Brésil : le candidat de l’extrême droite largement en tête de la présidentielle

Il y a 7 heures, Morfou a dit :

Il a été dit que le multiculturalisme ne fonctionne pas au Brésil...contrairement aux images d'Epinal véhiculées par qui? les mêmes qui encensent Cuba et le Vénézuéla...c'est dire...

Pas qu'il était responsable de...

mais quel multi culturalisme au Brésil ?

j'attends toujours que l'on me les cites

Il y a 12 heures, PASCOU a dit :

Je n'en sais rien mais les si les autres étaient si bien les gens ne les debarquaient pas.

La droite corrompue moins de 5%.

C'est la globalisation.

On se croirait à  la maison.

Revenons sur les élections Brésiliennes

Arte hier soir dans 28 minutes : écouter à partir de 14 min." (avancer sur la barre) ...

https://www.arte.tv/fr/videos/081632-031-A/28-minutes/

Il y a 12 heures, cheuwing a dit :

des ethnies mais ce n'est toujours pas de la culture

bonjour cheuwing, une ethnie possède toujours une culture. c'est ce qui fait les groupes humains. 

il y a 54 minutes, ouest35 a dit :

Revenons sur les élections Brésiliennes

Arte hier soir dans 28 minutes : écouter à partir de 14 min." (avancer sur la barre) ...

https://www.arte.tv/fr/videos/081632-031-A/28-minutes/

Jai écouté tous les commentaires. 

Ça  ne change rien sur les causes.

La corruption de la gauche et la droite comme partout.

à l’instant, jacky29 a dit :

bonjour cheuwing, une ethnie possède toujours une culture. c'est ce qui fait les groupes humains. 

donc il y aurait 170 ethnies différentes (les autochtones) au Brésil qui en ferait autant de cultures différentes et c'est cela qui aurait amené l'extrême droite au pouvoir au Brésil ?

sérieusement je ne vois rien au Brésil qui est une marque de ces tribus, la majorité de l'unité culturelle du Brésil vient des descendants portugais et des esclaves africains arrivé il y a plus de 400 ans, depuis ils ont largement développé une culture commune nationale .

A un moment il faut arrêter de confondre allègrement multi-ethnie et multi culturel

Programme du candidat en tête au premier tout au Brésil :

" 1- L'éradication de la violence au Brésil a été son grand thème de campagne. Pour lutter contre l’insécurité, l'ex-capitaine de l'armée propose plusieurs solutions. D'abord, libéraliser le port d’arme. Il faut "donner l’accès au port d’arme aux gens biens", assure-t-il. "Si l'un d'entre nous, civil ou soldat est attaqué et s'il tire 20 fois sur l'assaillant, il doit être décoré et non pas aller devant la justice".

Dans un pays qui compte plus de 60.000 homicides par an, le slogan "un bon bandit est un bandit mort" fait mouche : selon un sondage, la moitié des Brésiliens pensent la même chose. Le candidat voudrait ouvrir la voie à des exécutions extra-judiciaires de masse. Une pratique qui n'est pas sans rappeler la "guerre contre la drogue" menée aux Philippines par le président Rodrigo Duterte. 

Dans la même veine, il a aussi proposé une immunité judiciaire aux policiers qui abattraient des criminels. Admirateur revendiqué de la dictature miliaire brésilienne au pouvoir de 1964 à 1985, il avait affirmé en 2008 : "Son erreur a été de torturer et non pas de tuer."

2 -Jair Bolsnanoro a reconnu ne rien connaître à l'économie. Pour cette partie-là de son programme, il se fie entièrement à Paulo Guedes, un ancien banquier de 69 ans ultra-libéral. Lui promet des mesures "chocs" pour redresser les finances du pays. Il annonce notamment des privatisations à tout va, capables selon lui de faire rentrer quelque 200 milliards d'euros dans les caisses de l’Etat et de réduire de 20% la dette brésilienne à court terme. Jugeant le système national de sécurité sociale responsable d’un trou massif dans les finances nationales, son fidèle conseiller entend aussi mettre en place un système de retraite par capitalisation.

