On crache sur le féminisme, et pourtant...

il y a 3 minutes, Léna-Postrof a dit :

Non, je les ai fait couper un peu au-dessus des épaules. C’est joli et dynamique aux dires de mes proches.

Une petite photo dans le trombi serait apprécié, juste pour découvrir la nouvelle Léna (prénom de l'une de mes petites filles, c'est rigolo !)

il y a 5 minutes, Léna-Postrof a dit :

Vous êtes difficile tout de même, Claire Danes dans Roméo + Juliette est plutôt jolie. 

J'ai du goût, c'est différent et des préférences !

il y a 7 minutes, Plouj a dit :

Une petite photo dans le trombi serait apprécié, juste pour découvrir la nouvelle Léna (prénom de l'une de mes petites filles, c'est rigolo !)

J'ai du goût, c'est différent et des préférences !

Prochainement, promis.

Eh bien votre petite fille a un joli prénom. 

Vous avez bien raison, les brunes ne comptent pas pour des prunes. 

merci riad     

Le 28/12/2018 à 16:16, Quasi-Modo a dit :

Le conformisme féminin explique en majorité leurs meilleurs résultats scolaires : le fait d'être immobiles, attentives, d'écouter sans broncher (comportements typiques des élèves féminins) est récompensé par le professeur, qu'il en soit conscient ou non. Combien de femmes véritablement géniales et subversives en comparaison des hommes dans notre Histoire ?

Navré de vous rappeler ce message, mais c'est pour préciser mon erreur : les femmes réussissent mieux à l'école parce qu'elles sont plus intelligents voyons

NB : Sans blague ce que j'ai écrit et cité juste avant est prouvé et vérifié par les sociologues.

D'ailleurs ceux qui jouent les offusqués, comment expliquent-ils les meilleurs résultats scolaires des femmes qu'on rigole ?

il y a 7 minutes, Quasi-Modo a dit :

Navré de vous rappeler ce message, mais c'est pour préciser mon erreur : les femmes réussissent mieux à l'école parce qu'elles sont plus intelligents voyons

NB : Sans blague ce que j'ai écrit et cité juste avant est prouvé et vérifié par les sociologues.

C'est une question d'éducation souvent les gens parte du principe que les petits garçon sont plus "sportif a élever que les filles donc on va plus demander au filles d'etre plus  douce et calme moins au garçon donc c'est "normal" que les filles réussissent a l'école par contre un peut moins qu'avec de meilleurs étude elle est un salaire plus faible que les hommes 

et qu'elle sois sous représenter dans les travail ""important"" plus on avance dans la hiérarchie d'un emploie moins il y'a de femmes.......

il y a 5 minutes, miscookiyou a dit :

C'est une question d'éducation souvent les gens parte du principe que les petits garçon sont plus "sportif a élever que les filles donc on va plus demander au filles d'etre plus  douce et calme moins au garçon donc c'est "normal" que les filles réussissent a l'école par contre un peut moins qu'avec de meilleurs étude elle est un salaire plus faible que les hommes 

et qu'elle sois sous représenter dans les travail ""important"" plus on avance dans la hiérarchie d'un emploie moins il y'a de femmes.......

Ben oui, à propos du salaire bien sûr qu'on peut se demander pourquoi elles n'accèdent pas, paradoxalement, à de meilleurs postes. D'autant que classiquement le cancre ou le fouteur de bordel dans la classe c'est un garçon, pas une fille Peu importe comment nous pourrions l'expliquer, les femmes ont moins tendance à la transgression que les hommes, c'est ainsi, en tous cas actuellement.

à l’instant, Quasi-Modo a dit :

Ben oui, à propos du salaire bien sûr qu'on peut se demander pourquoi elles n'accèdent pas, paradoxalement, à de meilleurs postes. D'autant que classiquement le cancre ou le fouteur de bordel dans la classe c'est un garçon, pas une fille Peu importe comment nous pourrions l'expliquer, les femmes ont moins tendance à la transgression que les hommes, c'est ainsi, en tous cas actuellement.

