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sousene

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  1. Les éléveur ne surveillent pas leur troupeau, en genral il les laisse pépére sur un champs, et passe de temps,en temps, s'est fini, l'élévage a l'ancienne, les pauvres petit pépére, il va falloir, sortir la tante et se bouger le cul, trop dur !!!!!!!!!
  2. sousene

    Le terrorisme islamiste

    On peut appellé ca de la mauvaise publicité, disons que les generaux n'aimerai pas que les islamistes ( prenons le fils comme exemple ) viennent au pouvoir, sinon, ce searit une fin tragique pour eux ( generaux ), s'est pour cela que le gouvernement algerien aide le polisario contre le gouvernement marocain, car au maroc reside des resistants ( islamique ou pas ) contre le gouvernement actuel ( dont les generaux ).
  3. sousene

    Le terrorisme islamiste

    Changement de scène : Bentalha, Relizane ou Sidi Hammed, pour nommer quelques localités en Algérie où ont eu lieu les massacres les plus affreux, des massacres qui ont fait à chaque fois entre 200 et 400 victimes : des femmes, des enfants et des vieillards égorgés, aux membres déchiquetés, éventrés. Horreur qui ne peut être exprimée par des mots. Selon les survivants, les agresseurs surgissent soudainement, la nuit, toujours environ une centaine, masqués, parfois habillés en militaire parfois en combattants afghans. D'une bestialité inimaginable, ils massacrent, apparemment au hasard, des familles entières. Puis ils disparaissent, et jusqu'à présent, aucun d'entre eux n'a été nommément identifié ou saisi. Il est surprenant que les agresseurs se déchaînent ainsi des heures durant, en ayant le temps, non pas seulement de tuer leurs victimes, mais aussi de les déchiqueter, d'incendier les maisons, de réduire en cendres des villages entiers, d'exterminer les troupeaux... et il leur est même permis de réapparaître le jour suivant pour perpétrer un nouveau massacre. Visiblement, en Algérie, personne ne veut ou n'est en état de les empêcher de commettre ces crimes et de poursuivre leurs exactions. Et cela même quand, comme dans le cas de Bentalha, ils agissent en plein milieu d'une des plus importantes villes de garnison d'Algérie, c'est-à-dire dans une région où se trouvent, à quelques centaines de mètres les unes des autres, les casernes de la gendarmerie, de l'armée et de la Sécurité Militaire, en plus d'un Q.G. des unités anti-guerilla, d'une base aérienne militaire, d'une implantation militaire hautement surveillée, d'un centre hospitalier universitaire etc. Comment est-il possible qu'aux portes d'Alger, sur une plaine contrôlable et présentant la plus forte concentration militaire, un fief des Groupes islamiques armés (GIA) existe depuis des années et d'oú ses membres terrorisent la population? Comment peuvent-ils avoir commis en août et en septembre plusieurs massacres et ainsi exécuté en une nuit entre 200 et 400 personnes sans qu'il n'y ait eu aucune intervention des forces de l'ordre? Des survivants de Bentalha rapportent que l'armée était certes présente mais a observé le «spectacle» à une distance sûre. Les gendarmes et les gardes communaux auraient même été empêchés d'intervenir. Ils attirent par ailleurs l'attention sur le fait que des familles précises auraient été visées et décimées. Les agresseurs auraient exécuté leur «travail» en toute sérénité et certains auraient même été reconnus. Quelques uns des assaillants tués auraient été décapités par leurs complices et leurs têtes emportées afin d'empêcher leur identification. Dans d'autres cas, le gouvernement a empêché la diffusion d'informations sur l'identité des agresseurs, comme lors du massacre du 30 décembre à Souk El Had (près de Relizane) où apparemment 18 d'entre eux auraient trouvé la mort. Il est par ailleurs frappant de constater que les massacres ont lieu dans des régions connues pour les sympathies de leurs habitants pour les islamistes et où l'AIS (Armée islamique du Salut), le bras armé du FIS (Front islamique du Salut) qui observe depuis octobre dernier un cessez-le-feu, compte de nombreux partisans. Enfin, ce qui pousse à s'interroger, c'est le fait que les massacres se déroulent dans des lieux où la population n'a pas approuvé la création des milices ou bien n'est pas considérée comme assez loyale par les autorités pour que lui soit distribuée des armes. Un reporter de la BBC a affirmé que 200 hommes de Sidi Hammed qui avaient réclamé des armes, ne les ont obtenues qu'après le bain de sang. Dans les années 1992-93, de nombreux habitants des régions concernées par les massacres s'étaient vus confisquer leur fusil de chasse. Désormais, des responsables de l'armée donnent à entendre qu'il faut s'armer et combattre aux côtés des forces de sécurité ou quitter la région. Des villages entiers peuvent être bombardés, bloqués ou affamés, et des forêts être brûlées jusqu'à ce que les villageois se décident soit à partir soit à prendre les armes. Il leur faut choisir leur camp. Finalement, c'est la population qui est rendue responsable des massacres contre elle-même. Interrogé sur ce qu'entreprend l'Etat pour protéger ses citoyens, un responsable politique a rétorqué: «Que fait le citoyen pour l'Etat? Pour arracher ses droits, il faut assumer ses devoirs» (Le Monde. 