Dépendance de l'argent et du travail pour vivre ?

Il y a 2 heures, Ambre Agorn a dit :

J'avoue avoir un peu de mal avec la tournure de vos phrases. Je vais y réponddre d'après ce que j'ai compris.

Celui qui se doit d'éduquer l'enfant est, à mes yeux, celui qui s'en donne la mission. Cela dit, si plusieurs personnes s'en donnent la mission et qu'il y a conflit entre ces personnes, alors il y a constamment des tensions, voire de conflits plus ou moins ouverts, des batailles d'influences. L'enfant prendra, en général, ce qui vient particulièrement de son milieu, surtout si celui-ci est en adéquation avec son "patrimoine génétique". Quant à se poser la question de "qui doit éduquer l'enfant", c'est une question de droit/devoir, qui sous-entend donc des règles au sein d'une communauté. Chez les animaux, cette question ne se pose pas, jamais. C'est donc une quetion toute humaine, voire même uniquement sociétale.

Faisons-nous des choix, ou est-ce les choix qui nous font?

A partir de quand on choisit... ? Bonne question, certaines personnes on la réponse, d'autres pas, et d'autres l'attendent.

il y a 58 minutes, Délice Métisse a dit :

A partir de quand on choisit... ? Bonne question, certaines personnes on la réponse, d'autres pas, et d'autres l'attendent.

On choisi toujours, mais peut-être n'en est-on pas forcément conscient. L'éveil c'est la vie.

Il y a 1 heure, Ambre Agorn a dit :

On choisi toujours, mais peut-être n'en est-on pas forcément conscient. L'éveil c'est la vie.

Choisissons nous d'être dans ces mondes ? Qui est le plus libre de choisir : Dieu, les cerveaux, la mort, une bactérie, le vide,... ?

Le 20/09/2022 à 23:09, Délice Métisse a dit :

Choisissons nous d'être dans ces mondes ? Qui est le plus libre de choisir : Dieu, les cerveaux, la mort, une bactérie, le vide,... ?

Quand vous dites "nous", vous parlez sans doute des humains? Sous ce pronom, vous vous nommez et me nommez, ainsi que tout ceux que vous connaissez et ceux que vous ne connaissez pas. Pourtant vous ne pouvez sans doute pas avoir de réponse généralisée, car  si je vous répondais, je ne vous répondrai que pour moi, ça ne répondrait pas pour autant pour vous ni pour la multitude qui se range sous le vocable humain.

Choisir de voir que je suis déterminée est autant un choix que de choisir de voir que j'ai choisi d'être dans ce monde, d'être ce que je suis. Cela dit, qui parle quand je dis "je", car là est une grande partie de la réponse, s'il en est une.

Pour savoir qui est le plus libre, soit il faut être en même temps tout ceux à comparer, soit on compare des visions/points de vue qu'on a de ces êtres/choses: tout dépend de la réponse souhaitée.

Il y a 3 heures, Ambre Agorn a dit :

Quand vous dites "nous", vous parlez sans doute des humains? Sous ce pronom, vous vous nommez et me nommez, ainsi que tout ceux que vous connaissez et ceux que vous ne connaissez pas. Pourtant vous ne pouvez sans doute pas avoir de réponse généralisée, car  si je vous répondais, je ne vous répondrai que pour moi, ça ne répondrait pas pour autant pour vous ni pour la multitude qui se range sous le vocable humain.

Choisir de voir que je suis déterminée est autant un choix que de choisir de voir que j'ai choisi d'être dans ce monde, d'être ce que je suis. Cela dit, qui parle quand je dis "je", car là est une grande partie de la réponse, s'il en est une.

Pour savoir qui est le plus libre, soit il faut être en même temps tout ceux à comparer, soit on compare des visions/points de vue qu'on a de ces êtres/choses: tout dépend de la réponse souhaitée.

