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Problème d'énergie renouvelable

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Frelser

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
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I. La question de la puissance, et quête de ressources inépuisables d'énergie :

 

Dans ce billet, nous allons nous arrêter sur l'approche coranique des notions de force, puissance et énergie. Nous commencerons par citer des versets qui s'y rapportent, et montrerons comment produire de l'énergie en s'inspirant directement des descriptions coraniques de ces notions.

 

 

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I.a. Force de traction, de propulsion, inertie et accélaration :

 

"Par ceux qui arrachent violemment. Et par ceux qui recueillent avec douceur. Et par ceux qui voguent librement, puis s’élancent à toute vitesse, et règlent les affaires." (Ceux qui arrachent, 1-5)

 

 

I.b. Accélération de la pesanteur :

 

Ne vois-tu pas comment ton Rabb a traité les Compagnons de l'éléphant ? N’a-t-il pas fait de leur fourberie un fourvoiement ? Il a envoyé contre eux des oiseaux par séries, leur larguer des pierres empreintes, qui les a mis en fauches fanées." (L'Éléphant, 1-5)

 

 

I.c. Force de gravitation & mers allumées : 

 

"Quand (...) les mers seront allumées. (...) Non ! Je jure par ceux qui gravitent qui courent et disparaissent, et je jure par la nuit quand elle survient. et par l’aube quand elle exhale son souffle.Ceci [le Coran] est la parole d’un noble Messagerdoué d’une grande force, et ayant un rang élevé auprès du Maître du Trône." (Le Roulement, 14-20)

 

"Dis: «Que diriez-vous ? Si Allah vous assignait la nuit en permanence jusqu’au Jour de la Résurrection, quelle divinité autre qu’Allah pourrait vous apporter une lumière? N’entendez-vous donc pas ?» Dis: «Que diriez-vous? Si Allah vous assignait le jour en permanence jusqu’au Jour de la Résurrection, quelle divinité autre qu’Allah pourrait vous apporter une nuit durant laquelle vous reposeriez? N’observez-vous donc pas ?»" (Le récit, 71-72)

 

 

I.d. Energie de frottement et Photosynthèse : 

 

"Il cite pour Nous un exemple, tandis qu’il oublie sa propre création ; il dit : « Qui va redonner la vie à des ossements une fois réduits en poussière ?» Dis: « Celui qui les a créés une première fois, leur redonnera la vie. Il Se connaît parfaitement à toute création. c’est Lui qui, de l’arbre vert, a fait pour vous du feu, et voilà que de cela vous allumezCelui qui a créé les cieux et la terre ne sera-t-Il pas capable de créer leur pareil." (Ya-sin, 78-81)

 

 

I.e. Poussée d'Archimède :

 

"A Lui appartiennent les vaisseaux  comme des montagnes élevés sur la mer. Lequel donc des bienfaits de votre Seigneur nierez-vous ?" (Le Miséricordieux, 24-25)

 

 

I.f. L'éclair, foudre électrique, flash de lumière et boum sonore :

 

"Au moment où les nuées éclatent en pluies, chargées de ténèbres, de tonnerre et éclairs, se mettent les doigts dans les oreilles, terrorisés par le fracas de la foudre et craignant la mort; et Allah encercle de tous côtés les infidèles. L’éclair presque leur emporte la vue: chaque fois qu’il leur donne de la lumière, ils avancent; mais dès qu’il fait obscur, ils s’arrêtent. Si Allah le voulait Il leur enlèverait certes l’ouïe et la vue, car Allah a pouvoir sur toute chose." (La Vache, 8-10)

 

 

I.g. L'énergie solaire :


"Ils seront accoudés sur des divans, n’y voyant ni soleil ni froid glacial." (L'Homme, 13)

 

"N’avez-vous pas vu comment Allah a créé sept cieux superposés et y a fait de la lune une lumière et du soleil une lampe ?" (Noé, 15-16)

 

 

 

II. Moteur gravitationnel à couplage traction/friction : 

 

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En noir le tracteur constitué de deux rouleaux maintenus serrés (attache rouge) contre la paroi de ma roue vide (en gris). Les fixations en bleu contiennent des générateurs éléctriques, lesquels sont attachés (lignes bleux) fermement à l'intérieur du coffre de mon moteur. La paroi de ma roue à des dents (mini cadre à droite) réglées en fonction d'un butoir qui s'y cramponne si la roue à tendence à aller dans le mauvais sens. Ainsi, la roue tourne toujours dans le sens opposé à l'orientation de mon tracteur. La vélocité est essentielle. En rouge, représentation d'électroaimants servant à optimiser le contrôle de la cadence et permettant d'alléger mon dispositif.

 

 

-- Description du dispositif --

 

II.a. Un dispositif (tracteur gravitionnel) composé de deux rouleaux serrés l'un contre l'autre (le tracteur) est posé sur une roue vide (moins lourde, plus grande, mais très résistante), qui exerce sur elle une certaine force de traction Ft : en cherchant à descendre sous l'effet de son poids.

 

II.b. Mon tracteur sera serré en sorte d'exercer une force de friction (Ff) couplée avec ma force de traction (Ft) : ma roue se met à tourner. Le couplage permettra à l'engrenage de tourner, l'accélération angulaire servant à produire de l'électricité. Il faudra chercher à maintenir une vitesse critique afin de maintenir mon tracteur à hauteur stable.

 

II.c. Des dents inclinées parcourent la surface intérieure de ma grande roue, qui touchent un butoir montant et descendant sous l'effet de son poids entre les dents, en sorte de ne la laisser tourner que dans le sens opposé à l'orientation de mon tracteur. Le dispositif interdit un retour en sens inverse de manière optimale : le plan d'inclinaison et la forme du butoir permettent d'éviter une perte de charge qui ferait descendre mon tracteur le long de ma roue.

 

II.d. Les roues de mon tracteur ont une rainure lui faisant éviter ces dents parcourant la surface de ma roue par le milieu, en longueur.  La roue est stabilisée par suspension par le biais de fixations (contenant trois générateurs éléctriques et des systèmes de freinage hydroliques) la tenant en place depuis l'extérieur en sorte de ne pas la laisser bouger de son axe de rotation. (v.III.h)

 

II.e. Le couplage[1],[2] permet de transférer ma force de traction vers ma roue pour la transmision du mouvement rotatoire. Ces mouvements rotatoire serviront de générateurs  d'électricité.

 

II.f. Le poids de mon tracteur le pousse à chercher à descendre le long de ma roue. Y adhérant fermement, il ne peut pas rouler sans induire une rotation en sens inverse proportionnelle de la grande roue (action/réaction). Pour une bonne adhérence, un matériel en caoutchouc comme sur les pneus de voitures sera pratique et permettra d'éviter la corrosion. Des dents d'engrenage très dures (bien calibrées), et un boîtier de vitesse séquentielle, huilés pourront faire l'affaire aussi.

 

II.g. L'accélération de mon tracteur aura tendence à le faire périodiquement remonter vers le haut par l'effet de l'inertie induite par le mouvement accéléré de la grande roue. Des systèmes de contrôle de serrage au niveau du couplage du tracteur et des générateurs permettront d'optimiser le rendement de mon moteur, ainsi qu'un système d'électroaimants alimentés par une partie de l'énergie générée par celui-ci : en déserrant les roues du tracteur (par un système hydrolique intégré); ou également en serrant la grande roue au niveau des fixations, et en modifiant l'effet du poids du tracteur par des électroaimants.

 

III.h. Les roues du tracteur peuvent être équipées du moteur à double disques (infra) pour générer de l'électricité qui sera transmise par contact sur un conducteur disposé sur la grande roue, et récupérée par le butoir qui empêche la roue de tourner à contresens.