9.9.97) C'est-à-dire, s'engager activement dans la lutte contre le "terrorisme". Qui tue ? Cette question qui s'impose inévitablement est rejetée par le gouvernement et la presse algériens comme absolument éhontée. Elle n'a pas à être posée et ceux qui le font malgré tout sont suspectés de complicité avec les criminels. L'identité des coupables serait tout de même évidente, répond-on à ceux qui s'interrogent : ce sont les membres des sanguinaires GIA, qui veulent plonger le pays dans le chaos. Ceux-ci auraient d'ailleurs revendiqué la responsabilité des attentats et des massacres, et en outre plusieurs de leurs membres auraient été reconnus par des victimes. Parfois les GIA sont présentés par le gouvernement comme des combattants, qui veulent punir la population pour avoir pris part aux élections ou pour leur avoir refusé son soutien. Aussitôt après, il est dit qu'il s'agit du dernier soubresaut de groupes terroristes qui ne veulent pas admettre leur défaite. Une autre fois encore, on affirme que les GIA recruteraient leurs membres parmi les chômeurs, ce qui expliquerait le réservoir pratiquement inépuisable qu'ils auraient à leur disposition. Tout jeune homme des quartiers moins aisés devient ainsi un égorgeur et un terroriste potentiel. Les massacres les plus récents ont effrayé l'opinion publique en Europe. Après s'être laissée apaiser par le gouvernement algérien durant des années, voilà qu'on demande: qui sont les agresseurs? Et surtout: qui sont les commanditaires ? Dans le cas du massacre au Chiapas évoqué ci-dessus, la version officielle des faits a été tout de suite mise en doute. Avec raison, l'opposition mexicaine, comme les médias internationaux, ont supputé sur un crime commis par des organisations paramilitaires. Avec sa stratégie de Counter-Insurgency, le parti gouvernemental vise à terroriser la population, à la contraindre à fuir ou à s'autoarmer et à affaiblir le mouvement de résistance zappatiste (suivant la formule : retirer l'eau au poisson). Dans cette affaire, il y va bien sûr avant tout des intérêts économiques de la classe dominante. Dans le cas de l'Algérie, il semble moins opportun de s'efforcer à de semblables réflexions et de parler d'une stratégie de Counter-Insurgency. Par contre, les avis s'unissent dans un large consensus: il ne saurait être question d'autres responsables des massacres que les islamistes. Malgré les révélations les plus récentes d'anciens agents de l'Etat, il n'est pas admis de tenir en suspicion la version officielle des faits. Des agents de services secrets transfuges, des membres des services de sécurité de même que d'anciens hommes politiques et diplomates témoignent de l'implication des services secrets algériens dans d'innombrables attentats ainsi que des massacres. Ils ont livré des indications très sérieuses comme quoi les GIA étaient un instrument du pouvoir, les crimes commis en leur nom servant à jeter le discrédit sur le mouvement islamiste et à l'isoler de la population. Leur fonction consisterait dès lors à amener les gouvernements arabes et occidentaux à soutenir sans réserve la ligne dure du gouvernement et, finalement, à assurer les intérêts mafieux de certains généraux influents. Si ces révélations étaient prises au sérieux, l'attention se porterait sur les innombrables discordances de la version officielle sur la «lutte contre le terrorisme» et susciterait des interrogations quant à la responsabilité de l'armée et des dirigeants dans les massacres. Jusqu'à présent, la guerre en Algérie aurait fait, selon des estimations, entre 120 000 et 200 000 victimes, 12 000 personnes disparues et plus de 30 000 autres détenues dans les prisons. Le président de la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme (LADDH), Ali Yahia Abdennour, part du principe de trois sources de violence: les groupes islamistes, l'Etat et les groupes armés non identifiés. Comme quatrième source, il convient de citer les milices créées par l'Etat, comme l'évoque le rapport de novembre 1997 d'Amnesty International. Pourquoi ce silence ? Contrairement au mouvement zappatiste, qui se réfère à d'anciennes luttes de libération de gauche et qui défend les droits des indiens bafoués depuis des siècles, à travers la figure emblématique du Sous-commandant Marcos, les mouvements islamistes dans l'ensemble, et algérien en particulier, sont d'entrée de jeu stigmatisés sous des caractéristiques négatives. Le FIS, comme on l'entend dire le plus souvent, serait passéiste et réactionnaire. S'il était arrivé au pouvoir, il aurait en premier lieu jeté tous les principes démocratiques par-dessus bord, renvoyé les femmes à la maison et installé une dictature totalitaire à peu près comparable au régime de Pol Pot. Les membres du FIS sont portraiturés comme d'horribles barbares barbus ou des "épouvantails» drapés de noir. L'interprétation selon laquelle, au lendemain de son interdiction début 1992, le FIS aurait déclaré le «Djihad», la «guerre sainte» contre l'Etat, s'est imposée communément de façon rétrospective. Par la suite, les bouchers du GIA auraient été recrutés dans ses rangs. C'est pourquoi, dans certains milieux