Le pronom personnel nous, c'est l'implication de l'humanité, à défaut de pouvoir être présent . La majorité des gens, utilisent le concept, en parfaits intellectuels qu'ils sont, marionnettistes anthropophages, nostalgiques d'une présence ravie, une dans chaque main . Le culte du cadavre, comme des poupées inanimées, rhabillées pour l'hiver . C'est l'intellectualisme, figé dans les temps assassins, ou bien le seul moyen des carpes, afin d'établir une communication, quitte à rescusiter les morts, pour mieux les chérir ... faute de pouvoir participer au monde des vivants ... Des histoires, à faire pâlir les vivants, habillant d'une burka les extrémistes, en la personne immonde et analphabète, présentant l'humanité, comme un ventriloque, atteint d'illettrisme sévère, et irréversible . L'aberration contre-nature, pensant nuire au monde des morts, simplement par ses gesticulations, comme en pleine crise d'épilepsie . Les savants d'antan, appelaient cela crises d'hystéries . L'humanité, habitée par le diable, car entre le monde des morts, et le monde des vivants, la ligne fatidique, c'est la nature, nous présentant au monde, ou le rejet des vivants, au profit des zombies . À la différence des poupées, l'odeur de la charogne, règne en maîtresse de maison; le monde, et la maison du diable . L'humain, ne peut jamais sensitivement cohabiter, le nous, témoignant en médium, de l'absence de vie ...

Il y a 9 heures, Ambre Agorn a dit :

Quand vous dites "nous", vous parlez sans doute des humains? Sous ce pronom, vous vous nommez et me nommez, ainsi que tout ceux que vous connaissez et ceux que vous ne connaissez pas. Pourtant vous ne pouvez sans doute pas avoir de réponse généralisée, car  si je vous répondais, je ne vous répondrai que pour moi, ça ne répondrait pas pour autant pour vous ni pour la multitude qui se range sous le vocable humain.

Choisir de voir que je suis déterminée est autant un choix que de choisir de voir que j'ai choisi d'être dans ce monde, d'être ce que je suis. Cela dit, qui parle quand je dis "je", car là est une grande partie de la réponse, s'il en est une.

Pour savoir qui est le plus libre, soit il faut être en même temps tout ceux à comparer, soit on compare des visions/points de vue qu'on a de ces êtres/choses: tout dépend de la réponse souhaitée.

Tellement je m'aime, je me vouvoie... enfin, je m'aimerai le jour où je serai en accord avec ce monde.

Pour dire aussi que, je n'affirme rien dans mes deux questions, ce ne sont pas des affirmations. Et faut bien que j'utilise des mots pour les formuler. Que proposez-vous, si vous avez une idée ?

Il y a 5 heures, Groseille Trucmauche a dit :

Le pronom personnel nous, c'est l'implication de l'humanité, à défaut de pouvoir être présent . La majorité des gens, utilisent le concept, en parfaits intellectuels qu'ils sont, marionnettistes anthropophages, nostalgiques d'une présence ravie, une dans chaque main . Le culte du cadavre, comme des poupées inanimées, rhabillées pour l'hiver . C'est l'intellectualisme, figé dans les temps assassins, ou bien le seul moyen des carpes, afin d'établir une communication, quitte à rescusiter les morts, pour mieux les chérir ... faute de pouvoir participer au monde des vivants ... Des histoires, à faire pâlir les vivants, habillant d'une burka les extrémistes, en la personne immonde et analphabète, présentant l'humanité, comme un ventriloque, atteint d'illettrisme sévère, et irréversible . L'aberration contre-nature, pensant nuire au monde des morts, simplement par ses gesticulations, comme en pleine crise d'épilepsie . Les savants d'antan, appelaient cela crises d'hystéries . L'humanité, habitée par le diable, car entre le monde des morts, et le monde des vivants, la ligne fatidique, c'est la nature, nous présentant au monde, ou le rejet des vivants, au profit des zombies . À la différence des poupées, l'odeur de la charogne, règne en maîtresse de maison; le monde, et la maison du diable . L'humain, ne peut jamais sensitivement cohabiter, le nous, témoignant en médium, de l'absence de vie ...

C'est poétique votre façon d'écrire, je ne comprends pas.

il y a 2 minutes, Délice Métisse a dit :

Tellement je m'aime, je me vouvoie... enfin, je m'aimerai le jour où je serai en accord avec ce monde.

Pour dire aussi que, je n'affirme rien dans mes deux questions, ce ne sont pas des affirmations. Et faut bien que j'utilise des mots pour les formuler. Que proposez-vous, si vous avez une idée ?

C'est poétique votre façon d'écrire, je ne comprends pas.

????

il y a 5 minutes, Groseille Trucmauche a dit :

????

Qu'est-ce qu'il y a ?

il y a 8 minutes, Délice Métisse a dit :

Qu'est-ce qu'il y a ?