C'est peut être une vue de l'esprit mais j'ai le sentiment qu'il y a une structure différente entre filles et garçons à l'école : souvent il y a des filles qui se distinguent en étant trés bonnes élèves et intelligentes, puis un gap avec celles derrieres, alors qu'il y a un beaucoup plus gros sac de garçons dans la moyenne haute. En gros les filles meilleures eleves mais en petit nombre, et garçons moins bon mais en plus grand nombre.

il y a 7 minutes, Quasi-Modo a dit :

Ben oui, à propos du salaire bien sûr qu'on peut se demander pourquoi elles n'accèdent pas, paradoxalement, à de meilleurs postes. D'autant que classiquement le cancre ou le fouteur de bordel dans la classe c'est un garçon, pas une fille Peu importe comment nous pourrions l'expliquer, les femmes ont moins tendance à la transgression que les hommes, c'est ainsi, en tous cas actuellement.

Au collège plusieurs filles se sont fait virer pour mauvais comportement/pas de travail mais c'est vraie que le duo fille première de la classe garçon cancre et petit c** est assez courant dans la tète des gens  de la maternel a la fac j'ai toujours eu le sentiment qu'on demandait un meilleur comportement au filles qu'au garçon on encourage les garçon a avoir confiance en eu a faire du sport a etre des gagnant  plus créatif alors que les filles on va leur demander de rester a leur place d'etre sages soigneuse a mon avis on devrait apprendre au petit garçon a etre plus sages et soigneux plus ""mature"" ce qui éviterais les échec scolaire plus nombreux chez les garçon  et au filles a avoir plus confiance en elle et a ne pas se s'auto limiter 

il y a 11 minutes, Constantinople a dit :

C'est peut être une vue de l'esprit mais j'ai le sentiment qu'il y a une structure différente entre filles et garçons à l'école : souvent il y a des filles qui se distinguent en étant trés bonnes élèves et intelligentes, puis un gap avec celles derrieres, alors qu'il y a un beaucoup plus gros sac de garçons dans la moyenne haute. En gros les filles meilleures eleves mais en petit nombre, et garçons moins bon mais en plus grand nombre.

Difficile à dire. Mais puisqu'on est dans les impressions personnelles, je pense qu'on pourrait en général dire que les hommes sont plus intéressés par l'action, la force, le courage, la domination et au final, le pouvoir. Les femmes sont souvent plus intéressées par le monde intérieur, les émotions des autres, voir les leurs, le social et la compréhension en général.

Peut-être parce qu'elles ont été dissuadées de l'action physique d'une façon ou d'une autre, et donc qu'elles subliment et investissent plus la sphère intérieure que l'extérieure. Cette dichotomie se voit très tôt : quand les garçons jouent à se courir après (jouer "au loup") les filles jouent à la poupée ou la marelle tranquillement dans un coin.

Je me demande par ailleurs si les femmes ne sont pas plus douées que les hommes pour l'imitation, et donc pour l'apprentissage : mais c'est une impression perso une fois de plus. Selon mon expérience, si vous montrez une série de mouvements à une femme elle n'aura aucun mal à les imiter et les retenir, contrairement à un homme

il y a 33 minutes, miscookiyou a dit :

Au collège plusieurs filles se sont fait virer pour mauvais comportement/pas de travail mais c'est vraie que le duo fille première de la classe garçon cancre et petit c** est assez courant dans la tète des gens  de la maternel a la fac j'ai toujours eu le sentiment qu'on demandait un meilleur comportement au filles qu'au garçon on encourage les garçon a avoir confiance en eu a faire du sport a etre des gagnant  plus créatif alors que les filles on va leur demander de rester a leur place d'etre sages soigneuse a mon avis on devrait apprendre au petit garçon a etre plus sages et soigneux plus ""mature"" ce qui éviterais les échec scolaire plus nombreux chez les garçon  et au filles a avoir plus confiance en elle et a ne pas se s'auto limiter 

Comme dit, je ne sais pas si on leur demande, mais en tous cas ce n'est pas explicite. Je veux dire, observe une cour de récréation de maternelle, tu trouveras ce que je t'ai dit : des garçons qui courent partout, et des filles tranquilles dans leur coin, ou en tous cas beaucoup plus statiques. Pourtant à la maternelle on a pas non plus déjà subit des tonnes de pressions sociales ! Je comprends ton points de vue, mais la précocité à laquelle on détecte les différences à ce niveau là me font penser qu'il y a peut-être autre chose de plus profond.

il y a 30 minutes, Quasi-Modo a dit :

Difficile à dire. Mais puisqu'on est dans les impressions personnelles, je pense qu'on pourrait en général dire que les hommes sont plus intéressés par l'action, la force, le courage, la domination et au final, le pouvoir. Les femmes sont souvent plus intéressées par le monde intérieur, les émotions des autres, voir les leurs, le social et la compréhension en général.

