« Je ne veux plus passer mon temps à éduquer mes compagnons » : pour des femmes, le choix d’un célibat « libérateur »

il y a 8 minutes, hell-spawn a dit :

Pauvre femme !  Vous ne comprenez pas ce que vous lisez et cela vous rend insultante, votre vraie nature probablement.

Expliques moi c'est quoi des machins transgenre ?

il y a 23 minutes, goods a dit :

Un peu plus loin dans l'article à propos du célibat, on peut lire ceci:

« Il y a cette idée que le célibat est une période transitoire, que l’on n’est pas vraiment accompli et heureux quand on vit seule », remarque la journaliste et militante Marie Albert, 27 ans, fondatrice de Sologamie (« le podcast des célibataires qui n’ont besoin de personne »). « Toute la société tourne autour du couple », confirme Louisa Amara, 41 ans, évoquant le prix des chambres d’hôtel, les avantages fiscaux, ou encore la possibilité de prendre ses congés quand on le souhaite.

« Le célibat va à l’encontre des normes dominantes, héritées de la morale religieuse et de l’impératif nataliste. C’est pourquoi la célibataire est vue comme une rebelle, elle est une incarnation de la subversion, parce qu’elle renvoie à l’indépendance des femmes. Or, la liberté des femmes a toujours fait peur », analyse Marie-Cécile Naves, décrivant le célibat comme « un bouleversement de l’ordre établi ».

« Trop exigeante », « trop affirmée », « trop égoïste », « trop âgée », « trop grosse », « trop moche », « trop féministe »… constituent autant de remarques adressées aux célibataires. « A 35 ans, quand je me suis séparée, j’arrivais dans la fameuse tranche d’âge de la femme à la Bridget Jones, qui va forcément vouloir mettre le grappin sur un homme », se souvient Louisa, qui a lancé, en 2020, le podcast Single Jungle, consacré au célibat. En solo depuis cinq ans, la community manager ne compte pourtant mettre le grappin sur personne.

« Dans notre pays, une grande partie des femmes qui vivent seules le vivent très bien, c’est la société qui le vit mal », analyse la porte-parole d’Osez le féminisme !. 

Dans l'optique  où l'on pense que le plus grand accomplissement dans la vie d'un être humain est sa petite vie de célibataire estudiantin, elle a raison. Moi je trouve que cela démontre juste à quel point cette personne est autocentrée. Toutes les célibataires convaincues post trentenaires sont ça de toute façon, complétement nombrilistes.

il y a 1 minute, .iO a dit :

Le parvis de l'Hôtel de ville de Rouen balafré...Ils vont sans doute raser l'abbaye qui a juste à côté histoire de bien déconstruire jusqu'au bout....

Mais ces gens là n'ont pas de vision du couple du tout @Yemaia puisque tout se résume à "j'aime ou j'aime pas", l'uberisation jusque dans les rapports intimes.

 

 

Arracher, déraciner, déconstruire... pour mieux contrôler et manipuler les gens, et ils sont sur le point d'y arriver.

Juste pour info: quand je parle de machin transgenre, je ne parle pas des êtres humains mais des idées que l'on tente d'inoculer dans la tête des gens selon lesquelles il n'y a pas d'hommes, pas de femmes, tout est interchangeable et cela meme pour des enfants de 5 ans ( exemple cité par Onffray)

il y a 24 minutes, hell-spawn a dit :

Arracher, déraciner, déconstruire... pour mieux contrôler et manipuler les gens, et ils sont sur le point d'y arriver.

Juste pour info: quand je parle de machin transgenre, je ne parle pas des êtres humains mais des idées que l'on tente d'inoculer dans la tête des gens selon lesquelles il n'y a pas d'hommes, pas de femmes, tout est interchangeable et cela meme pour des enfants de 5 ans ( exemple cité par Onffray)

@Yemaia Faut savoir que le transgenrisme fait que des enfants s'y engouffrent avec la bénédiction de parents peu soucieux qui n'hésitent plus à les faire passés dans les télévisions pour justifier divers actes. Au Canada la radio en fait même la promotion c'est assez flippant.

Erratum : Attention ! quand je dis "actes" j'entend par là : Des changements administratifs, des actes de la vie de tout les jours, des idéologies actées, de la prise de substances, etc etc. 

trop de féminisme tue le féminisme !

à l’instant, .iO a dit :

@Yemaia Faut savoir que le transgenrisme fait que des enfants s'y engouffrent avec la bénédiction de parents peu soucieux qui n'hésitent plus à les faire passés dans les télévisions pour justifier divers actes. Au Canada la radio en fait même la promotion c'est assez flippant.