Les estimations chiffrées et le reste du programme économique du candidat restent flous. Il a pourtant su convaincre les milieux d’affaires, qui se réjouissent de la perspective de voir Bolsonaro empêcher le retour au pouvoir du Parti des travailleurs. Les investisseurs le jugent responsable de la grave récession connue par le pays en 2015 et 2016. Le candidat agite aussi cet argument du ressentiment auprès des classes moyennes, jouant sur la peur du déclassement et de la précarité.

" 3- "En meeting à Paraíba, dans le Nord-est, en février 2017, il déclarait : "Cette histoire d'Etat laïc n'existe pas, non. L'Etat est chrétien et que celui qui n'est pas d'accord s'en aille." Jair Bolsonaro est un fervent catholique, et l’affirme haut et fort. Marié trois fois, il a cependant réussi à s'attirer la sympathie des chrétiens évangélistes, qui représentent un quart de l'électorat brésilien. "Le Brésil au-dessus de tout, Dieu au-dessus de tous", résume le slogan de sa campagne présidentielle.

L’avortement ne figure pas dans son programme officiel, ce qui ne l'empêche pas de s’exprimer régulièrement sur le sujet. Il a ainsi promis d'opposer son veto à toute tentative d'assouplissement d'une loi déjà très restrictive. Au Brésil, l'IVG n'est autorisée qu'en cas de viol, de risque pour la mère ou de grave malformation du cerveau du foetus.

4 - "Sans surprise, Jair Bolsonaro est hostile au mariage gay. Il a plusieurs fois tenu des propos ouvertement homophobes, en meetings, au parlement ou dans la presse. "Je serais incapable d'aimer un fils homosexuel. Je ne serai pas hypocrite : je préférerais que mon fils meure dans un accident plutôt que de le voir apparaître avec un moustachu", affirmait-il dans "Playboy" en 2011. 10 ans plus tôt, il déclarait déjà : "Je ne vais pas combattre ni même discriminer, mais si je croise deux hommes qui s’embrassent dans la rue, je frapperai". 

Jair Bolsanoro entend par ailleurs revoir la loi sur les féminicides – assassinat d’une femme en raison de son genre - qui alourdit les peines de prison requises dans ce type d'affaire. Au Brésil, les femmes se sont largement mobilisées contre le candidat, pointant du doigt ses déclarations misogynes. En plein hémicycle en 2014, Bolsonaro avait dit à la députée de gauche Maria do Rosario : "Je ne te violerai pas, parce que tu ne le mérites pas".

Autre rétropédalage, Bolsanoro voudrait supprimer les quotas de places réservées aux brésiliens noirs, dans les universités notamment. "

5 -" Fort du soutien du puissant lobby de l'agro-business au Parlement, son programme prévoit de regrouper les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement "en un seul". Il n'évoque ni la déforestation, massive en Amérique du sud, ni le réchauffement climatique. "

https://www.nouvelobs.com/monde/20181008.OBS3597/bresil-ce-que-contient-le-programme-du-candidat-d-extreme-droite-jair-bolsonaro.html

En 5 points ... c'est crépusculaire et un grand froid dans le dos ... A côté de ce type Trump mérite le Prix Nobel !!!

il y a 18 minutes, PASCOU a dit :

Jai écouté tous les commentaires. 

Ça  ne change rien sur les causes.

La corruption de la gauche et la droite comme partout.

Vous n'avez pas tout écouté ... la criminalité et tout ce qui a foiré socialement itou ! Lisez ce que je viens de mettre : vous pensez que ce type (je dirais fou a lier) va rendre les brésiliens heureux ?

il y a 54 minutes, jacky29 a dit :

bonjour cheuwing, une ethnie possède toujours une culture. c'est ce qui fait les groupes humains. 

