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Le chef de l’Etat a fait la leçon à un jeune homme sans emploi rencontré en marge des Journées du patrimoine.

De l’emploi ? « Je traverse la rue, je vous en trouve », assure Emmanuel Macron. Interrogé ce samedi par un jeune horticulteur au chômage, le président de la République a rétorqué que d’autres secteurs, notamment l’hôtellerie-restauration, recrutaient, selon lui, à tour de bras.

« Il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens ! », s’est même étonné le chef de l’Etat devant les caméras de BFM TV. Et d’ajouter, en référence à une rue voisine présentant de nombreux établissements : « Je suis sûr qu’il y en a un sur deux qui recrute en ce moment... »

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complètement déconnecté des réalités le gars 

Et ben vu que Macron trouve du boulot pour les chômeur, je propose que tous les chômeurs se déplacent à l'Elysée et reste en insistant auprès du président jusqu'à ce que le chômeur soit placé sur un contrat non précaire.

je traverse la route et tuas un emploi,si c,est si facile pourquoi macron ne fait pas le trottoir pour écraser les chômage.

Ben ça il y en a qui recrutent c'est sûr. Mais des personnes déjà expérimentées. Et qui acceptent aussi de travailler comme des brutes juste en touchant le smic. Et en ayant une grande disponibilité aussi. En faisant plusieurs tâches également qui n'ont parfois rien à voir avec le métier recherché.

Ensuite entre ce qu’on dit à un politicien et la réalité concrète quand il faut embaucher une personne y a un monde !

ça fait toujours plaisir d’étre pris pour des gogolles 

Sous-entendu : les chômeurs ont forcément tort ou ne cherchent pas bien. Bravo 

c,est normal que les sans travail aient tort ,les Français sont des bons a rien , des illétés, enfin des gaulois...et macron en est le chef par force.

Moi aussi je peux dire la même chose mais .Tu bosses 12 h par jour.Tu touches 800 £ et tu as besoin à minima de 1000 £ pour vivre, c'est ça le libéralisme faut pas rêver .

En revanche il met l'accent sur quelque chose d'important auquel les gens ne pensent pas toujours ou rarement : la formation.

Selon votre situation et celle du marché de l'emploi ça peut être important de vous former dans un autre domaine.

il y a 16 minutes, PLS maker a dit :

Sous-entendu : les chômeurs ont forcément tort ou ne cherchent pas bien. Bravo 

ou n'acceptent pas forcément ce qu'ils ne leur correspond pas ... ils n'ont pas tort ,mais il faut avoir l'honnêteté de le reconnaitre ...

il y a 1 minute, stvi a dit :

ou n'acceptent pas forcément ce qu'ils ne leur correspond pas ... ils n'ont pas tort ,mais il faut avoir l'honnêteté de le reconnaitre ...

Pas faux, en effet. 

il y a un sévère problème de formation en France, 300 000 emplois qui ne trouvent personne, faute de connaissance de certains métiers. Il y a certe un problème de rémunération, ou de coût trop élevé de la vie (voir les deux cumulés), mais cette situation n'est pas normale. Je connais des plombiers qui cherchent des apprentis, et qui sont prêt à les former et les rémunérer de manière correcte, mais personne à se présenter, dû à la mauvaise image du métier...

Donc,si on propose une reconversion à des jeunes chômeurs, ça ne me choque nullement. Après, si il a 2 mains gauches, on l'excuse, sinon, au boulot...

il y a 15 minutes, Quasi-Modo a dit :

En revanche il met l'accent sur quelque chose d'important auquel les gens ne pensent pas toujours ou rarement : la formation.

Selon votre situation et celle du marché de l'emploi ça peut être important de vous former dans un autre domaine.

Une formation c'est indispensable pour la majorité des métiers. Par contre l'efficacité de ces formations, on en reparlera.

La plupart des formations ne vont juste t'aider que sur le plan théorique et très peu sur le plan pratique.

On peut réussir une formation, décrocher le diplôme, cela ne veut pas dire qu'on sera à l'aise dans le boulot en question. Si il te manque la rapidité ou la force alors que c'est indispensable, il y a beaucoup d'employeurs qui ne voudront pas de toi. Même si tu es diplômé et formé.

