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Yuusuke

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À propos de Yuusuke

  • Date de naissance 01/07/1986

Informations Personnelles

  • Lieu
    Paris
  • Intérêts
    La vie, l'univers, l'espace, le sexe, la mort...Les trucs de base.Ah si, j'adore Casshern.

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Réputation sur la communauté

  1. Bon Anniversaire!!

  2. Yuusuke

    Crazy Frog , le jeu..

    Mon dieu... Ils ont osé...les fous...SOYEZ MAUDITS !
  3. Ca m'étonnerait qu'il le reporte sur PS 3. Le jeu est plutot avancé, à la manière d'un Vagrant Story ou d'un FF9 il s'agira d'un "last hit" pour la console de Sony. Avec FF XII, ce jeu risque bien de faire encore grimper les ventes de playstation 2.
  4. Les dernières versions sont très bonnes, ce sont même les meilleurs sur le marché. Mais malgré leur domination qualitative elles n'évoluent pas assez, Konami tourne un peu en rond. On est en droit d'attendre plus. Je, soit plus constructif, tu es rédacteur
  5. Winning Eleven 9 : enfin des infos 09 mai 01h40 La meilleure simulation de football de tout les temps revient...premières infos. Developpeur: Konami Genre: Football Plateforme: PS 2 Date de sortie: 4 aout (Japon) Konami a divulgué les premières informations concernant Winning Eleven 9, prévu pour le 4 aout au Japon. Pour ce qui est de la présentation, ce sont les très célèbres Nakamura (joueur japonais) et Zico (entraineur du Japon) qui seront en couverture. L'éditeur japonais nous promet des mouvements plus réalistes, mieux travaillés, ainsi que de nouvelles positions sur le terrain (joueur de soutien ou joueur de long couloir) qui affecteront le déroulement du match. Ces derniers pourront être perturbés par un nouvel évenement climatique, à savoir la neige. Un historique des résultats sera également inclus, et recensera le parcours du joueur depuis la création de son profil. Une variation des attributs des joueurs de Master League est prévue, selon ces mêmes résultats. Pour finir, un lag moins important sera mis en place pour le mode Online afin de mieux satisfaire nos amis friands de jeu en ligne.[ Lire la suite de l'Article.. ] Yuusuke Source: www.gamekult.com
  6. Tu éteins tout de suite ton pc, tu débloques des fonds d'urgences et tu cours t'acheter le jeu. Je ne veux rien savoir
  7. Perso le fond d'écran est déja sur mon pc
  8. FF VII Dirge of Cerberus : le site 02 mai 12h05 Un des jeux les plus attendus par les fans de FF 7 voit son site actualisé. Developpeur: Square-Enix Genre: Gun Action RPG Plateforme: PS 2 Date de sortie: Non communiquée Le site de Final Fantasy VII : Dirge of Cerberus est enfin actualisé. Ne sautez pas de joie tout de suite, il ne propose qu'un fond d'écran disponible en 3 versions. Pas de quoi fouetter un chat sado-maso, mais c'est toujours ça de pris. Présenté comme un Gun Action RPG, Dirge of Cerberus se situe trois ans après Final Fantasy VII. Outre Vincent Valentine, le héros, d'autres protagonistes du 7ème épisode sont prévus : Sephiroth, Tifa, Caith Sith...Aucune date de sortie n'a été avancé pour l'instant. Le site : FFVII Dirge of Cerberus [ Lire la suite de l'Article.. ] Source: www.gamekult.com
