Quels sont les hommes qui assument leur part de féminin?

il y a 8 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Oui, c'est peut-être moi, mais que fallait-il comprendre alors ?

 

 

Je répondais aux "standards" de la question.

Si un homme est sensible et sensuel, c'est une part de féminité, car un homme ne doit pas être comme ça, il n'est pas conditionné ainsi dès sont plus jeune âge. 

Et je n'aime pas le conditionnement ^^.

il y a 5 minutes, Etaine a dit :

Je répondais aux "standards" de la question.

Si un homme est sensible et sensuel, c'est une part de féminité, car un homme ne doit pas être comme ça, il n'est pas conditionné ainsi dès sont plus jeune âge. 

Et je n'aime pas le conditionnement ^^.

Moi non plus

il y a 18 minutes, hell-spawn a dit :

 

Parce que les femmes ne l'emportent pas sur les hommes en empathie, ou en intensité et profondeur des émotions.

Allez finalement... pouvez-vous développer votre affirmation ?

@EtaineMême si je ne me fais pas grande illusion sur le sujet...

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Moi non plus

Oui ça j'avais cru le remarquer 

Il y a 1 heure, ***LN*** a dit :

Et comment cela se traduit-il ? Un avantage pour la séduction ?

Et vous mesdames,  y êtes-vous sensibles ?

Bonjour ***LN*** Bisous

Pour ça, cela va d'ailleurs faire plaisir à @hell-spawn faut se pencher sur les travaux de Carl Jung, c'est lui qui remis au jour l'anima ( partie féminine ) et l'animus  ( partie masculine ). C'est vrai que celle ci remis a jour était considérablement altéré par apport aux origines antique. Il y a des femmes qui sont vraiment femme mais donc la psyché est surtout masculine, un exemple offert par l'école Junguiene Jane Birkin, il existe des hommes qui sont très viril, qui sont des hommes, mais dont la psyché est essentiellement féminine, toujours d'après les Junguien, Serge Gainsbourg.

Simplement dans l'antiquité on admettait une autre part de la psyché, c'était le sociétal, qui était une part de la destiné aujourd'hui complètement oublié du public.

à l’instant, Etaine a dit :

Allez finalement... pouvez-vous développer votre affirmation ?

Il y a pas a développer , ou alors on peut comparer la littérature féminine et masculine.

il y a 1 minute, Promethee_Hades a dit :

Il y a des femmes qui sont vraiment femme mais donc la psyché est surtout masculine, un exemple offert par l'école Junguiene Jane Birkin

Il me semble que tu te mélange les crayons.

Ne veux tu pas plutot dire que Jane Birkin est un peu androgyne de corps mais qu'elle a une psyché bien féminine ?

il y a 4 minutes, Promethee_Hades a dit :

Bonjour ***LN*** Bisous

Pour ça, cela va d'ailleurs faire plaisir à @hell-spawn faut se pencher sur les travaux de Carl Jung, c'est lui qui remis au jour l'anima ( partie féminine ) et l'animus  ( partie masculine ). C'est vrai que celle ci remis a jour était considérablement altéré par apport aux origines antique. Il y a des femmes qui sont vraiment femme mais donc la psyché est surtout masculine, un exemple offert par l'école Junguiene Jane Birkin, il existe des hommes qui sont très viril, qui sont des hommes, mais dont la psyché est essentiellement féminine, toujours d'après les Junguien, Serge Gainsbourg.

Simplement dans l'antiquité on admettait une autre part de la psyché, c'était le sociétal, qui était une part de la destiné aujourd'hui complètement oublié du public.

Tu peux développer setup ?

il y a 32 minutes, hell-spawn a dit :

 

Parce que les femmes ne l'emportent pas sur les hommes en empathie, ou en intensité et profondeur des émotions.

Pourquoi le devraient elles ?.. 

il y a 3 minutes, hell-spawn a dit :

Il y a pas a développer , ou alors on peut comparer la littérature féminine et masculine.

Il me semble que tu te mélange les crayons.

Ne veux tu pas plutot dire que Jane Birkin est un peu androgyne de corps mais qu'elle a une psyché bien féminine ?

Du tout il fut suffisamment glosé par l'école psychanalytique Jungienne, sur ces deux cas, qui furent choisi en tant que référentiel, surtout en France.

il y a 17 minutes, hell-spawn a dit :

Il y a pas a développer

Vous ne voulez pas développer, petite nuance ^^.

il y a 27 minutes, Globure a dit :

Le problème avec la féminité c'est qu'on l'associe souvent à de la fragilité. Or on est, à notre époque, assez peu sensibles à cet état. Je pense qu'hommes ou femmes recherchent plutôt un cadre rassurant.

Si je devais définir la féminité, je l'aborderais plus sous un angle psychologique; les femmes résolvant plus souvent leur problèmes par ce biais plutôt que par la force brut. Je ne dis pas qu'il n'y ait pas de force chez les femmes, en particulier de caractère, mais leur propension à son expression physique me semble moindre.

Encore une fois, je pense que les choses varient selon la période de vie mais aussi probablement en fonction de la ou des figures tutélaires; certaines études ayant par exemple montré que les enfants de divorcés ayant vécu avec leur mère étaient plus assertifs que la majorité des gens.

Qu'est ce que cela veut dire .?

il y a 30 minutes, Sittelle a dit :

Tu peux développer setup ?

