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Relativité Quantique à Effet Thermodynamique


Frelser

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Bonjour. Je remodifies mon post principal, et postes juste les idées directrices de mon idée sur un moyen théorique d'unifier la Relativité Générale et la Mecanique quantique dans un modèle plus étendu et fondamental.

Introduction :

La physique a connu le siècle dernier deux grandes avancées majeures, jetant les fondations de deux théories demeurant jusqu'à ce jour inconciliables : la Relativité Générale qui décrit les événements physiques à l'échelle macroscopique mais achoppe sur l'échelle de l'infiniment petit. Et la Mécanique quantique, qui décrit avec une très grande précision les événements se déroulant à l'échelle de l'infiniment petit, mais qui conduit à des étrangetés contrariant le sens commun et l'intuition à l'échelle macroscopique.

Depuis Isaac Newton et sa théorie sur la gravitation universelle, l'énigme de l'attraction à distance entre objets demeurait insoluble. Jusqu'à ce que les mathématiques arrivent à maturité, et que le jeune Einstein élabore la théorie de la relativité et introduise en physique théorique les notions de tenseurs de courbure et de distorsions spatio-temporelles. Néanmoins, la Relativité Générale demeurait non réfutable à sa limite et conduisait à une singularité primordiale détruisant la théorie à sa frontière. Les recherches sur la mécanique de l'infiniment petit visant à élucider l'origine du big bang allaient très rapidement conduire à une théorie concurrente, la Mécanique Quantique décrivant l'infiniment petit. Or, les deux théories, qui ne sont encore à ce jour jamais pris en défaut, demeurent incompatibles : l'une est déterministe, locale, réaliste, la seconde acausale, et non locale.

De très nombreux chercheurs tentent depuis lors de concilier ces deux théories soeurs en une théorie plus étendue, qui décrirait tant l'infiniment petit que le macroscopique, sans succes jusqu'à ce jour.

La complexité de la RG et du modèle Standard permettant des réajustements des formules à chaque mesure ou observation sortant des limites de leurs prédictions à attiré notre attention sur l'hypothèse d'un risque d'antériorité du paradigme. En effet, chaque expérience étant orientée dans le contexte du paradigme des théories éprouvées, se pourrait-il que nous soyions sur une piste condamnée à tourner en rond ?

Dans ce papier, nous allons approcher le sujet d'un manière volontairement simplificatrice et explorer une piste inédite originale qui permettrait d'unifier la RG et la MQ dans un modèle de Relativité Quantique.

Dans un premier temps nous allons présenter notre modèle. Ensuite, nous allons confronter, au gré de nos développements, celui-ci aux points obscurs de la physique théorique telle que les étrangetés de la MQ (dualité onde-corpuscule, non localité, effet tunnel, ...), les ambiguïtés conceptuelles de la RG (courbure de l'espace, distorsion spatio-temporelle, singularité primordiale, ...), et des zones d'ombres demeurant en chantier dans le cadre plus général du modèle standard (matière sombre, énergie noire, accélération de la vitesse d'expansion de l'univers, absence apparente de matière lévogyre, énigme de l'énergie du vide, microgravité, effet Casimir, ...) et encore d'autres points non élucidés à ce jour.

Synthèse

1. Tout serait le produit de quantum bidimensionnels, des segments de droite infinitésimaux, de taille très en dessous d'une longueur de Planck.

2. Ces quantum obéiraient exclusivement à un mouvement inertiel et se toucheraient avec un degré de liberté de mouvement croissant avec le temps par effet Thermodynamique, produisant une expansion isotrope de l'espace-temps.

3. Leurs mouvements se synchroniseraient de proche en proche, initiant une mécanique quantique obéissant à des comportements synchronisés dans un espace fibré fractal.

4. L'expansion de l'univers, sa topologie et toutes ses structures dériveraient de ce taux d'entropie croissant, et l'espace-temps aurait une courbure fixée localement proportionnellement à la liberté de mouvement des objets qui le peuplent.

