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Le collant, symbole de l’obsolescence programmée (encore un)


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Bien pratiques pour joliment mettre ses gambettes à l’air ou pour se réchauffer sous un pantalon, les collants sont au coeur d’une industrie fort polluante, révèle un rapport publié par l’association HOP (Halte à l’Obsolescence Programmée) ce mardi 15 mai. Voyons ça de plus près.

 

Les trous dans le filet

Ce qu’il y a d’utile, dans l’approche de l’association HOP, c’est d’expliquer comment nous en sommes arrivés là, et comment les industriels peuvent changer la donne. En retraçant l’historique de cette industrie, HOP montre à quel point cette industrie est polluante : « les bas et les collants, dont les publicitaires ont fait la quintessence du glamour, sont en fait un produit pétrochimique issu de l’une des industries les plus polluantes qui soit. Initialement conçus en nylon, ils ont évolué vers un mélange de nylon et élasthanne pour assurer un plus grand confort » est-il précisé en rappelant à quel point les intrants chimiques sont présents à chaque étape de la confection d’une fibre textile (pour mémoire, le secteur de la mode est l’un des plus polluant au monde). Dans le documentaire cité ci-dessus d’ailleurs, le chimiste allemand Michael Braungart rappelle que la quantité d’agent de protection aurait été diminuée, rendant les fils de nylon plus sensibles aux rayons ultraviolets et à l’oxygène de l’air. « Avec l’appui de nos experts chimistes, nous pouvons affirmer que de telles pratiques sont possibles » précise d’ailleurs l’étude, qui émet l’hypothèse selon laquelle les fabricants peuvent jouer sur les additifs chimiques pour rendre plus ou moins robuste un collant, et ainsi programmer sa fin de vie.

 

...

De fait, faut-il acheter une ou deux paires à 40 euros pièce et les garder plusieurs saisons ou acheter des dizaines de paires pas chères tous les ans ? A cette question, HOP répond clairement : « un collant cher au moment de l’achat ne l’est pas sur le long terme. Si l’achat d’un collant plus onéreux mais plus durable coûte le même prix par nombre d’utilisations que les autres types de collants bon marché, il représente un gain de temps et une économie en déchets pour la planète. Nous recommandons donc de se tourner vers les collants reconnus par nos pairs comme les plus durables. » Comme souvent avec ces problématiques d’obsolescence programmée, nous sommes prêts à payer plus si la qualité est là : « Nos répondants déclarent dépenser environ 9€ en moyenne pour une paire de collants. Mais ils seraient prêts à monter jusqu’à 17€ (presque le double) s’ils ont la preuve que la paire « durable » s’avère réellement plus résistante que l’offre actuelle ».

Une responsabilité partagée

Si les industriels sont ainsi mis face à leurs responsabilités, tout porte à croire que les marques les plus installées sur le marché n’ont pas encore de quoi être inquiétées : « les parts de marché des marques les plus durables, à savoir (selon cette étude) Wolford, Bleuforêt, Gerbe et Calzedonia restent faibles par rapport à certains mastodontes low cost. En effet, malgré une perte de vitesse, le marché demeure dominé par quelques géants. Malgré son piètre score en termes de durabilité, la marque Dim (rachetée en 2015 par l’américain Hanes) est en première position avec plus de 43% de parts de marché. Viennent ensuite les marques de distributeurs qui occupent 24% des parts de marché, puis les marques Well et le Bourget. Les marques étrangères sont peu présentes sur le marché, à l’exception notable de l’italien Calzedonia qui fait une percée remarquée sur le marché hexagonal depuis une dizaine d’années, et de l’autrichien Wolford racheté en mars 2018 par le groupe chinois Fosun (déjà propriétaire du Club Med et de La Perla). »

En attendant que l’offre change ses pratiques, c’est au consommateur de prendre ses responsabilités : aujourd’hui, les collants voiles transparents représenteraient en France encore 72% du marché, contre 21% pour les opaques, et 60% des répondants au sondage HOP mené en mars 2018 déclarent porter des collants dont la densité est inférieure à 40 deniers. Or pour avoir du solide, il est crucial d’adopter de bons réflexes – choisir des deniers supérieurs à 40 (ou des collants en matières plus naturelles, plus épaisses et solides), favoriser l’achat de bas (cela évite de jeter tout le collant), manier le produit avec délicatesse (cf. les conseils proposés par HOP ci-dessous), mettre un peu de vernis pour stopper les mailles filées encore invisibles (sur les pieds ou sur le haut de la jambe…), et quand vraiment le produit n’est plus utilisable, penser à bien le recycler (une fois collectés, ils finissent souvent brûlés…) ou en détourner l’usage :

 

...

http://alternatives.blog.lemonde.fr/2018/05/16/les-collants-symboles-de-lobsolescence-programmee/

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Invité Colybris
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Il y a eu plusieurs reportages interressants sur Arte sur l'obsolescence programmée.

Dommage le dernier n'est pas disponible gratuitement.

 

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Membre, Troll Rural, 32ans Posté(e)
doug1991 Membre 6 524 messages
32ans‚ Troll Rural,
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Maintenant on adore mettre l'obsolescence programmé partout. C'est oublier la notion de rapport qualité/prix.

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Invité Colybris
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à l’instant, doug1991 a dit :

Maintenant on adore mettre l'obsolescence programmé partout. C'est oublier la notion de rapport qualité/prix.

Oui mais pas que. Ce n'est pas parce que tu vas acheter un produit plus cher qu'à proportion il va durer plus longtemps  (ex des smartphones). 

