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Théorie de la relativité : éléments

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aliochaverkiev

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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
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Il apparait que, dès que l'on parle de la relativité, c'est à qui exhibera des vidéos explicatives. Cette approche approximative de cette théorie, et les dires non moins approximatifs qui l'accompagnent, m'ont donné le désir d'approfondir sérieusement cette théorie. La meilleure manière de l'appréhender est de partir des textes fondateurs d’Einstein ou de textes conçus dans le cadre d'un enseignement supérieur.

Pour connaitre désormais la composition sociologique des foromeurs nul doute que je récolterai des critiques de tous les " as- tu vu comme que sais tout". Pour ceux qui sont véritablement animés d'un désir de "savoir" soyez assez volontaires pour suivre mes développements sans vous laisser distraire par les "as-tu vu comme je sais tout".

Je ne répondrai à aucun  "as-tu vu comme je sais tout", en revanche, à toutes celles et à tous ceux de bonne volonté qui ne comprendraient pas ce que j'écris (ou qui décèleraient une erreur d'inattention de ma part) bien sûr je répondrai.

 

En 1905, dans son article intitulé « De l’électrodynamique des corps en mouvement » Albert Einstein jette les bases de la théorie de la relativité.

 

Il écrit : « Non seulement en mécanique mais aussi en électrodynamique, aucune propriété des faits observés ne correspond au concept de repos absolu ; dans tous les systèmes de coordonnées où les équations de la mécanique sont vraies, les équations électrodynamiques et optiques équivalentes sont vraies» «Dans le texte qui suit, nous élevons cette conjecture au rang de postulat que nous appellerons dorénavant « principe de relativité » et introduisons un autre postulat que la lumière se propage dans l’espace vide à une vitesse V indépendante de l’état de mouvement du corps émetteur »

 

Einstein pose ainsi deux postulats à partir desquels il développera sa théorie.

 

Le premier postulat est une extension à l’électrodynamique (et à l’optique) du principe de Galilée énoncé pour la mécanique. Le terme de principe de relativité est dû à Poincaré en 1904.

 

Revenons sur ce premier postulat. Le principe de relativité de Galilée pose comme étant vraies les affirmations suivantes : dans des référentiels au repos ou animés d’un mouvement rectiligne uniforme (déplacement en ligne droite à vitesse constante) toutes les lois de la mécanique sont identiques quelle que soit la vitesse du référentiel. Ces référentiels sont appelés référentiels galiléens ou inertiels (inertiels en ce sens qu’un objet, dans un tel cadre, obéit au principe d’inertie, lequel stipule qu’un objet soumis à aucune force, ou dont la somme des forces qui s’exercent sur lui est nulle, est soit au repos soit animé d’un mouvement rectiligne uniforme (déplacement en ligne droite, à vitesse constante).

 

Note : on appelle référentiel tout objet matériel donné, rigide, à partir duquel est construit un système de coordonnées à trois dimensions. Il s’agit donc d’un solide auquel nous arrimons un point O, origine de trois axes perpendiculaires les uns par rapport aux autres (axe des x, abscisses, axe des y, ordonnées, axe des z, cotes.)

 

Par exemple quelle que soit l’expérience mécanique que je réalise dans un train qui se déplace en ligne droite à vitesse constante elle donnera des résultats, des mesures, identiques à celle que je pourrais réaliser dans un référentiel au repos ou animé d’une vitesse constante (dans le cadre d’un déplacement rectiligne) différente de celle du premier référentiel.

 

Que je sois dans un référentiel au repos (un talus) ou dans un train, qui par rapport à ce talus se déplace à vitesse constante, en ligne droite, toutes ces opérations : marcher sur le talus ou dans le train, se verser un café, faire rebondir une balle sur le plancher ou sur le talus, etc, donneront les mêmes résultats (mêmes mesures, mêmes trajectoires, etc.). Si je mesure la durée d’un événement donné, cette mesure sera la même quel que soit le référentiel inertiel de référence (pour des événements identiques). Si je mesure la longueur d’une barre de fer cette mesure sera la même quel que que soit le référentiel inertiel choisi.

 

La conséquence de ce principe de relativité, qu’Einstein étend ici aux événements relevant de l’électrodynamique et de l’optique c’est qu’il est impossible de privilégier un référentiel par rapport à un autre. Tout référentiel peut être choisi comme étant au repos, les autres référentiels étant alors animés par rapport à lui d’un mouvement rectiligne uniforme.

