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la mondialisation.....


PASCOU

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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...est elle la cause du déséquilibre, de la surconsommation, des excès et la véritable responsable du changement climatique.

Je mets ce lien non pour le Brexit, mais pour ce qu'on ne produit plus localement et ce qu'on consomme en masse venant d'on ne sait où et toujours moins cher.

Famine dans moins d’un an au Royaume-Uni en cas de Brexit sec

9 août 2018 14 h 00 min·

Famine An Royaume Uni Cas Brexit Sec
 
Selon le syndicat des agriculteurs britanniques, le Royaume-Uni se trouvera à court de nourriture dans un an en cas de « Brexit sec », c’est-à-dire sans accord avec l’Union européenne. Cette promesse de famine est à double tranchant, car elle condamne le libre-échange qu’elle veut promouvoir.
 
Minette Batters, la présidente du NFU (National Farmers Union, syndicat national des agriculteurs britanniques), répondant au ministre du Brexit Dominic Raab pour qui la nourriture du Royaume Uni sera assurée en toute hypothèse, craint qu’un Brexit sec n’ait une incidence terrible sur l’approvisionnement du Royaume-Uni et souhaite un accord « sans friction » avec l’UE. Le syndicat des agriculteurs britanniques est très inquiet pour ce qu’on appelle là-bas la sécurité d’approvisionnement en nourriture, et chez nous auto-suffisance alimentaire.
 

Dans moins d’un an, ce sera la famine au Royaume-Uni

 
Minette Baters a fait procéder au calcul de la date théorique à partir de laquelle le Royaume-Uni se trouvera à court d’approvisionnement alimentaire en cas de Brexit sec. Il s’agit du 7 aout 2019, dans moins d’un an. Le grand syndicat agricole fonde ses inquiétudes et ses projections sur une tendance statistique lourde et ancienne : le Royaume Uni, qui produisait 73 % de ce dont il avait besoin pour nourrir sa population en 1986, n’en produit plus que 60 % trente ans plus tard. Un bref regard sur les tableaux du ministère de l’agriculture britannique, produit par produit, est instructif : Les œufs, les légumes et fruits frais, le blé, la viande, même le mouton et le bœuf, manquent en Angleterre dans des quantités effrayantes. Seuls le lait et le beurre s’en tirent, et il y a excédent commercial pour le saumon fumé et le whisky.
 

Bronzing catastrophe : le Brexit sec, c’est l’enfer sur terre

 
La question qu’on doit se poser est : à quoi sert la publication d’une telle prédiction en plein mois d’août (quinze jours après la célébration du jour où la terre vit à crédit) ? Réponse : à terroriser le public qui frit sur les plages. On lui avait promis qu’en cas de Brexit la bourse s’effondrerait et l’économie régresserait jusqu’au Crétacé supérieur. Ça n’est pas arrivé. Il faut plus fort. Une bonne famine, ça parle. La première cible est explicitement le Brexit, surtout sec, abomination nationaliste et populiste. Subsidiairement, on suggère aux habitants du Royaume-Uni de changer leurs habitudes alimentaires. Planter des pommiers, ça peut se faire vite, mais il s’agirait de réduire les petites saucisses et le bacon du breakefast, dont se passent fort bien leurs compatriotes musulmans.
 

Et si le Royaume-Uni en finissait avec le libre-échange absolu ?

 
Question : est-ce que la propagande ne va pas se retourner contre elle-même ? L’Anglais moyen, insulaire de longue date, va peut-être vouloir recouvrer son indépendance alimentaire. Et se rendre compte que le libre-échange, en le gavant de produits européens et mondiaux, est à l’origine de ses angoisses : on le submerge de lime et de mangues toute l’année, mais on le prive de ses bonnes vieilles nourritures britanniques. La menace de famine est le prix dont il paye le rêve de Cocagne que lui a fait miroiter le libre-échange intégral. Ceinture serrée, régime sec, travail dur peuvent seuls lui permettre d’en sortir avec le Brexit. Avec un doigt de whisky le dimanche, car le stock est bon.
 

Pauline Mille

https://reinformation.tv/87067-2-famine-an-royaume-uni-cas-brexit-sec-mille/

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 15 624 messages
Forumeur confit,
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C’est vrai, la mondialisation c’est le mal !

Nous devrions fermer toutes les portes et toutes les frontières pour les rendre absolument infranchissable.