  9. Test: Resident Evil 4 08 mars 2005- 08h00 Le dernier né de la saga Resident Evil pointe enfin le bout de son nez¿ Le nouvel Opus de l'horreur sur le Grill.. [/iNFO] Développeur: Capcom Pays: Japon Genre: Survival Horror Plate-forme: Gamecube, Playstation 2 Multijoueur: 2 joueurs Date de sortie:18 mars 2005 (Gamecube Europe) Non communiquée (Playstation 2 Europe) Synopsis Attendu par une horde de fans hystériques, Resident Evil 4 se devait d'impressionner et de redorer le blason d'une saga qui commençait à s'essouffler. Après un trop classique Resident Evil 0 et un insipide Outbreak offline, Capcom tente un pari osé avec ce nouvel opus, celui de révolutionner la série. Alors, pari réussi ? Test réalisé à partir d'une version américaine Notre Avis De l'eau a coulé sous les ponts. 6 années ont passées depuis les incidents de Racoon City. La ville, détruite par l'arme nucléaire, n'est plus qu'un ancien souvenir que le monde essaie d'oublier. Umbrella, la société par laquelle tout est arrivé, fut démantelée par le gouvernement des Etats-Unis. Leon S. Kennedy est désormais un agent secret travaillant pour le gouvernement. L'histoire prend place lorsque notre gentil héros est envoyé dans un village perdu en Espagne, à la recherche de la fille du président des Etats-Unis. Une mission somme toute « classique »¿Mais pour notre plus grand bonheur, les événements prennent une tournure bien étrange¿Alors qu'il vient d'arriver dans la fameuse bourgade, Leon est attaqué par des villageois qui semblent avoir perdu l'esprit, comme fou furieux à la vue du gentil policier. Voila un changement bien radical dans une série qui nous avait habitué au schéma classique « Umbrella-Wesker-Zombies » " style="width:370px" />] Qui dit nouvel univers, dit nouvelle mise en scène. Et sur ce point, les développeurs de Capcom ne se sont pas moqués de nous en annonçant une révolution. Resident Evil 4 tranche de manière significative avec ses aînés. Beaucoup, mais beaucoup d'éléments ont changé. Commençons tout d'abord par l'un des aspects les plus critiqués de la saga : la maniabilité. Certains fans et joueurs occasionnels étaient d'accords pour dire que cette dernière était exécrable, absolument pas naturelle (un avis que je n'ai jamais partagé..) et trop rigide. Désormais c'est bien différent, vous contrôlez Leon en vue de dos et la caméra n'est plus fixe, elle évolue en fonction de vos déplacements (il est possible de la déplacer à l'aide du stick analogique). Cette vue, beaucoup plus intuitive et vivante, est cependant gênante lorsque les ennemis affluent près de vous en trop grand nombre. Vous serez souvent agressé par un ennemi dont vous n'aviez pas conscience. Certains diront que ça renforce le côté surprise et sursaut, d'autres trouveront lourd le fait de devoir utiliser des soins parce que la caméra ne vous signalait pas la présence d'un ennemi. Autres changements par rapport aux us et coutumes de la série, la disparition de votre fréquence cardiaque comme indication de santé. Les développeurs ont opté pour une classique barre de vie qui sera susceptible d'allonger à l'aide de certaines herbes (qui elles, sont toujours présente). L'inventaire fait également peau neuve. Finie les 8 ou 6 cases disponibles, une sorte de tableau quadrillé est mis en place, avec un certain nombre de cases. Chaque objet prend un certain nombre de cases (un spray de premiers soins prendra 2 cases, alors qu'un lance roquettes en prendra énormément plus). A vous de gérer votre inventaire comme bon vous semble. Une innovation que l'on ne peut que saluer. Ce nouvel inventaire (une mallette en réalité) pourra évidemment augmenter,en achetant des cases supplémentaires à de bien étranges marchands...Vous rencontrerez très souvent ces derniers au cours de l'aventure, ils vous proposeront d'acheter de nombreux items, armes voir amélioration d'armes à des prix parfois prohibitifs. Comment trouver de l'argent ? Soit en le trouvant au détour d'un couloir, soit en le récupérant sur un cadavre ennemi (petite note aux développeurs : bien que l'action prenne place dans un village perdu, la monnaie