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Invité JOSEPH DELETRE

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Bonjour, 

il peut aussi s'agir d'un point de vue,

si l'on considère "le néant" avant et après nous, le néant devient une constance, et nos vies, de simples "récréations" de cet état permanent, un peu comme des grumeaux apparaissant dans une patte a crêpes, et disparaissant petit a petit ... toutes les objections sont possibles ... :) 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Il y a 4 heures, Good Venins a dit :

Bonjour, 

il peut aussi s'agir d'un point de vue,

si l'on considère "le néant" avant et après nous, le néant devient une constance, et nos vies, de simples "récréations" de cet état permanent, un peu comme des grumeaux apparaissant dans une patte a crêpes, et disparaissant petit a petit ... toutes les objections sont possibles ... :) 

A cela près que le néant ne peut être appréhendé que par équivalence sensible, l'inconscience que seule la mort inspire, sans quoi vous en faîtes une chose tangible ou spatialisée qu'il ne peut être sans aboutir à une aporie.

De simples récréations possiblement mais pour annihiler l'ignorance d'être soi avec toutes les conséquences que cela implique.

Car si l'annihilation est de nature antithétique (la vie annihilant la mort, la conscience annihilant l'ignorance d'être soi, la mémoire annihilant l'oubli), il n'en reste pas moins que sa manifestation concrète soit la destruction.

Le fait que nous détruisions la nature inconsciente, et plus généralement tout ordre naturel, n'est pas anodin.

 

 

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  • L’aporie est une espèce d’énigme, mais considérée d’un point de vue logique plutôt que magique ou spirituel. C’est un problème qu’on renonce à résoudre, au moins provisoirement, ou un mystère qu’on refuse d’adorer. — (André Comte-Sponville, Dictionnaire philosophique, Presses universitaires de France, 2001)

A cela près que le néant ne peut être appréhendé que par équivalence sensible, l'inconscience que seule la mort inspire, sans quoi vous en faîtes une chose tangible ou spatialisée qu'il ne peut être sans aboutir à une aporie.

Bonjour,

je me doutais bien de ce genre de réponse, vous bossez comme un malade sur une thèse complexe, et je me pointe avec mon simple exemple... Comme indiqué avant, toutes les objections sont possibles... Si votre partie pris est de conscientisé le néant alors effectivement, je suis a coté de la plaque, dans le cas contraire  sans trop jouer sur les mots (ce qui n'est pas né ne peut pas être mort) et que l'on remplace néant par mort nous avons Mort-Vie-Mort, ce qui tendrait a dire que nous sommes 2 fois plus mort que vivant... Mais cela n’ira toujours pas dans le sens de votre étude...alors j'en resterais là. bon courage pour la suite.

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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il y a 8 minutes, Good Venins a dit :
  • L’aporie est une espèce d’énigme, mais considérée d’un point de vue logique plutôt que magique ou spirituel. C’est un problème qu’on renonce à résoudre, au moins provisoirement, ou un mystère qu’on refuse d’adorer. — (André Comte-Sponville, Dictionnaire philosophique, Presses universitaires de France, 2001)

A cela près que le néant ne peut être appréhendé que par équivalence sensible, l'inconscience que seule la mort inspire, sans quoi vous en faîtes une chose tangible ou spatialisée qu'il ne peut être sans aboutir à une aporie.

Bonjour,

je me doutais bien de ce genre de réponse, vous bossez comme un malade sur une thèse complexe, et je me pointe avec mon simple exemple... Comme indiqué avant, toutes les objections sont possibles... Si votre partie pris est de conscientisé le néant alors effectivement, je suis a coté de la plaque, dans le cas contraire  sans trop jouer sur les mots (ce qui n'est pas né ne peut pas être mort) et que l'on remplace néant par mort nous avons Mort-Vie-Mort, ce qui tendrait a dire que nous sommes 2 fois plus mort que vivant... Mais cela n’ira toujours pas dans le sens de votre étude...alors j'en resterais là. bon courage pour la suite.

En effet, l'aporie relève d'un raisonnement logique qui nous permet précisément de comprendre et d'exister car sans logique invariante, point de causalité possible.  

C'est donc le contraire de ce que vous suggérez.

L'aporie est un défi pour la pensée qu'il  faut absolument résoudre avec ténacité. L'adoration du mystère, une paresse intellectuelle travestie derrière des citations.  

A l'évidence, vous intervenez sans avoir lu ni l'historique de cette discussion, ni mon essai (cf. Pour Finir) en objectant pour objecter. A ce jeu, toutes les objections sont, en effet, possibles sans fin.

J'éviterai donc de me paraphraser pour ceux qui suivent et vous renvoie aux précédents échanges tout au moins et en particulier à ma réponse concernant la chronologie.

