Résiste

il y a 3 minutes, Blaquière a dit :

Tu disais un thème et chacun y réfléchit, en parle à sa façon : j"attends le thème !

Je m'excuse mon seigneur,  j'avais oublié. Je me mets au travail. le premier qui est prêt balance la purée dans la messagerie de l'autre. j'ai besoin d'au moins une semaine pour ne pas faire n'importe quoi, à moins que l'inspiration....

Propre c'est net, s'exclama la douairière. Voulez vous que je nettoie les toiles de l'araignée répondit le valet, qu'elle bonne idée et ne lésinez pas sur les bords la ou le malin n'est pas venu depuis des lustres les décrasser, allez y bon train que je la sente venir, quoi donc ? cette bonté que j'ai entre mes lèvres susurre la veuve pas si éplorée, et déploie ses jambes et laisse apercevoir une lune pleine d'arc en ciel mais diantre s'exclama le bougnat au bord de l’apoplexie tant de joliesse me confond et me trouble puis - je d'abord vous faire un doigt de cour, si le cœur vous en dit répondit la dame au bord de la pâmoison sitôt dit l'ouvrier plein d'entrain se mit au travail lubrifia le tout et l'enfila comme une perle au bout de son aiguille.  

Nous sommes tous l'otage de quelqu'un ou de quelque chose, l'indépendance on l’imagine un bref instant tel un ermite creusant la terre pour extirper des vers et nourrir sa soif. Son esprit libre de pensées contradictoires ne voit pas la bête, elle est en lui ne s'accroche à rien, sent les éléments caresser son visage épanoui de candeur ; la pureté de son regard projette une onde admirable qui encense sa nature vagabonde. la réalité nous contraint à faire toutes sortes concessions. Nous avons créé l'âme, pour nous imposer des interdits où fleuri la bassesse exigeante de mensonges qui ont fait de nous des malheureux. La paix est intérieur, puisée au fond de nos entrailles. Cette torture cérébral affecte notre sens du merveilleux et nous perdons toute croyance dans l'éternité.  

Croire, que la vie n'est pas , est un leurre, mais pas du beurre.

Le malheur  d'imposer un goût de sang, dans le ciboire de l'homme,

qui lu de face,  sans préface, n'y audace se retrouve enferré à jamais dans ces tourments.

cette perle, cette goutte de lait, ma mère.

Me désespère.

Elle m'a dit, tu es un affranchi,

Et j'ai souri devant son doux visage.

Beau coup de ligne,

comme un mal qui prie,

le mal a pris, devant sa nasse, l'oblige, et le délite.

Ce conscrit qui se crispe comme le mépris,

que je lis,

comme hirsute de ses lèvres,

cette lippe, c'est du mépris,

je le vois, je le sens et le dis

de l’écriture comme un auto,

comme la tomate tout est dit.

J'aime, l'heure qui passe, cette phase à la page, je reste jusqu'au bout du jour, pour que le soir bon soir ,

Me donne, cette heure, ce temps d'entendre, de comprendre le bruit, le fracas, et la fureur des miens.

Tu es un homme pas une bonne,

Si tu l'étonnes, elle est bonne.

Et elle se donne.

Si tu l'a sonnes,

Ce n'est pas un conne,

elle t'abandonne. 

Le 22/06/2019 à 13:31, Blaquière a dit :

Tu disais un thème et chacun y réfléchit, en parle à sa façon : j"attends le thème !

Oui une époque  ça  se faisait..

Anachronisme ?

il y a 19 minutes, PASCOU a dit :

Oui une époque  ça  se faisait..

 

Anachronisme ?

jouer avec les mots pour soigner les bobos de l’âme ; s'amuser pour le meilleur et pour le rire, c'est très bon pour les zygomatiques et cela connecte les neurones pour que la petite souris y fasse son trou de gruyère sur le dos de la laitière.

Il y a 7 heures, Niti a dit :

jouer avec les mots pour soigner les bobos de l’âme ; s'amuser pour le meilleur et pour le rire, c'est très bon pour les zygomatiques et cela connecte les neurones pour que la petite souris y fasse son trou de gruyère sur le dos de la laitière.

Oui jouer avec les mots, c'est  amusant.

attablés, les convives jacassaient sans discontinuer, mes oreilles saignaient devant les saloperies qui fusaient. Untel se plaignaient de ses hémorroïdes, l'autre de son cholestérol, je m’apprêtais à supporter leurs jérémiades quand la serveuse se planta devant la tablée  pour débarrasser les scories de ces agapes, avec un sourire à faire damner un saint. Elle m'illumina instantanément, je me voyais chevauchant les vertes prairies avec cette beauté qui m’enlaçait de ses bras majestueux, j'étais amoureux le monde scintillait devant mes yeux ébahis de tant de bonheur. Je souriais j'étais parfaitement heureux. Cette instant magique s’arrêta net quand cette gourde fit tomber sur ma tête un reste de sauce dégoulinant sur ma face obstruant mes yeux, j entendis les rires et les moqueries je me levais imperturbable et quittais la salle du restaurant sans un mot en lui glissant dans la main un joli pourboire.

le temps glisse entre mes doigts comme du sable, la vie réelle s'éloigne peu à peu. Je me contemple nu devant la glace et constate les ravages de la vie de la fin d'une vie. mon esprit toujours vaillant, sans amertume se remémore les bons moments que j'ai traversé trop vite sans m'apercevoir que ces instants d'éternité ne me soient si vite retirés par mon manque d'interactivité, préférant mes errements à travers mes futiles interrogations et ce besoin de toujours me plaindre. Ressaisis toi bon sang me crie une petite voix, mes oreilles bourdonnent un état d'apesanteur proche de l'hébétude me baigne dans une aura bienveillante je surnage avec bonheur dans cette onde bienveillante et m'endort sans rêve.

An sortant de la douche, je me regarde dans la glace...

Mes cheveux un peu trop longs sont tout collés...

Et je ne regarde qu'eux... Là une évidence me saute aux yeux :

On me dirait tout Ursula Andress !

Énervé, je fonce tête en avant sur tout ce qui bouge et défouraille à tout va. La bestiole qui s'agite sous mon bocal se met à tanguer et la nausée affleure à mes lèvres. Je réprime un hoquet verbeux pour ne pas éclabousser de toute ma haine l'auditoire qui s'empresserait à s'en délecter avec bonheur, comment ses gueux peuvent'ils apprécier à tel point je les méprise, avec leur manies de petits vieux, leur faconde à se complaire de leur condition sans se remettre en question. Et toujours le doigt sur la couture quelle bande de nullards épris de pas grand chose. si ce n'est que de la répétition qui les protège de tout changement oubliant d'éclairer leur chemin de vie si terne et sans originalité. J’entrouvre la porte de leur délice sans saveur, pour me repaître de leur couardise avec volupté. 

Le 21/06/2019 à 15:25, Talon 1 a dit :

Vous aviez une chance de vous cultiver.

Qu'avez-vous fait de toutes vos chances ?

Nord.