ? Le roi saoudien n'a pas écourté ses vacances en France Le roi Salmane d'Arabie saoudite n'a pas écourté son séjour dans le sud de la France et poursuit ses vacances à Tanger, au Maroc, "conformément au programme", a affirmé lundi à l'AFP une source officielle saoudienne à Riyad. Comme on lui demandait le motif du brusque départ du souverain de Vallauris, près de Cannes (sud-est), cette source a rétorqué que ce changement de villégiature se déroulait "conformément au programme des vacances". Le roi a "beaucoup de considération" pour le peuple français et les articles de presse sur les conditions de son séjour "n'ont pas été dérangeants", a assuré cette source, selon laquelle le souverain saoudien espère avoir l'opportunité de revenir l'an prochain. Ce haut responsable a encore fait valoir que les aménagements et mesures de sécurité sur place avaient été entièrement gérées par le gouvernement français. "Nous avons simplement suivi à la lettre les dispositions et procédures écrites", a-t-il avancé. Après huit jours sur la Côte d'Azur, le roi Salmane, suivi d'une partie de sa suite, a pris dimanche un vol depuis Nice à destination de Tanger (nord), alors que son ambassade à Paris avait indiqué qu'il était susceptible de séjourner en France entre le 20 juillet et le 20 août. Ce séjour a suscité une polémique, l'accès au littoral voisin de la villa royale ayant été interdit au public. Située en contrebas de la propriété, la plage a été rouverte lundi matin, tandis que des ouvriers s'employaient à démonter les installations (escalier, ascenseur métallique...) érigées pour l'occasion. Ces travaux, engagés sans autorisation, et l'imposante présence policière dévolue à la protection du souverain et de sa suite, composée d'un millier de personnes environ, ont été très mal perçus dans la région et dans le reste de la France. A Tanger, le souverain saoudien, 80 ans, dispose également de résidences, dont une à proximité d'un palais du roi du Maroc. Il apprécie cet endroit qu'il fréquente "depuis près de 20 ans", selon le site d'informations marocain Medias 24. Lundi après-midi, cette arrivée était surtout marquée par un ballet de berlines aux abords d'un grand hôtel de la ville, d'après un photographe de l'AFP. Le prédécesseur de Salmane, le roi Abdallah, décédé en janvier, effectuait lui aussi de fréquents séjours au Maroc. AFP
  19. Israël: d'ex-généraux et chefs de la sécurité pour l'accord nucléaire iranien D'anciens généraux israéliens et responsables des services de renseignement et de la sécurité ont appelé le Premier ministre Benjamin Netanyahu à accepter l'accord sur le nucléaire iranien qu'il continue à combattre en tentant de mobiliser le Congrès américain. Dans cette pétition rendue publique lundi, les signataires expliquent que "l'accord signé par les grandes puissances le 14 juillet avec l'Iran constitue un fait accompli". "C'est pourquoi nous appelons le gouvernement israélien à adopter une politique qui restaurera la confiance et renforcera la coopération sécuritaire et diplomatique avec l'administration américaine afin de se préparer à faire face aux nombreux défis qui vont dériver de cet accord". Parmi les signataires figurent deux anciens chef du Shin Bet, le service de sécurité intérieure (Ami Ayalon et Carmi Gillon), un ancien directeur adjoint du Mossad, les services de renseignements (Amiran Levin), l'ex-directeur de la Commission de l'Energie Atomique Uzi Eilmann ainsi que des dizaines d'anciens généraux et officiers supérieurs. Une épreuve de force est engagée entre Benjamin Netanyahu et le président américain Barack Obama à propos de cet accord, qui a mis à mal la relation entre les deux alliés. Le Premier ministre israélien tente de mobiliser les deux tiers des sénateurs américains pour qu'ils s'opposent à la levée des sanctions économiques américaines contre l'Iran, prévue par l'accord conclu avec Téhéran. Un vote est prévu sur cette question en septembre. Dans le cadre de cette bataille politique, le secrétaire d’État américain John Kerry avait évoqué Ami Ayalon ainsi qu'Ephraïm Halevy, un ex-patron du Mossad, lors d'une intervention devant la commission des Affaires étrangères du Sénat le 23 juillet. Il les avait cités pour expliquer que d'anciens hauts responsables des services de sécurité israéliens estiment qu'il faut cesser de s'opposer à cet accord. M. Netanyahu et une grande majorité des responsables politiques israéliens condamnent l'accord car ses clauses ne sont pas, selon eux, suffisamment strictes pour empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire et de s'en servir contre Israël, dont les dirigeants iraniens appellent régulièrement à la destruction. Téhéran, qui ne reconnaît pas l'existence d'Israël, a toujours nié vouloir se doter d'une telle arme. AFP