Peut-être parce qu'elles ont été dissuadées de l'action physique d'une façon ou d'une autre, et donc qu'elles subliment et investissent plus la sphère intérieure que l'extérieure. Cette dichotomie se voit très tôt : quand les garçons jouent à se courir après (jouer "au loup") les filles jouent à la poupée ou la marelle tranquillement dans un coin.

Je suis d'accord, c'est évident, sauf pour le monde intérieur. Les femmes sont beaucoup plus promptes à comprendre leur environnement, notamment par l'aspect social. Les hommes ont une propension plus naturelle à l'imagination. Les jeux des filles sont souvent des imitations à l'échelle enfantine de la réalité quotidienne. Les garçons se projettent plus dans des univers fantasmatique, héroïques, mythologiques.

Citation

 

Je me demande par ailleurs si les femmes ne sont pas plus douées que les hommes pour l'imitation, et donc pour l'apprentissage : mais c'est une impression perso une fois de plus. Selon mon expérience, si vous montrez une série de mouvements à une femme elle n'aura aucun mal à les imiter et les retenir, contrairement à un homme

C'est une réflexion que je me suis souvent faites. L'imitation étant la clé du processus d'apprentissage de l'humain, ça expliquerait que les femmes soient plus promptes rapidement à l'apprentissage, la maturité, etc. D'un autre coté le revers de la médaille est qu'elles ont moins tendance à l'indépendance d'esprit, et la volonté de domination : un homme serait plus rétif à devenir un "même" et instinctivement, préfére dupliquer sa propre personnalité. Cela expliquerait également pourquoi dans un couples aux idées différentes, il est beaucoup plus fréquent qu'une femme soit impactée par les idées de son compagnon que l'inverse, de même, la sensibilité aux phénomènes de modes, et également, la difficulté de se couper de l'empathie dés qu'une décision politique doit être prise, ce qui peut impliquer par exemple de désigner un ennemi.

il y a 13 minutes, Quasi-Modo a dit :

Comme dit, je ne sais pas si on leur demande, mais en tous cas ce n'est pas explicite. Je veux dire, observe une cour de récréation de maternelle, tu trouveras ce que je t'ai dit : des garçons qui courent partout, et des filles tranquilles dans leur coin, ou en tous cas beaucoup plus statiques. Pourtant à la maternelle on a pas non plus déjà subit des tonnes de pressions sociales ! Je comprends ton points de vue, mais la précocité à laquelle on détecte les différences à ce niveau là me font penser qu'il y a peut-être autre chose de plus profond.

Crois moi Quasi-Modo ça commence très vite et ça reste une question d'éducation des le berceaux....

quand je vois un petit de 3 ans dire "je veut pas de rose c''est pour les filles" c'est ce qu'on luis a dit a un moment ou a un autres  les petites filles qui joue au pouper et les petits garçon au ballon c'est par ce que tout petit.e on leur a donner ses jeux pourtant si on laisse les enfant avec des jouets neutre (ni rose ni bleus on apprend très vite au petit le genre de ses couleurs) il joue avec tout et les filles peuvent courir et sauter les petit garçon jouer a la pouper ce qui est important dans la mesure ou les jouets de filles et garçon ne demande pas toujours les meme talant (motricité fine,imagination,sport....javais vue une étude qui disait que quand un bébé fille pleurait les gens pense que c'est par tristesse et de colère pour un bébé garçon de manière général on encourage plus les petite fille a etre toute choupi douce moins au garçon dont on ne valorise pas forcément les meme qualité 

il y a 29 minutes, Constantinople a dit :

Je suis d'accord, c'est évident, sauf pour le monde intérieur. Les femmes sont beaucoup plus promptes à comprendre leur environnement, notamment par l'aspect social. Les hommes ont une propension plus naturelle à l'imagination. Les jeux des filles sont souvent des imitations à l'échelle enfantine de la réalité quotidienne. Les garçons se projettent plus dans des univers fantasmatique, héroïques, mythologiques.

