Gilets jaunes : le pouvoir n’a-t-il toujours rien compris ?

Il y a 1 heure, Enchantant a dit :

Me font doucement marrer, ceux qui prétendent que YAKA, FOKON, YZONKA… PAKOU…

Incapable d’avoir par eux-mêmes créé une entreprise et une réussite économique quelconque !

Prêt à donner des excellents conseils aux autres qu’ils seraient incapables de s’appliquer à eux-mêmes et surtout de respecter !

De se gonfler le jabot au point de se compter avec extase parmi les quelques intellectuels du forum ?

Incontestablement PAKOU est en orbite et chef d’escadrille en plus ! 

Un pays n'est heureusement pas une entreprise, et la micro économie n'a rien avoir avec la macro économie.

il y a 8 minutes, querida13 a dit :

Célafotaurich...La France était cependant plus riche quand on était moins...En attendant, on se serre et on se cherche des boucs émissaires. Gare à celui qui porte uniforme ,la  livrée ou une étiquette, il n'en sera que plus  vite repéré quand il s'agira de" jouer "les uns contre les autres!

C'est la faute des politiques qui ne servent à  rien.

Les riches en profitent au détriment des pauvres, les grosses entreprises en profitent au détriment  des petites.

3/4 des français demandent un rééquilibrage qu'est ce qui vous dérange dans ce fait?

il y a 5 minutes, PASCOU a dit :

Mais si justement, le gouvernement préfère endetter la France  que taxer tous ces magouilleurs .

A = taxer

il y a 5 minutes, PASCOU a dit :

Quand je parle de sauver leur peau, je parle de leur manière de profiter de la France et de placer leur pognon dans les paradis fiscaux,

non A = pas taxer oseille plus là

il y a 5 minutes, PASCOU a dit :

mais qu'ils se tirent carrément les carrefour, mac do et autres, ça relancera a petit commerce!

Du coup qui paie la dette ?

Le petit commerce ? Vous voulez dire celui que ne fréquente pas la majorité des GJs ?

il y a 5 minutes, PASCOU a dit :

On a vu comment Bercy à sauver tous les voleurs de cette liste jamais publiée!

Pour la liste suisse , Bercy a récupéré le grisbi et continue ....

https://www.lemonde.fr/evasion-fiscale/article/2016/02/17/ubs-le-flux-de-repentis-fiscaux-ne-se-tarit-pas_4866778_4862750.html

https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0302372406270-le-fisc-cherche-toujours-qui-se-cache-derriere-la-liste-ubs-2211836.php

il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

A = taxer

non A = pas taxer oseille plus là

Du coup qui paie la dette ?

Le petit commerce ? Vous voulez dire celui que ne fréquente pas la majorité des GJs ?

Pour la liste suisse , Bercy a récupéré le grisbi et continue ....

https://www.lemonde.fr/evasion-fiscale/article/2016/02/17/ubs-le-flux-de-repentis-fiscaux-ne-se-tarit-pas_4866778_4862750.html

 

https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0302372406270-le-fisc-cherche-toujours-qui-se-cache-derriere-la-liste-ubs-2211836.php

 

Vous avez le droit d'y croire.

à l’instant, PASCOU a dit :

Vous avez le droit d'y croire.

Il n'y a rien à croire

https://www.lejdd.fr/Economie/fraude-fiscale-la-cellule-des-repentis-racontee-de-linterieur-3533876

En quatre ans et demi d'activité, la cellule a attiré quelque 51.000 demandes de régularisation, identifié plus de 33 milliards d'euros nichés hors de France - les deux tiers dans les banques suisses (voir l'infographie ci-dessous). Ainsi, le Trésor public a pu recouvrer plus de 8 milliards d'euros en impôts, pénalités et amendes (chiffres établis le 15 décembre). Pour traiter l'afflux des dossiers, Bercy a mobilisé une task force de 60 agents à Paris et 128 sur le reste du territoire. Les sommes dissimulées allaient de 73 euros à 200 millions d'euros.

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Bercy est passé à l'ère du big data

il y a 4 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Il n'y a rien à croire

https://www.lejdd.fr/Economie/fraude-fiscale-la-cellule-des-repentis-racontee-de-linterieur-3533876

En quatre ans et demi d'activité, la cellule a attiré quelque 51.000 demandes de régularisation, identifié plus de 33 milliards d'euros nichés hors de France - les deux tiers dans les banques suisses (voir l'infographie ci-dessous). Ainsi, le Trésor public a pu recouvrer plus de 8 milliards d'euros en impôts, pénalités et amendes (chiffres établis le 15 décembre). Pour traiter l'afflux des dossiers, Bercy a mobilisé une task force de 60 agents à Paris et 128 sur le reste du territoire. Les sommes dissimulées allaient de 73 euros à 200 millions d'euros.

