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Et si on essaie d'aimer ces bêtes, arriverons nous a jour a communique


abder285

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abder285 Membre 9 messages
Baby Forumeur‚
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Et si on essaie d'aimer ces bêtes, arriverons nous a jour a communiquer avec eux ?

Dans cette trilogie, dont l'auteur veut bien nous en parler, c'est sur la relation de l'homme et la bête qu'il fait allusion en signant ces trois nouvelles.

Il pense bien que nous somme là pour un temps, ou un instant, pour ce rendre compte de cette grande catastrophe que l'homme a fait subir pour la faune et a l'insu de ce merveilleux monde qui nous entoure. C'est notre dernier refuge, pense t-il, le temps que les glaciers se fondent pour se faire une idée de l'état des choses.

Depuis les temps d'Adam et d'Eve, nous savons bien que la bête était bien patente. éa a commencé par ce serpent du jour zéro, et ça va se terminer sans doute, par la plus grande catastrophe de tous les temps. La faune menacé risque de disparaître.

Dans la première nouvelle de l'auteur « Nur » est la narration d'une belle histoire sandwiche a consommer tranquillement a la campagne, au bord de la mer, au métro ou le soir avant de dormir. éa donne des frisants bien pimentés et des points noirs qu'on ne risque pas d'oublier.

Premiere nouvelle. Nur.

Le tsunami, c'est un excellent sujet, n'est ce pas ? La nouvelle relate l'histoire de cette jeune « Nur » une veuve qui vit seul avec son enfant. Elle sera prise par le courant de ce gigantesque raz de marais pour finir dans le plus grand gouffre du monde. Là, et en compagnie de la guenon qu'elle vient de rencontrer, elle revint de si tôt, vers les premières civilisations des chasseurs. Ce qu'il faut retenir dans cette ¿uvre, c'est l'apparition fugitive d'un cobra royale de plus de cinq mètres. Réalité ou fiction, la jeune fille a pu échapper à son ravisseur par miracle. C'est grâce a cette merveilleuse danse traditionnelle indonésienne qu'elle finira par communiquer avec la bête. Nos amis les animaux savent bien apprécier¿...

Deuxième nouvelle. Maria

Toujours dans le même sujet de « l'univers animalier vu par les auteurs » Une deuxième nouvelle surgie des fonds de l'océan Atlantique. Lors d'un duel entre un orque et une baleine bleue, cette dernière finira par détruire le canot de sauvetage des cinq immigrants qui voulaient rejoindrent les côtes espagnoles. Aucun survivant. Seule Maria, une jeune Sénégalaise réussira à rejoindre les côtes marocaines. Le rêve s'achève avant qu'ils ne puissent atteindre l'Europe heureuse. L'histoire commence et la course ne fait que commencer, sur les côtes Marocaine, Espagnoles, Maltaises, Italiennes etc. Dans ce roman brûlant, nous allons bien découvrir les causes du mal. Et c'est bien là, le trou noir qui rend le monde insensible.

Troisième nouvelle. Shimaila.

Le séisme du Pakistan - C'est l'histoire d'une rencontre sous les décombres d'un séisme. Une rencontre miraculeuse d'une mère et de son enfant après plus de vingt cinq ans de séparation. Shimaila, cette jeune infirmière en mission de santé sur les hauteurs des monts du Pakistan, a pu sauver un homme par le miracle des ces petits soins. L'homme qui a pu échapper à cette horde de loup va l'épouser et c'est le début de la fin¿

C'est une bouffée d'oxygène pour les enfants, un fait divers, une fiction et un dénouement open end. N'est ce pas là un vrai « sandwiche smart » ?

Est si l'on pouvait en faire des petits régales sur nos chaînes de télévisions ? C'est bien léger pour la consommation, on peut les revoir a n'importe quel moment sans ce lasser, même sur son portable ou en plein vol.

Cette seconde ¿uvre de l'auteur ( Femme en Détresse) est trilogie des souffrances : trahison, désespoir et abandon. Malgré ces séismes dévastateurs ou ces raz de marée, véritables murs d'eau d'une violence de destruction fantastique, l'homme continuera à vivre et la vie continue. Dans chaque nouvelle, l'histoire commence toujours par un voyage, un long voyage parfois ou le dénouement s'inscrit dans cette nouvelle vision d'un monde plus beau et plus vrai. Ici c'est bien la femme qui tien le premier rôle et c'est elle qui finira par triompher, voire a gagner son pari. L'auteur s'est inspiré des derniers événements naturels du vingt énième siècle pour redonner à ces nouvelles, un grain de sel de fiction, du suspense pour le pimenter et une quotité de citron pour l'invraisemblable s'il en existe.

Nur.

Le torrent prendra comme itinéraire les zones les plus accidentées de la côte de l'océan indien et la forêt pluviale. Au moment ou elle se rendit compte qu'elle allait tout droit vers les rapides, Nur ne pouvait pas se contrôler.

Elle essayait de se retenir sur ce gigantesque tronc d'arbre qui la transportait tout droit vers les rapides. Dans ce long voyage de plusieurs heures, elle finira par atteindre les sensationnelles cascades fantastiques. Nur fit sa dernière prière les yeux fermés. La descente sur plus de 110 mètres lui paraissait si longue qu'elle faillit mourir de peur. Elle finira par toucher le fond de l'eau avec succès pour réapparaître à la surface indemne. « Dieu merci, je viens de réussir ma chute ! » se dit-elle. Elle se mit à nager jusqu'à la côte pour rejoindre ensuite cette gigantesque ouverture qui ressemble à une vraie caverne. Nur, se rendit compte aussitôt après, qu'elle se trouvait dans une vraie forteresse infranchissable, desservie par plusieurs rapides qui se terminent en cascades.

« Que vais-je faire dans ce trou ? Je ne pourrais jamais sortir d'ici vivante ! »

Dans cette partie du monde, la flore est riche et variée. Elle se compose essentiellement de palmiers, des bambous, des acacias, et des tecks qui débordent dans ce lieu. Il y a aussi des espèces de perroquets, martinets, coucous et pigeons. Les eaux abondent en poissons tels que les crabes, les écrevisses et les homards parmi d'autres. Dans un état d'ivresse, Nur finira par dégager toute l'eau salée de son ventre. Elle se sentira mieux.

Allongée sur le sable, elle ne faisait qu'admirer ces superbes cascades en série. C'est à ce moment là, qu'elle crut entendre comme une sorte de gémissement. Elle se lança dans une interminable recherche à travers la brousse, jusqu'à ce qu'elle finisse par trouver la petite guenon blessée. « Oh ! La pauvre petite guenon ! » Fit-elle au moment ou elle allait la prendre sur ses bras. Je t'appellerai Rita ! C'est un joli nom n'est ce pas ? fit-elle, au moment où elle allait la ramener vers la caverne pour la mettre à l'abri.

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