Des personnes transgenres vivent dans la souffrance. Alors machins transgenre ça passe pas. 

à l’instant, Yemaia a dit :

Des personnes transgenres vivent dans la souffrance. Alors machins transgenre ça passe pas. 

transgenres ou pas ,on ne dit pas à des enfants de ( ans de se faire couper les trucs ,pour ressembler extérieurement à une fillette !

et pour les fillettes on arréte de vouloir les transformer en mecs !!

c'est pitoyable et trés dangereux !

d'un point de psychologique je n'ose imaginer les dégats !

Elle éduquera des chiens. La beauferie n'a pas de sexe.

C'est pas parce que cette nana a de tels propos qui faut mettre toutes les femmes dans le même sac.

Qu'elle veuille vivre sans mec libre à elle. Je dirais même on s'en tape royalement. 

Et dire qu'il est plus facile pour une femme de quitter son compagnon, c'est autant ridicule ...

Si on devait quitter son compagnon chaque fois qu'il renverse un truc, y aurait un paquet de séparation 

Ce genre d'article n'apporte rien à la cause féministe , voir elle peut que lui nuire. C'est juste du pain beni pour certains hommes, anti féministes, qui vont pouvoir cracher leur haine de la gente féminine.

Ce n'est bien sur que mon avis.

il y a 11 minutes, Yemaia a dit :

Des personnes transgenres vivent dans la souffrance. Alors machins transgenre ça passe pas. 

Je suis d'accord avec vous quand vous parlez de souffrances d'ailleurs d'un point de vu strictement professionnel je classerai ca dans la médecine psychiatrique. Cette souffrance pourrait être gérer en conservant les principes d'éducations qui ont fait les générations précédentes. Mais bon, comme il faut tout déconstruire voilà un peu le résultat non ?

il y a une heure, goods a dit :

« Je ne veux plus passer mon temps à éduquer mes compagnons »

Alors arrêtes d'être avec des compagnons qui ont 6 ans !

il y a 14 minutes, .iO a dit :

Je suis d'accord avec vous quand vous parlez de souffrances d'ailleurs d'un point de vu strictement professionnel je classerai ca dans la médecine psychiatrique. Cette souffrance pourrait être gérer en conservant les principes d'éducations qui ont fait les générations précédentes. Mais bon, comme il faut tout déconstruire voilà un peu le résultat non ?

Non. Non et non !!

Ces personnes sont nées dans le mauvais corps. Ce n'est pas un trouble psychiatrique, pas plus  que l'homosexualité ne l'était. 

Reéducation ? Comme on le fait dans les sectes contre les homosexuels ?  Je vais aller gerber. 

Je ne supporte plus ces militants qui utilisent le terme éduqué à toute les sauces. 

@YemaiaJe ne parle pas d'homosexualité et encore moins de sectes Oo.. et l'homosexualité c'est autre chose je crois. Pour répondre malgré tout, je pensais plutôt à de simples parents qui apprennentà leurs enfants à redescendre sur Terre en cas de besoin, j'espère que vous serez plus soulagée.

Personne ne change de sexe comme personne ne naît dans le mauvais corps. Je crois qu'on est nombreux a se demander ce que ça ferait d'être un homme ou une femme mais on apprend tous a se gérer, je regrette que ces personnes aient a endurer ça, mais ils endureraient d'être ce qu'ils sont ??? Est ce qu'on peut mettre sur le même plan un handicap et son genre ?

à l’instant, .iO a dit :

@YemaiaJe ne parle pas d'homosexualité et encore moins de sectes Oo.. et l'homosexualité c'est autre chose je crois. Mais personne ne change de sexe comme personne ne naît dans le mauvais corps. Je crois qu'on est nombreux a se demander ce que ça ferait d'être un homme ou une femme mais on apprend tous a se gérer, je regrette que ces personnes aient a endurer ça, mais ils endureraient d'être ce qu'ils sont ??? Est ce qu'on peut mettre sur le même plan un handicap et son genre ?

Entre se demander si...et ressentir le fait de ne pas être dans le bon corps...

Ne jugez pas ce que vous ne comprenez pas!

à l’instant, Morfou a dit :

Entre se demander si...et ressentir le fait de ne pas être dans le bon corps...

Ne jugez pas ce que vous ne comprenez pas!

Le ressenti mal contrôlé mènerait où ? Je ne juge de rien je m'exprime.

Il y a 1 heure, goods a dit :

« Je ne veux plus passer mon temps à éduquer mes compagnons » : pour des femmes, le choix d’un célibat « libérateur »

Après avoir vécu en couple les mécanismes de domination masculine, de nombreuses féministes remettent aujourd’hui en question le modèle hétérosexuel de la vie à deux.