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Bercy est passé à l'ère du big data

 

Le menu fretin..

Il y a 3 heures, ArLeKiN a dit :

Non les libéraux ne sont pas les capitalistes, des gens qui ignorent totalement ce qu'est le libéralisme, qui n'ont jamais ouvert un seul livre d'un "vrai" libéral (d'un libéral, tout court) ne cessent de répéter à tue-tête cette fausseté alors que nous avons désespérément besoin de libéralisme pour donner un bol d'air à la vie politique. Que l'Etat cesse d'être la réponse systématique pour tous les problèmes ! que l'on laisse les particularités émerger, que l'on protège les singularités, les sources vivantes de "droits".

C'est ça, chacun pour sa peau, les autres peuvent crever.

il y a 27 minutes, jimmy45 a dit :

Un pays n'est heureusement pas une entreprise, et la micro économie n'a rien avoir avec la macro économie.

Il est vrai qu’un citoyen n’est pas à lui seul une famille, ni une seule famille elle-même une tribu, ni une seule tribu un pays.

Mais tous partagent en commun des maux analogues, lorsque l’on vit durablement et économiquement au-dessus de ses moyens, s’il est responsable de famille il fragilise son foyer, si le citoyen lambda s’imagine béatement que l’économie se décrète et qu’il suffit de mettre la planche à billet en route pour que tous les problèmes à venir, financiers, politiques, sociaux, d’emplois, disparaissent, c’est un con !

Contrôle et critique n’ont de portées que si les citoyens connaissent les problèmes diplomatiques et économiques qui sont posés… Qualité qui ne semble pas particulièrement  transpirer chez les gilets jaunes !

les G I  ne représentent  moins de 300000 personnes sur une population de 67 millions d'habitants !!

ça c'est la réalité , pas du blabla !!

il y a 14 minutes, l'ours 5785 a dit :

C'est ça, chacun pour sa peau, les autres peuvent crever.

Non l'ours, je ne crois pas que c'est  ce qu'il  dit.

Et j'ai  tendance à  être  de son avis.

il y a 21 minutes, boeingue a dit :

les G I  ne représentent  moins de 300000 personnes sur une population de 67 millions d'habitants !!

ça c'est la réalité , pas du blabla !!

Et les gens qui dirigent,  ils sont combien ?

il y a 21 minutes, Enchantant a dit :

Il est vrai qu’un citoyen n’est pas à lui seul une famille, ni une seule famille elle-même une tribu, ni une seule tribu un pays.

Mais tous partagent en commun des maux analogues, lorsque l’on vit durablement et économiquement au-dessus de ses moyens, s’il est responsable de famille il fragilise son foyer, si le citoyen lambda s’imagine béatement que l’économie se décrète et qu’il suffit de mettre la planche à billet en route pour que tous les problèmes à venir, financiers, politiques, sociaux, d’emplois, disparaissent, c’est un con !

Contrôle et critique n’ont de portées que si les citoyens connaissent les problèmes diplomatiques et économiques qui sont posés… Qualité qui ne semble pas particulièrement  transpirer chez les gilets jaunes !

Lorsque vous faites une analogie entre une personne qui vit au dessus de ses moyens et tout un pays, vous faites très clairement le même genre d'erreur que de confondre la micro économie et la macro économie.

Un pays fixe lui-même ses "moyens" par l'impôt par exemple, ce qui n'est pas le cas d'une personne.

Du coup ses moyens deviennent l'objet de conflits politiques.

Là où nos revenus sont fixés par contrat.

Comment vous pouvez espérer faire le moindre raisonnement qui tient debout si vous confondez des choux et des carottes ?

il y a 46 minutes, PASCOU a dit :

Le menu fretin..

 

Celui de la liste

 ceci dit le menu fretin à 200ME a les reins solides

Il y a 3 heures, Gouderien a dit :

La forme actuelle du libéralisme (l'ultra-libéralisme cher aux célèbres duettistes Thatcher/Reagan) semble plus une calamité qu'autre chose. Hélas, c'est la doctrine quasi-officielle de l'Europe des 27.

Basée sur la spéculation. 

Pas sur le l'entreprise le travail et le création  de richesse du pays.

C'est  sur la liberté d'entreprendre et sur la valeur travail qu'il faut miser.

La spéculation se mesure au nombre de chomeurs et de taxes.

Le travail et l'entreprise donc la creation de richesse se mesure par un transfert sur des services commun à  tous.