Non mais, il chipote, exprès ou pas...

il y a 53 minutes, cheuwing a dit :

donc il y aurait 170 ethnies différentes (les autochtones) au Brésil qui en ferait autant de cultures différentes et c'est cela qui aurait amené l'extrême droite au pouvoir au Brésil ?

sérieusement je ne vois rien au Brésil qui est une marque de ces tribus, la majorité de l'unité culturelle du Brésil vient des descendants portugais et des esclaves africains arrivé il y a plus de 400 ans, depuis ils ont largement développé une culture commune nationale .

A un moment il faut arrêter de confondre allègrement multi-ethnie et multi culturel

Dans le chapitre « Conquête européenne et extinction des Indiens »  : […] naguère dissimulées par honte ou par crainte, et aujourd'hui revendiquée avec fierté. On dénombrait ainsi en 2005 pour le seul Brésil 225 ethnies parlant près de 180 langues, et quelque 50 groupes d'Indiens isolés (arredios), nomades évitant tout contact avec le monde extérieur.

il y a 43 minutes, ouest35 a dit :

Programme du candidat en tête au premier tout au Brésil :

" 1- L'éradication de la violence au Brésil a été son grand thème de campagne. Pour lutter contre l’insécurité, l'ex-capitaine de l'armée propose plusieurs solutions. D'abord, libéraliser le port d’arme. Il faut "donner l’accès au port d’arme aux gens biens", assure-t-il. "Si l'un d'entre nous, civil ou soldat est attaqué et s'il tire 20 fois sur l'assaillant, il doit être décoré et non pas aller devant la justice".

Dans un pays qui compte plus de 60.000 homicides par an, le slogan "un bon bandit est un bandit mort" fait mouche : selon un sondage, la moitié des Brésiliens pensent la même chose. Le candidat voudrait ouvrir la voie à des exécutions extra-judiciaires de masse. Une pratique qui n'est pas sans rappeler la "guerre contre la drogue" menée aux Philippines par le président Rodrigo Duterte. 

Dans la même veine, il a aussi proposé une immunité judiciaire aux policiers qui abattraient des criminels. Admirateur revendiqué de la dictature miliaire brésilienne au pouvoir de 1964 à 1985, il avait affirmé en 2008 : "Son erreur a été de torturer et non pas de tuer."

2 -Jair Bolsnanoro a reconnu ne rien connaître à l'économie. Pour cette partie-là de son programme, il se fie entièrement à Paulo Guedes, un ancien banquier de 69 ans ultra-libéral. Lui promet des mesures "chocs" pour redresser les finances du pays. Il annonce notamment des privatisations à tout va, capables selon lui de faire rentrer quelque 200 milliards d'euros dans les caisses de l’Etat et de réduire de 20% la dette brésilienne à court terme. Jugeant le système national de sécurité sociale responsable d’un trou massif dans les finances nationales, son fidèle conseiller entend aussi mettre en place un système de retraite par capitalisation.

Les estimations chiffrées et le reste du programme économique du candidat restent flous. Il a pourtant su convaincre les milieux d’affaires, qui se réjouissent de la perspective de voir Bolsonaro empêcher le retour au pouvoir du Parti des travailleurs. Les investisseurs le jugent responsable de la grave récession connue par le pays en 2015 et 2016. Le candidat agite aussi cet argument du ressentiment auprès des classes moyennes, jouant sur la peur du déclassement et de la précarité.

" 3- "En meeting à Paraíba, dans le Nord-est, en février 2017, il déclarait : "Cette histoire d'Etat laïc n'existe pas, non. L'Etat est chrétien et que celui qui n'est pas d'accord s'en aille." Jair Bolsonaro est un fervent catholique, et l’affirme haut et fort. Marié trois fois, il a cependant réussi à s'attirer la sympathie des chrétiens évangélistes, qui représentent un quart de l'électorat brésilien. "Le Brésil au-dessus de tout, Dieu au-dessus de tous", résume le slogan de sa campagne présidentielle.

L’avortement ne figure pas dans son programme officiel, ce qui ne l'empêche pas de s’exprimer régulièrement sur le sujet. Il a ainsi promis d'opposer son veto à toute tentative d'assouplissement d'une loi déjà très restrictive. Au Brésil, l'IVG n'est autorisée qu'en cas de viol, de risque pour la mère ou de grave malformation du cerveau du foetus.