 

Si je reviens à l’exemple du talus et du train, je peux choisir le talus comme étant au repos comme je peux choisir le train comme étant au repos. Quiconque a voyagé dans un train sait qu’il apparaît, lorsqu’on est dans le train, que c’est le talus qui est animé d’un mouvement rectiligne uniforme, tandis que celui qui est sur le talus voit le train comme étant animé d’un mouvement rectiligne uniforme.

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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
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Il y a 2 heures, aliochaverkiev a dit :

Il apparait que, dès que l'on parle de la relativité, c'est à qui exhibera des vidéos explicatives. Cette approche approximative de cette théorie, et les dires non moins approximatifs qui l'accompagnent, m'ont donné le désir d'approfondir sérieusement cette théorie. La meilleure manière de l'appréhender est de partir des textes fondateurs d’Einstein ou de textes conçus dans le cadre d'un enseignement supérieur.

Pour connaitre désormais la composition sociologique des foromeurs nul doute que je récolterai des critiques de tous les " as- tu vu comme que sais tout". Pour ceux qui sont véritablement animés d'un désir de "savoir" soyez assez volontaires pour suivre mes développements sans vous laisser distraire par les "as-tu vu comme je sais tout".

Je ne répondrai à aucun  "as-tu vu comme je sais tout", en revanche, à toutes celles et à tous ceux de bonne volonté qui ne comprendraient pas ce que j'écris (ou qui décèleraient une erreur d'inattention de ma part) bien sûr je répondrai.

 

En 1905, dans son article intitulé « De l’électrodynamique des corps en mouvement » Albert Einstein jette les bases de la théorie de la relativité.

 

Il écrit : « Non seulement en mécanique mais aussi en électrodynamique, aucune propriété des faits observés ne correspond au concept de repos absolu ; dans tous les systèmes de coordonnées où les équations de la mécanique sont vraies, les équations électrodynamiques et optiques équivalentes sont vraies» «Dans le texte qui suit, nous élevons cette conjecture au rang de postulat que nous appellerons dorénavant « principe de relativité » et introduisons un autre postulat que la lumière se propage dans l’espace vide à une vitesse V indépendante de l’état de mouvement du corps émetteur »

 

Einstein pose ainsi deux postulats à partir desquels il développera sa théorie.

 

Le premier postulat est une extension à l’électrodynamique (et à l’optique) du principe de Galilée énoncé pour la mécanique. Le terme de principe de relativité est dû à Poincaré en 1904.

 

Revenons sur ce premier postulat. Le principe de relativité de Galilée pose comme étant vraies les affirmations suivantes : dans des référentiels au repos ou animés d’un mouvement rectiligne uniforme (déplacement en ligne droite à vitesse constante) toutes les lois de la mécanique sont identiques quelle que soit la vitesse du référentiel. Ces référentiels sont appelés référentiels galiléens ou inertiels (inertiels en ce sens qu’un objet, dans un tel cadre, obéit au principe d’inertie, lequel stipule qu’un objet soumis à aucune force, ou dont la somme des forces qui s’exercent sur lui est nulle, est soit au repos soit animé d’un mouvement rectiligne uniforme (déplacement en ligne droite, à vitesse constante).

 

Note : on appelle référentiel tout objet matériel donné, rigide, à partir duquel est construit un système de coordonnées à trois dimensions. Il s’agit donc d’un solide auquel nous arrimons un point O, origine de trois axes perpendiculaires les uns par rapport aux autres (axe des x, abscisses, axe des y, ordonnées, axe des z, cotes.)

 

Par exemple quelle que soit l’expérience mécanique que je réalise dans un train qui se déplace en ligne droite à vitesse constante elle donnera des résultats, des mesures, identiques à celles que je pourrais réaliser dans un référentiel au repos ou animé d’une vitesse constante (dans le cadre d’un déplacement rectiligne) différente de celle du premier référentiel.

 

Que je sois dans un référentiel au repos (un talus) ou dans un train, qui par rapport à ce talus se déplace à vitesse constante, en ligne droite, toutes ces opérations : marcher sur le talus ou dans le train, se verser un café, faire rebondir une balle sur le plancher ou sur le talus, etc, donneront les mêmes résultats (mêmes mesures, mêmes trajectoires, etc.). Si je mesure la durée d’un événement donné, cette mesure sera la même quel que soit le référentiel inertiel de référence (pour des événements identiques). Si je mesure la longueur d’une barre de fer cette mesure sera la même quel que que soit le référentiel inertiel choisi.