Un autre problème aussi, beaucoup de formations restent inaccessibles pour beaucoup de gens. C'est quand même hallucinant que certaines formations ne soient accessibles qu'à des personnes qui travaillent déjà. Certes certaines formations n'acceptent pas les personnes sans emplois ou au chômage mais le pire aussi c'est que même en financement individuel, parfois on ne peut pas non plus. Même si tu es assez riche et que tu peux tout payer de ta poche, ils ne veulent pas de toi quand même.

Il faut aussi reconnaître que l'UE ne nous a pas grandement aidé dans cette lutte contre le chômage.

Il suffit de compter le nombre de travailleurs détachés et le nombre de postes n'existant plus à cause de délocalisations vers les pays de l'Europe de l'Est pour comprendre!

à quel salaire les jobs non pourvus?

c'est pas une question de formation mais de viabilité. à quand une réforme sérieuse sur le salaire minimum indexé sur le cours des actions?

la formation n'est une formule comptable pour détourner de l'argent de l'unedic et optimiser les statistiques du chômage.

il y a 20 minutes, Mateloana a dit :

il y a un sévère problème de formation en France, 300 000 emplois qui ne trouvent personne, faute de connaissance de certains métiers. Il y a certe un problème de rémunération, ou de coût trop élevé de la vie (voir les deux cumulés), mais cette situation n'est pas normale. Je connais des plombiers qui cherchent des apprentis, et qui sont prêt à les former et les rémunérer de manière correcte, mais personne à se présenter, dû à la mauvaise image du métier...

Donc,si on propose une reconversion à des jeunes chômeurs, ça ne me choque nullement. Après, si il a 2 mains gauches, on l'excuse, sinon, au boulot...

Lu dans Libération: Bac pro : «Les jeunes ne trouvent pas de patron et reviennent dans nos classes» Mai 2018

 ""Comment voulez-vous qu’une entreprise les prenne en apprentissage ? Déjà, pour décrocher un stage, c’est toute une histoire, alors un contrat en apprentissage… Les entreprises n’en veulent pas. En électricité par exemple, l’une des filières de mon lycée, les artisans sont souvent à leur compte. Ils n’ont pas les moyens ou le temps, de former un apprenti. Quant aux grosses entreprises, elles préfèrent des jeunes matures, souvent en BTS.

La plupart des centres de formation d’apprentis autour de chez moi ne font pas le plein, il ne faut pas croire. Les jeunes ne trouvent pas de patron et reviennent dans nos classes à la rentrée.

Quand j’entends ce discours valorisant l’apprentissage, j’ai l’impression d’un retour après-guerre, avec cette image du jeune des années 50 et des métiers de l’époque. Mais tout a changé. Les métiers manuels d’aujourd’hui sont hypermécanisés. Il faut conduire des machines, et donc avoir l’âge requis. Pareil pour la mobilité géographique. Au lycée, les élèves n’ont pas le permis, et parfois même pas de scooter… Dans une grande agglomération avec des réseaux de transport, peut-être, mais ce n’est pas le cas partout. C’est celle-là, la réalité de terrain.»

Toujours aussi puant ce Macron. En disant cela il sous entend que la personne ne cherche pas de boulot, et que l'offre est pléthorique. 

Tout cà c'est de la merde et les politique le savent ..Dans 10 ans y'aura plus de boulot, l'IA supplante déjà tout.Produire pour consommer pour produire.Que c'est malin, que c'est intelligent, c'est ça le pillage de la planète mais , la planète c'est pas un magasin de pièces détachées pour des libéraux tarées. Qu'on se le dise

il y a une heure, chatperché a dit :

je traverse la route et tuas un emploi,si c,est si facile pourquoi macron ne fait pas le trottoir pour écraser les chômage.

Alternance. 52 % des jeunes ne trouvent pas d'entreprise

et Sept jeunes sur dix n'ont pas été embauchés après leur alternance...  

Pourtant 32 % des élèves décident de mettre un terme à leur contrat à cause de leurs conditions de travail. Du côté de l’entreprise, ce pourcentage baisse à 12 %. Les secteurs de l’hôtellerie, du commerce et de la santé sont les plus impactés à cause de leurs horaires parfois difficiles et du niveau d’exigence demandée.