Quel bonheur suprême pour un peuple de vivre en autarcie complète, nous aurions comme chef un homme éclairé ressemblant à King Jong-Un en Corée du Nord, qui aurait droit de vie et de mort sur nous ces humbles sujets.

Le plus grand drame qui pourrait survenir c’est incontestablement la mort de ce grand timonier, nous serions obligés de pleurer en public, afin de bien faire savoir aux commissaires du peuple, chargés des basses besognes, que nous sommes d’une tristesse infinie et d’une désespérance inconsolable.

Le bonheur quoi !

Mais qu’est-ce qu’on attend PASCOU pour organiser ce bonheur ?:8):

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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https://www.alternatives-economiques.fr/limpact-de-croissance-lenvironnement/00032022

il y a une heure, Enchantant a dit :

C’est vrai, la mondialisation c’est le mal !

Nous devrions fermer toutes les portes et toutes les frontières pour les rendre absolument infranchissable.

Quel bonheur suprême pour un peuple de vivre en autarcie complète, nous aurions comme chef un homme éclairé ressemblant à King Jong-Un en Corée du Nord, qui aurait droit de vie et de mort sur nous ces humbles sujets.

Le plus grand drame qui pourrait survenir c’est incontestablement la mort de ce grand timonier, nous serions obligés de pleurer en public, afin de bien faire savoir aux commissaires du peuple, chargés des basses besognes, que nous sommes d’une tristesse infinie et d’une désespérance inconsolable.

Le bonheur quoi !

Mais qu’est-ce qu’on attend PASCOU pour organiser ce bonheur ?:8):

Toi, même en chantant tu n'as rien compris, il ne s'agit pas de fermer les frontières.

Le problème est que la mondialisation incite à consommer d'avantage et crée des déséquilibres, le commerce a toujours existé.

La mondialisation n'a ni foi ni loi ni règle, elle écrase tout.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 1 heure, Enchantant a dit :

C’est vrai, la mondialisation c’est le mal !

Nous devrions fermer toutes les portes et toutes les frontières pour les rendre absolument infranchissable.

Quel bonheur suprême pour un peuple de vivre en autarcie complète, nous aurions comme chef un homme éclairé ressemblant à King Jong-Un en Corée du Nord, qui aurait droit de vie et de mort sur nous ces humbles sujets.

Le plus grand drame qui pourrait survenir c’est incontestablement la mort de ce grand timonier, nous serions obligés de pleurer en public, afin de bien faire savoir aux commissaires du peuple, chargés des basses besognes, que nous sommes d’une tristesse infinie et d’une désespérance inconsolable.

Le bonheur quoi !

Mais qu’est-ce qu’on attend PASCOU pour organiser ce bonheur ?:8):

Ce que tu dis est idiot, la France avait des frontières et ça n'a jamais empêché les gens et de voyager et de commercer, au contraire, la France rayonnait dans le monde justement parcequ'elle était la France.

Elle va devenir un territoire, un passage, un couloir commercial, mais elle va perdre son âme qui faisait sa renommée dans le monde.

Et ce n'est pas les frontières les responsables de cette nouvelle situation funeste  puisque nous n'en avons plus.

Donc, le parallèle avec l'article du départ est que si les Anglais ont moins de facilité pour acheter ailleurs , ils seront incités à innover, à recréer ce qu'ils ne savent plus faire.

 

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 15 624 messages
Forumeur confit,
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il y a 6 minutes, PASCOU a dit :

Ce que tu dis est idiot,

En général, on juge complètement idiot ce que l’on ne comprend pas sois même…

Je reconnais bien volontiers ne pas tout comprendre quelquefois, de la démarche et des intentions de l’auteur d’un sujet.

Mais la réponse que je donne en général est celle qui me vient à l’esprit au moment ou je parcours le sujet.

Lorsque vous écrivez :

« La mondialisation n'a ni foi ni loi ni règle, elle écrase tout »

C’est faux et excessif comme affirmation.

D’une part, qu’est-ce que l’on comprend du terme mondialisation ?

Brassage des techniques, brassage des individus, échanges commerciaux, compétitions, concurrence sur les prix dont nous bénéficions en tant que consommateurs ?

C’est bien cela qu’il faut retenir de la mondialisation ?

Invasion migratoire, concurrence déloyale avec nos industries, générateur de chômage chez nous ?