 


III. Moteur à Propulsion à Force Centrifuge :

 

prop.png

Les disques rouges tournent en phase avec les disques blancs intérieurs, couplés avec des pignons (ou des chenilles etc.) (verts), les disques extérieurs portent  des poids (en bleu). La synchronisation des deux rotations sert à propulser l'engin (triangulaire) : le maintient du centre de gravité commun des trois propulseurs dans la direction souhaitée induit une accélération angulaire qui sert à diriger le vaisseau. Les propulseurs peuvent être orientés par le mouvement du bras qui maintient le rotor.


 

propulseur%2B%25C3%25A0%2Bacc%25C3%25A9l%25C3%25A9ration%2Bangulaire.png

 

Vue transversale du propulseur. L'arbre du rotor fait corps avec le disque intérieur (en bleu), la roue centrale se met à tourner à une certaine cadence, elle entraîne le pignon orange (à droite) qui transmet l'accélération angulaire inversé au disque gris placé au-dessus du disque central par le biais d'une courroie (en rouge). Un masse (en vert) est intégrée dans le disque gris pour diriger le propulseur en contrôlant la position du rotor (en orange) sous contrôle d'un cervo-moteur en temps réel. Des bobines d'un générateur intégré et des aimants seront disposés fermement dans le disque central et le disque externe, afin de réalimenter la machinerie en électricité et pour en augmenter l'autonomie. De tels disques pourront servir à motoriser les roues de moyens de transports et les rendre auto propulsés.

 

 

 

-- Description du dispositif--

 

III.a. Le propulseur est composé de multiples disques[3], munis de systèmes de rotation et d'orientation axiale : leur découplage et la mise en phase des propulseurs permet de produire une accélération angulaire dirigeable, gérée par un cerveau-moteur.

 

III.b. Des roues d'engranage occupent le centre de mes propulseurs, des pignons ou chenilles sont disposés à une extrémité de ces grandes roues, une courroie tansfère l'accélération du pignon vers le centre de mon disque propulseur externe comportant une masse vers son bord : le disque asymétrique tourne en sens inverse du rotor actionnant la roue centrale, qui se trouve en phase par rapport au disque porteur. Le rotor pivotte axialement en sorte de contrôler l'effet d'accélération angulaire et la force centrifuge. Le mouvement en sens inverse des disques intérieurs et extérieurs permet de reproduire de l'électricité pour auto-alimenter les moteurs et augmenter l'autonomie du moteur.

 

III.c. Les disques propulseurs ont un centre de gravité asymétrique en sorte de pouvoir orienter un masse intégrée dirigeable sur commande.

 

III.d. La synchronisation de la vitesse de rotation des disques intérieurs et extérieurs permet de propulser les disques par l'effet d'une force centrifuge globale dirigeable.

 

III.e. Comme le centre de gravité se déporte dans une direction donnée le propulseur se dirige dans ce sens : le centre de gravité des rotors est commandé sur demande.

 

III.f. Il est possible de découpler le plan rotatoire des disques intérieurs et extérieurs en modifiant le système d'engrenage pour produire un effet de furtivité.

 

III.g. C'est un cerveau-moteur[4] qui gère la synchronisation et la mise en phase, tandis que la rotation des disques génère une force électrique d'auto-alimentation.

 

III.h. Pour induire la propulsion, il suffit de faire tourner les disques en phase avec les rotors. Le sens de rotation des disques porteurs se fait de façon synchronisée avec le mouvement des rotors mais en sens inverse. Lorsque les disques atteignent une vitesse suffisante, les propulseurs commencent à mettre le vaisseau en mouvement. La masse intégrée des propulseurs est orientée vers la direction souhaitée par le cerveau-moteur en agissant sur l'axe et la position du rotor en temps réel. Avec des contrepoids amovibles mécaniquement disposés dans les disques sur commande depuis le centre vers l'extérieur, il est possible de produire une accélération instantanée pouvant garantir une plus grande furtivité.

 

III.i. Ce propulseur peut équiper un vaisseau de systèmes de défense : l'énergie générée par les disques peut l'équiper d'armes électromagnétiques. Des mini-disques similaires dont le disque intérieur contient des projectiles et d'un système de clapets peut tourner à grande vitesse, un disque extérieur est équipé d'une rainure (canon) qui dirigera le projectile vers la cible. L'éjection peut servir de système de propulsion complémentaire.

 

III.j. Le champ magnétique généré peut servir dans l'espace de bouclier contre les radiations cosmiques.

 

III.k. Un tel vaisseau peut servir à faire dévier un geocroiseur repéré à temps où à ramener des astéroïdes contenant des minéraux.

 

III.l. La rotation peut servir à produire un effet de pesanteur artificielle pour les voyageurs en l'absence de gravité.

 

III.m. Beaucoup de techniques diverses permettant d'utiliser l'accélération angulaire comme force de propulsion sont possibles : il est ainsi également possible de faire tourner en sens inverse deux disques, avec le disque intérieur logé à l'intérieur du disque propulseur externe, sans contact physique. Le disque externe comporte à sa surface intérieure des roulements à billes : lorsque nous souhaitons utiliser la force angulaire, le disque intérieur est instantanément élargi et freine en entraînant le dique propulseur à contre sens à une vitesse idéale, sous le contrôle en temps réel d'un cerveau moteur. Ce processus est répété consécutivement à intervalles de temps. Ou encore, il est permis d'également équiper le disque intérieur d'une masse et de jouer sur l'accouplage des deux masses en les mettant en phase.

 

 

IV. Générateur Electrique Aquatique à Poussée d'Archimède :

 

chalut%2B%25C3%25A0%2Bpouss%25C3%25A9e%2Bd%2527archim%25C3%25A8de.png

 

Un filet flotte sur l'eau suspendu par un ballon empli d'air. Lorsqu'un moteur embarqué (alimenté par des hélices activées lors de la descente et la montée du chalut) ouvre une voile de submersion situé en profondeur, le filet se transforme en reservoir ovoïde et se met à sombrer entraînant le ballon et active deux roues, l'une au fond des eaux et l'autre en surface en tirant sur le câble (ce sont deux générateurs). Une fois arrivé à la bonne profondeur, un altimètre commande au moteur de rendre le voile perméable et de se rabattre en parapluie contre le câble,le ballon remonte alors suivant le mouvement inverse du chalut tracté par le ballon propulsé en surface par la poussée d'Archimède.

 

 

-- Description du dispositif--


IV.a. Un fillet (pouvant se transformer en frein lors de la remontée en surface[5]) est maintenu en surface par un grand ballon empli d'air, il est fixé autour d'un circuit de câblage relié à deux roues (générateurs) une en surface et l'autre maintenue dans le fond des eaux. Le ballon empli d'air est traversé par le câble et occupe le sommet du dispositif, une barre s'arrime sur le câble et relie le ballon à un voilier amovible plus large se situant à une certaine profondeur. Lorsque la plate-forme s'ouvre et devient étanche, la pression de l'eau excède le pouvoir de floraison du ballon et le fait sombrer. Lorsque la plate-forme redevient perméable et se replie contre la barre centrale, le ballon remonte en surface.

 

IV.b. Un rotor muni d'hélices (source d'énergie autonome) est fixé à la base  de mon réservoir qui permet de produire l'énergie nécessaire pour actionner le voilier en position ouverte ou fermée.

 

IV.c. Une fois arrivé à la bonne profondeur, le moteur intégré ouvre les trous de mon voilier et le remplie en parapluie, il remonte alors par poussée d'Archimède tracté par le ballon.

 

IV.d. Mon circuit fonctionne de façon totalement autonome, et ne dépend pas de la force des courants ou d'autre force que la gravité et la poussée d'Archimède : c'est une source d'énergie continue et stable.

 

IV.e. Il est possible de produire de l'énergie par ce processus dans une tour d'eau. La production d'énergie est continue et proportionelle au volume du voilier et du ballon.

