«Elle l'a tirée jusqu'aux lavabos et lui a cogné la tête», paroles de pensionnaires du Bon Pasteur

il y a 38 minutes, boeingue a dit :

les " bonnes " soeurs sont plus des putes qu'autre chose !

"Il s'en fallait de peu, mon cher

Que cette putain ne fût ta mère..."

il y a eut de bons films et téléfilms sur le sujet

France jusqu'à la fin des années 60

Elles....Les filles du Plessis

https://television.telerama.fr/tele/films/elles...-les-filles-du-plessis,96351597.php

The magdalen sisters

https://www.abusdecine.com/critique/magdalene-sisters-the/

il y a une heure, Elisa* a dit :

L’on peut tout à fait être aimant, câlinant, tendre, à l’écoute, ouvert à la discussion et bien élever ses enfants, leur permettre de se construire et d’évoluer à tout niveau. 
Idem pour les institutions scolaires religieuses ou pas… la violence y est proscrite heureusement.

Ce n’est absolument pas un outil éducatif ! 

   Héééé oui ma bonn'dame ! 

C' est bien là que l'on voit que les ravages qu' a pu faire la mère Dolto sont incommensurables .

il y a 10 minutes, Maurice Clampin a dit :

   Héééé oui ma bonn'dame ! 

C' est bien là que l'on voit que les ravages qu' a pu faire la mère Dolto sont incommensurables .

Tu as eu besoin de battre tes enfants pour les éduquer?

Faut pas dire que c'est une question de génération. Mon père est de ton âge et mon grand-père n'a JAMAIS levé la main sur ses enfants. Il parait qu'il avait le verbe un peu haut mais jamais de coups de ceinture.

Quant à moi, je n'ai même pas reçu la moindre gifle de mes parents. Je pense que ça me protège contre toute violence : non pas d'en recevoir mais de ne pas en supporter d'autrui.

à l’instant, Beebee a dit :

Tu as eu besoin de battre tes enfants pour les éduquer?

   Non .....

Ils savaient intuitivement , de par l' éducation qu'ils ont reçu de leur mère et de moi même que ça pouvait arriver . Et même aujourd'hui qu' ils approchent de la cinquantaine ils ne se permettraient pas de manque de respect .

Il y a 5 heures, Doïna a dit :

Cela s'est passé il y a cinquante, soixante et même pour certaines, plus de soixante-dix ans

Il faut remettre ces faits dans le contexte de l’époque. Il n’y avait rien de choquant pour personne à l’époque ces  méthodes étaient tout de qu’il y a de plus normal. 

Il y a 5 heures, Doïna a dit :

Ces institutions religieuses, depuis leur création en 1840 jusqu'aux années 1970, avaient pour mission de rééduquer des jeunes filles en «perdition», avec des méthodes musclées.

«Elle l'a tirée jusqu'aux lavabos et lui a cogné la tête», paroles de pensionnaires du Bon Pasteur » 

Maintenant c’est bien souvent  le contraire qui se passe les structures républicaines les gosses qui frappent les adultes. Il s’est passé la même chose pas plus tard que samedi une gamine qui a explosé la tête d’une educ contre le lavabo. 

il y a 47 minutes, Keskya a dit :

"Il s'en fallait de peu, mon cher

Que cette putain ne fût ta mère..."

Merci Brassens

Il y a 3 heures, jeremie974 a dit :

J'ai eu un curé qui m'a mis un oeil au beurre noir tellement il tapait fort. Mes parents n'ont rien dit, seulement que je devais le mériter. On travaillait dur en classe. Et les punitions pleuvaient. Mais on presque tous eu un bon emploi. Braves curés. C'était le bon temps.

L’imam aussi à l’école coranique ne me loupait pas non plus . 

il y a 37 minutes, Beebee a dit :

Tu as eu besoin de battre tes enfants pour les éduquer?

Y’a des jours c’est pas l’envie qui manque 

Il y a 2 heures, Plouj a dit :

Les jeunes hommes placés n'avaient pas le droit au même sort, c'est dire la considération des femmes qu'on avait à l'époque. Tout le monde était au courant ce ce système, c'était pensé et organisé.

Plouj bonjour,

les garçons n'étaient pas mieux lotis, en premier ils avaient droit à Savigny sur Orge puis si ils ne marchaient pas droit c'était direction Belle Ile en Mer.....Le" bagne" si l'on peut dire...

Pour les filles de la région parisienne il y avait tout d'abord Chevilly Larue puis en cas de rebiffades c'était le Bon Pasteur avec toutes les réjouissances que pouvaient "inventer" les soeurs pas très bonnes...

Les refectoirs, avec des dizaines de gamins à qui on imposait le silence, les dortoirs ou lorsqu'une gamine se mettait à pleurer toutes les autres suivaient....

Pour certains le mitard....l'isolement....à genou sur une règle carrée...allongées les bras en croix dans la cour en plein hiver.....

Il fallait en vouloir pour ne pas "finir mal"....

Belle après midi à vous.

Il y a 4 heures, Gouderien a dit :

Et oui, au nom de Dieu on croit avoir le droit de tout faire... y compris le pire.

Au nom de tout on peut se donner ce droit… 

Il y a 5 heures, Doïna a dit :

Bonjour,

Un article poignant  sur les Magdalene sisters de France :

Maltraitances, humiliations, travail forcé… Les pensionnaires d'instituts religieux sortent enfin de leur silence et dénoncent les mauvais traitements dont elles ont été victimes.