C’est cela qu’il faut croire pour s’en convaincre des effets nocifs de la mondialisation…

Si vous pouvez admettre juste un instant que tout n’est pas tout blanc, ou tout noir, et que notre pays comme nos voisins européens, dépendent économiquement de nous et nous d’eux, et de surcroit ces échanges favorisent un climat de paix depuis cette tentative utopique et unique au monde, celle d’associer des états, ayant des cultures et des langues différentes, afin d’unir les européens…

PASCOU, vous aurez fait un grand pas dans cette perception plus précise et plus juste de la mondialisation !

Je reconnais que ce n’est pas gagné !:D

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, Enchantant a dit :

En général, on juge complètement idiot ce que l’on ne comprend pas sois même…

Je reconnais bien volontiers ne pas tout comprendre quelquefois, de la démarche et des intentions de l’auteur d’un sujet.

Mais la réponse que je donne en général est celle qui me vient à l’esprit au moment ou je parcours le sujet.

Lorsque vous écrivez :

« La mondialisation n'a ni foi ni loi ni règle, elle écrase tout »

C’est faux et excessif comme affirmation.

D’une part, qu’est-ce que l’on comprend du terme mondialisation ?

Brassage des techniques, brassage des individus, échanges commerciaux, compétitions, concurrence sur les prix dont nous bénéficions en tant que consommateurs ?

C’est bien cela qu’il faut retenir de la mondialisation ?

Invasion migratoire, concurrence déloyale avec nos industries, générateur de chômage chez nous ?

C’est cela qu’il faut croire pour s’en convaincre des effets nocifs de la mondialisation…

Si vous pouvez admettre juste un instant que tout n’est pas tout blanc, ou tout noir, et que notre pays comme nos voisins européens, dépendent économiquement de nous et nous d’eux, et de surcroit ces échanges favorisent un climat de paix depuis cette tentative utopique et unique au monde, celle d’associer des états, ayant des cultures et des langues différentes, afin d’unir les européens…

PASCOU, vous aurez fait un grand pas dans cette perception plus précise et plus juste de la mondialisation !

Je reconnais que ce n’est pas gagné !:D

Mais enchantant, je suis toujours prêt à écouter un esprit éveillé comme le votre, je ne dis pas détenir la vérité.

Mais mettez moi donc les effets positifs de la mondialisation ultra libérale, sur notre pays, car elle l'est non?

Elles est spéculative, bancaire, ne me dites pas que vous la trouvez sociale!

Mais pour en revenir à ce que je disais, si on regarde la France, nous ne fabriquons plus rien ou si peu par rapport au passé.

Et pour revenir au sujet, est elle négative ou positive sur l'environnement.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a une heure, PASCOU a dit :

https://www.alternatives-economiques.fr/limpact-de-croissance-lenvironnement/00032022

Toi, même en chantant tu n'as rien compris, il ne s'agit pas de fermer les frontières.

Le problème est que la mondialisation incite à consommer d'avantage et crée des déséquilibres, le commerce a toujours existé.

La mondialisation n'a ni foi ni loi ni règle, elle écrase tout.

 

Est ce que c'est la mondialisation qui est venu posséder les premiers hommes ou est ce que ce sont les premiers hommes qui ont fabriqué la mondialisation? Est ce que la mondialisation est un démon fabriqué par Satan en personne et qui damne quiconque passe à sa portée? Est ce que quand j'achète un manga japonais je suis une victime de la mondialisation? Est ce que je peux porter plainte contre la mondialisation parce qu'elle m'a volé mon innocence et fait perdre de l'argent? Non?

 

Non, parce que la mondialisation n'a aucune volonté propre, parce que la mondialisation est purement et simplement une vue de l'esprit, un concept pour illustre notre tendance, à nous humain, à vouloir consommer plus. La mondialisation est populiste dans le sens où tu ne peux pas dire "bande de cons, votre consommation nous entraine à notre perte!!!" mais "mes amis, la mondialisation fait de vous des victimes". Et bien entendu une récupération politique avec l'idée que s'enfermer "entre bons français" fera de nous des êtres dénués d'envies.

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, Crabe_fantome a dit :

 

Est ce que c'est la mondialisation qui est venu posséder les premiers hommes ou est ce que ce sont les premiers hommes qui ont fabriqué la mondialisation? Est ce que la mondialisation est un démon fabriqué par Satan en personne et qui damne quiconque passe à sa portée? Est ce que quand j'achète un manga japonais je suis une victime de la mondialisation? Est ce que je peux porter plainte contre la mondialisation parce qu'elle m'a volé mon innocence et fait perdre de l'argent? Non?