 

IV.f. Logée dans un gratte-ciel, ce mécanisme peut servir également comme système d'ascenseur si un système de sécurité est associé au système du moteur pour bloquer le mouvement le temps du chargement et du déchargement.

 

 

V. Moteur à combustion à hydrogène :

 

Moteur%2B%25C3%25A0%2Bhydrog%25C3%25A8ne%2B%25C3%25A0%2Bcombustion.png

 

De l'eau salée (électrolyte) est emplie dans un réservoir (grand rectangle). Un compartiment (en haut à droite) est séparé pour l'électrolyse : un filtre (en mauve) nettoie l'eau des éléments non souhaitables qui passent du réservoir au compartiment de l'électrolyse. Une chambre de combustion (cercle brun) est fixée dans le centre du réservoir vers lequel l'hydrogène et l'oxygène issus de l'électrolyse sont conduits pour une combustion, un système d'allumage électrique est alimenté par la batterie. Le métal (en molybdène) de la chambre de combustion chauffe et transfère la chaleur vers l'eau du réservoir : ainsi, tandis que la chambre de combustion évite la fusion, l'eau de mon réservoir chauffe et active des pistons mécaniques (les cylindres en  haut à gauche). Une partie de l'énergie produite permet de recharger une batterie pour maintenir l'allumage, pour maintenir le processus d'électrolyse et pour contrôler le cerveau-moteur (en noir à droite) qui est commandé par le thermomètre quand la température idéale est atteinte ou trop basse pour optimiser la production d'énergie et la longévité des matériaux.

 

 

 

-- Description du dispositif--

 

V.a. De l'eau salée (ou de mer) est placée dans un réservoir, avec un compartiment servant à dissocier l'hydrogène de l'oxygène et les canaliser pour une combustion[6].

 

V.b. Une chambre de combustion en molybdène est placée dans mon réservoir d'eau, où il est refroidit  au contact de l'eau du réservoir afin d'éviter qu'il fonde.

 

V.c.  Le chauffage de l'eau de mon réservoir génère une pression qui est transférée vers des pistons et convertie en force mécanique.

 

V.d. Lorsque la température atteint un seuil critique, l'électrolyse et la combustion sont stoppées le temps de revenir à une température de base (les anodisé et cathodes sont soulevées hors de l'eau).

 

V.e. Une batterie est disposée dans le moteur, qui est rechargée par mon moteur à vapeur, qui servira à gérer l'allumage et la gestion électronique de la combustion.

 

V.f. Ce dispositif peut servir à réchauffer des bâtiments, et les alimenter en eau et en électricité.

 

V.e. Il est possible de se servir de ce dispositif sur l'eau de mer pour desaliniser l'eau en récupérant la vapeur par condensation et par combustion.

 

V.f. Le chauffage de l'eau de mer dans le premier compartiment empêchera la prolifération des microorganismes, en sorte d'optimiser l'électrolyse. Un filtrage des résidus (par des filtres contenant du sable et des gravillons, récoltées en mer, par couches pex.) lors du passage au compartiment où s'opère lélectrolyse permettra un rendement optimal. La température élevée de l'eau aussi sera un facteur favorable sur le plan du rendement.

 

V.g. La vapeur obtenue sera récupérée et traitée pour devenir parfaitement potable.

 

 

VI. Centrale solaire thermique :

 

Turbine%2Bsolaire.bmp

 

En haut à gauche, un miroir concave recevant la lumière du soleil et la concentrant vers la boule (rouge) en molybdène. Le miroir a une ouverture circulaire en son centre et bouge selon le mouvement du soleil en maintenant la concentration de la lumière en direction du capteur en molybdène. La boule est reliée à une tubage (de même nature) à double compartiment  qui plonge vers un compartiment semi-isolé au sein de ma citerne contenant de l'eau. Le circuit étant étanche, l'évaporation de l'eau évacue le tubage et fait un appel qui conduit l'eau de ma citerne vers la boule en molybdène, pour le chauffage quand celui-ci se libère. La vapeur active des turbines qui génèrent de l'électricité (le circuit est connecté à un vase d'expansion et un système de refroidissement permettant d'éviter l'explosion) . A droite de ma citerne, un circuit fermé est connecté à des radiateurs pour garantir le chauffage en hivers et l'eau chaude sanitaire. Au milieu en noir, un générateur est activé et en cas de surplus d'électricité, il soulève des masses en faisant tourner des tiges filetées qui les traversent en longueur. Ces masses sont maintenues en suspension par une série de butoirs commandés par un cervo-moteur. Lorsqu'il y a besoin d'énergie en l'absence d'ensoleillement, les poids sont relâchés en série et la roue génère de l'électricité en alternant. La citerne étant étanche, la chaleur qui y est maintenue sert à poursuivre une production d'énergie moindre en l'absence d'ensoleillement par condensation.

 

 

 

-- Description du dispositif--

 

VI.a. Un miroir concave ou une parabole couverte d'un miroir réfléchissant permet de focaliser la lumière vers une boule métallique qui chauffe.

 

VI.b. Un cerveau-moteur permet d'orienter la parabole en direction du soleil du lever au coucher grâce à un algorithme et un récepteur photosensible.

 

VI.c. La boule transmet la chaleur par échange thermique à un circuit d'eau. Pour une élévation de température de 3000°C, pendant une heure, je peux produire dans des conditions optimales 3kwh. Avec un ensoleillement de 6 heures, je peux produire jusqu'à 18kwh d'électricité par ce seul moyen et par litre d'eau ainsi chauffé. Pour une citerne de 500 litres, je pourrai produire jusqu'à 9.000 kwh par jour.

 

VI.d. L'eau de la citerne est séparée dans un compartiment qui laisse l'eau monter par un effet de vases communiquants en s'évaporant vers la boule en molybdène progressivement (compartiment de préchauffage). Lorsque l'eau s'évapore elle actionne des turbines (ou des pistons) et s'échappe vers un circuit de refroidissement par condensation. Cette évasion crée un appel de l'eau depuis la citerne vers le compartiment de préchauffage, le niveau d'eau de la citerne cherchant à rester stable par vases communiquants et conduit de l'eau moins chaude vers la chambre de préchauffage.

 

VI.e. L'eau est reconduite vers la citerne isolée thermiquement étant moins chaude.

 

VI.f. Des clapets donnent un sens unique de mouvement au circuit.

 

VI.g. Un vase d'expansion permet d'éviter la surpression dans le circuit.

 

VI.h. Lors du chauffage, des turbines permettent de produire de l'électricité. La surchauffe permet de faire fonctionner des turbines et générer de l'électricité.

 

VI.i. Un circuit de chauffage récupère de la chaleur par échange thermique : permettant de refroidir l'eau du circuit en utilisant la chaleur pour l'hivers, de l'eau chaude sanitaire et pour la cuisson (l'eau bouillante est thermorégulée avec de l'eau froide et chauffe des plaques de cuissons).

 

VI.j. Un assemblage de poids disposés en série et soulevés par l'électricité générée sont maintenus en position haute par des butoirs commandables. Ils sont reliés à un générateur électrique par un système d'engrenage et sont activés en série pour descendre quand on a besoin l'énergie. Lorsqu'une masse atteint la position haute, elle est bloquée par une butée qui libère la masse suivante mécaniquement : les poids peuvent être des masses en plomb de 1 cm de diamètre et de 1 m de haut, et soulevés de 1 m, ainsi pour un volume d'espace de mouvement de 1m3 je peux contenir dans des conditions optimales jusqu'à 49.533,25 watt/s si mes poids descendent de 1 mètre par seconde. Soit 13,76 kwh en continu pendant 01h00. Un moyen de stockage privé qui peut être intéressant en cas de stockage durant les heures creuses. Pour un volume de 5 mètres de côté cela permettra de stocker 1.740 kwh par heure.