démocratiques d'Europe de l'Ouest, s'est répandue l'opinion selon laquelle l'interruption des élections en 1991 et l'interdiction du FIS étaient fondées. Sans cela, le FIS serait ressorti vainqueur de ces élections, ce qui n'aurait apporté au pays qu'un bain de sang encore plus considérable. Qu'une victoire du FIS déstabilise les gouvernements dans les pays voisins a été également redouté. D'autant plus que les gouvernements européens, qui soutiennent avec leurs homologues arabes et américains, voulaient éviter un afflux de réfugiés algériens chez eux. Pour éviter la réalisation de ce scénario - présenté comme une vision cauchemardesque - d'une dictature verte qui supprimerait les libertés et la démocratie, les généraux qui ont fait le putsch de 1992 ont été considérés comme le moindre mal, d'autant qu'on les connaissait et qu'ils étaient, et sont encore, protégés par la France. Ces généraux qui, de fait, tiennent le sort du pays entre leurs mains depuis l'indépendance en 1962, ne sont pas seulement les garants des intérêts de l'Occident dans le pays. Ils s'avèrent aussi des efficaces exécutants des programmes d'ajustement structurel imposés par le FMI (Fonds Monétaire International). Un gouvernement civil et un parlement qui ne sont rien d'autre que des caricatures des principes républicains et des institutions démocratiques, doivent masquer le fait que, fondamentalement, c'est l'armée qui décide. Les gouvernements occidentaux acceptent ce jeu, soutirant des quantités toujours plus importantes de pétrole et de gaz naturel de ce pays. Le FMI ordonne, les généraux exécutent En Algérie, la plus grande part des entrées de devises est tirée de ces ressources afin de rembourser les intérêts des crédits engagés. L'effondrement de l'économie programmé à la fin des années 80 n'a pu être évité qu'avec l'aide de la France et du FMI qui, sous l'égide de son président français, Michel Camdessus, s'est montré particulièrement prévenant envers les généraux algériens. Des aides financières généreuses ont été mises à disposition: octroi de crédits; réechelonnement de moitié, au printemps 1994, par les Clubs de Paris et de Londres de la dette extérieure (30 milliards de dollars) que l'Algérie ne pouvait plus payer depuis 1991. Parallèlement, des investissements de plusieurs milliards affluent dans les secteurs stratégiques de la prospection et de l'extraction de gaz naturel. Ces «aides» de l'extérieur ne sont bien évidemment qu'une solution à court terme : les bailleurs de fond et les généraux espèrent surmonter cette période de transition «agitée» d'ici à ce que les restructurations prévues soient achevées. Du fait de ces «réformes» économiques qui doivent donner le coup de grâce à l'économie d'Etat, des dizaines de milliers de salariés ont perdu leur travail et des centaines de milliers d'autres ne reçoivent leur salaire que de façon irrégulière (36 000 travailleurs du bâtiment, par exemple, n'ont reçu aucun salaire pendant un laps de temps allant de 1 à 14 mois). Les subventions de l'Etat ont été réduites de façon massive et le dinar constamment dévalué (jusqu'à 50%). Le niveau de vie, autrefois relativement élevé, a chuté à tel point que beaucoup de familles ne peuvent plus envoyer leurs enfants à l'école. La viande est devenue un produit de luxe et l'achat de lait pour les nourrissons de plus en plus un problématique. Des maladies éradiquées comme le paludisme et le typhus réapparaissent. Le pays, dont la population est jeune (75% ont moins de 30 ans), a un taux de chômage d'au moins 40%. Ces jeunes n'ont aucune perspective, car des branches entières de l'économie sont complètement démantelés. Certes, optimiste, le gouvernement a annoncé une croissance de 5% pour 1998 mais seuls les secteurs de la production de pétrole et de gaz naturel sont véritablement rentables. Dans tous les secteurs, les fermetures d'entreprises sont à l'ordre du jour. De même, on privatise et rationalise à tout va. Cette année, même l'agriculture, jusque là largement étatisée, sera touchée. Cela n'est pas accepté sans protestations. Dans tous les secteurs de l'économie les grèves fleurissent, on a compté environ 200 grèves pour le seul secteur du bâtiment en 1996. Mais elles sont étouffées et occultées par une situation sécuritaire précaire. Louisa Hanoune, présidente du Parti des travailleurs (trotskiste), a confié dans un entretien: «Je constate qu'à chaque fois que surgit - même avec hésitation - un débat politique, les massacres de la population civile augmentent à un rythme effrayant, comme s'il s'agissait de terroriser un pays tout entier. Un autre fait inquiétant, c'est que ces massacres ont quasiment tous lieu dans la plaine de la Mitidja, et une des conséquences de cette terreur, c'est que les survivants et les habitants des environs quittent leurs villages et leurs champs. A travers ce dépeuplement massif, des terres se libèrent, qui sont aujourd'hui propriété publique mais doivent être privatisées - cela aussi sur ordre du Fonds monétaire international, ce qui prouve le caractère criminel de sa politique. De là à l'idée que, dans ces massacres, il y va avant tout de la terre, il n'y a qu'un petit pas; c'est ce que pensent de nombreux citoyens».
  4. sousene