 

Non, parce que la mondialisation n'a aucune volonté propre, parce que la mondialisation est purement et simplement une vue de l'esprit, un concept pour illustre notre tendance, à nous humain, à vouloir consommer plus. La mondialisation est populiste dans le sens où tu ne peux pas dire "bande de cons, votre consommation nous entraine à notre perte!!!" mais "mes amis, la mondialisation fait de vous des victimes". Et bien entendu une récupération politique avec l'idée que s'enfermer "entre bons français" fera de nous des êtres dénués d'envies.

 

La réponse type du type accroc à BFMTV, le seul avantage de celle ci, c'est que maintenant qu'elle est passée j'espère que je vais être tranquille, entre vouloir faire sauter mon sujet et répondre les banalités récurrentes on voit l'animosité à mon égard, heureusement je suis très très au dessus de ce genre de mesquinerie.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 17 minutes, PASCOU a dit :

La réponse type du type accroc à BFMTV, le seul avantage de celle ci, c'est que maintenant qu'elle est passée j'espère que je vais être tranquille, entre vouloir faire sauter mon sujet et répondre les banalités récurrentes on voit l'animosité à mon égard, heureusement je suis très très au dessus de ce genre de mesquinerie.

Arrête de troller ton propre sujet: Tu parles de la mondialisation, défini d'abord ce qu'est la mondialisation.

 

Je viens de le faire, j'ai décortiqué le truc et le fait est que la mondialisation est un concept et n'a aucune réalité propre. Elle n'a pas d'existence propre sinon dans la manière de définir l'idée que des gens ont des relations commerciales partout dans le monde. Dès l'instant où les gens cessent d'avoir des relations commerciales mondiales, la mondialisation disparait. CQFD

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, Crabe_fantome a dit :

Arrête de troller ton propre sujet: Tu parles de la mondialisation, défini d'abord ce qu'est la mondialisation.

 

Je viens de le faire, j'ai décortiqué le truc et le fait est que la mondialisation est un concept et n'a aucune réalité propre. Elle n'a pas d'existence propre sinon dans la manière de définir l'idée que des gens ont des relations commerciales partout dans le monde. Dès l'instant où les gens cessent d'avoir des relations commerciales mondiales, la mondialisation disparait. CQFD

Evite de me citer merci.

Je ne te parle pas.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 2 minutes, PASCOU a dit :

Evite de me citer merci.

Je ne te parle pas.

Oui dès qu'on te demande d'être factuel en expliquant le titre de ton propre sujet il n'y a plus personne. Je crois que la démonstration est faite que les gens ne sont plus dupe des manipulations populistes. Bonne chance pour ton avenir politique. 

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

je dirais il y a deux types de mondialisation.
La mondialisation offensive (dite américaine), celle qu'on voit aujourd'hui.
Cette mondialisation économique est uniquement dirigée par les USA. Elle est néfaste, car elle détruit tout sur son chemin, même son pays d'origine.
Et il y a la mondialisation défensive (pas encore créée), et je pense qui est celle de la protection sociale, écologique, et protectionniste (dite européenne).
 

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 3 minutes, Crabe_fantome a dit :

Oui dès qu'on te demande d'être factuel en expliquant le titre de ton propre sujet il n'y a plus personne. Je crois que la démonstration est faite que les gens ne sont plus dupe des manipulations populistes. Bonne chance pour ton avenir politique. 

Sauf que ta haine t'empêche de lire et de comprendre.

Le sujet n'est pas le brexit comme tu as voulu le faire croire , puis maintenant la mondialisation comme tu essaies  encore de le faire croire mais:

la mondialisation....

....est elle la cause du déséquilibre, de la surconsommation, des excès et la véritable responsable du changement climatique.

Donc juste une interrogation.

Sur ce bon vent.

 

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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à l’instant, PASCOU a dit :

Sauf que ta haine t'empêche de lire et de comprendre.

Le sujet n'est pas le brexit comme tu as voulu le faire croire , puis maintenant la mondialisation comme tu essaies  encore de le faire croire mais:

la mondialisation....

....est elle la cause du déséquilibre, de la surconsommation, des excès et la véritable responsable du changement climatique.

Donc juste une interrogation.

Sur ce bon vent.