 

La conséquence de ce principe de relativité, qu’Einstein étend ici aux événements relevant de l’électrodynamique et de l’optique c’est qu’il est impossible de privilégier un référentiel par rapport à un autre. Tout référentiel peut être choisi comme étant au repos, les autres référentiels étant alors animés par rapport à lui d’un mouvement rectiligne uniforme.

 

Si je reviens à l’exemple du talus et du train, je peux choisir le talus comme étant au repos comme je peux choisir le train comme étant au repos. Quiconque a voyagé dans un train sait qu’il apparaît, lorsqu’on est dans le train, que c’est le talus qui est animé d’un mouvement rectiligne uniforme, tandis que celui qui est sur le talus voit le train comme étant animé d’un mouvement rectiligne uniforme.

 

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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
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Il convient de revenir sur ce principe de relativité pour en souligner l’importance. Avant Einstein Poincaré l’avait déjà formulé mais il n’avait pas réussi à en faire un postulat. Il s’agissait pour lui d’une simple conjecture pouvant être vraie mais pouvant aussi être fausse. Nous voyons ici apparaître la forme d’esprit d’Einstein : il décide, il tranche. Il pose comme fondation, comme postulat ce principe. Il ne le démontre pas, il ne peut pas d’ailleurs le démontrer (il explique seulement dans son petit livre sur la relativité paru plus tard que ce principe n’a jamais été mis en défaut ; en physique on ne démontre pas comme en mathématique, on pose comme étant vrais des principes tant que ces principes ne sont pas démentis par l'expérience). Il s’appuie sur son intuition : ce postulat est vrai. En posant ce postulat comme étant vrai (comme il posera comme étant vraie la constance de la vitesse de la lumière dans le vide) il peut commencer à construire des raisonnements solides qu’il va mener jusqu’au bout. Certes il peut se tromper (d’ailleurs son article passera inaperçu tant il affirmait comme étant vrais des postulats que les physiciens, en 1905, mettaient encore en doute), il ne sait pas vraiment où il va, mais il croit dans la vérité de ces postulats. S’il se trompe il sait que sa construction s’écroulera. Mais tant pis, il ose, il fonce et il verra bien. Poincaré en posant le principe de relativité comme étant une simple conjecture s’interdira de foncer dans des raisonnements nouveaux.

Le second postulat, tel qu’il est exprimé par Einstein, ne tire pas son originalité de l’indépendance de la vitesse de la lumière par rapport à la vitesse de sa source. L’indépendance de la vitesse de propagation d’une onde par rapport à sa source était un phénomène connu depuis longtemps. L’originalité de ce postulat est d’affirmer que la vitesse de la lumière est constante quel que soit le référentiel inertiel choisi pour observer cette vitesse. Pratiquement cela signifie que si par rapport à un référentiel inertiel considéré au repos, un signal lumineux est émis à l’intérieur d’un autre référentiel inertiel animé d’une vitesse v par rapport au référentiel inertiel au repos, la vitesse de la lumière, par rapport au référentiel au repos ne sera pas V (vitesse de la lumière) + v mais V. Il n’ y a pas addition des vitesses. (Les lettres en gras : expression vectorielle, c’est-à-dire qu’il faut imaginer ces lettres surmontées d’une flèche).

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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En astrophysique, un trou noir1 est un objet céleste si compact que l'intensité de son champ gravitationnel empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s’en échapper2. De tels objets ne peuvent ni émettre, ni diffuser la lumière et sont donc noirs, ce qui en astronomie revient à dire qu'ils sont invisibles.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Trou_noir

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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
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il y a 26 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

En astrophysique, un trou noir1 est un objet céleste si compact que l'intensité de son champ gravitationnel empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s’en échapper2. De tels objets ne peuvent ni émettre, ni diffuser la lumière et sont donc noirs, ce qui en astronomie revient à dire qu'ils sont invisibles.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Trou_noir

Essayez de rester dans le sujet et si votre but est de recopier wiki créez un sujet et allez y faire de la copie.  

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holdman Membre 2 233 messages
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je critique rien mais ,dans le cas du train et du talus c'est bien le train qui est en mouvement ,le terme il apparaît n'est pour moi pas scientifique .