    Le terrorisme islamiste

    Les Etats occidentaux protègent leurs intérêts en tentant de conserver les pantins et dictateurs déjà en places. Mais les intérêts sont trop importants. Tout le monde en a. L'Etat français défend Total, Accor qui arrive, Peugeot, BGI (plus gros fabricant de bière en Afrique, détient les trois plus grandes marques éthiopiennes). Rappelons qu'à Djibouti se trouve l'une des plus grosses bases françaises dans le monde. Les USA défendent un pré carré qui s'agrandit (bases militaires dans l'est, contrats juteux de sécurité), les Anglais défendent leurs contrats de vente d'armes, les Italiens défendent le peu qui leur reste ici. Mais d'autres vautours sont en lice : l'Etat égyptien voulait démolir le barrage sur le Nil Bleu (financé par la France) dans le nord de l'Ethiopie, et qui a coupé l'eau. L'Etat soudanais veut raffermir son alliance avec le gouvernement éthiopien pour faire la guerre à l'Erythrée. L'Etat érythréen veut faire la guerre au gouvernement éthiopien actuel.
  5. sousene

    Le terrorisme islamiste

    Je suis d'accord avec toi Usagi, je prend simplement l'exemple marocain, prison tasmamarte, fusillade durant les manifestations ( du temps d'Hassan II )......FLN, gouvernement tunisien....... Je tiens a signaler que ce sont des gouvernements et non des organisations caché, se sont eux les terroristes ( financer et armé par plusieurs pays occidentaux ), tu crois quoi mazarino, les armes poussent comme les patates, d'ou vient l'oseille, recolté durant les moissons ( petite blagounette, plante/argent ), posé la question au algerien qui se sont refugié en france clandestinement, pour échappé au GIA ( qui ne sont pas plus barbu que toi ).
  6. sousene

