Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'dette'.
8 résultats trouvés
-
Dans une interview pour le JDD, le ministre de l'Economie et des finances fixe l'horizon 2026 pour faire baisser la dette française qui s'apprête à dépasser le seuil des 3 000 milliards d'euros. C'est l'un des grands chantiers qui attends Bercy au cours du second quinquennat d'Emmanuel Macron : la situation de la dette française. Alors qu'elle dépasse désormais les 113 %, la dette publique de la France se dirige sûrement vers le seuil des 3 000 milliards d'euros. Bruno Le Maire, souligne sa volonté d'inverser la tendance d'ici la fin du mandat : "Avec le Président et la Première ministre, nous sommes déterminés à faire baisser la dette à partir de 2026, et à ramener le déficit public sous les 3 % en 2027." "Irresponsable pour les générations futures" Un objectif devenu nécessaire en raison de conditions de financement moins clémentes. "Hier, l'Etat français empruntait à 0%, aujourd'hui à 2,5%. En conséquence, la charge de la dette est passée de 31 milliards en 2021 à 42 milliards en 2022, évoque le ministre. Il serait irresponsable de faire peser cette charge sur les générations futures." Suite de l'article...
- 33 réponses
-
Pour bien comprendre le problème, revenons à sa source. L’article 1691 bis du Code général des impôts (CGI) stipule que «les époux et les partenaires liés par un pacte civil de solidarité sont tenus solidairement au paiement de l’impôt sur le revenu lorsqu’ils font l’objet d’une imposition commune». Une règle de solidarité fiscale qui contraint, même après un divorce ou une rupture de Pacs, au paiement d’une dette fiscale, c’est-à-dire un impôt qui n’a pas été payé, contractée par un ex-époux ou partenaire de pacs. Et dans la plupart des cas, ce sont des femmes qui se retrouvent victimes d’ex-conjoints indélicats. En 2021, Sophie* avait raconté à Capital la situation financière infernale dans laquelle elle s’était retrouvée en raison de son escroc d’ex-mari. Pendant leurs années de mariage, celui qui partageait alors sa vie avait contracté plus de 200 000 euros de dette auprès de l’administration fiscale. A leur divorce, il a fui l’Hexagone… et Sophie, bien qu’étrangère à cette fraude, a dû commencer à rembourser le fisc. Une épreuve personnelle particulièrement violente. D’autant que Sophie, comme un grand nombre de femmes actives, n’a pas pu faire jouer la «décharge de l’obligation de paiement», pourtant prévue par le Code général des impôts. Une décharge qui «est accordée en cas de disproportion marquée entre le montant de la dette fiscale et, à la date de la demande, la situation financière et patrimoniale, nette de charges, du demandeur», précise le CGI. [...] Avec sa proposition de loi, le MoDem veut maintenant aller plus loin. Comment ? En jouant sur la notion de «tiers». Car l’article L247 du Livre des procédures fiscales (LPF) prévoit que «l’administration peut décharger de leur responsabilité les personnes tenues au paiement d’imposition dues par un tiers». La proposition de loi MoDem vient compléter cet article, et précise qu’une personne peut être considérée comme «tiers» par l’administration fiscale dans plusieurs cas : si elle est officiellement divorcée, si son Pacs est officiellement rompu, si elle ne vit plus avec son ex-conjoint, ou que son ex-conjoint a abandonné le domicile conjugal. https://www.capital.fr/votre-argent/solidarite-fiscale-la-fin-de-la-galere-pour-les-femmes-endettees-par-leur-ex-conjoint-1490484
-
Datte américaine : Pourquoi un défaut pourrait provoquer un "Armageddon financier" mondial. Les Etats-Unis, qui ont atteint leur plafond d'endettement, peuvent honorer leurs engagements jusqu'au 5 juin. Un compte à rebours est engagé au Congrès pour trouver un accord et éviter un défaut historique. Alexandre Hamilton s'en arracherait sa perruque. Jeudi, les Etats-Unis ont atteint leur plafond d'endettement, obligeant le département du Trésor à un tour de passe-passe pour assurer ses engagements financiers jusqu'au 5 juin. Au delà, c'est la grande incertitude, avec un bras de fer entre Joe Biden et les républicains majoritaires à la Chambre. Et le spectre d'un défaut de paiement historique qui risquerait de provoquer un cataclysme économique planétaire. C'est quoi le plafond de la dette ? Il s'agit du seuil maximal de ce que l'Etat américain peut emprunter. Les Etats-Unis sont l'un