courante en 2004 est l'euro, et non pas le Pesetas). Les munitions quant à elles ne sont pas à acheter, mais à trouver. Toujours à propos des armes, vous aurez à disposition un véritable arsenal de guerre : fusil à pompe, mitrailleuse, fusil sniper, lance mines ( !), magnum¿j'en passe et des meilleurs. L'utilisation de ces armes est toujours très impressionannte. Autre légère innovation,l'histoire aussi ne se déroule plus de manière continue, mais par chapitre séparés par des thèmes bien précis. Cela n'a aucune réelle incidence sur le jeu (il vous sera toujours possible de retourner sur vos pas une fois le chapitre passé). " style="width:370px" /> Les changements ne sont pas uniquement d'ordre optionnel, mais affectent véritablement le jeu. Les décors parcourus sont bien différents : village perdu, église, château, île qui ressemble plus à un front de guerre plutôt qu'à un club de vacances¿cependant afin de ne pas choquer les fans, Capcom a pensé à inclure les traditionnels égouts et laboratoires, si chers à nous autres vieux démodés¿ Le bestiaire est lui aussi tout neuf : fini les zombies, hunters, lickers, les ennemis sont nouveaux, en grand nombre (lors de ma première partie j'ai abattu 892 personnes¿) et bien plus coriaces que dans n'importe quel autre jeu. Entre les villageois fous, les créatures tout droit pompées du manga Parasite, la fameuse copie de Jason (Vendredi 13) les montagnes de muscles aux griffes acérés et les Regenerator (des créatures invincibles si l'on ne trouve pas leur point faible, différent selon chaque monstre), croyez moi il y'a de quoi faire. Et n'espérez pas une quelconque pitié de la part de ceux-ci, ils vous attaqueront régulièrement en groupe, dès fois à plus de 10. Une véritable boucherie. Les Boss sont également de la partie, plus impressionnants que jamais (El Gigante, Verdugo, de grands moments). Je vous ai dit plus haut que les décors étaient plus vivants, les ennemis plus féroces. Cela représente parfaitement la nouvelle orientation prise dans Resident Evil 4. Un jeu animé, violent et intense. Vous n'aurez aucun moment de répit, constamment attaqué, sous pression, vous n'aurez de cesse de tirer,shooter,mitrailler,exploser les créatures vous faisant face. Il vous arrivera de traverser certains niveaux à l'agonie (plus de munitions, plus de soins) et vingt minutes après de réaliser un véritable carnage dans les rangs adverses. Un tempo d'enfer qui confère au jeu une ambiance fantastique, un stress intense que l'on avait pas ressenti depuis Resident Evil premier du nom. Ajoutez à cela des musiques d'ambiances toujours aussi prenantes et vous pourrez vous faire une idée du potentiel du titre. Voila en quelque sorte l'exploit de Capcom, avoir su concilier le fun et l'angoisse et les avoir poussé à leur paroxysme, et ce pendant 18 à 20 heures. Resident Evil 4 est une véritable épreuve, qui ne se vit pas, mais qui se survit. " style="width:370px" /> Comble du bonheur la technique est parfaite. Aucun ralentissement, des bugs inexistants (ou très très rares), l'aventure se déroule sans aucun souci de cet ordre, dans des univers incroyablement beaux. Décidément la Gamecube étonne et détonne en proposant les plus beaux jeux jamais crées ( Resident Evil, Baten Kaitos, Resident Evil 4). Les ennemis sont, esthétiquement parlant, splendides et impressionnants, parfois gigantesques. Leon évolue dans des univers 3d sombres, glauques, malsains (sans jamais tomber dans la facilité de l'excès propre aux Silent Hill) mais sublimes. Toujours oppressant, jamais lassant, ils proposent une interactivité intéressante et utile. Trop d'ennemis ? Tirez dans un baril d'essence pour que tout