 

1/ Il n'y a aucune haine

2/ le seul rapport avec le brexit c'est toi qui l'a fait en doublant ton sujet dans un sujet traitant du brexit

3/ on te demande juste de définir ce qu'est la mondialisation, par quelles mécanismes elle sera la cause de ce que tu annonces parce que si tu veux être factuel, ce sont des humains qui sont la cause du déséquilibre et ce sont des humains qui surconsommes.

4/ Quand on est sur un forum avec des interrogations on envoie pas les gens voir ailleurs, surtout lorsqu'ils arrivent avec des réponses, surtout lorsque les réponses ne te conviennent pas parce qu'elles ne servent pas ton idéologie.

 

Tu t'expliques alors sur la mondialisation ou tu continues de nous faire croire que c'est un démon qui a sa propre existence et que quand je décide d'aller faire du 4x4 américain dans la campagne c'est que je suis une victime? 

il y a 10 minutes, soldat inconnu a dit :

je dirais il y a deux types de mondialisation.
La mondialisation offensive (dite américaine), celle qu'on voit aujourd'hui.
Cette mondialisation économique est uniquement dirigée par les USA. Elle est néfaste, car elle détruit tout sur son chemin, même son pays d'origine.
Et il y a la mondialisation défensive (pas encore créée), et je pense qui est celle de la protection sociale, écologique, et protectionniste (dite européenne).
 

 

Est ce que tu as une idée du mécanisme de ces deux mondialisations? Comment ça fonctionne techniquement? 

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PASCOU Membre 92 138 messages
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il y a 4 minutes, soldat inconnu a dit :

je dirais il y a deux types de mondialisation.
La mondialisation offensive (dite américaine), celle qu'on voit aujourd'hui.
Cette mondialisation économique est uniquement dirigée par les USA. Elle est néfaste, car elle détruit tout sur son chemin, même son pays d'origine.
Et il y a la mondialisation défensive (pas encore créée), et je pense qui est celle de la protection sociale, écologique, et protectionniste (dite européenne).
 

 

Actuellement la mondialisation est offensive, on voit bien que ce qui fait se déplacer les entreprises, ce n'est pas par esprit de charité et par esprit chrétien, c'est un engrenage vers toujours des prix plus bas et des marges plus importantes.

On ne se déplace pas ailleurs par esprit humaniste et reproduire ce que nous avons de social, la législation du travail, la défense de l'employé, la santé etc...

Non,on se déplace justement parce que toutes ces règles sont inexistantes et que c'est plus facile ailleurs de polluer de licencier, d'échapper au fisc.

 

On a vu la puissance de Monsanto sur tous les pays européens, ce monstre a gagné.

Plus fort que les états.

 

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 31 minutes, soldat inconnu a dit :

je dirais il y a deux types de mondialisation.
La mondialisation offensive (dite américaine), celle qu'on voit aujourd'hui.
Cette mondialisation économique est uniquement dirigée par les USA. Elle est néfaste, car elle détruit tout sur son chemin, même son pays d'origine.
Et il y a la mondialisation défensive (pas encore créée), et je pense qui est celle de la protection sociale, écologique, et protectionniste (dite européenne).
 

 

C'est vrai que le projet de départ de l'ue était celui ci, une Europe sociale, une Europe généreuse, mais vite rattrapée par les marchés, vite dépassée.

Aujourd'hui qu'en est il?

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 58 minutes, soldat inconnu a dit :

je dirais il y a deux types de mondialisation.
La mondialisation offensive (dite américaine), celle qu'on voit aujourd'hui.
Cette mondialisation économique est uniquement dirigée par les USA. Elle est néfaste, car elle détruit tout sur son chemin, même son pays d'origine.
Et il y a la mondialisation défensive (pas encore créée), et je pense qui est celle de la protection sociale, écologique, et protectionniste (dite européenne).
 

 

Un article intéressant sur la mondialisation et ses origines.

Et pour la partie économique , on est en plein dedans.

https://www.mgm.fr/ARECLUS/page_auteurs/Brunet22.html

La mondialisation économique

La mondialisation, pour l’essentiel et telle que l’ont ressentie les économistes, pionniers en la matière, est tout simplement un euphémisme imagé pour évoquer la nouvelle stratégie du capitalisme qui s’est mise en place à partir de 1970. Elle a réellement introduit une rupture. Elle a été préparée et soutenue par les théoriciens de l’économie monétariste et financière, une fois constaté que la baisse tendancielle des taux de profit était bien réelle, et que plus de trente ans de keynésianisme et d’amélioration des revenus des classes populaires dans les pays occidentaux avaient sans doute contribué au progrès social, mais écorné les revenus du capital.