    Le terrorisme islamiste

    Avant hier, on brandissait la menace communiste pour expliquer la présence française en Afrique. Hier les soubresauts anglo-américains nécessitaient d'y rester. Aujourd'hui les régimes islamistes pointent leur nez et expliquent notre présence. Demain l'impérialisme chinois sera évoqué pour conforter celle-ci. Enfin après-demain les Sud-Africains seront mis en avant pour ne jamais se poser la bonne question : mais que fait la France en Afrique ?
  7. sousene

    Le terrorisme islamiste

    J'ai oublier ( sinon on va me traité de communiste ), en parlera des tchétchénes ( appelé terroriste par poutine ( nom ? ) )
  8. sousene

    Le terrorisme islamiste

    Ses extrémiste ont été créer, subventionné, entrainé, armé par la CIA, le chad d'iran n'a pas été explusé, mais pris des vacances au soleil, et saddam ?, j'ai pas trop le temps, mais je parlerai de l'intervention francaise en afrique, et des agissement des legionnaires et mercenaire ( ancien militaire francais ? ), en afrique.
  9. sousene

    Le terrorisme islamiste

    Pour les americains: 759 personnes, au total, ont été détenues à Guantánamo. Zéro : nombre de détenus de Guantánamo ayant été reconnus coupables d'une infraction prévue par le Code pénal. Six pays d'Europe ont été impliqués dans le transfert de 14 personnes vers des pays où elles ont été torturées. Un pays d'Europe a délivré des mandats d'arrêt à l'encontre d'agents de la CIA soupçonnés d'enlever des personnes en vue de leur «restitution». Chifre amnesty international. Politique en amérique du sud par les gandarmes du monde: - 1989 panama : s'emparer du general noriega, bilan 5000 morts civils des bombardements americains. - 1987 Nicaragua : 3000 morts civil par les forces militaire et paramiliatire ( entrainé par la CIA ), pour éléminier les contras ( revolutionnaire ). ........les escadrons de la mort de pinochet ( financement et armement par l'orde de kissinger ),l'unita congolaise ( finacé et armé par la CIA ) aide de l'irak contre l'iran ( renversekomenie ), avec comme cadeau ces fameux gaz cyanure, qui ont servit contre les kurdes. Je rappel que la CIA a renversé des democraties constitutionnelles qui fonctionnaient dans plus de 20 pays, elle a manipulé des éléctions dans une douzaine d'etat. Les amaricains pensent a une chose quand ils pensent du terrorisme. Que s'est il passé pérou, colombie, nacaragua, uruguay, bresil, cuba, salvador, chili, afrique du sud, angola, egypte, palestine, vitenam laos, cambodge
  10. sousene

    La légitimité d'Israël !

    c'est un genre de mur de lamentation, mais pour palestinien
  11. sousene

    Sexe et religion

    Je tiens a preciser, que je viens de créer un harem a casablanca, en principe les filles que j'ai commandé devrait etre la dimanche, j'attend avec impatience. s'est un peut la meme histoire, du tunisien a l'usine AZF, qui porté plusieurs sous vetement, PARCEQUE, POUR GARDER CES PARTIES INTACT, POUR LE PARADIS, EH OUI MORT EN MATYR, UNE CENTAINE DE VIERGE l'ATTENDE. Comme dis desproge, le ridicule ne tue pas, en voila plusieurs exemples.
  12. Je vois qur réecrire l'hstoire est toujours d'actualité, vanité, l'orgueil, faisait le concour de celui qui a la plus belle civilisation, on n'a que ca a foutre.
  13. sousene

    Sexe et religion

    Donc pour connaitre une personne il faut coucher ?, ce qui me sooule, s'est quand une personne veut croire en quelque chose, quelqu'un, et on lui casse les couilles a cause de ca, si une femme met le voile, s'est forcement parcequ'on lui a forcer a le mettre, si elle decide d'attendre le mariage pour perdre sa virginité, s'est forcement parcequ'elle a eu un bourrage de crane, mais jamais parcequ'elle a decidé de le faire, donc soit je suis dans monde ( un peu comme vandamme, aware ), soit certaine personne lise dans l'esprit d'autre.
  14. sousene

    cannabis

    La shit, comme l'herbe, dangereux ?, forcement quand il est coupé a n'importe quel connerie, fumer du vrai marocco, deja , une enorme difference de couleur ( maron clair ), en vente en france, marron foncé, coupé coco, exta,pneu, savon,il y'a autant de choix que le sirop.
  15. , bien le montage ( zidane n'a pas place, mais bon, s'est un autres debat !!). On fais dire ce qu'on veut au image, certain propos sont vrai, je l'admet, donc pour toi qu'elle serai la solution?, fn, non, j'ai donné des exemple solide de ville dirigé par le fn.
  16. sousene