4 - "Sans surprise, Jair Bolsonaro est hostile au mariage gay. Il a plusieurs fois tenu des propos ouvertement homophobes, en meetings, au parlement ou dans la presse. "Je serais incapable d'aimer un fils homosexuel. Je ne serai pas hypocrite : je préférerais que mon fils meure dans un accident plutôt que de le voir apparaître avec un moustachu", affirmait-il dans "Playboy" en 2011. 10 ans plus tôt, il déclarait déjà : "Je ne vais pas combattre ni même discriminer, mais si je croise deux hommes qui s’embrassent dans la rue, je frapperai". 

Jair Bolsanoro entend par ailleurs revoir la loi sur les féminicides – assassinat d’une femme en raison de son genre - qui alourdit les peines de prison requises dans ce type d'affaire. Au Brésil, les femmes se sont largement mobilisées contre le candidat, pointant du doigt ses déclarations misogynes. En plein hémicycle en 2014, Bolsonaro avait dit à la députée de gauche Maria do Rosario : "Je ne te violerai pas, parce que tu ne le mérites pas".

Autre rétropédalage, Bolsanoro voudrait supprimer les quotas de places réservées aux brésiliens noirs, dans les universités notamment. "

5 -" Fort du soutien du puissant lobby de l'agro-business au Parlement, son programme prévoit de regrouper les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement "en un seul". Il n'évoque ni la déforestation, massive en Amérique du sud, ni le réchauffement climatique. "

https://www.nouvelobs.com/monde/20181008.OBS3597/bresil-ce-que-contient-le-programme-du-candidat-d-extreme-droite-jair-bolsonaro.html

En 5 points ... c'est crépusculaire et un grand froid dans le dos ... A côté de ce type Trump mérite le Prix Nobel !!!

 

 

Vous n'avez pas tout écouté ... la criminalité et tout ce qui a foiré socialement itou ! Lisez ce que je viens de mettre : vous pensez que ce type (je dirais fou a lier) va rendre les brésiliens heureux ?

Les brésiliens en ont plus que marre de la misère, des meurtres, de la drogue!

Ils sont désespérés...ils veulent de l'ordre et que leurs enfants ne soient plus tués par des balles perdues tirées par des dealers à coté même des écoles et qui ne se cachent même pas...

Gouvernement inexistant...corrompu ainsi que sa police...

Notons, qu'encore une fois l'église soutient un candidat aux idées anti avortement, homophobe et misogyne comme pas possible, en plus d'être proche du fascisme puisque ce candidat admire ouvertement l'ex dictature.

L'histoire se répète !

" Les brésiliens en ont plus que marre de la misère, des meurtres, de la drogue! "

N'oublions pas que sous la dictature, les crimes existaient aussi, c'était l'Etat qui emprisonnait, torturait et tuait (on parle de 20.000 personnes...) sans oublier la  censure, la guérilla  et la drogue qui était déjà bien présente.

Il y a 1 heure, ouest35 a dit :

Programme du candidat en tête au premier tout au Brésil :

" 1- L'éradication de la violence au Brésil a été son grand thème de campagne. Pour lutter contre l’insécurité, l'ex-capitaine de l'armée propose plusieurs solutions. D'abord, libéraliser le port d’arme. Il faut "donner l’accès au port d’arme aux gens biens", assure-t-il. "Si l'un d'entre nous, civil ou soldat est attaqué et s'il tire 20 fois sur l'assaillant, il doit être décoré et non pas aller devant la justice".

Dans un pays qui compte plus de 60.000 homicides par an, le slogan "un bon bandit est un bandit mort" fait mouche : selon un sondage, la moitié des Brésiliens pensent la même chose. Le candidat voudrait ouvrir la voie à des exécutions extra-judiciaires de masse. Une pratique qui n'est pas sans rappeler la "guerre contre la drogue" menée aux Philippines par le président Rodrigo Duterte. 