Bonjour Sittelle, j'en avais déjà parlé il y a longtemps dans un fil de @hell-spawn en amour séduction, c'est assez complexe d'ailleurs sont nom est Basis si ma mémoire est bonne. Je vais essayer de te résumer ça, par le plus court possible.

Pour les moderne nous en l’occurrence, nous voyons le monde par l'affirmation de notre personnalité, par l'expression du "Je" nous agissons en fonction de nos goûts, de nos amours.

Il en va très différemment du monde antique, ou nous devons vivre, ce que le destin nous a impose de faire, notre action doit être dans le monde social, la personnalité passe bien après. Si mon destin est d'être charron, soldat, paysan, ou Empereur, je dois faire ce que mon destin à voulu, telle en est l'harmonie de la société. 

Aujourd'hui l'homme moderne occidental ne croit plus au destin.

Il y a 2 heures, ***LN*** a dit :

Et comment cela se traduit-il ? Un avantage pour la séduction ?

Et vous mesdames,  y êtes-vous sensibles ?

Avec certaines c'est un très net avantage, avec d'autres c'est un gros handicap, et avec d'autres encore, vaut mieux être un gros benêts, tant que l'on satisfait à leur illusion tout va. 

il y a 29 minutes, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Sittelle, j'en avais déjà parlé il y a longtemps dans un fil de @hell-spawn en amour séduction, c'est assez complexe d'ailleurs sont nom est Basis si ma mémoire est bonne. Je vais essayer de te résumer ça, par le plus court possible.

Pour les moderne nous en l’occurrence, nous voyons le monde par l'affirmation de notre personnalité, par l'expression du "Je" nous agissons en fonction de nos goûts, de nos amours.

Il en va très différemment du monde antique, ou nous devons vivre, ce que le destin nous a impose de faire, notre action doit être dans le monde social, la personnalité passe bien après. Si mon destin est d'être charron, soldat, paysan, ou Empereur, je dois faire ce que mon destin à voulu, telle en est l'harmonie de la société. 

Aujourd'hui l'homme moderne occidental ne croit plus au destin.

Plus rien n'est inéluctable ? Une sorte d'acenseur sociale du "moi" ?

il y a 1 minute, Sittelle a dit :

Plus rien n'est inéluctable ? Une sorte d'assention sociale du "moi" ?

Oui

Enfin une belle chienlit à mon avis, la vision antique me semble plus pertinente.

il y a 2 minutes, Promethee_Hades a dit :

Oui

Enfin une belle chienlit à mon avis, la vision antique me semble plus pertinente.

Zut alors .. moi aussi j'ai eu l'outrecuidance de vouloir un jour ne plus être un manant ...

Il y a 2 heures, Mite_Railleuse a dit :

J'ai jamais su ce que cela voulait dire une part de féminin ou une part de masculin...

Ça c'est vrai. Au moins une part de gâteau au chocolat on sait ce que c'est, c'est clair net et précis.

(Je sais pas pourquoi cet exemple me vient à l'esprit...)

il y a 4 minutes, Sittelle a dit :

Zut alors .. moi aussi j'ai eu l'outrecuidance de vouloir un jour ne plus être un manant ...

Théodora, fut impératrice byzantine, et rien ne l'y destinai apparemment, c'était pourtant son destin. Aujourd'hui encore nous sommes dans le monde victimes de son règne, certaine croyances modernes furent imposée par elle qui remonte à 1500 ans.

Théodora, l’épouse féministe qui sauva l’empereur.

Il ne peut rien décider sans la consulter.

A 52 ans, la barbe grisonnante, le visage toujours aussi placide, Justinien semble buter sur la violence que lui inflige son peuple. Lui qui a toujours rêvé de ressusciter l'Empire romain, disparu en 476, et dont il est l'unique héritier dans sa partie orientale. Il a entrepris de grandes réformes pour redonner de la fierté à ce peuple opprimé par ses voisins perses et ne comprend pas tant d'ingratitude.

« Majesté, la foule est encore plus en colère depuis que vous avez brandi l'évangile, hier, jurant que personne ne vous délogerait du trône et que vous pardonniez au peuple », lui signifie Constantiolus. « Pourquoi ? » lance l'empereur, médusé.

L'émissaire reste muet. Il sait qu'Hypatios, le grand rival de Justinien, neveu de l'ancien empereur Anastase, espère monter sur le trône. Il est issu de l'aristocratie byzantine, contrairement à Justinien, né dans une famille de paysans de Dardanie, aujourd'hui dans les Balkans. Et cette révolte est soutenue par les élites, ulcérées d'être dirigées par un couple de basse extraction.

Et surtout par Théodora, fille d'un dresseur d'ours, à qui l'on reproche un passé sulfureux, et notamment d'avoir été comédienne et danseuse. « Ils vous traitent de menteur, majesté ! » finit par lâcher Constantiolus.

Stupéfait, Justinien regarde Théodora, son front court, son nez droit, ses grands yeux et son visage ovale, sous le chambranle de la porte. Elle semble penser à autre chose. Mais son silence, Justinien le sait, est le signe d'une grande colère. « Mais j'entends des acclamations, reprend Justinien, en se tournant vers son émissaire. N'est-ce pas le signe qu'ils veulent que je reste leur empereur ? » « C'est votre rival, Hypatios, qui est acclamé ! » répond l'émissaire.

« Que devons-nous faire ? » lui demande l'empereur, désemparé. « Majesté, vous avez deux solutions : vous enfuir par la mer et renoncer à l'Empire, ou bien abattre les insurgés ainsi que celui qu'ils ont choisi ! »

Source.