En effet, si la chronologie est discrète (suite d'événements) et non continue, alors la question est: que sommes-nous entre deux instants mesurés. La mort-vie-mort que vous évoquez serait alors vérifiée à chaque instant autant qu'a l'échelle d'une existence, telle une sorte de relation fractale.

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il y a 9 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

A l'évidence, vous intervenez sans avoir lu ni l'historique de cette discussion, ni mon essai (cf. Pour Finir) en objectant pour objecter

c'est vrai, je n'ai pas lu votre essai, les premiers postes indiquent clairement que le traitement du sujet est abscons... et j'ai aussi ce réflexe de dire, que ce qui ce conçoit bien s'explique clairement... alors je n'objecte pas pour objecter, mais je n'irais pas vous faire, avec un raisonnement complexe, une étude pour dire, en ce qui concerne l'Homme, qu'il faut respirer pour vivre ou sinon vous êtes mort... si une personne lambda comme moi, n'est pas capable de résumé avec des mots simples vos prétentions philosophiques, c'est que votre démonstration, est a coté de la plaque ? ... Il n'y a rien de méchant dans mes propos... c'est juste un constat. si il faut un dictionnaire de décryptage pour comprendre votre pensée, combien ferons cet effort ? 

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il y a 38 minutes, Good Venins a dit :

c'est vrai, je n'ai pas lu votre essai, les premiers postes indiquent clairement que le traitement du sujet est abscons... et j'ai aussi ce réflexe de dire, que ce qui ce conçoit bien s'explique clairement... alors je n'objecte pas pour objecter, mais je n'irais pas vous faire, avec un raisonnement complexe, une étude pour dire, en ce qui concerne l'Homme, qu'il faut respirer pour vivre ou sinon vous êtes mort... si une personne lambda comme moi, n'est pas capable de résumé avec des mots simples vos prétentions philosophiques, c'est que votre démonstration, est a coté de la plaque ? ... Il n'y a rien de méchant dans mes propos... c'est juste un constat. si il faut un dictionnaire de décryptage pour comprendre votre pensée, combien ferons cet effort ?

Le sujet n'est pas abscons mais complexe. Il n'y a rien d'obscur dans le fait d'exister et de s'interroger sur la raison de l'existence.

Le raisonnement est simple: au paroxysme d'un processus d'annihilation, l'inconscience, cette métaphore sensible du néant que seule la mort inspire, serait l'unique reliquat possible qu'il faudrait encore réduire à néant.

Comment annihiler l'inconscience? Par la conscience de manière antithétique.

Le temps qui passe serait la manifestation la plus évidente de ce processus d'annihilation sous-jacent.

Le seul effort à faire est celui du courage et de la sincérité sans rendre abscons ce qui est très clair.

La mort nous précède car nous devons la juger pour l'annihiler.

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Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Le raisonnement est simple: au paroxysme d'un processus d'annihilation, l'inconscience, cette métaphore sensible du néant que seule la mort inspire, serait l'unique reliquat possible qu'il faudrait encore réduire à néant.

Comment annihiler l'inconscience? Par la conscience de manière antithétique.

Le temps qui passe serait la manifestation la plus évidente de ce processus d'annihilation sous-jacent.

J'ai beau y mettre tous mon courage et ma sincérité, je ne peux vouloir annihiler mon inconscience, par la conscience, et qui plus est de manière antithétique ?

La "vérité" vraie, c'est que mes penchants, sont plus littéraires que purement philosophiques, je vais donc clore ma participation a ce fil, dans la mesure ou je n'ai aucun besoin d'annihiler, qui ou quoi que ce soit ... pour moi la mort et le néant sont des vérités conceptuels peut être, mais qui apparaissent dans mon esprit comme une réalité formelle, avec ou sans moi, ces forces existent. La raison d'exister est (a mon sens) "pluri-conceptuel", avec la réalité du corps et de l'esprit, ainsi que toutes les contingences liées a cet état de "chose"... je vous souhaite la réussite nécessaire, a toutes vos recherches... cordialement. 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Il y a 1 heure, Good Venins a dit :

je n'ai aucun besoin d'annihiler, qui ou quoi que ce soit

Le simple fait d'être conscient constitue une annihilation de l'inconscience par antithèse.

L'annihilation ne relève pas du goût personnel. C'est une nécessité dès lors qu'il n'y a aucune raison objective pour qu'il y ait quelque chose plutôt que rien. Cela peut être déplaisant mais c'est ainsi comme en témoigne le Temps.

En outre, l'annihilation n'a pas à être négativement connotée dès lors qu'il faille enfin toujours créer pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi.

C'est une victoire perpétuelle de la vie sur la mort.

 

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