 

 

 

Sans%2Btitre.png

 

Pour stocker de l'énergie, il est possible de soulever les poids de notre machine par des vis traversant des masses de base carré coulissant dans des couloirs contenant de l'huile. Lorsque le générateur est activé, il fait tourner les vis les uns à la suite des autres, faisant remonter les masses qui se clipsent sur des butoirs (en rouge) en position haute. Lorsqu'il y a besoin d'énergie, le premier poids en position haute est libéré, et descend par gravité, entraînant un mouvement de rotation de la vis avec une accélération angulaire de 1m/s. Cette rotation est transmise par un système d'engrenages qui s'élève à tour de rôle sous l'effet de l'entraînement vers le bas des poids. Arrivée en position basse, la masse actionne mécaniquement le butoir soutenant la masse suivante qui descend à son tour. Chaque série de tiges et engrenages est lié à une vis sans fin horizontale, qui entraîne à son tour une chenille qui actionne le générateur pour rendre l'énergie stockée.



 

VI.i. Pour garder une réserve d'énergie pour les cas de pénurie en ensoleillement, un système de vis soulevant des poids en tournant et traversant ces poids, que les poids font tourner en sens inverse en descendant peut faciliter l'entretien technique et diminuer les frais de construction et mise en fonction. Selon les besoins, un nombre approprié de rangées est activé, par un système de boîtier à vitesse séquentielle. Des freins parcourent enfin chaque couloir en longueur et sont actionnés sur commande par une pompe hydrolique quand le besoin énergétique est atteint.

 

 

 

* * *

 

-----------------------------------

[1] Un cerveau moteur mesurant la hauteur de mon tracteur (double-rouleaux) commandera périodiquement un léger déserrage de mon tracteur, juste le temps que ma roue fasse redescendre mon tracteur à la hauteur initiale (effet inertiel) : une partie de l'énergie produite par mon dispositif rendant ainsi ma machine optimale. Un fil conducteur parcourt la roue le long de ses parois, et est en contact physique avec un fil identique parcourant les parois extérieures des rouleaux de mon tracteur. Ce dispositif permet à la fois une commande du serrage idéal de mon tracteur contre la paroi de ma roue et l'alimentation électrique (nécessaire pour le rétro-contrôle). C'est un système de serrage hydrolique disposé à l'intérieur des rouleaux qui permet cet ajustement en temps réel. Le système est contrôlé par un cerveau-moteur. 

 

[2] La roue doit opposer une inertie proportionnelle à la masse de mon tracteur et à sa puissance de traction. Je peux faire varier cette inertie en contrôlant le serrage de mes suspensions (les trois générateurs). Une partie optimale de mon énergie électrique ainsi généré peut servir à alimenter un électroaimant servant à attirer mon tracteur vers le bas et acroître sa puissance de traction, ou à l'attirer vers le haut et ralentir la machinerie en accélération. Le poids propre initial de mon tracteur peut par ce biais être faible sur un mini-moteur.

 

[3] Le poids de mes disques ne joue aucun rôle, mais leur résistance aux contraintes de cisaillement, pression, torsion et de friction est essentielle. C'est la vitesse de rotation des disques et le poids du propulseur qui déterminera la puissance de mon moteur.

 

[4] Du fait qu'il ne faut pas de support extérieur pour la propulsion, ce moteur à force centrifuge peut être un moyen de propulsion de choix pour les voyages intersidéraux. En l'absence de contrainte, l'effet cumulé du maintient de la vitesse inertielle avec les coups d'accélération permettront un rendement optimal en l'absence de gravité. Le mouvement rotatoire sera de même maintenu par inertie si nous pensons les systèmes d'engrenage à aimants sans contact et sans perte d'énergie par frottement. Ce qui pourra servir par ailleurs de source d'énergie si chaque disque est équipé d'un générateur.

 

[5] Le voilier se déploie sous forme de toile perméable et s'étenchéise ensuite. Il s'ouvre à temps lors de la remontée pour ralentir la montée.

 

[6] Le plaques d'anodes et de cathodes sont en titane pour optimiser le rendement et facilter l'entretient.

 

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Membre, 41ans Posté(e)
Extrazlove Membre 3 802 messages
Mentor‚ 41ans‚
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prenais de l'eau avec le même chaleur sépare mélangé le on gardant le même volume t'aura la même chaleur . 

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 22 349 messages
scientifique,
Posté(e)

Ah que voilà un sujet intéressant !

Tous les grands principes de la mécanique et de la thermodynamique y sont  ignorés !

Pas étonnant que les pays qui suivent le coran à la lettre sont dans un grand retard technologique !

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Membre, 40ans Posté(e)
cheuwing Membre 16 414 messages
Maitre des forums‚ 40ans‚
Posté(e)

J'aore les interprétations capilotracté des versets pour leur faire dire n'importe quoi en relation avec des découvertes plus tardives 

 

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Membre, 75ans Posté(e)
hybridex Membre 8 296 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
il y a 45 minutes, Frelser a dit :

 

 

I. La question de la puissance, et quête de ressources inépuisables d'énergie :

 

Dans ce billet, nous allons nous arrêter sur l'approche coranique des notions de force, puissance et énergie. Nous commencerons par citer des versets qui s'y rapportent, et montrerons comment produire de l'énergie en s'inspirant directement des descriptions coraniques de ces notions.

 

 

Résultat de recherche d'images pour "force gif animé"

 

 

I.a. Force de traction, de propulsion, inertie et accélaration :

 

"Par ceux qui arrachent violemment. Et par ceux qui recueillent avec douceur. Et par ceux qui voguent librement, puis s’élancent à toute vitesse, et règlent les affaires." (Ceux qui arrachent, 1-5)

 

 

I.b. Accélération de la pesanteur :

 

Ne vois-tu pas comment ton Rabb a traité les Compagnons de l'éléphant ? N’a-t-il pas fait de leur fourberie un fourvoiement ? Il a envoyé contre eux des oiseaux par séries, leur larguer des pierres empreintes, qui les a mis en fauches fanées." (L'Éléphant, 1-5)

 

 

I.c. Force de gravitation & mers allumées : 

 

"Quand (...) les mers seront allumées. (...) Non ! Je jure par ceux qui gravitent qui courent et disparaissent, et je jure par la nuit quand elle survient. et par l’aube quand elle exhale son souffle.Ceci [le Coran] est la parole d’un noble Messagerdoué d’une grande force, et ayant un rang élevé auprès du Maître du Trône." (Le Roulement, 14-20)

 

"Dis: «Que diriez-vous ? Si Allah vous assignait la nuit en permanence jusqu’au Jour de la Résurrection, quelle divinité autre qu’Allah pourrait vous apporter une lumière? N’entendez-vous donc pas ?» Dis: «Que diriez-vous? Si Allah vous assignait le jour en permanence jusqu’au Jour de la Résurrection, quelle divinité autre qu’Allah pourrait vous apporter une nuit durant laquelle vous reposeriez? N’observez-vous donc pas ?»" (Le récit, 71-72)

 

 

I.d. Energie de frottement et Photosynthèse : 

 

"Il cite pour Nous un exemple, tandis qu’il oublie sa propre création ; il dit : « Qui va redonner la vie à des ossements une fois réduits en poussière ?» Dis: « Celui qui les a créés une première fois, leur redonnera la vie. Il Se connaît parfaitement à toute création. c’est Lui qui, de l’arbre vert, a fait pour vous du feu, et voilà que de cela vous allumezCelui qui a créé les cieux et la terre ne sera-t-Il pas capable de créer leur pareil." (Ya-sin, 78-81)

 

 

I.e. Poussée d'Archimède :

 