explose. Besoin de repos ? Enfermez vous dans une maison et barricadez son accès par une armoire ou une commode. Les ennemis trouveront toujours un moyen de vous rejoindre. Il ne leur faudra pas longtemps avant de briser ces protections, ou encore de dresser des échelles afin de vous rendre une petite visite amicale. Vous devez constamment être sur vos gardes. Même lors des cinématiques. Un système inspiré de celui de Shenmue, le QTE (quick time event ou « événement à choix rapide ») fait son apparition. Prenons une situation concrète :Leon marche tranquillement lorsque les villageois font tomber une énorme pierre menaçant de l'écraser comme un vulgaire insecte. Pour éviter une mort douloureuse, il faudra suivre les instructions présentes à l'écran ( « pressez la touche A rapidement » par exemple) afin de vous en sortir, sinon vous êtes bons pour recommencer le niveau. Un aspect intéressant, interactif, stressant, mais terriblement énervant lorsque vous n'êtes pas préparés ou lorsque vous bloquez. Encore une fois une option qui divisera les foules (j'ai personnellement plus de mauvais que de bons souvenirs, manquerais je de réflexe ?). " style="width:370px" /> On pourrait croire que ce jeu est parfait. Du point de vue du gameplay, il l'est. C'est indiscutablement ce qui se fait de meilleur aujourd'hui. Complet et intelligent, il apporte des sensations oubliées depuis fort longtemps. Mais apparemment cette perfection a un prix. Tout d'abord quelque chose de purement personnel, en tant que fan de la saga, je suis dérouté par ce jeu. Certaines fois je n'ai pas l'impression de jouer à un Resident Evil. Trop bourrin, trop différent, on perd ses repères et cette ambiance propre à la série, ce charme que certains critiquaient. Il s'agit la d'une critique purement subjective, en aucun cas elle n'est nuisible au jeu. Attendez vous simplement à un nouveau Resident Evil, ne partez pas avec les anciens schémas de jeu en tête. Autre gros point noir, impardonnable celui la : le scénario. De toute la série des Resident Evil, on a jamais vu plus mauvais (même les Dead Aim sont meilleurs de ce côté). Mystères inexpliqués, apparitions et retrouvailles sans aucune logique, le jeu est truffé de vides scénaristiques très frustrants lorsque l'on est fan et que l'on souhaite connaître le fin mot de l'histoire. Pour résumer, Resident Evil 4 ne fait que poser des questions sans jamais y répondre ! Une véritable déception. Sinon pour faire la fine bouche, on pourra reprocher son aspect bourrin un peu trop développé, cet aspect « stand de tir dans une fête foraine » omniprésent. Personnellement je ne trouve pas cela très grave, le jeu n'en est pas pour autant facile, et il vaut mieux cela plutôt que l'ennui du à un manque d'action. " style="width:370px" /> Ce Resident Evil est donc un pur concentré de ce qui se fait de mieux actuellement. Un grand titre qui marque une étape dans la saga, mais aussi dans l'univers des jeux vidéos. Si vous êtes fans de la série, de jeux d'actions, si vous êtes en manque de sensation forte, n'hésitez plus et foncez vous procurer ce petit bijou, qui aurait pu atteindre la perfection totale si le scénario avait été plus complet. Yuusuke [iNFO=blank]Notre Note: 9/10 Beau, captivant, angoissant et infiniment plus plaisant que n'importe quel autre survival horror, Resident Evil 4 s'impose comme la référence en la matière. Une longue expérience qui vous entraînera jusqu'aux abîmes de l'Enfer, sans jamais vous laisser reprendre votre souffle. Et pour peu que le scénario ne vous soit pas si important que ça, vous risquez bien de connaître les joies d'un orgasme vidéo-ludique. Un titre à posséder absolument.