Dans la même veine, il a aussi proposé une immunité judiciaire aux policiers qui abattraient des criminels. Admirateur revendiqué de la dictature miliaire brésilienne au pouvoir de 1964 à 1985, il avait affirmé en 2008 : "Son erreur a été de torturer et non pas de tuer."

2 -Jair Bolsnanoro a reconnu ne rien connaître à l'économie. Pour cette partie-là de son programme, il se fie entièrement à Paulo Guedes, un ancien banquier de 69 ans ultra-libéral. Lui promet des mesures "chocs" pour redresser les finances du pays. Il annonce notamment des privatisations à tout va, capables selon lui de faire rentrer quelque 200 milliards d'euros dans les caisses de l’Etat et de réduire de 20% la dette brésilienne à court terme. Jugeant le système national de sécurité sociale responsable d’un trou massif dans les finances nationales, son fidèle conseiller entend aussi mettre en place un système de retraite par capitalisation.

Les estimations chiffrées et le reste du programme économique du candidat restent flous. Il a pourtant su convaincre les milieux d’affaires, qui se réjouissent de la perspective de voir Bolsonaro empêcher le retour au pouvoir du Parti des travailleurs. Les investisseurs le jugent responsable de la grave récession connue par le pays en 2015 et 2016. Le candidat agite aussi cet argument du ressentiment auprès des classes moyennes, jouant sur la peur du déclassement et de la précarité.

" 3- "En meeting à Paraíba, dans le Nord-est, en février 2017, il déclarait : "Cette histoire d'Etat laïc n'existe pas, non. L'Etat est chrétien et que celui qui n'est pas d'accord s'en aille." Jair Bolsonaro est un fervent catholique, et l’affirme haut et fort. Marié trois fois, il a cependant réussi à s'attirer la sympathie des chrétiens évangélistes, qui représentent un quart de l'électorat brésilien. "Le Brésil au-dessus de tout, Dieu au-dessus de tous", résume le slogan de sa campagne présidentielle.

L’avortement ne figure pas dans son programme officiel, ce qui ne l'empêche pas de s’exprimer régulièrement sur le sujet. Il a ainsi promis d'opposer son veto à toute tentative d'assouplissement d'une loi déjà très restrictive. Au Brésil, l'IVG n'est autorisée qu'en cas de viol, de risque pour la mère ou de grave malformation du cerveau du foetus.

4 - "Sans surprise, Jair Bolsonaro est hostile au mariage gay. Il a plusieurs fois tenu des propos ouvertement homophobes, en meetings, au parlement ou dans la presse. "Je serais incapable d'aimer un fils homosexuel. Je ne serai pas hypocrite : je préférerais que mon fils meure dans un accident plutôt que de le voir apparaître avec un moustachu", affirmait-il dans "Playboy" en 2011. 10 ans plus tôt, il déclarait déjà : "Je ne vais pas combattre ni même discriminer, mais si je croise deux hommes qui s’embrassent dans la rue, je frapperai". 

Jair Bolsanoro entend par ailleurs revoir la loi sur les féminicides – assassinat d’une femme en raison de son genre - qui alourdit les peines de prison requises dans ce type d'affaire. Au Brésil, les femmes se sont largement mobilisées contre le candidat, pointant du doigt ses déclarations misogynes. En plein hémicycle en 2014, Bolsonaro avait dit à la députée de gauche Maria do Rosario : "Je ne te violerai pas, parce que tu ne le mérites pas".

Autre rétropédalage, Bolsanoro voudrait supprimer les quotas de places réservées aux brésiliens noirs, dans les universités notamment. "

5 -" Fort du soutien du puissant lobby de l'agro-business au Parlement, son programme prévoit de regrouper les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement "en un seul". Il n'évoque ni la déforestation, massive en Amérique du sud, ni le réchauffement climatique. "

https://www.nouvelobs.com/monde/20181008.OBS3597/bresil-ce-que-contient-le-programme-du-candidat-d-extreme-droite-jair-bolsonaro.html

En 5 points ... c'est crépusculaire et un grand froid dans le dos ... A côté de ce type Trump mérite le Prix Nobel !!!

