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Théorie de l'univers à complèter


Genesiis

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Membre, 55ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 203 messages
Forumeur balbutiant‚ 55ans‚
Posté(e)

Ainsi il n’existe rien en dehors de l’univers et donc, en l’absence de référence externe, il est impossible de l’étudier dans sa globalité. Par contre, on peut analyser les interactions entre les différents fragments qui le compose.

 

Appartenance

 

Une chose existe par rapport à une autre que si elle influence celle-ci. Le contraire est absurde : En effet, si une chose n’avait aucune influence sur une autre alors celle-ci n’aurait aucun moyen de le « sentir ». Donc pour exister, un fragment de l’univers doit influencer au moins un autre fragment.

 

Distinction

 

Une chose existe par rapport à une autre que si elle s’en distingue.

 

Influence

 

Ainsi une chose est caractérisée par l’influence qu’elle exerce.

Sont appelés dans ce texte « paramètres » ces paramètres d’influence caractéristique.

 

Evolution

 

Or dire qu’une chose subit une influence implique qu’elle évolue. Et puisqu’une chose est définie par l’influence qu’elle exerce alors c’est la dite influence qui évolue.

 

Relativité

 

Par ailleurs, puisqu’il n’existe pas de référence extérieure à l’univers, les éléments sont leurs propres références, les valeurs de leurs paramètres sont donc relatives.

 

Similarité

 

Chaque fragment de l'univers est l'évolution respective de tout autre fragment selon l'influence subjective de la totalité de l'univers.

 

Destinée

 

L’influence doit être telle que l’évolution en soit la conséquence.

 

Ponctualité

 

Toutes choses sont ponctuelles car toutes formes éventuelles peuvent être assimilées à une série de paramètres.

 

Transparence

 

De même tout élément contextuel peut être intégré sous forme de série de paramètre.

 

Axialité

 

Une chose étant l’évolution d’une autre on peu considérer qu’il existe un axe d’évolution reliant ces deux choses.

Une position sur cet axe est caractéristique et déterminable.

 

Par l’existence d’un tel axe nous établissons la réalité d’une dimension de l’univers.

 

Le paramètre d’influence, qui évolue selon cet axe, est une deuxième dimension.

 

Proportionnalité

 

Altérer la totalité des paramètres par multiplication revient, du fait de la relativité, à la division des distances par le même facteur.

Puisque l’évolution est inversement proportionnelle à la distance alors, d’après la destinée, l’influence l’est également.

 

Paramétrage

 

Chaque paramètre ou groupe de paramètres est un fragment de l’univers et donc obéit aux lois sur les fragments.

 

Attendu qu’un paramètre d’influence multiple peut être fragmenté en plusieurs paramètres d’influence unique ;

Attendu qu’un paramètre influençant son propre type de paramètre, du fait de l’appartenance, s’exclus de l’univers ;

Je définis tout paramètre comme ayant une influence exclusive sur un seul autre type de paramètre.

 

Orthogonalité

 

Si on considère que chaque paramètre décrit une position, alors les vecteurs directeurs de ces axes sont orthogonaux.

 

Aconstance

 

Une influence constante ou proportionnelle sur l'univers serait "imperceptible" du fait de la relativité.

(ce serait assimilable à un changement de référentiel)

 

En considération de la destinée, de l’aconstance et de la proportionnalité il apparaît que l’évolution est complexe, ce qui implique l’existence d’une 3° dimension.

Un système d’influence bidimensionnel ne permet pas une évolution aconstante.

 

Finitude

 

Aucun paramètre ne peut être raisonnablement infini car l’influence ainsi induite serait infinie, donc constante, ce qui s’oppose à l’aconstance. De même une position n’est pas infinie mais, à la limite, certaines peuvent tendrent vers l’infini (approximation).

L’univers doit donc être étudié comme un ensemble fini.

 

Continuité

 

L’évolution ne peut pas être discontinue car cela impliquerait une influence infinie.

 

Approximation

 

Une fraction de l’univers peu être étudiée comme étant isolée du reste de l’univers si on considère le résidu du défaut d’isolation. Ainsi une influence constante ou proportionnelle sur cette fraction sera négligeable.

 

Modélisation

 

L’ensemble de ces propriétés nous permet de modéliser l’univers en un espace dimensionnel où chaque point d’influence est déterminé par ses paramètres.

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 41 minutes, Genesiis a dit :

 

Finitude

 

Aucun paramètre ne peut être raisonnablement infini car l’influence ainsi induite serait infinie, donc constante, ce qui s’oppose à l’aconstance. De même une position n’est pas infinie mais, à la limite, certaines peuvent tendrent vers l’infini (approximation).