  10. Nightmare Before Christmas: Oogie's revenge 13 janvier- 21h00 Enfin arrive le jeu basé sur l'Univers du film de Tim Burton : L'étrange Noël de Mr Jack Développeur: Capcom Pays: Japon Genre: Action Aventure Plate-forme: Playstation 2 Multijoueur: Non Date de sortie: Non communiquée (Europe) Synopsis Déja plus d'une décennie s'est écoulée depuis la sortie du film L'étrange Noël de Mr Jack. Pour fêter dignement cet anniversaire, Capcom prit la brillante initiative de créer un jeu vidéo basé sur l'Univers du film. On connaît cependant la malédiction qui frappe les jeux à licences¿Le développeur nippon sera-t-il l'une des trop rares exceptions à la règle ? Test réalisé à partir d'une version Japonaise Notre Avis Ceux qui connaissent le très spécial mais néanmoins génial réalisateur Tim Burton seront certainement aussi intéressés que je l'ai été lorsque je reçu ce jeu. Sinon cassez vous. Pour les autres, les ignorants, chiens d'infidèles qui iront tout droit bouillir en enfer, voici un léger pitch comme le dit notre ami Ardisson. L'étrange Noël de Mr Jack est un film de Tim Burton (datant d'une bonne dizaine d'année) mettant en scène les aventures de Jack Skellington, le roi des citrouilles. Le pauvre bougre se lasse année après année d'Halloween, il a besoin de changements, de chaleur et d'amour. Après avoir découvert par hasard le village de Noël, il décide de kidnapper le vieux bonhomme au manteau rouge, bien résolu à prendre sa place et fêter Noël à sa manière. Film à l'esthétisme très soigné, aux musiques grandioses et à l'ambiance incomparable, il demeure aujourd'hui comme l'un des chefs d'oeuvres du père Burton. Grand fan de cet univers, c'est avec une joie non dissimulée que j'insère la galette dans la Playstation 2. Alors qu'en est il ?? " style="width:370px" /> Le jeu se déroule quelque temps après le film. Halloween est terminé, et comme d'habitude la fête fut un triomphe éclatant. Jack, dans son éternelle soif de nouveautés, se voit prêter par le Dr Finklestone (mais oui, vous savez le gars qui s'ouvre le crâne pour se gratter le cerveau) une arme nouvelle, sorte de corde verte gélatineuse (à la manière de Flubber) pouvant s'étirer très loin. Jack entreprend alors un long voyage pour découvrir de nouvelles farces. Malheureusement à son retour, tout a changé. Les habitants d'Halloween Town sont absents, remplacés par de vilains squelettes qui ne vous veulent pas que du bien. Après un petit temps de réflexion, le Roi des Citrouilles réalise qu'il s'agit d'un nouveau coup d'Oogie Boogie. Vous voila donc partis dans une chasse à l'homme, tout en n'oubliant pas de restaurer le bon ordre du petit monde de Jack. " style="width:370px" /> Première chose : les graphismes sont très réussis. C'est vraiment joli, et heureusement l'univers du film est respecté. Les décors sont variés et bien modélisés (3D temps réel). Le ton très obscur, mâtiné de jaune orangé rend parfaitement bien. Jack aura la chance de se promener dans des cimetières plutôt mal fréquentés, des champs de citrouilles, divers châteaux et évidemment, la ville d'Halloween. Rassurez vous vous ne serez pas seul dans ce périple: les différents protagonistes du film se retrouvent ici et c'est avec joie que l'on constate que leur retranscription dans le jeu vidéo est parfaite. Il s'agit là d'un des plus beaux jeux de la péhésse 2, malgré un aliasing légèrement présent¿ Autre point positif : les musiques. Les compositions de Danny Elfman étaient l'un des grands atouts du film. On ne peut pas parler de l'étrange Noël de Mr Jack sans aborder ce sujet. Le jeu reprend une partie des musiques du film (réinterprétées) et propose une série de nouvelles, plutôt réussies. Une fois écoutées il est possible de les retrouver dans le menu, au cas ou vous seriez tombés amoureux