Elle correspond à ce que l’on nomme parfois la révolution néolibérale et à ce que Hobsbawm appelle la théologie du marché — du marché mondial bien entendu. Néanmoins, il ne s’agit pas que du marché: celui-ci est mondial depuis longtemps, avec ampleur et libre-échangisme depuis le milieu du XIXe siècle, qui vit se mettre en place de vastes courants d’échanges de matières premières et de denrées. Il s’agit davantage d’organiser et de faciliter les profits financiers, et les spéculations associées, dans un terrain de jeu étendu à la dimension du globe. On a été jusqu’à parler d’«économie de casino»… La périodisation est connue, et présentée par Hobsbawm sous la forme de la succession «âge d’or»-«débâcle», images fortes mais désignations discutables dans la mesure où le côté doré est plutôt d’après 1970, et où la débâcle reste une hypothèse optimiste non encore réalisée.

Ce qui marque la fin de l’«âge d’or», connu en France sous le nom des Trente Glorieuses, est assez bien défini par les événements datés: fin des accords de Bretton Woods (rupture du lien entre or et dollar en 1971 sous Nixon, abandon de la fixité des taux de change en 1973), prix Nobel d’économie pour Friedrich von Hayek en 1974, pour Miton Friedman en 1975; gouvernements néolibéraux de Giscard, Thatcher, Reagan à partir de 1974; accroissement sensible du chômage à partir de 1970 aux États-Unis, 1974 en Europe occidentale; désindustrialisation et délocalisations, délaissement de l’aménagement du territoire surtout après 1975. Pendant les années 1970 et 1980 ces mouvements se sont faits dans un monde divisé, et non sans quelques contradictions internes mais brèves (la France de mai 1981 pour quelques mois, ou tout au plus jusqu’en 1983). Le choc pétrolier de 1973 a pu jouer son rôle, retentissant, mais quelque peu provoqué et qui a servi de leurre.

À partir de 1990 et de la fin du monde soviétique, puis de la conversion de la Chine, il devenait possible de jouer dans le monde entier et le système est devenu sans frein, totalement cynique. Les principes en sont connus: liberté de mouvement des capitaux, non des travailleurs. La liberté est celle des affaires et du mouvement des capitaux, des marchandises et même des usines, des touristes et des commis voyageurs; à l’inverse, il y a lieu de maîtriser, filtrer et limiter les mouvements de travailleurs afin de préserver de fructueuses différences. La liberté en question implique un affaiblissement du rôle des États, sommés de se montrer «modestes», sauf comme fournisseurs potentiels de fonds puisés chez les épargnants et contribuables: les États sont massivement intervenus pendant les crises, qui n’ont pas manqué même avant 2008, tant par les commandes publiques (la défense aux États-Unis en particulier) que par le soutien financier aux entreprises défaillantes. Il s’agit là de l’application simple d’un principe aussi établi que cynique: privatisation des bénéfices, socialisation des pertes.

L’enjeu est l’absence totale de régulation, et la «dérégulation» a été le leitmotiv des années 1970 et 1980. Il s’agit en effet de pouvoir agir sans contrainte dans un monde qui reste différencié, afin de tirer le meilleur parti possible de ces différences mêmes. Une libéralisation générale serait légitime si les niveaux de salaires et de revenus étaient les mêmes partout. On sait que le monde en est très loin, ce qui autorise les chantages aux délocalisations, et à l’expatriation des fortunes. Soyez gentil avec moi, dit le détenteur de capital, sinon je vais ailleurs. En contrepoint, s’alourdit le poids des réglementations tatillonnes et fluctuantes, qui imposent des normes aux consommateurs, voire des objets à consommer: nouvelles ampoules, nouveaux matériaux, nouvelles protections et défenses de toutes sortes, etc. Le progrès peut être réel; il n’est pas toujours évident, et il a bon dos. Les firmes et les banques elles-mêmes, qui aiment les clientèles «captives», inventent sans cesse de nouvelles formes de contrats pour plus de dépendance: engagements de longue durée, crédits à rebonds, subprimes et revolving. La dérégulation va avec la surabondance de microréglementations, la liberté du capital avec la captivité du travailleur et du client.

 

Pour l'écologie et l'environnement.

