Trente ans de réclusion ont été requis ce vendredi 10 juillet en appel à Montpellier contre Ramon Cortès pour « l’exécution » en 2013 de la mère de ses enfants, Rosine Roig, une femme maltraitée et menacée qui avait tenté en vain d’alerter sur sa « mort annoncée ». L’avocat général Albert Cantinol a ainsi demandé le maintien de la peine de première instance, avouant avoir « hésité à monter sur la dernière marche de la perpétuité » pour Ramon Cortès, 50 ans. Il a fustigé un homme qui n’a ces