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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
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il y a 44 minutes, holdman a dit :

je critique rien mais ,dans le cas du train et du talus c'est bien le train qui est en mouvement ,le terme il apparaît n'est pour moi pas scientifique .

Il est indifférent de décider que c'est le train qui est en mouvement ou le talus qui est en mouvement. Vous exprimez dans votre critique les habitudes de pensée  qui empêcheront les physiciens en 1905 de suivre Einstein. Vous ne parvenez pas à nettoyer votre esprit de vos certitudes. Vous êtes conditionné à penser qu'il y a bien un référentiel au repos, de manière absolue, et un autre en mouvement par rapport à l'autre de manière absolue. Vous ne parvenez pas à penser autrement. Rassurez-vous : en 1905 les physiciens de renom étaient tout aussi conditionnés que vous.

Tout mouvement est relatif. Il est indifférent de dire que le soleil tourne autour de la terre ou que la terre tourne autour du soleil. Il n' y a pas d'absolu concernant les mouvements relatifs des objets. Nous choisirons de dire que c'est la terre qui tourne autour du soleil plutôt que le contraire parce que l'expression mathématique du mouvement est plus simple à poser dans un cas plutôt que dans l'autre. Si cela vous ne le comprenez pas, c'est que votre imagination est limitée. Si vous ne parvenez pas à imaginer que ce peut être le talus qui se déplace par rapport au train, si cet imaginaire dépasse vos capacités intellectuelles  ne vous occupez pas de comprendre la relativité : cette théorie n'est pas à votre portée. Passez à autre chose.

 

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 13 heures, aliochaverkiev a dit :

Essayez de rester dans le sujet et si votre but est de recopier wiki créez un sujet et allez y faire de la copie.  

On ne connait pas les propriétés de la lumière lorsqu'elle se fait happer par un trou noir. La théorie de la relativité donne presque une définition absolue a la lumière alors que ce n'est pas le cas.

Et parles moi autrement.

Modifié par Boutetractyxreqs
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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
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il y a une heure, holdman a dit :

je critique rien mais ,dans le cas du train et du talus c'est bien le train qui est en mouvement ,le terme il apparaît n'est pour moi pas scientifique .

Albert Einstein, la relativité, page 71, petite bibliothèque Payot, page 71.

"De tout temps il était évident que tout mouvement ne doit être considéré que comme relatif. En reprenant l’exemple que nous avons souvent employé du talus et du wagon du chemin de fer, le fait du mouvement qui y a lieu peut être énoncé avec un égal droit sous les deux formes suivantes :

a) le wagon est en mouvement par rapport au talus

b) le talus est en mouvement par rapport au wagon."

Puisque vous êtes sûr de vous au point que pour vous Einstein écrit des conneries il est inutile que désormais je prenne le temps de vous lire et de vous répondre.

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Répy Membre 22 349 messages
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Il y a 3 heures, aliochaverkiev a dit :

..... Si cela vous ne le comprenez pas, c'est que votre imagination est limitée. Si vous ne parvenez pas à imaginer que ce peut être le talus qui se déplace par rapport au train, si cet imaginaire dépasse vos capacités intellectuelles  ne vous occupez pas de comprendre la relativité : cette théorie n'est pas à votre portée. Passez à autre chose.

Dieu a parlé !

Dieu n'est pas fait pour participer à un forum, il ne supporte pas être interrompu ou contredit dans ses déclarations !

Modifié par Répy
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Invité philkeun
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Il y a 3 heures, holdman a dit :

je critique rien mais ,dans le cas du train et du talus c'est bien le train qui est en mouvement ,le terme il apparaît n'est pour moi pas scientifique .

Non, en disant cela, ça montre que tu n'as pas compris la relativité du mouvement, de...Galilée, quand même...

Pour une fois que l'aut' phraseux mégalo "a raison", on va pas le lui enlever...

Modifié par philkeun
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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
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il y a 3 minutes, Répy a dit :

Dieu a parlé !

Dieu n'est pas fait pour participer à un forum, il ne supporte pas être interrompu ou contredit dans ses déclarations !

Intervention sans intérêt : incapacité à émettre une critique scientifique. Au suivant.

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
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Personne ne connait le mouvement sans connaitre l'immobilité et cela va dans les deux sens.

Immobilité et mouvement ne s'oppose que de douleur et d'indolore.

Partons du mouvement est indolore et l'immobilité douloureuse.

Alors l'immobilité indolore est du mouvement.