 

 

Vous n'avez pas tout écouté ... la criminalité et tout ce qui a foiré socialement itou ! Lisez ce que je viens de mettre : vous pensez que ce type (je dirais fou a lier) va rendre les brésiliens heureux ?

Je n'en sais rien mais c'est sans doute ce qu'ils  pensent.

Oui tout à foiré ça c'est sûr  donc si on vois écoute il fallait garder les memes.

Les Brésiliens ont choisi ils verront bien.

Il y a 3 heures, ouest35 a dit :

Revenons sur les élections Brésiliennes

Arte hier soir dans 28 minutes : écouter à partir de 14 min." (avancer sur la barre) ...

https://www.arte.tv/fr/videos/081632-031-A/28-minutes/

Ce qui est amusant avec vous Ouest c'est que vous avez l'indignation très, comment pourrais je dire?

Sans risque et tres tendance.

Quand il s'agit de l'Arabie du yemen etc...on ne vous entend pas.

Que sur les sujets qui vont dans le sens du poil politiquement correct.

Vous condamnez avant le passage à  l'acte.

Puis pour d'autres peut être  pire rien.

Moi je dis qu'il  n'y a pas de hasard en politique.

Vous tapez juste sur les conséquences comme toujours.

Et comme beaucoup.

il y a 13 minutes, Anatole1949 a dit :

Notons, qu'encore une fois l'église soutient un candidat aux idées anti avortement, homophobe et misogyne comme pas possible, en plus d'être proche du fascisme puisque ce candidat admire ouvertement l'ex dictature.

L'histoire se répète !

" Les brésiliens en ont plus que marre de la misère, des meurtres, de la drogue! "

N'oublions pas que sous la dictature, les crimes existaient aussi, c'était l'Etat qui emprisonnait, torturait et tuait (on parle de 20.000 personnes...) sans oublier la  censure, la guérilla  et la drogue qui était déjà bien présente.

 

Ah! Le copié collé quotidien.

il y a 8 minutes, Anatole1949 a dit :

Notons, qu'encore une fois l'église soutient un candidat aux idées anti avortement, homophobe et misogyne comme pas possible, en plus d'être proche du fascisme puisque ce candidat admire ouvertement l'ex dictature.

L'histoire se répète !

" Les brésiliens en ont plus que marre de la misère, des meurtres, de la drogue! "

N'oublions pas que sous la dictature, les crimes existaient aussi, c'était l'Etat qui emprisonnait, torturait et tuait (on parle de 20.000 personnes...) sans oublier la  censure, la guérilla  et la drogue qui était déjà bien présente.

 

60 000 morts actuels, sans dictature...corruption à tous les étages...

C'est à eux je pense de savoir ce qu'ils veulent, entre le choléra et la peste...de toutes façons, ils n'ont pas beaucoup de choix!

La gauche met toujours le pied à l'étrier de l'extrême droite...faudrait peut-être commencer à se poser les bonnes questions...

Même en France...ne  l'oubliez pas...Chirac lepen! en 2017 Macron Marine!

il y a 5 minutes, Morfou a dit :

60 000 morts actuels, sans dictature...corruption à tous les étages...

C'est à eux je pense de savoir ce qu'ils veulent, entre le choléra et la peste...de toutes façons, ils n'ont pas beaucoup de choix!

La gauche met toujours le pied à l'étrier de l'extrême droite...faudrait peut-être commencer à se poser les bonnes questions...

Même en France...ne  l'oubliez pas...Chirac lepen! en 2017 Macron Marine!

Faut-il passer par le fascisme pour redorer une situation ?

Comment était le Brésil après des années de dictature ?

Comment était l'Italie après Mussolini, l'Allemagne après Hitler, la France après Pétain ?

Aucune dictature de droite comme de gauche n'a apporté du mieux à un pays !

à l’instant, Anatole1949 a dit :

Faut-il passer par le fascisme pour redorer une situation ?

Comment était le Brésil après des années de dictature ?