des rares pays à s'être imposé un plafond, et à avoir donné en 1917, les pleins pouvoirs au Congrès pour le relever quand c'est nécessaire. La limite actuelle, atteint jeudi, est de 31,4 trillons (31 400 milliards) de dollars. Soit une pile de billets de 100 dollars reliant la Terre à la Lune. La dette totale représente 94 000 dollars par Américain, ou 121 % du PIB annuel des Etats-Unis. Bill Gale, économiste à la Brookings Institution, rappelle un point important, qui illustre "la simplicité du débat" actuel : "Quand on relève le plafond de la dette, il ne s'agit pas d'autoriser de nouvelles dépenses mais de savoir si le Congrès autorise le gouvernement à emprunter pour payer des dépenses que le Congrès a déjà autorisées". L'ironie du système américain, c'est que lorsque les élus votent un budget, avec des recettes et des dépenses, "ils n'autorisent pas automatiquement à emprunter pour combler la différence". Que se passera-t-il après le 5 juin sans accord ? Au cours de l'été "l'Etat ferait défaut sur les paiements des intérêts de la dette ou sur d'autres obligations, comme le salaire des militaires, la Social security (retraites) ou Medicare (santé pour les seniors)", détaille Bill Gale. Le Trésor tenterai sans doute de fixer des priorités, mais il y a vide juridique et cela pourrait se finir devant les tribunaux. Selon les analystes de Bank of America, un défaut est "probable à la fin de l'été ou à l'automne", et il pourrait durer "entre quelques jours et quelques semaines". Quelle seraient les conséquences d'un défaut ? Mark Zandi, économiste en chef chez Moody's Analytics prédit un "Armageddon financier". Un alarmiste que Bill Gale tempère à peine : "Les conséquences d'un défaut intentionnel majeur restent inconnues, mais les prédictions vont de "graves à catastrophiques". Avec une perte de confiance dans le dollar et dans dans les bon du Trésor, une hausse des taux d'intérêt pour les ménages, et un plongeon de Wall-Street - et donc des plans d'épargne retraite des particuliers. "Avec les ramifications de la planète financière, cela se propagerait à l'économie mondiale, comme avec la crise de 2008. Avec des économies déjà au bord de la récession, ce serait fou de risquer une nouvelle panique financière mondiale", avertit l'économiste. "Les élus jouent avec le feu." Source.
- 13 réponses
-
- 3
-
- dette
- etats-unis
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
« Assistés », « profiteurs », « paresseux »… les clichés sur les pauvres à l’épreuve des faits
Invité a posté un sujet dans France
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/10/17/assistes-profiteurs-paresseux-en-finir-avec-les-cliches-sur-les-pauvres_5201892_4355770.html « Assistés », « profiteurs », « paresseux »… les clichés sur les pauvres à l’épreuve des faits (...) Par Anne-Aël Durand Publié le 17 octobre 2017 à 10h06 - Mis à jour le 13 septembre 2018 à 15h15 Distributions des Restaurants du cœur à Alès, dans le Gard. SYLVAIN THOMAS / AFP Un président de la République qui dénonçait les « fainéants », un dirigeant des Républicains qui fustige le « cancer de l’assistanat », des aides sociales rabotées parce qu’on ne va pas « pleurer pour 5 euros »… le personnel politique n’est pas le dernier à véhiculer des caricatures des personnes en situation de pauvreté — qui concerne un Français sur sept, selon l’Insee. A l’occasion de la présentation du « plan pauvreté » du gouvernement, jeudi 13 septembre, nous avons rassemblé des clichés et idées reçues sur la pauvreté, dont certains ont déjà été évoqués dans de précédents articles du Monde ou des Décodeurs. Cette série, loin d’être exhaustive, s’inspire aussi du travail acompli par l’association ATD Quart Monde. Idée reçue n° 1 : « Les pauvres profitent du système » FAUX Les aides sociales sont un mécanisme de solidarité destiné à porter assistance aux personnes en situation de pauvreté, de dépendance ou de handicap… à condition qu’elles atteignent les personnes concernées. Si des responsables politiques, tel Laurent Wauquiez, dénoncent le « cancer de l’assistanat » ou la fraude aux allocations (qui existe, mais reste limitée, voir idée reçue no 3), la puissance publique s’inquiète plutôt du phénomène inverse : le non-recours aux prestations sociales. Comme le résume un rapport d’information de l’Assemblée nationale, « à quoi bon des organismes de protection sociale s’ils ne parviennent