Après dix ans de relation, Ludivine Demol a quitté son compagnon « pour une histoire de tache de sauce tomate ». « La tache de trop », précise celle pour qui l’engagement féministe ne faisait plus bon ménage avec la vie de couple. « Ma séparation s’est clairement faite pour des raisons féministes », assume la trentenaire, qui souhaite aujourd’hui « se passer des hommes ».

En mettant en lumière la dimension systémique de la domination masculine, le regain du mouvement féministe est venu questionner nos rapports intimes, au point d’ébranler le sacro-saint modèle du couple hétérosexuel. « Les débats sur l’injonction à la conjugalité sont très présents dans les milieux militants », constate Céline Piques, porte-parole d’Osez le féminisme !, selon qui « le célibat est consubstantiel au féminisme ».

« La remise en cause du couple, et plus encore du mariage hétérosexuel, a été portée par toutes les vagues féministes », rappelle Marie-Cécile Naves, directrice de l’Observatoire genre et géopolitique à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Dès les années 1970, les activistes du Mouvement de libération des femmes (MLF), sous l’impulsion des militantes lesbiennes, paraphrasaient la féministe américaine Gloria Steinem : « Une femme sans homme, c’est comme un poisson sans bicyclette. »

Source.

Elle font bcp d'heureux en refusant la vie de couple avec un homme. 

Il y a 1 heure, .iO a dit :

Je me demande si il n'y a pas confusion et amalgame entre féminisme et besoin propre chez cette personne. 

Pas sûr malheureusement/

il y a une heure, goods a dit :

Dans notre pays, une grande partie des femmes qui vivent seules le vivent très bien,

   Ça , c' est vrai (ou à peut près) jusqu'à 55/60 ans ... 

Mais après l' ennui , la solitude pèsent bien plus lourd ....

J' ai connu plusieurs personnes qui travaillent en maison de retraite ou chez des personnes agées qui me disent :

Comme il y a beaucoup plus de mémés que de petits vieux , dés qu' il y en a un qui se libère , c' est harro sur le pépé . Les mamies n' ont plus de retenue . 

il y a 15 minutes, doug1991 a dit :

Je ne supporte plus ces militants qui utilisent le terme éduqué à toute les sauces. 

 

"MilitantEs" pour le coup !

Il y a 2 heures, goods a dit :

« Je ne veux plus passer mon temps à éduquer mes compagnons » : pour des femmes, le choix d’un célibat « libérateur »

Après avoir vécu en couple les mécanismes de domination masculine, de nombreuses féministes remettent aujourd’hui en question le modèle hétérosexuel de la vie à deux.

Après dix ans de relation, Ludivine Demol a quitté son compagnon « pour une histoire de tache de sauce tomate ». « La tache de trop », précise celle pour qui l’engagement féministe ne faisait plus bon ménage avec la vie de couple. « Ma séparation s’est clairement faite pour des raisons féministes », assume la trentenaire, qui souhaite aujourd’hui « se passer des hommes ».

En mettant en lumière la dimension systémique de la domination masculine, le regain du mouvement féministe est venu questionner nos rapports intimes, au point d’ébranler le sacro-saint modèle du couple hétérosexuel. « Les débats sur l’injonction à la conjugalité sont très présents dans les milieux militants », constate Céline Piques, porte-parole d’Osez le féminisme !, selon qui « le célibat est consubstantiel au féminisme ».

« La remise en cause du couple, et plus encore du mariage hétérosexuel, a été portée par toutes les vagues féministes », rappelle Marie-Cécile Naves, directrice de l’Observatoire genre et géopolitique à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Dès les années 1970, les activistes du Mouvement de libération des femmes (MLF), sous l’impulsion des militantes lesbiennes, paraphrasaient la féministe américaine Gloria Steinem : « Une femme sans homme, c’est comme un poisson sans bicyclette. »

Source.

Bon débarras, qu'elles ne viennent plus nous pomper de toute façon rien ne vaut une femme pour une femme. Et si elles veulent un célibat libérateur, qu'elle le prennent on s'en fou qu'elles soient célibataire, c'est très bien ainsi, restez célibataire jusqu'à la fin de votre vie. 

Après si vous voulez avoir des enfant, la fécondation in vitro est indispensable pour vous et comme faudra tuer des embryons faite le des garçon et ne mettez au monde que des filles. Les hommes c'est franchement inutiles pour vous.

Surtout quand on raconte des conneries comme elles en racontent surtout sur le mouvement féministe, pour preuve : https://www.soroptimist.fr/

Mouvement bien plus ancien que le MLF, https://fr.wikipedia.org/wiki/Soroptimist