Dans une europe sans règles fiscales communes, cedt le spéculateur qui ramasse la mise.

il y a 5 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Celui de la liste

 ceci dit le menu fretin à 200ME a les reins solides

On edt pas encore dans le milliard.

il y a 17 minutes, jimmy45 a dit :

Un pays fixe lui-même ses "moyens" par l'impôt par exemple, ce qui n'est pas le cas d'une personne.

Si l’augmentation de l’impôt, nécessairement payé par les citoyens, directement ou indirectement vous semble la solution miracle à tous les problèmes économiques des dépenses de l’état, je comprends que vous n’entendiez pas mes propos…

Les prélèvements obligatoires en France ont franchi la barre des 1000 milliards, ce qui fait de notre pays en Europe, l’un des plus taxés, et vous pensez naïvement que d'accroître cette charge peut se faire en philosophant sur les choux et les carottes ?

YAKA, FOQUE, YSONKA, c’est bien cela qu’il faut retenir de vos écrits ?

il y a une heure, PASCOU a dit :

C'est la faute des politiques qui ne servent à  rien.

 

Les riches en profitent au détriment des pauvres, les grosses entreprises en profitent au détriment  des petites.

3/4 des français demandent un rééquilibrage qu'est ce qui vous dérange dans ce fait?

 

 

La violence? La destruction? La spoliation? Les matraquages? Les tués? 

il y a 20 minutes, l'ours 5785 a dit :

C'est ça, chacun pour sa peau, les autres peuvent crever.

Eh non.

Que dit Ortega y Gasset à ce sujet, qui sait de quoi il parle ? La Révolte des masses :

"" La forme politique qui a témoigné la plus haute volonté de communauté est la démocratie libérale. Elle porte à l’extrême la résolution de compter avec autrui ; elle est le prototype de « l’action indirecte ». Le libéralisme est le principe de droit politique selon lequel le Pouvoir public – bien qu’omnipotent – se limite à lui-même, et tâche, même à ses dépens, de laisser une place dans l’État qu’il régit, afin que puissent y vivre ceux qui ne pensent ni ne sentent comme lui, c’est-à-dire comme les plus forts, comme la majorité. Le libéralisme – il convient de le rappeler aujourd’hui – est la générosité suprême : c’est le droit que la majorité octroie aux minorités ; c’est le plus noble appel qui ait retenti sur la planète. Il soutient sa résolution de vivre en commun avec l’ennemi, et qui plus est, avec un ennemi faible. Il était invraisemblable que l’espèce humaine fût parvenue à une attitude si belle, si paradoxale, si élégante, si acrobatique, si antinaturelle. C’est pourquoi il n’est pas extraordinaire que cette même espèce humaine se décide tout à coup à l’abandonner. C’est un exercice trop difficile, trop compliqué pour qu’il puisse se maintenir sur la terre. "'

"" Lorsque Guizot, par exemple, oppose la civilisation européenne à toutes les autres, en faisant remarquer que jamais en Europe aucun principe, aucune idée, aucun groupe, aucune classe n'a triomphé sous une forme absolue et que c'est à cela que sont dus son développement permanent et son caractère progressif, nous ne pouvons nous empêcher de dresser l'oreille. [...]. [Il] est incroyable, en effet, que pendant les premières années du XIXe siècle, époque de rhétorique et de confusion, un livre tel que l'Histoire de la civilisation en Europe ait pu être écrit. L'homme d'aujourd'hui y peut encore apprendre comment la liberté et le pluralisme sont deux choses réciproques et constituent toutes les deux l'essence permanente de l'Europe.

Mais Guizot a toujours eu une mauvaise presse, comme d'ailleurs tous les doctrinaires. [...]. Quoi qu'il en soit, je veux avoir le courage d'affirmer que ce groupe de doctrinaires, la risée de tous, l'objet des plus basses plaisanteries, représente à mon avis la plus haute valeur politique du continent au XIXe siècle. Les doctrinaires ont été les seuls à percevoir clairement ce qu'il fallait faire de l'Europe après la grande Révolution ; et ce furent de plus des hommes qui imprimèrent à leur physionomie quelque chose de digne et de distant qui s'opposait à la frivolité et à la vulgarité croissantes du siècle. [...]. L'impression radicale qu'exister c'est résister, était devenue chez eux un véritable instinct ; ils sentaient pour ainsi dire que la vie consiste à planter les talons dans le sol pour ne pas être entraînés par les courants. Dans une époque comme la nôtre, où tout est "courants" et "abandons", il est bon de prendre contact avec des hommes qui "ne se laissent pas entraîner". Les doctrinaires représentent un cas exceptionnel de responsabilité intellectuelle ; c'est-à-dire de ce qui a le plus manqué aux intellectuels européens depuis 1750. Et ce défaut est en même temps une des causes profondes du présent désarroi. ""