"A Lui appartiennent les vaisseaux  comme des montagnes élevés sur la mer. Lequel donc des bienfaits de votre Seigneur nierez-vous ?" (Le Miséricordieux, 24-25)

 

 

I.f. L'éclair, foudre électrique, flash de lumière et boum sonore :

 

"Au moment où les nuées éclatent en pluies, chargées de ténèbres, de tonnerre et éclairs, se mettent les doigts dans les oreilles, terrorisés par le fracas de la foudre et craignant la mort; et Allah encercle de tous côtés les infidèles. L’éclair presque leur emporte la vue: chaque fois qu’il leur donne de la lumière, ils avancent; mais dès qu’il fait obscur, ils s’arrêtent. Si Allah le voulait Il leur enlèverait certes l’ouïe et la vue, car Allah a pouvoir sur toute chose." (La Vache, 8-10)

 

 

I.g. L'énergie solaire :


"Ils seront accoudés sur des divans, n’y voyant ni soleil ni froid glacial." (L'Homme, 13)

 

"N’avez-vous pas vu comment Allah a créé sept cieux superposés et y a fait de la lune une lumière et du soleil une lampe ?" (Noé, 15-16)

 

 

 

II. Moteur gravitationnel à couplage traction/friction : 

 

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En noir le tracteur constitué de deux rouleaux maintenus serrés (attache rouge) contre la paroi de ma roue vide (en gris). Les fixations en bleu contiennent des générateurs éléctriques, lesquels sont attachés (lignes bleux) fermement à l'intérieur du coffre de mon moteur. La paroi de ma roue à des dents (mini cadre à droite) réglées en fonction d'un butoir qui s'y cramponne si la roue à tendence à aller dans le mauvais sens. Ainsi, la roue tourne toujours dans le sens opposé à l'orientation de mon tracteur. La vélocité est essentielle. En rouge, représentation d'électroaimants servant à optimiser le contrôle de la cadence et permettant d'alléger mon dispositif.

 

 

-- Description du dispositif --

 

II.a. Un dispositif (tracteur gravitionnel) composé de deux rouleaux serrés l'un contre l'autre (le tracteur) est posé sur une roue vide (moins lourde, plus grande, mais très résistante), qui exerce sur elle une certaine force de traction Ft : en cherchant à descendre sous l'effet de son poids.

 

II.b. Mon tracteur sera serré en sorte d'exercer une force de friction (Ff) couplée avec ma force de traction (Ft) : ma roue se met à tourner. Le couplage permettra à l'engrenage de tourner, l'accélération angulaire servant à produire de l'électricité. Il faudra chercher à maintenir une vitesse critique afin de maintenir mon tracteur à hauteur stable.

 

II.c. Des dents inclinées parcourent la surface intérieure de ma grande roue, qui touchent un butoir montant et descendant sous l'effet de son poids entre les dents, en sorte de ne la laisser tourner que dans le sens opposé à l'orientation de mon tracteur. Le dispositif interdit un retour en sens inverse de manière optimale : le plan d'inclinaison et la forme du butoir permettent d'éviter une perte de charge qui ferait descendre mon tracteur le long de ma roue.

 

II.d. Les roues de mon tracteur ont une rainure lui faisant éviter ces dents parcourant la surface de ma roue par le milieu, en longueur.  La roue est stabilisée par suspension par le biais de fixations (contenant trois générateurs éléctriques et des systèmes de freinage hydroliques) la tenant en place depuis l'extérieur en sorte de ne pas la laisser bouger de son axe de rotation. (v.III.h)

 

II.e. Le couplage[1],[2] permet de transférer ma force de traction vers ma roue pour la transmision du mouvement rotatoire. Ces mouvements rotatoire serviront de générateurs  d'électricité.

 

II.f. Le poids de mon tracteur le pousse à chercher à descendre le long de ma roue. Y adhérant fermement, il ne peut pas rouler sans induire une rotation en sens inverse proportionnelle de la grande roue (action/réaction). Pour une bonne adhérence, un matériel en caoutchouc comme sur les pneus de voitures sera pratique et permettra d'éviter la corrosion. Des dents d'engrenage très dures (bien calibrées), et un boîtier de vitesse séquentielle, huilés pourront faire l'affaire aussi.

 

II.g. L'accélération de mon tracteur aura tendence à le faire périodiquement remonter vers le haut par l'effet de l'inertie induite par le mouvement accéléré de la grande roue. Des systèmes de contrôle de serrage au niveau du couplage du tracteur et des générateurs permettront d'optimiser le rendement de mon moteur, ainsi qu'un système d'électroaimants alimentés par une partie de l'énergie générée par celui-ci : en déserrant les roues du tracteur (par un système hydrolique intégré); ou également en serrant la grande roue au niveau des fixations, et en modifiant l'effet du poids du tracteur par des électroaimants.

 

III.h. Les roues du tracteur peuvent être équipées du moteur à double disques (infra) pour générer de l'électricité qui sera transmise par contact sur un conducteur disposé sur la grande roue, et récupérée par le butoir qui empêche la roue de tourner à contresens.

 


III. Moteur à Propulsion à Force Centrifuge :

 

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Les disques rouges tournent en phase avec les disques blancs intérieurs, couplés avec des pignons (ou des chenilles etc.) (verts), les disques extérieurs portent  des poids (en bleu). La synchronisation des deux rotations sert à propulser l'engin (triangulaire) : le maintient du centre de gravité commun des trois propulseurs dans la direction souhaitée induit une accélération angulaire qui sert à diriger le vaisseau. Les propulseurs peuvent être orientés par le mouvement du bras qui maintient le rotor.


 

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Vue transversale du propulseur. L'arbre du rotor fait corps avec le disque intérieur (en bleu), la roue centrale se met à tourner à une certaine cadence, elle entraîne le pignon orange (à droite) qui transmet l'accélération angulaire inversé au disque gris placé au-dessus du disque central par le biais d'une courroie (en rouge). Un masse (en vert) est intégrée dans le disque gris pour diriger le propulseur en contrôlant la position du rotor (en orange) sous contrôle d'un cervo-moteur en temps réel. Des bobines d'un générateur intégré et des aimants seront disposés fermement dans le disque central et le disque externe, afin de réalimenter la machinerie en électricité et pour en augmenter l'autonomie. De tels disques pourront servir à motoriser les roues de moyens de transports et les rendre auto propulsés.

 

 

 

-- Description du dispositif--

 

III.a. Le propulseur est composé de multiples disques[3], munis de systèmes de rotation et d'orientation axiale : leur découplage et la mise en phase des propulseurs permet de produire une accélération angulaire dirigeable, gérée par un cerveau-moteur.

 

III.b. Des roues d'engranage occupent le centre de mes propulseurs, des pignons ou chenilles sont disposés à une extrémité de ces grandes roues, une courroie tansfère l'accélération du pignon vers le centre de mon disque propulseur externe comportant une masse vers son bord : le disque asymétrique tourne en sens inverse du rotor actionnant la roue centrale, qui se trouve en phase par rapport au disque porteur. Le rotor pivotte axialement en sorte de contrôler l'effet d'accélération angulaire et la force centrifuge. Le mouvement en sens inverse des disques intérieurs et extérieurs permet de reproduire de l'électricité pour auto-alimenter les moteurs et augmenter l'autonomie du moteur.

 

III.c. Les disques propulseurs ont un centre de gravité asymétrique en sorte de pouvoir orienter un masse intégrée dirigeable sur commande.

 

III.d. La synchronisation de la vitesse de rotation des disques intérieurs et extérieurs permet de propulser les disques par l'effet d'une force centrifuge globale dirigeable.

 

III.e. Comme le centre de gravité se déporte dans une direction donnée le propulseur se dirige dans ce sens : le centre de gravité des rotors est commandé sur demande.

