Si les NFT sont dans le viseur des « zéro carbone », c’est parce qu’ils sont effectivement très gourmands en termes de transactions nécessaires sur le réseau Ethereum (ETH) – qui est pour l’instant toujours en consensus par PoW.

L'exécution des smart contracts les régissant nécessite ainsi une (ou plusieurs) transaction(s) à chaque étape de vie d'un NFT : à la création (minting), lors des mises aux enchères, à la vente et à chaque transfert de propriété.

Par exemple, le joli NFT ci-dessous aurait consommé 421 kWh d’électricité depuis sa création, ce qui correspondrait à l’émission de 246 kg de CO₂. Cela équivaudrait à 1 mois et demi de consommation électrique moyenne d’un européen.

Supreme x Federal Reserve 02 – Quantitative Easing, source : SuperRare

https://www.google.com/amp/s/journalducoin.com/actualites/nft-bitcoin-pire-monstruosite-ecologique/%3famp=1

Quand même, il faut saluer l'imagination humaine... quand il s'agit d'aggraver la catastrophe climatique.

pour moi , c'est du chinois , j'ignore ce que sont les NFT , les ETH ou les PoW , alors leur impact sur l'environnement .........

je ne bois plus de vin .

il y a 5 minutes, Ximène a dit :

pour moi , c'est du chinois , j'ignore ce que sont les NFT , les ETH ou les PoW , alors leur impact sur l'environnement .........

Les « Non fungible tokens » (NFT) , que l'on pourrait traduire par «  jetons non fongibles »,  sont des éléments cryptographiques et virtuels sur la blockchain avec des codes d'identification uniques et des métadonnées (auteur, signature, date, type...) qui les distinguent les uns des autres. Un NFT est unique, comme peut l'être une œuvre d'art. Il n'y a qu'une Joconde ou qu'un manuscrit des Fleurs du mal, et c'est la blockchain qui permet de certifier le caractère unique d'un NFT, et ainsi d'en garantir l'authenticité à son futur acquéreur.

Ethereum permet à des utilisateurs de miner la cryptomonnaie nommée Ether en créant des contrats intelligents qui vérifient chaque transaction et qui sont enregistrés dans une blockchain publique. La rémunération en cryptomonnaie vient compenser les coûts de matériel et d'énergie liés à la mise à disposition de cette puissance de calcul.

Sur les plateformes d'échange, l'Ether est désigné par le sigle « ETH ». L'Ether ne doit pas être confondu avec l'Ether Classic (ETC), qui est un dérivé de l'original créé à la suite d'un hard fork, en 2016. En 2019, l'Ether est à la seconde place du marché des cryptomonnaies en termes de capitalisation, derrière le célèbre Bitcoin (BTC). Il est subdivisé en Finney, qui représente un millième d'Ether, en Szabo, pour un millionième d'Ether, et en Wei pour un trillionième d'Ether. Ces noms font référence à des développeurs et cryptographes célèbres dans le monde des cryptomonnaies. 

2 748,67^*_EUR

+2,88

 

 

PoW, diminutif de proof of work (preuve de travail).

https://www.fournisseur-energie.com/le-bitcoin-une-catastrophe-ecologique/#:~:text=La consommation d'énergie fossile,fait désormais à échelle industrielle.

il y a 3 minutes, Yemaia a dit :

Les « Non fungible tokens » (NFT) , que l'on pourrait traduire par «  jetons non fongibles »,  sont des éléments cryptographiques et virtuels sur la blockchain avec des codes d'identification uniques et des métadonnées (auteur, signature, date, type...) qui les distinguent les uns des autres. Un NFT est unique, comme peut l'être une œuvre d'art. Il n'y a qu'une Joconde ou qu'un manuscrit des Fleurs du mal, et c'est la blockchain qui permet de certifier le caractère unique d'un NFT, et ainsi d'en garantir l'authenticité à son futur acquéreur.

ah ouais ? et ça sert à quoi ? 

il y a 29 minutes, Ximène a dit :

ah ouais ? et ça sert à quoi ? 

Après la vente d'une peinture numérique de Michel-Ange à 140.000 euros en mai, puis d'un personnage fait de pixels pour 11 millions de dollars, le 10 juin, cette nouvelle folie des objets digitaux n'est pas près de s'arrêter. Jeudi, la Fondation Cartier a annoncé que l'artiste français Fred Forest allait mettre en vente une œuvre numérique pour un montant de 69,3 millions + 1 dollar avec l'espoir de battre le record du NFT le plus cher au monde.

Il y a 1 heure, Mein Schicksal a dit :

je ne bois plus de vin .

Et moi pour moins péter je ne mange plus de flageolets, pourtant j'adorais ça. La catastrophe climatique qui s'annonce aura eu raison de ma gourmandise. Chienne de vie !!! 

il y a une heure, Yemaia a dit :

 

Après la vente d'une peinture numérique de Michel-Ange à 140.000 euros en mai, puis d'un personnage fait de pixels pour 11 millions de dollars, le 10 juin, cette nouvelle folie des objets digitaux n'est pas près de s'arrêter. Jeudi, la Fondation Cartier a annoncé que l'artiste français Fred Forest allait mettre en vente une œuvre numérique pour un montant de 69,3 millions + 1 dollar avec l'espoir de battre le record du NFT le plus cher au monde.

La débilité suprême...autant acheter un château de sable...ou de glace!

Le monde devient fou avec le numérique...aujourd'hui nous avons les animaux virtuels/hologrammes  sous les chapiteaux...triste monde!

La planète des singes revisitée par le numérique etc.

Le virtuel c'est du faux...autrement dit "rien"! juste de l'animation!

bonjour

beaucoup de choses deviennent virtuelles .bientôt certains serons milliardaires avec du vent qu'ils chercherons à capturer avec une épuisette trouée ?

ils deviendrons virtuel  et resterons  " vivant " alors que leurs corps sera au cimetière depuis longtemps  ?

bonne soirée

Il y a 2 heures, le merle a dit :

bonjour

beaucoup de choses deviennent virtuelles .bientôt certains serons milliardaires avec du vent qu'ils chercherons à capturer avec une épuisette trouée ?

ils deviendrons virtuel  et resterons  " vivant " alors que leurs corps sera au cimetière depuis longtemps  ?

bonne soirée

Franchement, ça fait pas rêver!

Le minage de bitcoin, ce "cadeau involontaire" de la Chine aux Etats-Unis

Avec une capacité de 750 mégawatts, la plus grande ferme de bitcoins du pays compte déjà plus de 100.000 ordinateurs dans trois bâtiments de 350 mètres de long. Dans quelques mois, ils seront sept.

- Coût environnemental -

En attendant, la montée en puissance américaine dans le minage a attisé les critiques contre son coût environnemental. Chaque année, le minage de bitcoin consomme autant d'électricité que toutes les Philippines, d'après l'université de Cambridge.

"Le minage de bitcoins au Texas utilise moins de 2% de toute l'énergie présente", rassure Chad Everett Harris, qui considère que la consommation de son usine de Whinstone "aide à stabiliser le réseau".

AFP 17/10/2021