"" En eux, s'est conservée active la meilleure tradition rationaliste où l'homme prend avec lui-même l'engagement de chercher des choses absolues. Mais à la différence du rationalisme lymphatique des encyclopédistes et des révolutionnaires qui trouvent l'absolu dans des abstractions de pacotille, les doctrinaires découvrent que l'histoire est le véritable absolu. L'histoire est la réalité de l'homme. Il n'en a point d'autre. C'est en elle que l'homme est arrivé à se faire tel qu'il est. Nier le passé est absurde et illusoire car le passé c'est le naturel de l'homme qui revient au galop. Si le passé est là, s'il s'est donné la peine de "se passer", ce n'est pas pour que nous le reniions, mais pour que nous l'intégrions. Les doctrinaires méprisaient les "droits de l'homme" parce que ce sont des absolus "métaphysiques", des "abstractions", des irréalités. Les véritables droits sont les droits qui réellement se trouvent là, parce qu'ils sont apparus et se sont consolidés dans l'histoire ; tels : les "libertés", la légitimité, la magistrature, les "capacités". S'ils vivaient aujourd'hui, les doctrinaires auraient reconnu le droit de grève (non politique) et certaines formes du contrat collectif. Pour un Anglais rien de plus évident que tout ceci. Nous autres cependant, les hommes du continent, nous n'en sommes pas encore arrivés à ce stade. ""

""  Mais nos collectivistes actuels sont victimes d'une semblable ignorance de ce qu'était le vieux libéralisme lorsqu'ils supposent sans plus, comme si la chose était indiscutable, qu'il était individualiste. Sur tous ces sujets, les notions, je l'ai déjà dit, sont des plus confuses. [...].
1° Le libéralisme individualiste appartient à la flore du XVIIIe siècle ; il inspire en partie la législation de la Révolution française, mais il meurt avec celle-ci.
2° La création caractéristique du XIXe siècle a été justement le collectivisme. C'est la première idée que ce siècle invente, dès sa naissance ; et cette idée n'a fait que grossir au cours de ses cent années jusqu'à inonder l'horizon tout entier.
3° Cette idée est d'origine française. Elle apparaît pour la première fois chez les archi-réactionnaires de Bonald et de Maistre. Elle est, dans son essence, acceptée immédiatement, par tout le monde, sans autre exception que Benjamin Constant, un "retardé" du siècle précédent. Mais elle triomphe chez Saint-Simon, chez Ballanche, chez Comte. Elle pullule un peu partout. """"

Tant que le Gueux quémanderons du FRIC pour s'acheter leur Pitance cela sera ainsi et tant qu'il voudront s'esclavager pour ce même FRIC croyant un jour devenir plus riche que "l'autre" il restera éternellement PAUVRE ( c'est de moi)

"On dit toujours qu'on ne peut pas être et avoir été. Eh ben, j'en connais un dis donc, il a été con et il l'est encore." (Pierre Doris)

il y a 22 minutes, PASCOU a dit :

Non l'ours, je ne crois pas que c'est  ce qu'il  dit.

Et j'ai  tendance à  être  de son avis.

Tu crois, on te fait croire que tu deviens premier de cordée si tu crées ton entreprise, normalement dans une entreprise tu as des salariés, si tout le monde doit devenir patron, qui va bosser pour toi? Si tu n'as pas de personnel, tu est auto-entrepreneur donc Ubériser. Cela veut dire que tu payes toi même tes charges et autres, mais tu obéis au donneur d'ordre. En plus, si tout le monde devient patron, qui achètera tes produits, les autres patrons. M'étonnerai qu'une économie fonctionne de cette manière.

il y a 11 minutes, querida13 a dit :

La violence? La destruction? La spoliation? Les matraquages? Les tués? 

 

Oui, comme moi.

il y a 4 minutes, l'ours 5785 a dit :

Tu crois, on te fait croire que tu deviens premier de cordée si tu crées ton entreprise, normalement dans une entreprise tu as des salariés, si tout le monde doit devenir patron, qui va bosser pour toi? Si tu n'as pas de personnel, tu est auto-entrepreneur donc Ubériser. Cela veut dire que tu payes toi même tes charges et autres, mais tu obéis au donneur d'ordre. En plus, si tout le monde devient patron, qui achètera tes produits, les autres patrons. M'étonnerai qu'une économie fonctionne de cette manière.

Je crois surtout qu'il  ne faut pas opposer les deux, une entreprise c'est  un tout.

Peut être  se battre pour un respect commun.