 

Cela s'est passé il y a cinquante, soixante et même pour certaines, plus de soixante-dix ans. Pourtant, c'est aujourd'hui que leur histoire trouve une caisse de résonnance. D'abord, le documentaire Mauvaises filles, signé Émérance Dubas, sorti le 23 novembre sur les écrans, leur donne la parole. Elles s'appellent Éveline, Édith, Fabienne, Marie-Christine, Michèle. «Ces femmes sont au crépuscule de leur vie, expose la réalisatrice, et souhaitent rétablir la vérité.»

À l'instar de 40.000 autres jeunes filles, toutes, à des époques différentes, sont passées par un des établissements de la congrégation de Notre-Dame de Charité du Bon Pasteur, ou ce qu'on appelait les «Refuges». Ces institutions religieuses, depuis leur création en 1840 jusqu'aux années 1970, avaient pour mission de rééduquer des jeunes filles en «perdition», avec des méthodes musclées.

Article entier

Au Bon Pasteur du Mans, transformé en maison de retraite, mi publique, mi privée, avec la congrégation ancienne, où j'ai bossé 2ans, de 92 à 94, il se trouve que d'anciennes "locataires" qui y ont vécu une partie de leur jeunesse, y sont revenues après avoir vécu leur vie d'adulte, pour y finir leurs jours!

Je ne nie pas, je constate!

J'espère au moins qu'il était beau !!

il y a 18 minutes, kinobunika joy a dit :

à genou sur une règle carrée

J'ai vu dans les écoles que j'ai fréquentées dans les années 60. Les coups de règle sur les doigts, les gifles sur le visage..

Heureusement, j'étais un enfant sage et studieux.

Les temps changent, aujourd'hui, ce sont les profs qui subissent les sévices..

il y a 11 minutes, Morfou a dit :

Au Bon Pasteur du Mans, transformé en maison de retraite, mi publique, mi privée, avec la congrégation ancienne, où j'ai bossé 2ans, de 92 à 94, il se trouve que d'anciennes "locataires" qui y ont vécu une partie de leur jeunesse, y sont revenues après avoir vécu leur vie d'adulte, pour y finir leurs jours!

Je ne nie pas, je constate!

Morfou bonjour,

certaines vous ont elles raconté leurs parcours après s'être retrouvée à 21 ans devant la porte du dit B.P. avec un balluchon qui contenait tout leur bien trois culottes et quatre chaussettes et comme tout avenir les "métiers" appris dans ces B.P, lessive, ménage, repassage....alors parfois certaines ont dérapé croyant pouvoir mieux vivre.....

Peut être qu'en fait ces femmes qui reviennent dans ce lieu pour leurs retraites, c'est un peu comme une femme qui aurait été battue et qui retourne malgré tout chez elle, car en fait c'est leur "chez elle"....

Belle après midi à vous.

Une fois majeures, l'État ne payant plus leur pension, ces demoiselles étaient jetées sur le trottoir. Souvent sans contact, sans argent, sans réelles formations, sans aucun repère ni connaissance du monde, elles deviennent des proies faciles pour les réseaux de prostitution. 
 

Ça m’étonne pas. Mettre des jeunes dans un système aussi inique ne peut pas les préparer à se protéger contre les prédateurs d’en tout genre.

il y a 24 minutes, hanss a dit :

Au nom de tout on peut se donner ce droit… 

Non, pas au nom de tout. Les religions sont quand même les premières fabriques de fanatiques. Certaines idéologies politiques aussi - mais alors, c'est qu'elles ressemblent beaucoup à des religions.

il y a 3 minutes, kinobunika joy a dit :

certaines vous ont elles raconté leurs parcours après s'être retrouvée à 21 ans devant la porte du dit B.P. avec un balluchon qui contenait tout leur bien trois culottes et quatre chaussettes et comme tout avenir les "métiers" appris dans ces B.P, lessive, ménage, repassage....alors parfois certaines ont dérapé croyant pouvoir mieux vivre.....

Idem à l’ASE à 18 ans tout le monde dégage sans avoir fait ni ménage ni repassage ni lessive. Il n’y a rien d’idéal. 

il y a 3 minutes, zebusoif a dit :

Une fois majeures, l'État ne payant plus leur pension, ces demoiselles étaient jetées sur le trottoir. Souvent sans contact, sans argent, sans réelles formations, sans aucun repère ni connaissance du monde, elles deviennent des proies faciles pour les réseaux de prostitution. 
 

Ça m’étonne pas. Mettre des jeunes dans un système aussi inique ne peut pas les préparer à se protéger contre les prédateurs d’en tout genre.

Idem à l’ASE et aujourd’hui. Il me semble que l’âge va être revu à la hausse mais c’était en tout cas idem il y a peu. 

il y a 3 minutes, Gouderien a dit :

Certaines idéologies politiques aussi - mais alors, c'est qu'elles ressemblent beaucoup à des religions.

Les plus démocrates font la guerre et tuent des gens sur des mensonges. 

il y a 1 minute, hanss a dit :

Idem à l’ASE. 

J’y pensais, parce que c’est une histoire que j’ai entendu aussi chez ceux qui sont dans les foyers. A 18 ans à la porte et demerdaou! C’est quand même dur, à 18 ans on est môme.

il y a 10 minutes, Plouj a dit :

 

 

Les temps changent, aujourd'hui, ce sont les profs qui subissent les sévices..

mais un jour ils se vengeront.....