C'est une réflexion que je me suis souvent faites. L'imitation étant la clé du processus d'apprentissage de l'humain, ça expliquerait que les femmes soient plus promptes rapidement à l'apprentissage, la maturité, etc. D'un autre coté le revers de la médaille est qu'elles ont moins tendance à l'indépendance d'esprit, et la volonté de domination : un homme serait plus rétif à devenir un "même" et instinctivement, préfére dupliquer sa propre personnalité. Cela expliquerait également pourquoi dans un couples aux idées différentes, il est beaucoup plus fréquent qu'une femme soit impactée par les idées de son compagnon que l'inverse, de même, la sensibilité aux phénomènes de modes, et également, la difficulté de se couper de l'empathie dés qu'une décision politique doit être prise, ce qui peut impliquer par exemple de désigner un ennemi.

Effectivement c'est bien vu pour les jeux d'imitation qui sont plus répandus parmi les filles, ainsi que pour l'empathie qui nécessite là encore de mettre en action ses neurones miroirs ! Ceci tend à confirmer notre intuition commune, j'ai essayé de chercher à l'instant s'il y avait des études sur les talents d'imitation chez les hommes versus les femmes mais je n'ai rien trouvé

il y a 20 minutes, miscookiyou a dit :

Crois moi Quasi-Modo ça commence très vite et ça reste une question d'éducation des le berceaux....

quand je vois un petit de 3 ans dire "je veut pas de rose c''est pour les filles" c'est ce qu'on luis a dit a un moment ou a un autres  les petites filles qui joue au pouper et les petits garçon au ballon c'est par ce que tout petit.e on leur a donner ses jeux pourtant si on laisse les enfant avec des jouets neutre (ni rose ni bleus on apprend très vite au petit le genre de ses couleurs) il joue avec tout et les filles peuvent courir et sauter les petit garçon jouer a la pouper ce qui est important dans la mesure ou les jouets de filles et garçon ne demande pas toujours les meme talant (motricité fine,imagination,sport....javais vue une étude qui disait que quand un bébé fille pleurait les gens pense que c'est par tristesse et de colère pour un bébé garçon de manière général on encourage plus les petite fille a etre toute choupi douce moins au garçon dont on ne valorise pas forcément les meme qualité 

Oui, je me rappelle très clairement le jour où on m'a dit : "Le rose c'est pour les filles et le bleu pour les garçons !" C'était pour choisir la couleur d'un jouet si je me rappelle bien. Mais tu as raison je pense de souligner que c'est déjà dans la cour de récréation et dans les jeux pratiqués par les uns et les autres que se situent les premières inégalités (ou le berceau de celles-ci). Je suis tombé sur cet article qui fait le rapport entre les centres d'intérêts, les capacités qu'on va développer et ces fameux jeux d'enfants dans la cour de récréation : http://www.aussi.ch/documents/278/ruel.pdf

Ben oui, on y pense pas toujours mais les jeux nous préparent à certaines activités, nous donnent certaines prédispositions aussi. Si les garçons sont un peu meilleurs en représentation spatiale c'est sans doute en partie lié au fait qu'ils investissent la cour de récréation différemment et ont l'habitude de se repérer dans l'espace. Même chez les animaux on voit bien à quel points le jeu est formateur, par exemple pour apprendre à se défendre contre de vraies agressions à l'âge adulte, voir pour contrôler leur force et leur précision chez les lionceaux par exemple.

Le 28/12/2018 à 15:35, riad** a dit :

Alors là je suis confus, je pense qu'on ne parle pas de la même chose, c'est quoi exactement pour toi le féminisme?

Pour les temps anciens je pense que la situation de la femme n'était pas si catastrophique, j'ai déjà cité avec crabe fantôme les reines d'Égypte, je pense que les religions (en particulier les religions abrahamiques) sont en grande partie responsables de la discrimination de la femme
 

Bof les grecs discriminaient tout comme les romains les femmes et ce avant les religions abrahamiques . Ton hypothèse ne tient pas .