 

III.f. Il est possible de découpler le plan rotatoire des disques intérieurs et extérieurs en modifiant le système d'engrenage pour produire un effet de furtivité.

 

III.g. C'est un cerveau-moteur[4] qui gère la synchronisation et la mise en phase, tandis que la rotation des disques génère une force électrique d'auto-alimentation.

 

III.h. Pour induire la propulsion, il suffit de faire tourner les disques en phase avec les rotors. Le sens de rotation des disques porteurs se fait de façon synchronisée avec le mouvement des rotors mais en sens inverse. Lorsque les disques atteignent une vitesse suffisante, les propulseurs commencent à mettre le vaisseau en mouvement. La masse intégrée des propulseurs est orientée vers la direction souhaitée par le cerveau-moteur en agissant sur l'axe et la position du rotor en temps réel. Avec des contrepoids amovibles mécaniquement disposés dans les disques sur commande depuis le centre vers l'extérieur, il est possible de produire une accélération instantanée pouvant garantir une plus grande furtivité.

 

III.i. Ce propulseur peut équiper un vaisseau de systèmes de défense : l'énergie générée par les disques peut l'équiper d'armes électromagnétiques. Des mini-disques similaires dont le disque intérieur contient des projectiles et d'un système de clapets peut tourner à grande vitesse, un disque extérieur est équipé d'une rainure (canon) qui dirigera le projectile vers la cible. L'éjection peut servir de système de propulsion complémentaire.

 

III.j. Le champ magnétique généré peut servir dans l'espace de bouclier contre les radiations cosmiques.

 

III.k. Un tel vaisseau peut servir à faire dévier un geocroiseur repéré à temps où à ramener des astéroïdes contenant des minéraux.

 

III.l. La rotation peut servir à produire un effet de pesanteur artificielle pour les voyageurs en l'absence de gravité.

 

III.m. Beaucoup de techniques diverses permettant d'utiliser l'accélération angulaire comme force de propulsion sont possibles : il est ainsi également possible de faire tourner en sens inverse deux disques, avec le disque intérieur logé à l'intérieur du disque propulseur externe, sans contact physique. Le disque externe comporte à sa surface intérieure des roulements à billes : lorsque nous souhaitons utiliser la force angulaire, le disque intérieur est instantanément élargi et freine en entraînant le dique propulseur à contre sens à une vitesse idéale, sous le contrôle en temps réel d'un cerveau moteur. Ce processus est répété consécutivement à intervalles de temps. Ou encore, il est permis d'également équiper le disque intérieur d'une masse et de jouer sur l'accouplage des deux masses en les mettant en phase.

 

 

IV. Générateur Electrique Aquatique à Poussée d'Archimède :

 

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Un filet flotte sur l'eau suspendu par un ballon empli d'air. Lorsqu'un moteur embarqué (alimenté par des hélices activées lors de la descente et la montée du chalut) ouvre une voile de submersion situé en profondeur, le filet se transforme en reservoir ovoïde et se met à sombrer entraînant le ballon et active deux roues, l'une au fond des eaux et l'autre en surface en tirant sur le câble (ce sont deux générateurs). Une fois arrivé à la bonne profondeur, un altimètre commande au moteur de rendre le voile perméable et de se rabattre en parapluie contre le câble,le ballon remonte alors suivant le mouvement inverse du chalut tracté par le ballon propulsé en surface par la poussée d'Archimède.

 

 

-- Description du dispositif--


IV.a. Un fillet (pouvant se transformer en frein lors de la remontée en surface[5]) est maintenu en surface par un grand ballon empli d'air, il est fixé autour d'un circuit de câblage relié à deux roues (générateurs) une en surface et l'autre maintenue dans le fond des eaux. Le ballon empli d'air est traversé par le câble et occupe le sommet du dispositif, une barre s'arrime sur le câble et relie le ballon à un voilier amovible plus large se situant à une certaine profondeur. Lorsque la plate-forme s'ouvre et devient étanche, la pression de l'eau excède le pouvoir de floraison du ballon et le fait sombrer. Lorsque la plate-forme redevient perméable et se replie contre la barre centrale, le ballon remonte en surface.

 

IV.b. Un rotor muni d'hélices (source d'énergie autonome) est fixé à la base  de mon réservoir qui permet de produire l'énergie nécessaire pour actionner le voilier en position ouverte ou fermée.

 

IV.c. Une fois arrivé à la bonne profondeur, le moteur intégré ouvre les trous de mon voilier et le remplie en parapluie, il remonte alors par poussée d'Archimède tracté par le ballon.

 

IV.d. Mon circuit fonctionne de façon totalement autonome, et ne dépend pas de la force des courants ou d'autre force que la gravité et la poussée d'Archimède : c'est une source d'énergie continue et stable.

 

IV.e. Il est possible de produire de l'énergie par ce processus dans une tour d'eau. La production d'énergie est continue et proportionelle au volume du voilier et du ballon.

 

IV.f. Logée dans un gratte-ciel, ce mécanisme peut servir également comme système d'ascenseur si un système de sécurité est associé au système du moteur pour bloquer le mouvement le temps du chargement et du déchargement.

 

 

V. Moteur à combustion à hydrogène :

 

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De l'eau salée (électrolyte) est emplie dans un réservoir (grand rectangle). Un compartiment (en haut à droite) est séparé pour l'électrolyse : un filtre (en mauve) nettoie l'eau des éléments non souhaitables qui passent du réservoir au compartiment de l'électrolyse. Une chambre de combustion (cercle brun) est fixée dans le centre du réservoir vers lequel l'hydrogène et l'oxygène issus de l'électrolyse sont conduits pour une combustion, un système d'allumage électrique est alimenté par la batterie. Le métal (en molybdène) de la chambre de combustion chauffe et transfère la chaleur vers l'eau du réservoir : ainsi, tandis que la chambre de combustion évite la fusion, l'eau de mon réservoir chauffe et active des pistons mécaniques (les cylindres en  haut à gauche). Une partie de l'énergie produite permet de recharger une batterie pour maintenir l'allumage, pour maintenir le processus d'électrolyse et pour contrôler le cerveau-moteur (en noir à droite) qui est commandé par le thermomètre quand la température idéale est atteinte ou trop basse pour optimiser la production d'énergie et la longévité des matériaux.

 

 

 

-- Description du dispositif--

 

V.a. De l'eau salée (ou de mer) est placée dans un réservoir, avec un compartiment servant à dissocier l'hydrogène de l'oxygène et les canaliser pour une combustion[6].

 

V.b. Une chambre de combustion en molybdène est placée dans mon réservoir d'eau, où il est refroidit  au contact de l'eau du réservoir afin d'éviter qu'il fonde.

 

V.c.  Le chauffage de l'eau de mon réservoir génère une pression qui est transférée vers des pistons et convertie en force mécanique.

 

V.d. Lorsque la température atteint un seuil critique, l'électrolyse et la combustion sont stoppées le temps de revenir à une température de base (les anodisé et cathodes sont soulevées hors de l'eau).

 

V.e. Une batterie est disposée dans le moteur, qui est rechargée par mon moteur à vapeur, qui servira à gérer l'allumage et la gestion électronique de la combustion.

 

V.f. Ce dispositif peut servir à réchauffer des bâtiments, et les alimenter en eau et en électricité.

 

V.e. Il est possible de se servir de ce dispositif sur l'eau de mer pour desaliniser l'eau en récupérant la vapeur par condensation et par combustion.

 

V.f. Le chauffage de l'eau de mer dans le premier compartiment empêchera la prolifération des microorganismes, en sorte d'optimiser l'électrolyse. Un filtrage des résidus (par des filtres contenant du sable et des gravillons, récoltées en mer, par couches pex.) lors du passage au compartiment où s'opère lélectrolyse permettra un rendement optimal. La température élevée de l'eau aussi sera un facteur favorable sur le plan du rendement.