Le fait de ne prêter attention qu'à son image, engage un discours dictatorial, et parfaitement inadapté aux circonstances . Je vous serais gré, de mettre rapidement un terme à ce pamphlet. Pour le moins douteux, et de bien vouloir cesser de m'importuner, peut-être afin de vérifier, si le fouet. Est toujours en bon état de marche ... Mes oreilles sont sensibles, merci d'avance .

il y a 1 minute, Groseille Trucmauche a dit :

Le fait de ne prêter attention qu'à son image, engage un discours dictatorial, et parfaitement inapproprié aux circonstances . Je vous serais gré, de mettre rapidement un terme à ce pamphlet. Pour le moins douteux, et de bien vouloir cesser de m'importuner, peut-être afin de vérifier, si le fouet. Est toujours en bon état de marche ... Merci .

En faite, je ne dis pas que l'on doit tous se mettre d'accord, mais au minimum de ne pas être extrême.

il y a 7 minutes, Délice Métisse a dit :

En faite, je ne dis pas que l'on doit tous se mettre d'accord, mais au minimum de ne pas être extrême.

Je voulais dire qu'ici-même, tu n'en auras jamais les moyens ... Laissez tomber .

Bonsoir élice Métisse,

Le 22/09/2022 à 16:54, Délice Métisse a dit :

Tellement je m'aime, je me vouvoie...

Je n'ai pas bien compris?

Le 22/09/2022 à 16:54, Délice Métisse a dit :

enfin, je m'aimerai le jour où je serai en accord avec ce monde.

Ha! Je me serais dit l'inverse ou presque: Je m'aimerai le our où je comprenddrai pourquoi je suis en ésaccord avec ce monde et pourquoi je le reste.

Le 22/09/2022 à 16:54, Délice Métisse a dit :

Pour dire aussi que, je n'affirme rien dans mes deux questions, ce ne sont pas des affirmations. Et faut bien que j'utilise des mots pour les formuler. Que proposez-vous, si vous avez une idée ?

En effet je suis d'accord avec vous: une question, à moins quelle ne soit rhétorique, n'est pas une affirmation, je l'avais bien entendu ainsi dans ce que vous écriviez. Formuler veut dire donner forme. Autrement dit une idée, un concept, une conversation se matérialise ou est rendu possible uniquement au moyen de mots. Le défi est donc d'utiliser le mieux possible ces outils pour formuler ce qu'on veut dire. Je conçois très bien la difficulté de ce défi, étant aux prises avec celui-ci régulièrement.

A quel sujet voudriez-vous que je propose une idée?

Le 22/09/2022 à 11:22, Groseille Trucmauche a dit :

Le pronom personnel nous, c'est l'implication de l'humanité, à défaut de pouvoir être présent . La majorité des gens, utilisent le concept, en parfaits intellectuels qu'ils sont, marionnettistes anthropophages, nostalgiques d'une présence ravie, une dans chaque main . Le culte du cadavre, comme des poupées inanimées, rhabillées pour l'hiver . C'est l'intellectualisme, figé dans les temps assassins, ou bien le seul moyen des carpes, afin d'établir une communication, quitte à rescusiter les morts, pour mieux les chérir ... faute de pouvoir participer au monde des vivants ... Des histoires, à faire pâlir les vivants, habillant d'une burka les extrémistes, en la personne immonde et analphabète, présentant l'humanité, comme un ventriloque, atteint d'illettrisme sévère, et irréversible . L'aberration contre-nature, pensant nuire au monde des morts, simplement par ses gesticulations, comme en pleine crise d'épilepsie . Les savants d'antan, appelaient cela crises d'hystéries . L'humanité, habitée par le diable, car entre le monde des morts, et le monde des vivants, la ligne fatidique, c'est la nature, nous présentant au monde, ou le rejet des vivants, au profit des zombies . À la différence des poupées, l'odeur de la charogne, règne en maîtresse de maison; le monde, et la maison du diable . L'humain, ne peut jamais sensitivement cohabiter, le nous, témoignant en médium, de l'absence de vie ...

Bonsoir

Vous le dites bien à mon goût. Je l'aurai sans doute formulé avec moins d'emphase.

il y a 12 minutes, Ambre Agorn a dit :

Bonsoir

Vous le dites bien à mon goût. Je l'aurai sans doute formulé avec moins d'emphase.

Mais tu es, un être inférieur . Et non seulement tu es un être inférieur, mais l'être le plus abject, que je n'ai jamais rencontré . Tu es maintenant une aberration de l'humanité . Les criminels, tels que toi, les pilleurs de tombes, on les enferme à double tour, et c'est le sort qui t'es réservé . Dès la première fois, que tu as tué . Car faute de justice divine, reste la justice des hommes, implacable et irrévocable .