Le 28/12/2018 à 14:45, Maurice Clampin a dit :

   Est ce vraiment de l' antiféminisme que de considérer qu' il existe des spécificités féminines et des spécificités masculines .

 

Visiblement OUI

La connerie des féministe va jusqu’à ... Ça

Suède, championne de l’égalité hommes-femmes. C’est précisément dans la région du Södermanland, dans le sud du pays, que l’on assistera ces jours-ci à un débat insolite sur la position des hommes au moment de se soulager. Porté par le député de gauche Viggo Hansen, le texte doit être discuté au Parlement, et sera défendu par divers types d’arguments.

La première motivation pour imposer aux hommes d’uriner assis est liée à la politique d’égalité hommes-femmes et à la réduction des discriminations de genre : puisque les femmes ne peuvent pas uriner debout, les hommes n’ont pas à se le permettre. 

https://www.terrafemina.com/societe/international/articles/24963-suede-une-loi-pour-interdire-aux-hommes-de-faire-pipi-debout-en-debat.html

Le ‎28‎/‎12‎/‎2018 à 14:07, riad** a dit :

On crache sur le féminisme, et pourtant...

Réduire ceux qui méprisent le féminisme à un groupe homogène me semblerait tout aussi simplificateur que d'affirmer que le féminisme est un mouvement sans nuances ou degrés de revendication.

On peut, je crois, soutenir un féminisme militant mais raisonnable tout en se défiant de certains mouvements extrêmes dont l'influence est sans commune mesure avec leurs effectifs numériquement faibles. Quand un prix Nobel de médecine doit démissionner de son poste à l'université sous la pression hargneuse des réseaux sociaux pour avoir fait un trait d'esprit innocent sur les femmes, il me semble qu'il y a danger. C'est d'ailleurs un phénomène dont les féministes extrémistes n'ont pas le monopole, nombre de groupes et de communautés radicales s'érigent en ligues de vertu exerçant une forme de terreur, traquant inlassablement toute forme de dérapage, du sous-entendu ambigu aux plaisanteries équivoques en passant désormais par le compliment «sexiste».

Une journaliste rapporte que suite à la publication d'un manifeste anti harcèlement en «une» de Libé, tout le monde rigolait dans les rédactions tandis que sur les écrans tout le monde approuvait la mine grave, n'est-ce pas là l'exacte définition de la terreur ? Mais en plus de faire régner un sinistre climat d'inquisition, ces lobby informels pèsent sur les décisions gouvernementales et le ridicule cède alors la place au danger.

Voulons nous vraiment vivre dans une société bien pensante où chacun surveille ce qu'il dit autant qu'il épie les autres, prompt à dénoncer celui qui aura le malheur d'avoir un geste mal interprété ou un trait d'humour non agréé par la brigade du bon gout ?

Il y a 1 heure, jécoute a dit :

Visiblement OUI

La connerie des féministe va jusqu’à ... Ça

Suède, championne de l’égalité hommes-femmes. C’est précisément dans la région du Södermanland, dans le sud du pays, que l’on assistera ces jours-ci à un débat insolite sur la position des hommes au moment de se soulager. Porté par le député de gauche Viggo Hansen, le texte doit être discuté au Parlement, et sera défendu par divers types d’arguments.

La première motivation pour imposer aux hommes d’uriner assis est liée à la politique d’égalité hommes-femmes et à la réduction des discriminations de genre : puisque les femmes ne peuvent pas uriner debout, les hommes n’ont pas à se le permettre. 

https://www.terrafemina.com/societe/international/articles/24963-suede-une-loi-pour-interdire-aux-hommes-de-faire-pipi-debout-en-debat.html

Quoi ? attend, comment ça uriner assis? tu veux dire comme ça :

Il y a 4 heures, épixès a dit :

Réduire ceux qui méprisent le féminisme à un groupe homogène me semblerait tout aussi simplificateur que d'affirmer que le féminisme est un mouvement sans nuances ou degrés de revendication.