 

V.g. La vapeur obtenue sera récupérée et traitée pour devenir parfaitement potable.

 

 

VI. Centrale solaire thermique :

 

Turbine%2Bsolaire.bmp

 

En haut à gauche, un miroir concave recevant la lumière du soleil et la concentrant vers la boule (rouge) en molybdène. Le miroir a une ouverture circulaire en son centre et bouge selon le mouvement du soleil en maintenant la concentration de la lumière en direction du capteur en molybdène. La boule est reliée à une tubage (de même nature) à double compartiment  qui plonge vers un compartiment semi-isolé au sein de ma citerne contenant de l'eau. Le circuit étant étanche, l'évaporation de l'eau évacue le tubage et fait un appel qui conduit l'eau de ma citerne vers la boule en molybdène, pour le chauffage quand celui-ci se libère. La vapeur active des turbines qui génèrent de l'électricité (le circuit est connecté à un vase d'expansion et un système de refroidissement permettant d'éviter l'explosion) . A droite de ma citerne, un circuit fermé est connecté à des radiateurs pour garantir le chauffage en hivers et l'eau chaude sanitaire. Au milieu en noir, un générateur est activé et en cas de surplus d'électricité, il soulève des masses en faisant tourner des tiges filetées qui les traversent en longueur. Ces masses sont maintenues en suspension par une série de butoirs commandés par un cervo-moteur. Lorsqu'il y a besoin d'énergie en l'absence d'ensoleillement, les poids sont relâchés en série et la roue génère de l'électricité en alternant. La citerne étant étanche, la chaleur qui y est maintenue sert à poursuivre une production d'énergie moindre en l'absence d'ensoleillement par condensation.

 

 

 

-- Description du dispositif--

 

VI.a. Un miroir concave ou une parabole couverte d'un miroir réfléchissant permet de focaliser la lumière vers une boule métallique qui chauffe.

 

VI.b. Un cerveau-moteur permet d'orienter la parabole en direction du soleil du lever au coucher grâce à un algorithme et un récepteur photosensible.

 

VI.c. La boule transmet la chaleur par échange thermique à un circuit d'eau. Pour une élévation de température de 3000°C, pendant une heure, je peux produire dans des conditions optimales 3kwh. Avec un ensoleillement de 6 heures, je peux produire jusqu'à 18kwh d'électricité par ce seul moyen et par litre d'eau ainsi chauffé. Pour une citerne de 500 litres, je pourrai produire jusqu'à 9.000 kwh par jour.

 

VI.d. L'eau de la citerne est séparée dans un compartiment qui laisse l'eau monter par un effet de vases communiquants en s'évaporant vers la boule en molybdène progressivement (compartiment de préchauffage). Lorsque l'eau s'évapore elle actionne des turbines (ou des pistons) et s'échappe vers un circuit de refroidissement par condensation. Cette évasion crée un appel de l'eau depuis la citerne vers le compartiment de préchauffage, le niveau d'eau de la citerne cherchant à rester stable par vases communiquants et conduit de l'eau moins chaude vers la chambre de préchauffage.

 

VI.e. L'eau est reconduite vers la citerne isolée thermiquement étant moins chaude.

 

VI.f. Des clapets donnent un sens unique de mouvement au circuit.

 

VI.g. Un vase d'expansion permet d'éviter la surpression dans le circuit.

 

VI.h. Lors du chauffage, des turbines permettent de produire de l'électricité. La surchauffe permet de faire fonctionner des turbines et générer de l'électricité.

 

VI.i. Un circuit de chauffage récupère de la chaleur par échange thermique : permettant de refroidir l'eau du circuit en utilisant la chaleur pour l'hivers, de l'eau chaude sanitaire et pour la cuisson (l'eau bouillante est thermorégulée avec de l'eau froide et chauffe des plaques de cuissons).

 

VI.j. Un assemblage de poids disposés en série et soulevés par l'électricité générée sont maintenus en position haute par des butoirs commandables. Ils sont reliés à un générateur électrique par un système d'engrenage et sont activés en série pour descendre quand on a besoin l'énergie. Lorsqu'une masse atteint la position haute, elle est bloquée par une butée qui libère la masse suivante mécaniquement : les poids peuvent être des masses en plomb de 1 cm de diamètre et de 1 m de haut, et soulevés de 1 m, ainsi pour un volume d'espace de mouvement de 1m3 je peux contenir dans des conditions optimales jusqu'à 49.533,25 watt/s si mes poids descendent de 1 mètre par seconde. Soit 13,76 kwh en continu pendant 01h00. Un moyen de stockage privé qui peut être intéressant en cas de stockage durant les heures creuses. Pour un volume de 5 mètres de côté cela permettra de stocker 1.740 kwh par heure.

 

 

 

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Pour stocker de l'énergie, il est possible de soulever les poids de notre machine par des vis traversant des masses de base carré coulissant dans des couloirs contenant de l'huile. Lorsque le générateur est activé, il fait tourner les vis les uns à la suite des autres, faisant remonter les masses qui se clipsent sur des butoirs (en rouge) en position haute. Lorsqu'il y a besoin d'énergie, le premier poids en position haute est libéré, et descend par gravité, entraînant un mouvement de rotation de la vis avec une accélération angulaire de 1m/s. Cette rotation est transmise par un système d'engrenages qui s'élève à tour de rôle sous l'effet de l'entraînement vers le bas des poids. Arrivée en position basse, la masse actionne mécaniquement le butoir soutenant la masse suivante qui descend à son tour. Chaque série de tiges et engrenages est lié à une vis sans fin horizontale, qui entraîne à son tour une chenille qui actionne le générateur pour rendre l'énergie stockée.



 

VI.i. Pour garder une réserve d'énergie pour les cas de pénurie en ensoleillement, un système de vis soulevant des poids en tournant et traversant ces poids, que les poids font tourner en sens inverse en descendant peut faciliter l'entretien technique et diminuer les frais de construction et mise en fonction. Selon les besoins, un nombre approprié de rangées est activé, par un système de boîtier à vitesse séquentielle. Des freins parcourent enfin chaque couloir en longueur et sont actionnés sur commande par une pompe hydrolique quand le besoin énergétique est atteint.

 

 

 

* * *

 

-----------------------------------

[1] Un cerveau moteur mesurant la hauteur de mon tracteur (double-rouleaux) commandera périodiquement un léger déserrage de mon tracteur, juste le temps que ma roue fasse redescendre mon tracteur à la hauteur initiale (effet inertiel) : une partie de l'énergie produite par mon dispositif rendant ainsi ma machine optimale. Un fil conducteur parcourt la roue le long de ses parois, et est en contact physique avec un fil identique parcourant les parois extérieures des rouleaux de mon tracteur. Ce dispositif permet à la fois une commande du serrage idéal de mon tracteur contre la paroi de ma roue et l'alimentation électrique (nécessaire pour le rétro-contrôle). C'est un système de serrage hydrolique disposé à l'intérieur des rouleaux qui permet cet ajustement en temps réel. Le système est contrôlé par un cerveau-moteur. 

 

[2] La roue doit opposer une inertie proportionnelle à la masse de mon tracteur et à sa puissance de traction. Je peux faire varier cette inertie en contrôlant le serrage de mes suspensions (les trois générateurs). Une partie optimale de mon énergie électrique ainsi généré peut servir à alimenter un électroaimant servant à attirer mon tracteur vers le bas et acroître sa puissance de traction, ou à l'attirer vers le haut et ralentir la machinerie en accélération. Le poids propre initial de mon tracteur peut par ce biais être faible sur un mini-moteur.