pas à venir en aide à ceux qui en ont besoin ? » Ce non-recours peut être lié à l’ignorance des aides existantes, à la difficulté pour la recevoir (démarches complexes) ou même au choix de ne pas le demander, parfois de crainte d’être stigmatisé. L’Observatoire des non-recours (Odenore) avait publié en 2011 une étude montrant que 50 % des personnes éligibles au revenu de solidarité active (RSA) ne le touchaient pas. Ce taux atteignait 68 % pour le tarif « première nécessité électricité » d’EDF ; entre 50 % et 70 % pour la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) ; 70 % pour l’aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS). Soit plus de 10 milliards d’euros non réclamés. Une étude plus récente menée dans deux départements français publie des estimations de 36 % de non-recours au RSA, et entre 21 % et 34 % pour la CMU-C. Idée reçue n° 2 : « Les pauvres sont mieux soignés que les autres grâce à la CMU et à l’AME » FAUX En 2016, plus d’un quart des assurés sociaux (26,5 %) ont renoncé à se faire soigner, en particulier pour les dents ou les yeux, selon une enquête de l’Observatoire des non-recours (Odenore). Les premières raisons invoquées sont un « reste à charge » trop élevé (ce qu’il reste à payer après la Sécurité sociale) ou l’impossibilité d’avancer les frais. Ces chiffres s’expliquent également par le taux élevé de non-recours à la couverture maladie universelle (CMU, actuellement remplacée par la protection universelle maladie, ou PUMA) ou à l’aide à la complémentaire santé. L’Assurance-maladie s’inquiète de cette situation, qui dégrade l’état de santé des personnes concernées et pourrait générer à terme des dépenses supplémentaires pour toute la collectivité. L’organisme a même lancé des opérations spécifiques contre le renoncement aux soins. Quant à l’aide médicale d’Etat (AME), elle est réservée aux étrangers sans papiers, pour un nombre restreint de soins (en particulier vaccin, accouchement, lutte contre le VIH ou la tuberculose). Son coût est régulièrement dénoncé par la droite et l’extrême droite, mais sa suppression risquerait d’augmenter la propagation des affections contagieuses. Lire aussi Idées reçues sur les migrants (3/6) : « Ils viennent en France pour se faire soigner » Idée reçue n° 3 : « La fraude aux prestations sociales est massive » PLUS COMPLIQUÉ Les prestations versées sous conditions de revenus peuvent être détournées par de mauvaises déclarations des revenus ou de la situation familiale. L’ensemble des fraudes constatées par la branche famille de la Sécurité sociale (intentionnelles ou non) atteignait 248 millions d’euros en 2015, dont 62 % concernent le RSA et 21 % les aides au logement, selon le Comité national de lutte contre la fraude. Ces montants ne sont pas négligeables, mais restent minimes par rapport aux dépenses globales : 12,9 milliards d’euros versés pour le RSA et 13,2 milliards pour les APL en 2015. Les chiffres augmentent chaque année, sous l’effet de meilleurs contrôles. La fraude détectée par la Sécurité sociale est ainsi passée de 482 millions d’euros en 2011 à plus d’un milliard d’euros en 2015, dont seulement 60 % pour les prestations. Ces montants sont toutefois sans commune mesure avec ceux de la fraude fiscale : en 2015, les opérations de la direction générale des finances publiques ont permis de « rectifier » 21,2 milliards d’euros, dont 12,2 milliards ont été encaissés. La cellule mise en place par Bercy pour rapatrier les avoirs des particuliers à l’étranger a permis à elle seule de récupérer 2,85 milliards d’euros. Les fraudes aux taxes douanières ont aussi atteint une somme record de 377 millions d’euros. Idée reçue n° 4 : « On vit mieux en cumulant le RSA et les allocations qu’en travaillant au smic » FAUX S’il existe une catégorie inquiétante de travailleurs pauvres qui peinent à joindre les deux bouts, avoir un emploi reste toujours plus avantageux que de toucher les minima sociaux. Le smic net mensuel s’établit à près de 1 150 euros, soit deux fois plus que le montant du RSA pour une personne seule (545 euros). L’association ATD Quart Monde rappelle que la plupart des prestations sociales (APL, allocations familiales, tarifs sociaux du gaz et de l’électricité) continuent à être versées aux personnes gagnant le smic. Elle a réalisé plusieurs simulations en 2016, avec différentes configurations familiales. Résultat, les écarts de revenus