  20. :bad: Quelle tristesse... Ali, Cecil et Morel Depuis la mort de Cecil, vénérable lion d'un parc national zimbabwéen, spécimen protégé, sujet d'études de chercheurs d'Oxford, le monde n'en finit plus de s'indigner. En ligne, une pétition exigeant la justice pour Cecil, abattu par un dentiste américain amateur de chasse au gros gibier, a rassemblé plus de 800 000 signatures. Des dizaines de milliers de dollars ont été donnés pour la protection animale. Les hashtags #IamCecil et #JusticeForCecil ont été propulsés à la une de Twitter. La crinière noire de Cecil fleurit sur les murs de Facebook. Le tout accompagné d'un flot de commentaires rageurs relevant, peu ou prou, du lynchage en ligne. Décidés à surfer sur cette vague d'émotion, des politiciens, un peu partout, sont montés au créneau, promettant des mesures contre la chasse aux gros gibiers, la protection animale... Quelques jours plus tard, c'est Ali, un bébé palestinien de 18 mois qui mourrait, brûlé vif dans sa maison transformée en brasier dans le village de Douma, près de Naplouse. Une attaque au cocktail Molotov dont tout porte à croire qu'elle a été perpétrée par des colons ou des activistes israéliens d'extrême droite. Un attentat dénoncé par les autorités palestiniennes ainsi que par les responsables israéliens, qui ne sont toutefois pas allés jusqu'à reconnaître le lien entre la tragédie et une politique colonialiste et d'impunité envers les colons. Un attentat dénoncé à travers le monde, mais avec un écho bien moindre que celui qu'a engendrée la mort du lion. Un double traitement qui, pour ne pas être surprenant, peut choquer. D'un côté un animal, de l'autre un être humain. Un bébé de surcroît. D'un côté un incident relativement isolé, de l'autre l'énième tragique épisode d'une crise non moins tragique. Pourquoi une telle différence d'impact ? Parce que le monde a l'émotion sélective et limitée. Ali arrivant après Cecil, c'est un peu comme Mère Teresa mourant six jours après Lady D. La vague d'émotion globale est passée. Parce que se mobiliser pour Cecil est facile, surtout via les réseaux sociaux ; parce que crier sa colère pour Cecil, c'est se donner bonne conscience à peu de frais. Parce que Cecil est un lion, et que l'on se mobilise plus facilement pour le roi des animaux que pour une anguille d'Europe, pourtant menacée d'extinction. Parce que ce qui se trouve derrière l'assassinat de Ali, et plus largement le conflit israélo-palestinien, ou encore la guerre en Syrie, sont des crises longues et complexes, qui charrient depuis des années leur lot de douleur et de sang. Et que face à ce qui semble ingérable, l'opinion publique mondiale se laisse aller à l'inertie. Dans les Racines du ciel, lorsque Morel lutte pour les éléphants, il se bat plus largement pour la protection de la nature et de l'environnement, mais aussi, et surtout, pour la défense d'une certaine idée de l'humanité. Tous ceux que la mort de Cecil a indignés ne sont pas des Morel. Mais si leur mobilisation peut servir de caisse de résonance ou de source d'inspiration à quelques Morel, peut-être ces derniers pourront-ils contribuer à prévenir la mort d'autres Ali. L’édito Émilie SUEUR Mon lien L’enquête toujours en cours après le meurtre de Cecil le lion Publié le 03 août 2015 Cecil était l'icône du parc national Hwange. © AFP Le meurtre de Cecil, célèbre lion du Zimbabwe, a suscité l'émoi sur la Toile. L'arrestation des responsables n'a pas apaisé la polémique. Sa majestueuse et singulière crinière brune ne flottera plus sur la savane australe. Icône du parc national Hwange et véritable star au Zimbabwe, le lion Cecil est mort le 6 juillet à l’âge de 13 ans, victime de Walter James Palmer, un chirurgien-dentiste américain, adepte de grande chasse. Lire la suite : Mon lien
  21. Je crois avoir lu dans la pensée de mon bon ami le roi Salmane ben Abdelaziz Al Saoud, que le départ précipité pourrait également avoir un lien avec la visite en Iran de Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères. Le Roi voit d’un très mauvais œil un rapprochement entre la France et l’Iran, son grand ennemi dans la région. :p
  22. Pourkoi ? Le roi saoudien Salmane ben Abdelaziz al-Saoud La mairie de Vallauris, la commune où se trouve la villa, assure qu’elle n’a pas d’information à ce sujet. Le sous-préfet de la région se montrait quant à lui concerné lorsque qu’il déclarait le 25 juillet à Nice-Matin : « on a besoin de cette visite pour faire tourner l’industrie touristique », « Évitons que celui-ci décide d’aller finalement en vacances chez le roi du Maroc, où on ne lui fera pas tant de misères », poursuivait-il. PourKoi a t'il quitté la France le Roi des Arabes Maudits ? Ce départ interviendrait alors que le président Hollande vient d’inviter officiellement son homologue iranien Hassan Rohani à lui rendre visite en novembre?