Le mouvement indolore est immobilité.

Partons de l'immobilité est indolore et le mouvement douloureux.

Le mouvement indolore est de l'immobilité.

L'immobilité douloureuse est du mouvement.

 

Il y a mouvement et mouvement et immobilité et immobilité et tout cela ne se distingue que par la douleur et l'indolore. Si le mouvement ou l'immobilité sont tous deux soi douloureux soi indolores alors il ne se fera aucune distinction.

Et la douleur et l'indolore ne sont perçus que parce qu'on agit par évidence car l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non, donc involontairement, car il est éternel, infini en temps car infiniment grand.

 

 

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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
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il y a 1 minute, Boutetractyxreqs a dit :

Personne ne connait le mouvement sans connaitre l'immobilité et cela va dans les deux sens.

Immobilité et mouvement ne s'oppose que de douleur et d'indolore.

Partons du mouvement est indolore et l'immobilité douloureuse.

Alors l'immobilité indolore est du mouvement.

Le mouvement indolore est immobilité.

Partons de l'immobilité est indolore et le mouvement douloureux.

Le mouvement indolore est de l'immobilité.

L'immobilité douloureuse est du mouvement.

 

Il y a mouvement et mouvement et immobilité et immobilité et tout cela ne se distingue que par la douleur et l'indolore. Si le mouvement ou l'immobilité sont tous deux soi douloureux soi indolores alors il ne se fera aucune distinction.

Et la douleur et l'indolore ne sont perçus que parce qu'on agit par évidence car l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non, donc involontairement, car il est éternel, infini en temps car infiniment grand.

 

 

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il y a 4 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Personne ne connait le mouvement sans connaitre l'immobilité et cela va dans les deux sens.

Immobilité et mouvement ne s'oppose que de douleur et d'indolore.

Partons du mouvement est indolore et l'immobilité douloureuse.

Alors l'immobilité indolore est du mouvement.

Le mouvement indolore est immobilité.

Partons de l'immobilité est indolore et le mouvement douloureux.

Le mouvement indolore est de l'immobilité.

L'immobilité douloureuse est du mouvement.

 

Il y a mouvement et mouvement et immobilité et immobilité et tout cela ne se distingue que par la douleur et l'indolore. Si le mouvement ou l'immobilité sont tous deux soi douloureux soi indolores alors il ne se fera aucune distinction.

Et la douleur et l'indolore ne sont perçus que parce qu'on agit par évidence car l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non, donc involontairement, car il est éternel, infini en temps car infiniment grand.

 

 

Crack ? Coke ? Metamphetamine ? LSD ?

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aliochaverkiev Membre 1 978 messages
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Il est possible de formuler le principe de relativité de cette façon : « Il n’est pas possible de mettre en évidence le mouvement d’un système physique animé d’un mouvement uniforme par une expérience mécanique réalisée à l’intérieur du système » Cette formulation est proposé par Jean-Marie Vigoureux dans son livre « La quête d’Einstein », éditions Ellipses,page 98. Autrement dit si je suis à l’intérieur d’un vaisseau spatial par exemple, si celui-ci ne subit aucune accélération ni aucune rotation (changement d’orientation) alors ce vaisseau sera pour l’observateur que je suis au repos. Il sera absolument impossible de pratiquer quelque expérience mécanique qui puisse me faire penser le contraire. Si regardant par un hublot je vois un autre vaisseau spatial venir à ma rencontre (vaisseau animé d’un mouvement rectiligne uniforme dont la trajectoire est parallèle à la mienne) je pourrai alors soit estimer que je suis animé d’un mouvement rectiligne uniforme par rapport à lui soit estimer que c’est ce vaisseau qui est animé d’un mouvement rectiligne uniforme par rapport à moi. Je peux me décider au repos ou en mouvement par rapport à lui sans que cela agisse sur une quelconque expérience mécanique effectuée à l’intérieur de mon vaisseau. Autrement dit la vitesse relative d’un autre vaisseau, ou ma vitesse relative par rapport à ce vaisseau seront totalement neutres sur les expériences mécaniques (et sur les expériences électrodynamiques et optiques ajoutera Einstein) que je pratiquerai à l’intérieur de mon vaisseau ou que l’autre pratiquera à l’intérieur de son vaisseau : ces expériences donneront les mêmes résultats. Nous avons tous éprouvé ce type d’expérience : lorsque deux trains roulent côte à côte, que leur vitesse relative ne sont pas égales et différent de peu, nous avons la sensation qu’il est impossible de dire lequel train se déplace par rapport à l’autre. Par moments nous aurons le sentiment que c’est le train d’à côté qui se déplace par rapport à nous, par moments nous aurons le sentiment contraire, que c’est nous qui nous déplaçons par rapport au train d’à côté. En conclusion lorsque deux référentiels sont tels qu’ils sont animés l’un par rapport à l’autre d’un mouvement rectiligne uniforme, il est impossible de privilégier définitivement l’un ou l’autre. Il est absolument indifférent de décider que l’un est au repos et l’autre en mouvement ou de décider au contraire que l’autre est au repos et l’un en mouvement. Le choix est libre, le choix est indifférent quant à l’observation des lois physiques qui seront identiques dans leur application que ce soit dans un vaisseau ou dans l’autre.