entre travailleurs au smic et bénéficiaires du RSA sont au minimum de 300 euros par mois pour un célibataire et peuvent atteindre près de 700 euros pour un couple avec deux enfants. Par ailleurs, pour éviter l’effet de seuil, les personnes qui travaillent à temps partiel ou qui gagnent moins de 1,3 smic peuvent voir les revenus de leur travail complétés par la prime d’activité. Idée reçue n° 5 : « Quand on cherche vraiment du travail, on en trouve » FAUX Les responsables politiques déplorent régulièrement la quantité d’emplois non pourvus en France : 350 000, selon François Rebsamen en 2014 ; 600 000, selon Jean-Christophe Lagarde en 2017. Sans compter les « 1,7 million d’intentions d’embauche » évoqués en 2015 par Pôle emploi. Qu’attendent donc les chômeurs pour occuper tous ces postes vacants ? La réalité n’est pas si simple : en premier lieu, les intentions d’embauche sont des déclarations, qui reflètent les aspirations des entreprises mais pas des postes réellement à pourvoir. Quant aux emplois non pourvus, il s’agit de la photographie à un instant donné d’un flux qui agrège des emplois vacants depuis longtemps et d’autres qui sont disponibles seulement quelques jours. Parmi ces emplois, une grande partie peut être retirée ou pourvue en interne. Enfin, les qualifications et la situation géographique ne correspondent pas toujours au profil des demandeurs d’emploi. Toutes ces considérations permettent de relativiser l’idée d’un vivier d’emplois disponibles. Et dans tous les cas, les chiffres avancés sont loin de répondre au problème structurel du chômage de masse : 3,5 millions de personnes n’ont aucun emploi et plus de 2 millions de salariés exerçaient une activité réduite en France à la fin d’août 2017. Cet article fait partie d’une série d’idées reçues sur la pauvreté, inspirée notamment du travail d’ATD Quart Monde. Idée reçue n° 6 : « Les pauvres s’en sortent bien, parce qu’ils paient tout moins cher » FAUX Si les personnes à faibles ressources peuvent avoir des tarifs réduits sur certaines prestations liées à l’Etat ou aux collectivités (EDF, transport en commun, cantine ou garde d’enfant, entrée dans les musées, etc.), elles paient plus cher que la moyenne pour d’autres biens et services du secteur privé. Le surcoût peut atteindre entre 3 % pour les assurances et 20 % pour les prêts à la consommation, selon une étude du Boston Consulting Group, reprise dans un rapport du Sénat. L’achat en petite quantité fait augmenter les prix unitaires, par exemple dans la téléphonie, où il peut revenir jusqu’à 30 % plus cher d’utiliser des cartes prépayées plutôt qu’un forfait mensuel. Le logement suit également cette logique, puisque les prix au mètre carré sont plus élevés pour les petites surfaces." Ce paradoxe est qualifié par les chercheurs de « pénalité de pauvreté » ou « double peine de la pauvreté ». Cet article fait partie d’une série d’idées reçues sur la pauvreté, inspirée notamment du travail d’ATD Quart Monde. -
Alerte rouge sur le déficit abyssal de la sécu Vendredi 09 septembre - 08:05 La Cour des Comptes pointe le niveau historique du déficit en 2010, à près de 30 milliards d'euros, et le gonflement de la dette sociale qui atteint 136,2 milliards. C'est un véritable cri d'alarme que Didier Migaud a poussé jeudi, en présentant le rapport annuel de la Cour des Comptes sur la Sécurité sociale. « Jamais le déficit de la Sécurité sociale n'a atteint un niveau aussi élevé qu'en 2010 », a indiqué le premier président. Avant de poursuivre : « à 29,8 milliards, le déficit des régimes de base et du fonds de solidarité vieillesse (FSV) a un caractère historique, il a triplé en deux ans ». Et si les difficultés économiques expliquent pour partie le trou de la Sécu, elle n'est pas seule responsable. Selon la Cour, « pour le seul régime général, qui concentre l'essentiel de difficultés, la crise n'explique qu'un peu moins de la moitié du déficit global ». Suite de l'article... Source: La Tribune
- 117 réponses
-
- France
- sécurité sociale
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Des fonctionnaires non revalorisés jusqu'en eux mille dix sept ,des dettes dont le remboursement dévore quasiment presque tout le produit intérieur brut et qu'apprend on ?Qu'on a dépensé un milliard d'euros pour aller voir la comète Tchouri et prendre quelques photos floues de la caillasse céleste .mais de qui se moque t-on ?