5. Cela se retrouve à travers les unités de Planck par un décalage entre une longueur d'une année-lumière et le rapport entre une longueur de Planck/une durée de Planck, rejoignant les inégalités de Heisenberg, le coté étrange de la MQ, l'absence d'anti-matière, le déficit apparent de l'énergie du vide quantique, l'accélération de l'epansion de l'univers, la forme trop dense des galaxies etc.

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Mon blog : Relativité Quantique et Thermodynamique

4 Commentaires


Commentaires recommandés

L'expansion de l'univers, les forces d'interactions et la matière consisteraient finalement en un effet thermodynamique qui s'opère sur le vide quantique. Le vide quantique serait une n-sphère fractale où une infinité de quantum bidimensionnels de dimension infinitésimale seraient organisés et corrélés de façon synchronisée. C'est le désordonnancement de ces densités de corrélations, ou enchevêtrements qui génèrerait l'expansion de l'espace, l'émergence de particules de matière par pairs opposés, et une impression de l'opération de champs de forces ou d'interactions de forces mystérieuses progressant de façon algorithmique (comme des produits hamiltoniens).

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Bonjour. L'idée de faire appel à des quantum bidimentionnels infinitésimaux a ceci d'intéressant qu'elle permet d'introduire un recoupement entre un espace discret et un espace continu.

Comme pour le battant d'une porte qui s'ouvre sans devoir bouger de sa place, les quantum permettent de contourner le problème d'analyse fine de la quantité de mouvement. En effet, la longueur des quantum définit une distance de contact inter-quantum par la taille même des quantum. Tandis que le problème de l'infini et de la vitesse trouve une limite par effet d'action et réaction au gré du degré de liberté des quantum. La quantité de mouvement étant définie suivant la longueur d'un quanta et du niveau de liberté. Le degré de saturation fixe ainsi la quantité de mouvement de façon géométrique.

Ainsi, il n'y a pas besoin pour un quanta de connaitre une destination pour atteindre une limite de mouvement ou une vitesse de déplacement stable. En effet, à l'échelle infinitésimale, la vitesse inertielle d'un quanta peut être infinie. Si cela introduit dans un espace peuplé d'objets ponctuels ou sphériques un problème central comme la non connaissance de la localisation du point à atteindre en une durée donnée, avec un espace saturé de quantum indiscernables bidimensionnels, ce problème est levé.

Ainsi, on génère un espace fibré à topologie fractale, dont le niveau de discernabilité est également fragmenté par échelle de grandeur : une métrique discrète infiniment différentiable surgit spontanément.

Notre échelle de grandeur que nous qualifions de macroscopique consiste en un des univers imbriqués d'un multivers s'organisant dans un hyperespace à géométrie fractale.

Bonne journée.

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Présentation rapide des interactions entre quanta et implications...

Un quantum unidimensionnel consiste donc en un objet infinitésimal en forme de segment de droite de taille infiniment petite.

De par sa longueur infiniment petite, la distance entre ses deux bords est négligeable. Concrètement, lorsqu'un des bords a une orientation l'autre bord a une orientation juste à son opposé... Par conséquent, chaque mouvement implique deux orientations opposées dans l'espace.

Dans notre modèle l'espace réel a trois dimensions et est parfaitement plat... Les quanta étant de taille infinitésimale évoluent et interagissent de proche en proche comme si chaque "point" d'espace était composé de 8 points comparables aux coins d'un cube.

Du fait que l'espace réel est inerte et parfaitement plat, 16 types d'orientations correspondant respectivement aux 12 arrêtes et 4 medianes transversales sont permises pour chaque quatum pris un a un.

Ainsi, à mesure que les quanta se repoussent, l'espace se charge en energie et en quantité de mouvements.

Des genres de cercles de vilarceau se forment et induisent respectivement une topologie de type tore, et puis un hyperespace fractal induit par la congruence des comportements symétriques des quanta...

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