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
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il y a 14 minutes, aliochaverkiev a dit :

Il est possible de formuler le principe de relativité de cette façon : « Il n’est pas possible de mettre en évidence le mouvement d’un système physique animé d’un mouvement uniforme par une expérience mécanique réalisée à l’intérieur du système » Cette formulation est proposé par Jean-Marie Vigoureux dans son livre « La quête d’Einstein », éditions Ellipses,page 98. Autrement dit si je suis à l’intérieur d’un vaisseau spatial par exemple, si celui-ci ne subit aucune accélération ni aucune rotation (changement d’orientation) alors ce vaisseau sera pour l’observateur que je suis au repos. Il sera absolument impossible de pratiquer quelque expérience mécanique qui puisse me faire penser le contraire. Si regardant par un hublot je vois un autre vaisseau spatial venir à ma rencontre (vaisseau animé d’un mouvement rectiligne uniforme dont la trajectoire est parallèle à la mienne) je pourrai alors soit estimer que je suis animé d’un mouvement rectiligne uniforme par rapport à lui soit estimer que c’est ce vaisseau qui est animé d’un mouvement rectiligne uniforme par rapport à moi. Je peux me décider au repos ou en mouvement par rapport à lui sans que cela agisse sur une quelconque expérience mécanique effectuée à l’intérieur de mon vaisseau. Autrement dit la vitesse relative d’un autre vaisseau, ou ma vitesse relative par rapport à ce vaisseau seront totalement neutres sur les expériences mécaniques (et sur les expériences électrodynamiques et optiques ajoutera Einstein) que je pratiquerai à l’intérieur de mon vaisseau ou que l’autre pratiquera à l’intérieur de son vaisseau : ces expériences donneront les mêmes résultats. Nous avons tous éprouvé ce type d’expérience : lorsque deux trains roulent côte à côte, que leur vitesse relative ne sont pas égales et différent de peu, nous avons la sensation qu’il est impossible de dire lequel train se déplace par rapport à l’autre. Par moments nous aurons le sentiment que c’est le train d’à côté qui se déplace par rapport à nous, par moments nous aurons le sentiment contraire, que c’est nous qui nous déplaçons par rapport au train d’à côté. En conclusion lorsque deux référentiels sont tels qu’ils sont animés l’un par rapport à l’autre d’un mouvement rectiligne uniforme, il est impossible de privilégier définitivement l’un ou l’autre. Il est absolument indifférent de décider que l’un est au repos et l’autre en mouvement ou de décider au contraire que l’autre est au repos et l’un en mouvement. Le choix est libre, le choix est indifférent quant à l’observation des lois physiques qui seront identiques dans leur application que ce soit dans un vaisseau ou dans l’autre.

En gros débrouilles toi avec ce qui est en mouvement ou immobile. Laisses la douleur et l'indolore faire la différence. Tu sauras assez vite qui ce qui est en mouvement et ce qui ne l'est pas.

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Invité philkeun
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Invité philkeun
Invité philkeun Invités 0 message
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Mon bon Boutrakephripreks,

A te lire, on comprend pourquoi la science musulmane s'est hélas effondrée net en plein moyen âge, trop de bondieu et pas assez de boulot...

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holdman Membre 2 233 messages
Baby Forumeur‚
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quant il est dit que le talus avance ou le train  ,c'est que l'on a pas de base sur le réel, la différence ce vois sur la pratique .si je vais de Paris a Marseille, si je reste sur la talus je ferais jamais le voyage . donc dans l'irréel le talus avance  en regardant par une fenêtre du train .

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