L’univers doit donc être étudié comme un ensemble fini.

 

 

Mais s'il est fini on peut en sortir. Qu'est ce qu'il en est de ce qui est hors de lui ?

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tout cela me rappelle que la rasoir d'ockham est au philosophe ce que le mur de planck est au scientifique.

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Membre, 55ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 203 messages
Forumeur balbutiant‚ 55ans‚
Posté(e)

Finitude

Aucun paramètre ne peut être raisonnablement infini car l’influence ainsi induite serait infinie, donc constante, ce qui s’oppose à l’aconstance. De même une position n’est pas infinie mais, à la limite, certaines peuvent tendrent vers l’infini (approximation).

L’univers doit donc être étudié comme un ensemble fini.

Boute : Mais s'il est fini on peut en sortir. Qu'est ce qu'il en est de ce qui est hors de lui ?

genesiis : Si on ne peut pas atteindre un mur alors on ne peut pas le traverser.

 

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Genesiis a dit :

Finitude

Aucun paramètre ne peut être raisonnablement infini car l’influence ainsi induite serait infinie, donc constante, ce qui s’oppose à l’aconstance. De même une position n’est pas infinie mais, à la limite, certaines peuvent tendrent vers l’infini (approximation).

L’univers doit donc être étudié comme un ensemble fini.

Boute : Mais s'il est fini on peut en sortir. Qu'est ce qu'il en est de ce qui est hors de lui ?

genesiis : Si on ne peut pas atteindre un mur alors on ne peut pas le traverser.

 

Mis à part peut être que c'est la distance entre soi et le mur, qui est infinie donc, inatteignable.

Et même en prenant en compte que l'univers est fini j'en déduit qu'il a un début et qu'alors il n'existait pas avant ce début donc il n'a pas demandé à exister avant d'exister:gurp: donc son existence est involontaire.

Je te dis pas les répercutions que cela peut avoir sur les composants de son ensemble.

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Membre, 55ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 203 messages
Forumeur balbutiant‚ 55ans‚
Posté(e)

Ca m'intéresse ! Je vous en prie, continuez.

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Genesiis a dit :

Ca m'intéresse ! Je vous en prie, continuez.

L'existence serait involontaire et donc on agirait que par évidence, la conséquence des actes serait causée par ce qui est perçu.

La perception du positif cause l'acte à conséquence positive et la perception du négatif cause l'acte à conséquence négative.

La douleur est estimée négative, l'indolore positif.

Le positif et le négatif s'opposent.

Et c'est là où ça devient complexe.

Car si l'ensemble fini est constitué de plus de positif que de négatif ça irait encore car on pourrait , de leur opposition, additionner autant de positif que de négatif cela s'annulerait en inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore. Et puisque en plus il y a un surplus de positif alors l'ensemble serait positif et à être perçu et cela causerait l'acte à conséquence positive.

Et là où ça se gâte c'est quand il y a plus de négatif que de positif alors là l'ensemble est négatif à être perçu et je te parle pas de la conséquence des actes.

Par contre, de leur opposition, s'il y a un nombre fini d'autant de positif que de négatif alors là, additionnés, ça s'annule en une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore et là l'ensemble est positif à être perçu et cause l'acte à conséquence positive.

Mais il en est sûr de rien quant à la quantité de positif et de négatif dans un monde fini, cela peut varier et au pire pour en avoir autant des deux, autant compter sur le hasard.

Par contre si on prend en compte l'infiniment grand alors c'est plus simple ;

 

Citation

 

Précepte du positif

    Chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand donc l'infiniment grand c'est l'infinité de possibilités
qui sont donc l'infiniment grand.

L'infiniment grand est infini en temps, il est éternel donc il existe qu'il le veuille ou non, son existence est involontaire.

    Alors l'on n'a pas réellement le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait un choix et qu'on ne peut pas changer d'avis. Ou alors lorsqu'on fait le mauvais choix c'est que l' on n'avait pas réellement le choix car on n'avait pas tous les éléments en mains pour faire le bon choix. Et même si on avait tous les éléments en main pour faire le bon choix on n'aurait pas de choix si ce n'est de faire le bon choix. Et cela s'appelle agir par évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu.

    La perception du négatif cause l'acte à conséquence négative et la perception du positif cause l'acte à conséquence positive.

 L'indolore est estimé positif, la douleur est estimée  négative.

