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L'introduction de la perche nécessite t'elle une étude préalable du terrain ?


bouddean

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 901 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)

Sorry but !

La Perche du Nil était à la « mode » dans les années 90 puis le consommateur soucieux de l’environnement a découvert qu’il y avait derrière ce poisson un désastre écologique..., mais pas seulement...

https://www.notre-planete.info/actualites/1923-perche_nil

Est-ce que depuis c'est mieux ??

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 11 heures, Talon 1 a dit :

Et elles nous parviennent à dos d'âne ?

Comment nous parviennent tous les poissons, les crevettes, saint jacques etc pêchés partout dans le monde ? 

La perche du Nil, non seulement est délicieuse, mais en plus procure un revenu à des personnes, un pays qui en ont besoin. Et pour l’instant elle n'est pas élevée dans les mêmes conditions que le saumon, qui pose la question sanitaire. 

Edit, je viens de voir le commentaire de Plouj au-dessus. J’ai vu un documentaire il y a moins de temps sur la perche, et je n’en ai pas gardé un sentiment négatif. 

 

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 716 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, Plouj a dit :

Sorry but !

La Perche du Nil était à la « mode » dans les années 90 puis le consommateur soucieux de l’environnement a découvert qu’il y avait derrière ce poisson un désastre écologique..., mais pas seulement...

https://www.notre-planete.info/actualites/1923-perche_nil

Est-ce que depuis c'est mieux ??

Oui, les choses changent : une autre version un peu plus complète

https://www.novethic.fr/actualite/environnement/biodiversite/isr-rse/perche-du-nil-la-fin-du-cauchemar-de-darwin-128314.html

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 901 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 1 minute, bouddean a dit :

Juste 1 an après ?

Ça va vite dans ce coin !

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 716 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Plouj a dit :

Juste 1 an après ?

Ça va vite dans ce coin !

c'est surtout que tu trouveras beaucoup de blogs qui ne font que répéter ce qu'ils ont lu sur un autre site, je cherche le rapport d'une ONG qui a fait une étude sur place ...

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 901 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 3 minutes, bouddean a dit :

c'est surtout que tu trouveras beaucoup de blogs qui ne font que répéter ce qu'ils ont lu sur un autre site, je cherche le rapport d'une ONG qui a fait une étude sur place ...

Le plus récent

https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/zoologie-poissons-eau-douce-1440/page/19/

Pas jojo non plus, mais pas de souci @bouddean, je ne cherche pas de polémiques ni à prouver quoi que ce soit.

J'en ai mangé au Moyen-Orient, il y a longtemps et j'avoue ne pas me souvenir du goût !

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 716 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)

http://ledaoen.over-blog.com/article-2039673.html

« Le cauchemar de Darwin », une supercherie.

Ce film d’Hubert Sauper (« je n’ai pas à me justifier » répond-il à l’article du Monde, bien vu pour un pseudo documentaliste) qui raconte comment l’industrie de la pêche de la Perche Du Nil en Tanzanie était la cause de tous les malheurs du pays, ainsi que de la pauvreté, des maladies et des trafics d’armes (allons donc, plus c’est gros mieux ça passe). Ce film qui indigna toute une partie de la gauche néo-bourgeoise Alter-mondialiste et écolo à sa sortie, qui tous, la main sur le cœur, déclaraient avoir été horrifiés par ce film et par les ravages que commettent les abominââââbles multinationââââles dans le tiers monde (le tout habillés généralement de baskets Nike ou de Tee-shirt Che Guevara fabriqués en Chine), et bien ce film soit disant documentaire, est en réalité un ramassis de mensonges et de contre vérités. Jean Philippe REMY, pour le journal Le Monde, est allé enquêter sur place avec la rigueur d’un vrai journaliste, et il en est revenu avec un article qui démonte point par point toute cette mythologie mensongère bien dans l’esprit habituel de nos donneurs de leçons « alter » de salon.

Je reproduis ici cet article du Monde, car je trouve qu’il est de salubrité et de nécessité publique face aux éternels boni-menteurs qui tentent de nous faire prendre des vessies bio pour des lanternes équitables.

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 901 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 8 minutes, bouddean a dit :

une supercherie

J'aime le jeu de mots .

J'ai bien tendu la perche depuis un moment, mais personne n'a mordu !