    la désobéissance civile

    Le baratin qu'il te balance durant leur compagne, tu sait moins d'impot, moins de taxe, moins de chomage........... ( qui passe par des reformes, loi.............) Et au bilan, le contraire de ce qui est dis !!!!!!, a part pour les entreprises. http://cr.middlebury.edu/public/french/Lex..._programme.html
  17. Regarder le bilan des villes occupées par les amis de jean marie ( toulon, orange, nice, vitrolle ................), un massacre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, si des francais votent pour lui, s'est pour un vote contectatere, je pense, je l'espere
  18. sousene

    la désobéissance civile

    Disons que j'ai remarqué une difference entre les propositions annoncée durant les campagnes et les propositions et vote durant l'assemblée nationale, amnesie? ca sert a ca la desobeissance civile, parle en a juppé, il en connait un bout.
  19. sousene

    la désobéissance civile

    les 30 000 familles sontun exemple du theme .
  20. sousene

    la désobéissance civile

    en faite la convention est un reve que j'ai fais hier a propos pour la secu : 180 dirigeants de la sécu sont partis en Chine pour participer à l'Assemblée Générale de L'Association Internationale de la Sécurité Sociale. Une semaine de vacances en Chine aux frais des contribuables pour 180 fonctionnaires. Les délégations étrangères étaient 20 fois moins nombreuses, il est vrai qu'elles n'avaient pas de trou de sécu à exhiber. Coût de l'opération pour les caisses 700 000 euros. j'arrete de vous embetter, excusez moi !!!!!
  21. sousene

    la désobéissance civile

    Un patron n'a pas besoin de clandestin pour jouer avec les salaires, il joue tous simplement sur le statue, chaque poste a un salaire defini minimal( convention collective), lisé un peu les conventions collectives, avant de vous la ramener, exemple: bureau d'etude, DCE, exécution ( avec calcul ), doe, le statue est projeteur ( convention collective du batiment), l'employeur le prendra en tant que dessinateur avec un salaire d'ecart de 400¿ brut. Donc tu va m'expliquer pourquoi des postes existant , sont aujourd'hui supprimer, économie a deux balles, assites a une reunion de bilan financier d'un groupe. Et pour l'histoire des medicament non rembourser, demande au gouvernement UMP, mars 2006 152 medicamant non remboursé, demande pourquoi aventis pharma a fais un benefice action de 18% ( chiffre d'affaire de 6.68 milliard progression 10.1 % ).
  22. Le probleme est bien réel, je ne dis pas le contraire, ce que je veut expliquer c'est que cette argent détourner est en partie consacrer a ces banlieu, je pense que si ces zones etait mieux entretenu, plus d'emploi, plus de soutient financier ( car les francais pensent que de l'argent est debloqué pour ces zones , les centres de réinsertion sont des organisme privé payé par l'etat, plus il y'a de monde, et plus il gagne, donc tu croit qu'il vont se casser le cul a réinseré, non perte de profil ), cette argent detourné ( HLM de paris, OPAM a nice) sert a leur permettre d'avoir une vie correcte. Et que voté FN est la solution ( voir exemple du 06/09/2006 )
  23. sousene

    la désobéissance civile

    y'a beaucoup de chomeur, mais enormement de poste disponible, le probleme, il sagit de poste pas tres gratiffiant, ou bien de secteur en manque de main d'oeuvre ( hotellerie, agriculture..........), ils vont prendre les boulot delaissé par les francais ( trop fatiguant, pas tres bien vu...)
  24. sousene

    la désobéissance civile

    Ces clandestins participe a l'économie du pays ?, beaucoup de gens ont des papiers ( identité francaise, carte de sejour ), et contribue plus que les clandestins au travail noir. On ne parle pas du traffic de visas, qui enrichie certaine personne dans l'administration francaise ( s'est avec ces faux papier que les immigré clandestin entre, sinon les frontieres sont impermeable, tu le vois tres bien a nice, frontiere espagnol, les douaniers sont partous, comme dans tous probleme il y'a une mafia ( administration francaise ) !!!!!!!!.
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