  23. :bad: De Mohammed à Ali Qui se souvient de Mohammed al-Durah, ce Palestinien de 12 ans tué par balles israéliennes alors que son père tentait de le protéger, lors d'échanges de tirs entre les forces de sécurité palestiniennes et Tsahal, le 30 septembre 2000, au début de la seconde Intifada ? La vidéo, émouvante, d'un père essayant vainement de protéger son fils avait fait le tour du monde mais la propagande israélienne aidée par une France médiatique et politique inféodée parviendra jusqu'à remettre en doute la véracité des images, noyant le mort dans un flot de polémiques stériles. La mémoire collective s'est effacée, s'estompant par la force d'une loi non écrite qui impose aux télévisions de ne plus diffuser la lente agonie de Mohammed. Personne ne se souvient de lui, sauf ceux qui sont directement concernés par cette mort. Vendredi dernier, Ali Saad Dawabsha, un bébé de 18 mois, a péri brûlé vif dans l'incendie de sa maison. Un feu provoqué selon la police par des colons israéliens. Ses parents ainsi que son frère de quatre ans se trouvent actuellement entre la vie et la mort. Colère et consternation, marche et contestation et d'autres Palestiniens de tomber sous les balles assassines des soldats israéliens. Mahmoud Abbas, le président contesté de l'Autorité palestinienne, apparaît à la télévision. Image pathétique d'un demi-président qui menace Israël de la Cour pénale internationale. Personne ne croit Mahmoud Abbas et surtout pas les Palestiniens qui connaissent le mieux le parcours d'un homme resté au pouvoir par la seule grâce des Israéliens. Malgré l'assurance de Tel-Aviv que justice serait faite, Mahmoud Abbas a exprimé ses doutes, évoquant un nouveau «crime de guerre». Une réaction minimale avec tous les antécédents de l'Etat hébreu concernant la justice. L'Autorité palestinienne semble avoir la mémoire courte ou sélective, c'est selon, car les quelque 400 enfants assassinés par Tsahal à Ghaza en 2014 demandent toujours justice. Une justice que personne ne leur rendra surtout pas Israël dont l'armée avait annoncé en juin dernier qu'elle abandonnait les poursuites dans l'enquête sur la mort de quatre enfants, âgés de 9 à 11 ans, fauchés par un missile sur une plage très fréquentée de Ghaza, en plein conflit de l'été dernier, alors qu'ils jouaient au football. Pourtant, fait rare, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a dénoncé dans la mort de Ali Saad Dawabsha un acte «terroriste». Alors même que les Arabes musulmans passent leur temps à se massacrer impunément, des milliers de personnes se sont rassemblées samedi soir sur la place Rabin de Tel-Aviv pour dénoncer cet acte de barbarie. par Moncef Wafi Mon lien
  24. :bad: Immolation, feu, incendie, pureté : l'intégrisme ne prend pas de «s» Atroce monstre qui se nourrit de lui-même : le tueur de l'enfant palestinien nourrit sa folie de la pureté et alimente l'extrémisme des nôtres et leur fantasme de pureté, de guerre et de feu. Et ainsi de suite. Même tueurs sous des habits multiples, nourrissant la même rancune, se ressemblant étrangement du salafiste à l'ultra orthodoxe en Israël, à l'illuminé au nom de l'Evangile. Rêvant tous de nous tuer tous par le feu. Même faciès, mêmes arguments, même but, même geste, même crimes et mêmes théories fumeuses sur une terre pure, une langue céleste, un livre inhumain et un ancêtre exclusif. Non, le mot intégrisme n'est pas pluriel, il est unique. C'est le même et se nourrit de lui-même. par Kamel Daoud
  25. Une adolescente poignardée à la Gay Pride à Jérusalem meurt :bad: Une adolescente poignardée par un fanatique juif lors de la Gay Pride à Jérusalem a succombé dimanche à ses blessures, alors que le gouvernement israélien promettait plus de fermeté envers les extrémistes qui ont également incendié une maison palestinienne, tuant un bébé. Jeudi soir, Yishaï Shlissel, un colon ultra-orthodoxe, s'est rué sur le défilé de la Gay Pride, blessant six personnes à coups de couteau, dont Shira Banki, 16 ans, admise à l'hôpital "dans un état critique". La jeune fille est morte dimanche. La famille de la jeune fille, dans un communiqué, a dénoncé "le mal, la stupidité et la négligence", qui ont coûté "sans raison" la vie à l'adolescente, tuée alors qu'elle "était venue défendre les droits de ses amis et de toute personne qui vit comme l'entend". Le lendemain matin, dans le nord de la Cisjordanie occupée, Ali Dawabcheh, 18 mois, mourait brûlé vif dans l'incendie de sa maison par d'autres extrémistes, présentés par les Palestiniens comme des colons. Ses deux parents et son frère de quatre ans sont "entre la vie et la mort" dans des hôpitaux israéliens. A F P La photo du bébé palestinien de 18 mois brûlé vif. Jaafar Ashtiyeh/AFP « Terrorisme juif ». Cette fois, le mot n'a pas été (seulement) prononcé par le Hamas, par l'OLP, par les dirigeants arabes ou par les journalistes engagés. C'est bien de la bouche du ministre israélien de la Défense, Moshe Yaalon, qu'est sorti ce réaliste – bien que tardif – constat, après la mort tragique d'un bébé palestinien brûlé vif dans une attaque d'extrémistes israéliens. Une nouvelle preuve que, même si elle s'en défend, la société israélienne appartient bel et bien à ce Moyen-Orient dont elle n'a de cesse de critiquer la violence et la radicalité. :bad:
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