    L'infiniment grand est composé d'une infinité de possibilités négatives et d'une infinité de possibilités positives. L'infiniment grand ne s'oppose que de positif et de négatif. De leur opposition autant de positif que de négatif additionnés s'annulent en une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore.

    L'infiniment grand est donc positif à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence positive et rendant chaque possibilité positive car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand.

 

 

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Membre, 57ans Posté(e)
noureddine2 Membre 3 996 messages
Forumeur activiste‚ 57ans‚
Posté(e)
Le 10/10/2018 à 15:54, Boutetractyxreqs a dit :

Par contre, de leur opposition, s'il y a un nombre fini d'autant de positif que de négatif alors là, additionnés, ça s'annule en une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore et là l'ensemble est positif à être perçu et cause l'acte à conséquence positive.

d’après la conservation de l’énergie : le contact de  la matière + l'anti-matière va donner de l'énergie équivalente et constante , donc l'inexistence ne peut se trouver dans notre univers . 

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, noureddine2 a dit :

d’après la conservation de l’énergie : le contact de  la matière + l'anti-matière va donner de l'énergie équivalente et constante , donc l'inexistence ne peut se trouver dans notre univers . 

Si selon le modèle de l'univers, il serait dans un néant infiniment grand. Mais l'infiniment grand il offre des possibilités hors de l'univers comme les autres qui essaient de composer avec.

Ca donnerait il n'y a rien hors de l'univers et si tu vas voir plus loin c'est le néant. Mais le truc bête c'est que c'est le néant alors que le néant ça n'existe pas c'est un pléonasme, alors que c'est le néant est un oxymore.

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Membre, 57ans Posté(e)
noureddine2 Membre 3 996 messages
Forumeur activiste‚ 57ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Si selon le modèle de l'univers, il serait dans un néant infiniment grand. Mais l'infiniment grand il offre des possibilités hors de l'univers comme les autres qui essaient de composer avec.

 

tu appliques des trucs mathématiques sur l'univers , ( mettre  la charrue avant le bœuf )

alors que ce sera mieux d’étudier d'abord l'univers par des expériences et ce n'est qu’après qu'on peut formuler les expériences par des maths . 

les expériences ont donné des théories , par exemple le multivers https://fr.wikipedia.org/wiki/Multivers

donc  tu dois d'abord voir des théories scientifiques sur le NET  et chercher les théories les plus proches de ton idée sur le néant et l'infini ,  mais fais attention à la pseudo-science 

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Membre, Posté(e)
Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, noureddine2 a dit :

tu appliques des trucs mathématiques sur l'univers , ( mettre  la charrue avant le bœuf )

alors que ce sera mieux d’étudier d'abord l'univers par des expériences et ce n'est qu’après qu'on peut formuler les expériences par des maths . 

les expériences ont donné des théories , par exemple le multivers https://fr.wikipedia.org/wiki/Multivers

donc  tu dois d'abord voir des théories scientifiques sur le NET  et chercher les théories les plus proches de ton idée sur le néant et l'infini ,  mais fais attention à la pseudo-science 

La science ne fait que du concordisme avec des mathématiques applicables. Alors que les maths ça existe c'est un langage.

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Membre, 57ans Posté(e)
noureddine2 Membre 3 996 messages
Forumeur activiste‚ 57ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Boutetractyxreqs a dit :

La science ne fait que du concordisme avec des mathématiques applicables. Alors que les maths ça existe c'est un langage.

On peut supposer que les maths est apparut avec les multivers pendant le le big Bang .

Et qu'ils sont

Comme les 2 faces d'une seule médaille. 

Les 2 faces doivent êtres égaux. 

 

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Membre, 57ans Posté(e)
noureddine2 Membre 3 996 messages
Forumeur activiste‚ 57ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, noureddine2 a dit :

 

Les 2 faces doivent êtres égaux. 

 

Une formule mathématique peut etre utilisée dans plusieurs expériences physiques comme un outil ( marteau , pelle ...etc )

Par contre l'expérience physique doit chercher sa formule mathématique qui doit être unique .

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 22 456 messages
scientifique,
Posté(e)
il y a 5 minutes, noureddine2 a dit :

Une formule mathématique peut etre utilisée dans plusieurs expériences physiques comme un outil ( marteau , pelle ...etc )

Par contre l'expérience physique doit chercher sa formule mathématique qui doit être unique .

Dans ne nombreux phénomènes physiques, il n'y a pas qu'une seule formule mathématique lapidaire pour résumer le phénomène !