On peut, je crois, soutenir un féminisme militant mais raisonnable tout en se défiant de certains mouvements extrêmes dont l'influence est sans commune mesure avec leurs effectifs numériquement faibles. Quand un prix Nobel de médecine doit démissionner de son poste à l'université sous la pression hargneuse des réseaux sociaux pour avoir fait un trait d'esprit innocent sur les femmes, il me semble qu'il y a danger. C'est d'ailleurs un phénomène dont les féministes extrémistes n'ont pas le monopole, nombre de groupes et de communautés radicales s'érigent en ligues de vertu exerçant une forme de terreur, traquant inlassablement toute forme de dérapage, du sous-entendu ambigu aux plaisanteries équivoques en passant désormais par le compliment «sexiste».

Une journaliste rapporte que suite à la publication d'un manifeste anti harcèlement en «une» de Libé, tout le monde rigolait dans les rédactions tandis que sur les écrans tout le monde approuvait la mine grave, n'est-ce pas là l'exacte définition de la terreur ? Mais en plus de faire régner un sinistre climat d'inquisition, ces lobby informels pèsent sur les décisions gouvernementales et le ridicule cède alors la place au danger.

Voulons nous vraiment vivre dans une société bien pensante où chacun surveille ce qu'il dit autant qu'il épie les autres, prompt à dénoncer celui qui aura le malheur d'avoir un geste mal interprété ou un trait d'humour non agréé par la brigade du bon gout ?

 

Merci de souligner ici tout ce qu'il y a de plus détestable dans les communautarismes victimaires quels qu'ils soient. Des hordes de groupies à la réflexion proche de zéro et au comportement totalement irrationnel sont capables de faire des dégâts monstrueux pour la réputation de gens qui ne sont pourtant pas objectivement pires que les autres (parfois c'est même l'inverse) mais sur lesquels on décide de faire retomber le doigt inquisiteur d'une société qui refuse de voir certains abus bien réels. Exactement comme un mécanisme de bouc-émissaire.

Le pire c'est que les médias jouent le jeu (ce qui devrait être proscrit ou limité) en relayant toutes ces informations puantes et autres polémiques à deux francs cinquante : c'est comme pour les sectes, tout le monde sait qu'on invite pas un gourou sur un plateau de télé. Et bien on devrait faire pareil pour ces lobbys là, d'autant qu'ils ont via des associations la possibilité absurde de se porter partie civile dans les procès, ce qui les pousse à porter plainte à tout va, pour gagner le plus de procès, gonfler leurs statistiques et légitimer leur action quand il s'agira de demander des subventions.

Il faudrait être aveugle pour nier que ce système sent la merde.

Le problème de la télévision c'est qu'elle est capable de faire croire qu'il y a une polémique là où il n'y en a pas.

Le 28/12/2018 à 16:23, chanou 34 a dit :

Et combien sont demeurées inconnues parce que dans l'ombre d'un homme? Vous connaissez Mileva Einstein? Qui sait quelle part prépondérante elle a pris dans les travaux de son mari? Qui sait qu'on lui doit autant qu'à lui le fameux E =mc2?

Bonjour Chanou. Désolé mais vous vous méprenez...Mileva MARIC n'est pour rien dans les productions géniales de 1905 de l'immense Albert EINSTEIN,pas plus que son ami Michele BESSO (avec qui il avait l'habitude de tester ses idées)...bien moins que Lorenz,Planck,Michelson,dont les travaux le guidèrent(ou l'immense MAXWELL qu'il lisait et admirait tant)...et pour la relativité"générale"(mal nommée)c'est-à-dire la nouvelle théorie de la gravitation ou ses contributions(condensat...) à la physique quantique, n'en parlons pas, ils ne se voyaient plus depuis longtemps. Si votre propos est de nous jouer couplet du  féminisme radical version "sciences" (des hommes forcément idiots et méchants piquant les idées des femmes forcément géniales et victimes...), vous pouvez continuer avec Mileva MARIC(qui fut une très bonne étudiante et qui,certes,permit à EINSTEIN de consacrer du temps à ses idées et de bouleverser le monde en s'occupant de leur progéniture)...Si, au contraire, vous vous intéressez aux génies féminins de cette époque,intéressez-vous à Emmy NOETHER dont le théorème, à la base des théories de jauge en physique, a eu des conséquences monumentales(et qui fut encensée par...EINSTEIN et même par HILBERT, excusez du peu).