Comment était l'Italie après Mussolini, l'Allemagne après Hitler, la France après Pétain ?

Aucune dictature de droite comme de gauche n'a apporté du mieux à un pays !

 

Comme écrit plus haut, un peuple désespéré qui n'a de choix qu'entre la peste et le choléra...

Ils sont déjà passer par là, pourtant ils ont l'air de vouloir y revenir, pensant sans doute que cela ne peut être pire qu'aujourd'hui...

Qui sommes nous pour juger?

il y a 19 minutes, PASCOU a dit :

Ce qui est amusant avec vous Ouest c'est que vous avez l'indignation très, comment pourrais je dire?

Sans risque et tres tendance.

Quand il s'agit de l'Arabie du yemen etc...on ne vous entend pas.

Que sur les sujets qui vont dans le sens du poil politiquement correct.

Vous condamnez avant le passage à  l'acte.

Puis pour d'autres peut être  pire rien.

Moi je dis qu'il  n'y a pas de hasard en politique.

Vous tapez juste sur les conséquences comme toujours.

Et comme beaucoup.

 

Ah! Le copié collé quotidien.

Tu as raison, c'est le quotidien de toutes les dictatures d'extrême droite...

Comment va Sainte-Jeanne-d'Arc, elle ne s'ennuie pas trop des salamalecs de ton idole Marine Le Pen histoire qui toujours prête a grappiller quelques votes de bon bigots   ?

il y a 2 minutes, Morfou a dit :

Comme écrit plus haut, un peuple désespéré qui n'a de choix qu'entre la peste et le choléra...

Ils sont déjà passer par là, pourtant ils ont l'air de vouloir y revenir, pensant sans doute que cela ne peut être pire qu'aujourd'hui...

Qui sommes nous pour juger?

 

"Qui sommes-nous pour juger"

On disait ça aussi à l'époque de Mussolini, Franco et Hitler...

il y a 12 minutes, Anatole1949 a dit :

Tu as raison, c'est le quotidien de toutes les dictatures d'extrême droite...

Comment va Sainte-Jeanne-d'Arc, elle ne s'ennuie pas trop des salamalecs de ton idole Marine Le Pen histoire qui toujours prête a grappiller quelques votes de bon bigots   ?

"Qui sommes-nous pour juger"

On disait ça aussi à l'époque de Mussolini, Franco et Hitler...

On croirait un vieux serveur détraqué qui ne comprend même pas les questions ,bloqué sur les mêmes réponses quelque soient celles ci.

Et en ponctuation pétain, avant de se réitianiliser!

ça doit fumer.

il y a une heure, Anatole1949 a dit :

Notons, qu'encore une fois l'église soutient un candidat aux idées anti avortement, homophobe et misogyne comme pas possible, en plus d'être proche du fascisme puisque ce candidat admire ouvertement l'ex dictature.

L'histoire se répète !

" Les brésiliens en ont plus que marre de la misère, des meurtres, de la drogue! "

N'oublions pas que sous la dictature, les crimes existaient aussi, c'était l'Etat qui emprisonnait, torturait et tuait (on parle de 20.000 personnes...) sans oublier la  censure, la guérilla  et la drogue qui était déjà bien présente.

 

mais, Anatole, c'est toujours la même chose avec l'église catholique apostolique et romaine... tu me diras que c'est pareil chez les orthodoxes, les anglicans etc etc... bref, c'est toujours rétrograde. et pour le reste, les mafias en tout genre ont toujours régné main dans la main avec les dictateurs de tout poil. à quand les escadrons de la mort! ma foi, j'ai beau prendre de l'âge, j'ai l'impression de faire du sur-place. cela me désole.

il y a une heure, PASCOU a dit :

Les Brésiliens ont choisi ils verront bien.

pas encore, même s'il est probable que le "petit caporal" va passer. Attendons quand même le deuxième tour.

il y a 4 minutes, chanou 34 a dit :

pas encore, même s'il est probable que le "petit caporal" va passer. Attendons quand même le deuxième tour.

Le petit caporal va devenir général?