d'une d'entre elles et désiriez l'écouter en boucle.. " style="width:370px" /> Bon, Jack est beau, Jack se balade dans de sympathiques décors sur de sympathiques musiques, mais comment Jack se joue t'il ? Le jeu suit le schéma suivant : une phase d'exploration entrecoupée de phases de combats, mais également des minis niveaux de plates-formes. La première est plus que basique et souvent ennuyeuse. Impossible de diriger soi-même la caméra, petit problème qui gène souvent si des actions délicates doivent etre effectuées. La phase de combat est signalée par la célèbre musique d'Halloween Town, et là c'est le drame. Jack perd la notion de course. Il ne peut plus courir, se déplaçant lentement autour des adversaires (qu'il est impossible de locker à sa guise). Cela nuit grandement aux stratégies de combats (le temps de faire le tour d'un ennemi est égal aux temps de chargements de Resident Evil 1). On se retrouve alors à sauter comme un con de partout pour éviter les rafales ennemis, méthode toujours plus efficace que la marche.. Pour attaquer ses ennemis Jack peut revêtir 3 tenues différentes. La première tout d'abord est la plus classique (celle du film). Son arme est alors l'espèce de corde verte gluante qu'il peut lancer à loisir sur ses ennemis ou bien s'en servir comme lasso pour mieux attraper les ennemis et les martyriser. Ca ne vous rappelle pas Wild 9 ? Oui, mais en moins bien. J'ai rarement vu aussi répétitif, et aussi énervant (dû à la lenteur des déplacements de Jack). Il suffit que les ennemis soient un peu trop nombreux pour que le combat devienne insupportable. Trop occupé à fracasser un ennemi avec sa morve gluante, il est impossible à Jack de se déplacer et d'éviter les coups des adversaires. Rassurez vous il reste deux tenues. Voyons celle du Roi des Citrouilles : dans cette configuration il vous sera possible de cracher du feu ou bien de générer une mini explosion. Très efficace, cette manière de se battre est limitée par un certain nombre de boules de feu. Lorsque cette jauge de boules atteint le zéro, impossible de lancer des attaques. La dernière tenue est celle du Père Noël, et permet de surprendre les ennemis pour mieux les attraper. Rien de transcendant. Une fois les ennemis tués, il vous sera possible de récupérer des pièces pour ensuite les échanger contre divers bonus. " style="width:370px" /> Bon, vous l'aurez compris ce jeu n'est pas la révélation tant attendue. Trop énervant, trop répétitif ce jeu aurait pu être sauvé grâce à son ambiance¿ Erreur, voila le défaut ultime du jeu : son manque évident de charme. Les graphismes bien que jolis sont froids et ne donnent aucune émotion au joueur. En deux mots on s'ennuie ferme. On avance, on tue des ennemis, on progresse de chapitre en chapitre (24 au total pour une durée de vie avoisinant les 8 heures de jeu) sans jamais rentrer dans le trip Halloweenesque, ce qui est un comble pour ce jeu ! Diriger Jack Skelington sans éprouver aucune sensation !! Tout ce qui faisait le charme du film est absent, le jeu malgré sa licence manque clairement d'identité. Un jeu comme Médievil (pourtant bien plus vieux) est sans nul doute beaucoup plus prenant que ce titre. Désolé mais une très belle enveloppe externe ne saurait rendre ce jeu intéressant. Si vous etes fans essayez le quand même, mais les autres, passez votre chemin... Yuusuke Notre Note: 5.5/10 Un jeu qui malgré ses nombreuses qualités n'arrive pas à capter l'attention du joueur. Passée la première heure, le joueur découvre les limites du titre et commence à s'ennuyer, pire, à s'énerver. On peut donc vraiment être déçu par Nightmare Before Christmas qui promettait tant de bonnes choses. A réserver aux fans, les autres n'y verront qu'un beau mais lourd jeu.
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