 

[3] Le poids de mes disques ne joue aucun rôle, mais leur résistance aux contraintes de cisaillement, pression, torsion et de friction est essentielle. C'est la vitesse de rotation des disques et le poids du propulseur qui déterminera la puissance de mon moteur.

 

[4] Du fait qu'il ne faut pas de support extérieur pour la propulsion, ce moteur à force centrifuge peut être un moyen de propulsion de choix pour les voyages intersidéraux. En l'absence de contrainte, l'effet cumulé du maintient de la vitesse inertielle avec les coups d'accélération permettront un rendement optimal en l'absence de gravité. Le mouvement rotatoire sera de même maintenu par inertie si nous pensons les systèmes d'engrenage à aimants sans contact et sans perte d'énergie par frottement. Ce qui pourra servir par ailleurs de source d'énergie si chaque disque est équipé d'un générateur.

 

[5] Le voilier se déploie sous forme de toile perméable et s'étenchéise ensuite. Il s'ouvre à temps lors de la remontée pour ralentir la montée.

 

[6] Le plaques d'anodes et de cathodes sont en titane pour optimiser le rendement et facilter l'entretient.

 

Sidérant!

Je ne puis être que béat d'admiration pour tant d'effort pour exposer ses idées. Hélas, n'étant pas éclairé par les lumières divines, je n'ai absolument rien compris sauf que comme l'écrit @Répyc'est en contradiction complète avec toutes les lois connues de la physique.

Étant donné que seul un miracle pourrait permettre à l'un quelconque de ces dispositifs de fonctionner durablement sans supercherie, je ne suis pas loin de penser  qu'on ne serait pas loin, alors, de détenir une preuve de l'existence de dieu.

Je doute fort cependant qu'Allah condescende à réaliser pour les beaux yeux d'un mécréant comme moi un tel miracle.

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
Posté(e)

ou ,comment donner à des idéologies une caution simili scientifique ....un pavé confus pour une idéologie indigeste ....

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

J'ai du mal à croire que toi, Frelser qui n'a plus posté ici depuis des plombes et qui est habituellement un participant intelligent (enfin dans mon souvenir) puisse relayer de telles fadaises. Qui a piraté ton compte? :D

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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

Dis moi un peu, Hybridex. Quand on trouve un sujet inintéressant ( et celui là l'est tout particulièrement) on évite de le citer intégralement surtout quand il fait trois pages. Sur le coup, tu fais de la pub pour un post complètement débile.

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Quasi-Modo a dit :

J'ai du mal à croire que toi, Frelser qui n'a plus posté ici depuis des plombes et qui est habituellement un participant intelligent (enfin dans mon souvenir) puisse relayer de telles fadaises. Qui a piraté ton compte? :D

Peux-tu développer, mettons pour le générateur à poussée d'Archimede ? Pourquoi ça ne fonctionnerait pas (d'autant que j'ai réalisé un démonstrateur) ?

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, hybridex a dit :

Sidérant!

Je ne puis être que béat d'admiration pour tant d'effort pour exposer ses idées. Hélas, n'étant pas éclairé par les lumières divines, je n'ai absolument rien compris sauf que comme l'écrit @Répyc'est en contradiction complète avec toutes les lois connues de la physique.

Étant donné que seul un miracle pourrait permettre à l'un quelconque de ces dispositifs de fonctionner durablement sans supercherie, je ne suis pas loin de penser  qu'on ne serait pas loin, alors, de détenir une preuve de l'existence de dieu.

Je doute fort cependant qu'Allah condescende à réaliser pour les beaux yeux d'un mécréant comme moi un tel miracle.

Si cette diatribe n'est pas un énième crachat pavlovien, n'hésite pas à développer stp.

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Membre, 106ans Posté(e)
bondgers Membre 1 508 messages
Baby Forumeur‚ 106ans‚
Posté(e)

La force du coran est de faire croire aux gens qu'ils vont y trouver La Vérité, et c'est donc la meilleur façon de les maintenir dans l'ignorance.

Modifié par bondgers
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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 22 349 messages
scientifique,
Posté(e)

L'article proposé en préambule a autant de valeur scientifique que n'en a le livre de la Génèse au sujet de la "création du monde" et de la Vie !

Monsieur le modérateur, ce sujet ne mérite pas d'être placé en sciences !

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 8 heures, Frelser a dit :

Peux-tu développer, mettons pour le générateur à poussée d'Archimede ? Pourquoi ça ne fonctionnerait pas (d'autant que j'ai réalisé un démonstrateur) ?

Pour moi le problème n'est pas de savoir si tes générateurs fonctionnent, disons que je n'ai pas le temps ni le compétences pour vérifier s'ils fonctionnent, mais il est de prétendre avoir élaboré de telles idées grâce au Coran. Tu aurais aussi bien pu piquer les plans ailleurs sur internet ou dans d'autres circonstances. Cela s'appelle du concordisme, ce qui est absolument antiscientifique. Mais bon tu le sais sans doute, tant pis si tu as envie de te repaître dans des idéologies un peu concon de ce genre.

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Membre, 106ans Posté(e)
bondgers Membre 1 508 messages
Baby Forumeur‚ 106ans‚
Posté(e)

+1

C'est sûr que les versets du Coran sont tellement vagues ou naïfs qu'on ne peut biensûr rien créer avec ça, donc ceux qui prétendent avoir créé des choses élaborées grâce au coran, ce sont juste des mensonges. D'ailleurs avant l'argent du pétrole les peuples musulmans étaient très arriérés

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Membre, 40ans Posté(e)
cheuwing Membre 16 414 messages
Maitre des forums‚ 40ans‚
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Il y a 9 heures, Frelser a dit :

Peux-tu développer, mettons pour le générateur à poussée d'Archimede ? Pourquoi ça ne fonctionnerait pas (d'autant que j'ai réalisé un démonstrateur) ?

tu n'as qu'a faire l'expérience , ce n'est pas bien  compliqué

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
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Il y a 6 heures, Quasi-Modo a dit :

Pour moi le problème n'est pas de savoir si tes générateurs fonctionnent, disons que je n'ai pas le temps ni le compétences pour vérifier s'ils fonctionnent, mais il est de prétendre avoir élaboré de telles idées grâce au Coran. Tu aurais aussi bien pu piquer les plans ailleurs sur internet ou dans d'autres circonstances. Cela s'appelle du concordisme, ce qui est absolument antiscientifique. Mais bon tu le sais sans doute, tant pis si tu as envie de te repaître dans des idéologies un peu concon de ce genre.

Ça c'est une remarque bien intéressante. Je poste des modèles de production d'énergie que je précise avoir élaboré sur base du Coran, et tu m'accuse de concordisme. Quand je demande pourquoi ça ne fonctionnerait pas, tu me dis ne pas être compétant pour le montrer. Et quand ça sera employé tu vas dire quoi ? Que c'est une technologie concordiste ? :D

Modifié par Frelser
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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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il y a 5 minutes, Frelser a dit :

Ça c'est une remarque bien intéressante. Je poste des modèles de production d'énergie que je précise avoir élaboré sur base du Coran, et tu m'accuse de concordisme. Quand je demande pourquoi ça ne fonctionnerait pas, tu me dis ne pas être compétant pour le montrer. Et quand ça sera employé tu vas dire quoi ? Que c'est une technologie concordiste ? :D

Oui, toutes mes excuses. :D

Je n'ai rien contre le fait que tu sois croyant. Allah c'est moi, n'oublie pas de me prier dès ce soir ;)

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, Quasi-Modo a dit :

Oui, toutes mes excuses. :D

Je n'ai rien contre le fait que tu sois croyant. Allah c'est moi, n'oublie pas de me prier dès ce soir ;)

Je connais un bon chirurgien, il peut te réparer la bosse au dos et le visage. Mais mon garagiste me dit que pour réparer ton cerveau c'est mission impossible.

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