L’écologie globale

Le troisième aspect de la mondialisation au sens contemporain du mot me semble être dans la perception plus ou moins confuse du globe terrestre comme un système écologique global et mondial à la fois. Elle résulte au moins en partie des deux domaines précédents: l’existence de dégâts réels provoqués par la recherche de surprofits, l’amélioration des informations sur ces atteintes aux écosystèmes, notamment grâce au travail des organisations non gouvernementales (ONG), et la dramatisation médiatique des accidents; à quoi s’ajoute une façon de gouvernance fondée sur la peur et sur la culpabilisation des individus, bien plus que sur leur responsabilisation. Le mouvement est contemporain des précédents et va avec l’invention du «développement durable», qui date du rapport Brundtland (1987). Hors de quelques pionniers comme René Dumont, il s’est surtout développé dans les années 1990 (la conférence de Rio est de 1992), et accéléré ensuite.

Le côté positif est une prise de conscience du monde comme totalité et des interactions mondiales des écosystèmes, peut-être même une meilleure connaissance diffuse de l’écologie de la Terre; ainsi, un sens plus affirmé des solidarités et des comportements responsables. Toutefois, de gros efforts seraient encore à faire pour relativiser: il manque le plus souvent un sens des échelles, et des changements. Les différences d’ordres de grandeur entre la portée des actions humaines et la dimension des masses et des phénomènes planétaires ne sont pas évaluées, pas plus que n’est vraiment perçu le caractère régionalement limité des catastrophes naturelles même les plus violentes, séismes, éruptions volcaniques ou tsunami. On oublie de penser que les climats ont un long passé de fluctuations, et de mouvements indépendants de l’activité humaine: le changement climatique est permanent.

Tout se passe alors comme si l’on croyait instinctivement que la nature actuelle du globe est éternelle et donc idéale, ou du moins l’était avant ces toutes dernières années; et que tout changement ne peut donc être qu’une altération, dans le mauvais sens du mot: un passage à un état plus mauvais. Or la perception des différences zonales et régionales des écosystèmes reste déficiente, ce qui fait souvent imaginer que toute variation climatique a des effets uniformes à l’échelle mondiale, alors qu’elle a toutes chances de se traduire par des conséquences opposées selon les régions. Et rien ne dit qu’un changement climatique, même accéléré, ne serait pas une amélioration globale de la nature pour l’humanité, tout en impliquant, certes, des dérangements locaux et en contraignant à des adaptations: nos ancêtres, alors sans grands moyens, ont survécu aux froids du Quaternaire…

Le côté négatif est en partie lié à ces ignorances et à ces pulsions. Il est entretenu par la désinformation et la dramatisation qui servent la diffusion, et donc les profits, des entreprises de médias, ainsi que certains groupes d’intérêt: les entreprises qui se sont portées sur le créneau de l’«écologie» et des nouveaux produits plus «verts» que nature, des partis politiques et organisations qui font du changement climatique une base d’action ou un fonds de commerce, et même certains groupes de chercheurs scientifiques qui en tirent de précieuses allocations de crédits. Il est vrai qu’en sens inverse, d’autres groupes d’intérêts, notamment pétroliers, financent des mouvements opposés. Profitant de l’ignorance et de la crédulité qui lui est associée, jusqu’à prendre des aspects quasi religieux, les manipulateurs de ce débat mondialisé entretiennent une confusion d’échelles et de problèmes sous le seul aspect d’un «réchauffement climatique» accéléré et général, et une confusion de niveaux de responsabilité. La formule «tous coupables» est d’autant plus vendeuse que, réduisant ou occultant la réflexion sur les responsabilités réelles et massives, elle tend à restreindre la propagande et l’accusation aux comportements individuels des familles, qui consommeraient trop d’eau et auraient de trop vieilles voitures.