- 193 réponses
-
Pour Rocard, il faut travailler moins, mais plus longtemps L'ancien premier ministre Michel Rocard plaide dans les colonnes du JDD pour une réduction du temps de travail et un départ à la retraite à 65 ans. Il estime que la France est «dans une situation terrifiante». «Il y a le feu», s'alarme Michel Rocard dans un entretien accordé au Journal du Dimanche . «La France est dans une situation terrifiante. La récession va s'aggraver, donc le chômage va augmenter», s'inquiète l'ancien premier ministre socialiste (de 1988 à 1991) de François Mitterrand. Réduire le temps de travail Pour lui, «la première des urgences, c'est de faire baisser le chômage». Pour y parvenir, il remet sur la table un sujet «tabou» qui est la réduction du temps de travail: «En France, les salariés travaillent en moyenne 36,5 heures par semaine, contre moins de 33 heures en Allemagne et moins de 31 aux États-Unis», assure-t-il, souhaitant que «la réflexion (sur la durée du travail, ndlr) s'ouvre à nouveau. Si les partenaires sociaux (se) saisissent (du débat), Hollande n'ira pas contre», croit-il. Allonger la durée de cotisation à la retraite En échange de travailler moins, et donc de cotiser moins, l'ex-député européen pense que la seule solution pour financer les retraites est «d'allonger la durée de cotisation, d'aller peut-être jusqu'à 43 annuités»... ce qui peut amener un Français à travailler «jusqu'à 65 ans», insistant sur le chiffre pour prendre à contre-pied le gouvernement. «Il faut dire la vérité aux Français, le vrai calcul se fonde sur la durée de cotisations, pas sur un droit lié à un âge borné et inutile». Lire la suite (Le Figaro).
-
Le CHANGEMENT... - Cadeaux électoralistes profondément INJUSTES, sans se soucier de leurs conséquences à long terme, à commencer par le déficit qu'ils génèrent: (jour de carence pour les fonctionnaires, retraite à 60 ans, Etc.) - Clientélisme politique IRRESPONSABLE: (amnistie pour les extrémistes syndicalistes, création de ministères inutiles, favoritisme pour ses collègues de promos, etc.) - Absence de courage et de volonté REELLE de réduire la dépense publique: (refus de supprimer les strates inutiles de notre mille-feuille administratif afin de protéger les postes d'élus et les emplois de complaisances qui vont avec, maintien de cet Etat-providence qui dépense sans compter et qui continue à gaver la fonction publique de privilèges et d'avantages là aussi profondément INJUSTES, etc.) - Clivage permanent et donc DIVISION des français :(public/privé, riche/pauvre, salarié/patron, pro-mariage gay/anti, etc.) - Incapacité à stopper la fuite massive à l'étranger de nos cerveaux et de nos très riches: (bien au contraire: communication désastreuse et "minable", refus de se détacher de manière assumée de l'extrême gauche et de ses idéaux extrémistes, taxes confiscatoires des 75%,etc.) - Maintien et amplification du saignement des classes moyennes et en particulier des classes moyennes supérieures :(augmentation des impôts démesurée,etc.) - Absence d'EXEMPLARITE de nos gouvernants et de leur parti politique: (Cas Cahuzac + les multiples "affaires", magouilles en tout genre, détournement de fonds, agressions sexuelles, conflits d'intérêts, etc., dans lesquels le PS est empêtré aux 4 coins de la France) - Prolongement de cette POLITIQUE qui continue à nous envoyer en guerre aux 4 coins du monde, sans avoir les moyens financiers de le faire, par pur intérêt (contrats, image positive pour le président, etc.) et surtout dans cette ineptie de croire que notre système "démocratique" est supérieur aux autres et adaptable partout! (guerre au Mali) En conclusion, vous l'aurez compris: Le CHANGEMENT n'est pas ENCORE pour MAINTENANT!! Pour ceux qui n'en ont pas encore conscience: le gouvernement actuel applique ni plus ni moins la même politique POLITICIENNE que TOUS les gouvernements précédents de ces 35 dernières années...