Un exemple en thermométrie. Il est d'usage de prendre la dilatation comme un phénomène strictement linéaire. du type Y = at+y0 où t est la température et y la dimension. En réalité il est souvent plus rigoureux d'écrire cette variation de dilatation sous forme d'un polynôme  y = at + bt²+ .... y0.

Celui qui ne connaît pas la complexité de la dilatation peut croire que la formule y = at+y0 est la formule unique et satisfaisante.

L'outil mathématique est un outil formidable mais reste un outil.

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Membre, 57ans Posté(e)
noureddine2 Membre 3 996 messages
Forumeur activiste‚ 57ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, noureddine2 a dit :

 

Par contre l'expérience physique doit chercher sa formule mathématique qui doit être unique .

Cette unicité de la réalité physique montre qu'on doit se baser dans notre concordisme sur la réalité physique et unique .

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Membre, 57ans Posté(e)
noureddine2 Membre 3 996 messages
Forumeur activiste‚ 57ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Répy a dit :

 

Un exemple en thermométrie. Il est d'usage de prendre la dilatation comme un phénomène strictement linéaire. du type Y = at+y0 où t est la température et y la dimension. En réalité il est souvent plus rigoureux d'écrire cette variation de dilatation sous forme d'un polynôme  y = at + bt²+ .... y0.

 

J'ai l'impression qu'on fait des simulations approximatives de la réalité,  et notre précision augmente de jour en jour .

Mais ce qui me dérange c'est de dire que E=M.C^2 n'est pas pas approximative .

C'est trop bizarre qu'on arrive dès aujourd'hui  à trouver des formules physiques qui prétendent etres précises et non pas seulement approximatives .

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Membre, 77ans Posté(e)
Hérisson_ Membre 691 messages
Forumeur forcené ‚ 77ans‚
Posté(e)

Bonjour,

Citation

Mais ce qui me dérange c'est de dire que E=M.C^2 n'est pas pas approximative .

C'est trop bizarre qu'on arrive dès aujourd'hui  à trouver des formules physiques qui prétendent être précises et non pas seulement approximatives .

Il faut faire la distinction entre les relations théoriques, qui expriment des lois fondamentales, et les relations empiriques qui se bornent à représenter les variations d'une grandeur sur un domaine limité, avec une précision plus ou moins grande.

La dilatation des liquides en est un exemple: V = V0 + a(t - t0) + b(t - T0)^2 + ...

Relation analogue pour les variations de la résistance électrique d'un fil de platine en fonction de la température: R = R0 + a(t - t0) + ...

La variation de la pression de vapeur saturante d'un liquide en fonction de la température en est un autre:

Ln(P) = A - B/T + C.Ln(t) + D.T + ...

de même que l'équation d'état d'un gaz comprimé (sous plusieurs centaines de bars):

P.V = A + B.T + C.P + D.TP + ...

Il peut intervenir des relations beaucoup plus complexes et difficiles à manipuler.

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 22 456 messages
scientifique,
Posté(e)
Il y a 20 heures, noureddine2 a dit :

J'ai l'impression qu'on fait des simulations approximatives de la réalité,  et notre précision augmente de jour en jour .

Mais ce qui me dérange c'est de dire que E=M.C^2 n'est pas pas approximative .

C'est trop bizarre qu'on arrive dès aujourd'hui  à trouver des formules physiques qui prétendent etres précises et non pas seulement approximatives .

Tu n'as qu'à lire la démonstration d'Einstein !

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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
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il y a 18 minutes, Répy a dit :

Tu n'as qu'à lire la démonstration d'Einstein !

Et si cela ne te suffisait pas, lit celle de Lorentz, qui n'en diffère absolument pas, puisque qu'elles ont la même écriture. La différence entre les deux est que l'un des auteurs se borne à calculer une énergie cinétique pour une vitesse u donnée tandis que l'autre considère le rapport u2 / c et a l'intuition géniale que ce qui plonge l'équation dans le domaine complexe, n'est pas dû à une propriété mathématique, mais à une propriété physique : c serait la limite possible de toute vitesse.

 

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 22 456 messages
scientifique,
Posté(e)
il y a 24 minutes, azad2B a dit :

......tandis que l'autre (Einstein) considère le rapport u2 / c et a l'intuition géniale que ce qui plonge l'équation dans le domaine complexe, n'est pas dû à une propriété mathématique, mais à une propriété physique : c serait la limite possible de toute vitesse.

"domaine complexe" pas au sens populaire (= difficile à expliquer et à comprendre) mais au sens mathématique (nombres complexes comportant une partie "imaginaire" avec i²=-1)

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