Elle nourrit les intégrismes écologistes, qui sont à l’écologie ce que certaines croyances sont à la science: des fantasmagories qui détournent des problèmes réels, des actions vraiment dangereuses provoquées par la course au profit, et des culpabilités de grande échelle. L’écologie terrestre et certaines populations ont déjà souffert de graves atteintes, et depuis longtemps; peut-être même certaines formations sociales se sont-elles ainsi suicidées, comme le soutient J. Diamond dans L’Effondrement. Des terres agricoles ont été surexploitées et épuisées à des fins spéculatives, comme celles qui ont transformé une contrée des États-Unis en nid de poussière (le Dust Bowl), et tant d’autres qui ont provoqué des ravinements extrêmes. Des forêts ont été dévastées à des fins économiques, ou même de prestige seigneurial et religieux, jusqu’à ruiner l’île de Pâques, par exemple. Des pollutions graves compromettent la qualité des eaux et des sols, l’atmosphère de certaines régions est ou a été empoisonnée par l’émanation incontrôlée des fumées du charbon et du pétrole, et des gaz toxiques des usines chimiques; des manipulations génétiques hasardeuses ont fait proliférer des «algues tueuses»; des accidents industriels, Minamata, Bhopal et Seveso, l’Amoco Cadiz et Tchernobyl, ont largement contribué, et non sans raison, aux peurs écologiques.

Il est excellent que chacun se sente citoyen et fasse à son échelle propre les gestes «écologiques» associés au respect des autres, et de soi-même. D’une tout autre nature sont les problèmes écologiques mondiaux et régionaux, qui résultent en général de la course au profit, de l’abaissement inconsidéré des coûts de production et de transport, et des spéculations financières associées — tout ce qu’en Guadeloupe on a joliment nommé la pwofitassyon. La mondialisation de la stratégie des entreprises a étendu le risque réel au monde entier, la mondialisation de la communication étend au monde entier la peur d’un risque d’altération d’une nature idéalisée, accrue à la fois par autocensure et dramatisation. Les trois aspects de la mondialisation, au sens qu’a pris le mot depuis les années 1980, sont bien étroitement liés.

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Répy Membre 22 460 messages
scientifique,
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Il y a 10 heures, PASCOU a dit :

...est elle la cause du déséquilibre, de la surconsommation, des excès et la véritable responsable du changement climatique.

Je mets ce lien non pour le Brexit, mais pour ce qu'on ne produit plus localement et ce qu'on consomme en masse venant d'on ne sait où et toujours moins cher.

Famine dans moins d’un an au Royaume-Uni en cas de Brexit sec

9 août 2018 14 h 00 min·

Famine An Royaume Uni Cas Brexit Sec
 
Selon le syndicat des agriculteurs britanniques, le Royaume-Uni se trouvera à court de nourriture dans un an en cas de « Brexit sec », c’est-à-dire sans accord avec l’Union européenne. Cette promesse de famine est à double tranchant, car elle condamne le libre-échange qu’elle veut promouvoir.
 
Minette Batters, la présidente du NFU (National Farmers Union, syndicat national des agriculteurs britanniques), répondant au ministre du Brexit Dominic Raab pour qui la nourriture du Royaume Uni sera assurée en toute hypothèse, craint qu’un Brexit sec n’ait une incidence terrible sur l’approvisionnement du Royaume-Uni et souhaite un accord « sans friction » avec l’UE. Le syndicat des agriculteurs britanniques est très inquiet pour ce qu’on appelle là-bas la sécurité d’approvisionnement en nourriture, et chez nous auto-suffisance alimentaire.
 

Dans moins d’un an, ce sera la famine au Royaume-Uni

 
Minette Baters a fait procéder au calcul de la date théorique à partir de laquelle le Royaume-Uni se trouvera à court d’approvisionnement alimentaire en cas de Brexit sec. Il s’agit du 7 aout 2019, dans moins d’un an. Le grand syndicat agricole fonde ses inquiétudes et ses projections sur une tendance statistique lourde et ancienne : le Royaume Uni, qui produisait 73 % de ce dont il avait besoin pour nourrir sa population en 1986, n’en produit plus que 60 % trente ans plus tard. Un bref regard sur les tableaux du ministère de l’agriculture britannique, produit par produit, est instructif : Les œufs, les légumes et fruits frais, le blé, la viande, même le mouton et le bœuf, manquent en Angleterre dans des quantités effrayantes. Seuls le lait et le beurre s’en tirent, et il y a excédent commercial pour le saumon fumé et le whisky.
 

Ce n'est pas pour affoler les anglais mais pour nous ouvrir les yeux à tous : on importe massivement beaucoup de denrées nourricières.

La France n'est pas dans la situation de la GB mais as-t-on besoin de manger des avocats du Pérou en toute saison ? ou des fruits produits dans l'hémisphère sud pour nos tables d'hiver?

Tout ça a un coût financier et écologique 

Au lieu de pleurer sur le changement climatique, commençons à vivre avec nos saisons et à moins transporter, surtout par avion.

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