Pas si facile de se faire une idée

Il faut avoir le cerveau d'un poulet pour penser que ce film est un scandale ! Il ne dérange que ceux qui y voient une menace pour leurs intérêts, les gens qui ont du pouvoir. C'est la raison de cette polémique. Cela me fatigue, mais, en même temps, c'est une grande satisfaction.

Mais encore une fois, pas de polémiques ni de recherche de preuves.

Pour le réveillon, foie gras, saumon, etc.. que du bon, hem !

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Membre, 60ans Posté(e)
eriu Membre 11 287 messages
Maitre des forums‚ 60ans‚
Posté(e)
Il y a 14 heures, bouddean a dit :

 

Il peut nous paraître illogique de faire venir notre nourriture de l'autre bout du monde , parce que cela va avoir un impact sur l'écologie, l'emprunte carbone pour parler comme tout le monde , mais ce qu'il faut prendre en compte, c'est la dépense de la production par rapport à la dépense du transport .

Dans le cas de la perche du Nil, c'est un poisson d'eau chaude, un prédateur qui se nourrit d'autres poissons plus petits , il peut atteindre plus de 200 kg adulte, c'est donc un poisson qui va grandir très vite dans une région chaude et ensoleillé comme le bassin du Nil, rien que le lac Victoria est grand comme l'Irlande et a une capacité de production de milliers de tonnes par an .

Donc, si une production n'a pas d'impact sur l'écologie parce qu'elle utilise la chaleur naturelle du soleil, elle peut au final se retrouver moins polluante qu'une production locale qui nécessite une énergie artificielle , quand on élève des thons, il faut 10 kg de sardines pour faire un kg de thon , il faut prendre en compte l'énergie pour capturer les sardines dans l'impact carbone de la production locale de poissons, et tu as donc déjà dépassé l'impact de l'importation sans avoir même calculé le coût de la transformation des sardines en granulés , il faut les faire cuire,les broyer,les sécher,  le emballer ...

Je mettrai dans le temps  des chiffres et des sources sérieuses pour étayer tout ça . 

Bonjour Bouddean 

Tenir compte de tous les paramètres , en effet , c'est primordial . 

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 716 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, Talon 1 a dit :

Il y en a deux : un chargé d'éponges et l'autre chargé de sel. C'est une fable de La Fontaine.

Salut Talon,

 

http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/ancharge.htm

L'histoire de la perche du Nil est pour moi le symbole de ce que La Fontaine voulait dénoncer justement, Sauper voulant influencer l'opinion en défaveur de la mondialisation, il a décrit un tableau noir de la situation, ce documentaire a choqué des gens qui se sont engouffrés dans ses pas tel le porteur d'éponges .


          Un Ânier, son sceptre (1) à la main,
          Menait, en Empereur romain,
          Deux Coursiers à longues oreilles.
L'un d'éponges chargé, marchait comme un courrier (2) ;
          Et l'autre se faisant prier
          Portait, comme on dit, les bouteilles (3) :
Sa charge était de sel. Nos gaillards Pèlerins,
         Par monts, par vaux et par chemins,
Au gué d'une rivière à la fin arrivèrent,
          Et fort empêchés se trouvèrent.
L'ânier qui tous les jours traversait ce gué là,
          Sur l'Âne à l'éponge monta,
Chassant devant lui l'autre Bête,
          Qui voulant en faire à sa tête,
          Dans un trou se précipita,
          Revint sur l'eau, puis échappa (4) ;
          Car au bout de quelques nagées (5),
          Tout son sel se fondit si bien
          Que le Baudet ne sentit rien
          Sur ses épaules soulagées.
Camarade Épongier (5) prit exemple sur lui,
Comme un mouton (6) qui va dessus la foi d'autrui.
Voilà mon Âne à l'eau, jusqu'au col il se plonge,
          Lui, le Conducteur, et l'Éponge.
Tous trois burent d'autant (7): l'Ânier et le Grison (8)
          Firent à l'éponge raison.
          Celle-ci devint si pesante,
          Et de tant d'eau s'emplit d'abord,
Que l'Âne succombant ne put gagner le bord.
          L'ânier l'embrassait dans l'attente
          D'une prompte et certaine mort.
Quelqu'un vint au secours : qui ce fut, il n'importe ;
C'est assez qu'on ait vu par là qu'il ne faut point
          Agir chacun de même sorte.
          J'en voulais venir à ce point. (9)

 

 

 

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