Autre exemple,  les appareils à lumière pulsée pour l'épilation  qui coûtent quand même un certain prix, ne sont pas tous équipés d'une ampoule à changer. Au bout de tant de flash, tu peux jeter l'appareil.

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Membre, Explorateur de Nuages, 45ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 22 497 messages
45ans‚ Explorateur de Nuages,
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il y a 21 minutes, doug1991 a dit :

Maintenant on adore mettre l'obsolescence programmé partout. C'est oublier la notion de rapport qualité/prix.

L'obsolescence programmée témoigne d'une volonté de raccourcir volontairement la durée de vie d'un produit (bas ou haut de gamme).

Le fait d'avoir un produit de mauvaise qualité ou peu durable du fait de composants de moins en moins chers, effectivement, on joue sur les rapports qualités/prix (encore que, il y a là un choix de privilégier une obsolescence naturelle, toujours plus basse puisque l'on cherche toujours pour ces produits bas de gamme à abaisser la qualité pour marger davantage).

Mais le fait de rechercher volontairement une obsolescence et l'intégrer à la production, là ce n'est pas pour miser sur la marge mais sur la durée de vie du produit afin de s'assurer d'une récurrence de la demande.

C'est la base d'une entreprise capitaliste que de s'assurer une clientèle et des ventes sur la longueur.
C'est dans cette idée-là qu'il y a eu de nombreuses ententes officieuses (et illégales) entre entreprises pour s'appliquer des contraintes mutuelles sur la durée de vie de leur produit, pour assurer à leur marché une pérennité économique (exemple connu des ampoules, mais il doit y en avoir des tas d'autres).

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Membre, Troll Rural, 32ans Posté(e)
doug1991 Membre 6 524 messages
32ans‚ Troll Rural,
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il y a 25 minutes, Colybris a dit :

Oui mais pas que. Ce n'est pas parce que tu vas acheter un produit plus cher qu'à proportion il va durer plus longtemps  (ex des smartphones). 

Autre exemple,  les appareils à lumière pulsée pour l'épilation  qui coûtent quand même un certain prix, ne sont pas tous équipés d'une ampoule à changer. Au bout de tant de flash, tu peux jeter l'appareil.

Je dis pas que ca n'existe pas mais c'est loin d'expliquer la durabilité réduite des objets. dans la majorité des cas ce n'ai pas ca.

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Membre, Troll Rural, 32ans Posté(e)
doug1991 Membre 6 524 messages
32ans‚ Troll Rural,
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il y a 6 minutes, Pheldwyn a dit :

L'obsolescence programmée témoigne d'une volonté de raccourcir volontairement la durée de vie d'un produit (bas ou haut de gamme).

Le fait d'avoir un produit de mauvaise qualité ou peu durable du fait de composants de moins en moins chers, effectivement, on joue sur les rapports qualités/prix (encore que, il y a là un choix de privilégier une obsolescence naturelle, toujours plus basse puisque l'on cherche toujours pour ces produits bas de gamme à abaisser la qualité pour marger davantage).

Mais le fait de rechercher volontairement une obsolescence et l'intégrer à la production, là ce n'est pas pour miser sur la marge mais sur la durée de vie du produit afin de s'assurer d'une récurrence de la demande.

C'est la base d'une entreprise capitaliste que de s'assurer une clientèle et des ventes sur la longueur.
C'est dans cette idée-là qu'il y a eu de nombreuses ententes officieuses (et illégales) entre entreprises pour s'appliquer des contraintes mutuelles sur la durée de vie de leur produit, pour assurer à leur marché une pérennité économique (exemple connu des ampoules, mais il doit y en avoir des tas d'autres).

Pour l'ensemble des produits il y a aucun intérêt de réduire volontairement la durée de vie, elle est déjà réduite par volonté d'avoir du prix. L'ensemble de ce que l'on achète aujourd'hui est très peu cher et ces prix sont obtenus en réduisant le cout de fabrication donc sur la solidité.

Et comme les produits sont plus fragiles il faut y  faire plus attention ce qui est loin d'être le cas de tout le monde.

C'est surtout au consommateur d'arrêter d'acheter de la merde.

 

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 776 messages
78ans‚ Talon 1,
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Ma fin aussi a été programmée. Je suis très collant.

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Membre, Explorateur de Nuages, 45ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 22 497 messages
45ans‚ Explorateur de Nuages,
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il y a 3 minutes, doug1991 a dit :

Pour l'ensemble des produits il y a aucun intérêt de réduire volontairement la durée de vie

Ben si, revendre le même produit demain.

Il y a souvent de l'obsolescence programmée, cachée ou par le fait de la conception.

C'est terriblement vrai en ce qui concerne les appareils (électroménager, informatique, hifi, ...).
Il y a les exemples connus et reconnus des téléviseurs et écrans (avec quelques condensateurs volontairement de mauvaise qualité placés où il faut), les imprimantes qui basent la durée de vie d'une pièce selon un nombre arbitraire de copies.
Les batteries de smartphone qui se veulent de moins en moins remplaçables, l'utilisation de vis spéciales pour rendre les réparations moins à la portée du consommateur, etc ...

La politique d'une entreprise est - selon son positionnement - de ne pas non plus faire du "trop" durable : il suffit, pour les entreprises "haut de gamme" de durer plus longtemps (ou au moins de donner l'impression de durer trop longtemps).
Il est de bon ton d'assurer une compatibilité avec le modèle juste d'avant, mais il faut aussi savoir mettre des "barrières" pour forcer à un moment donner un rachat.

Peu d'entreprises misent leur stratégie sur une recherche poussée vers des durées de vie toujours plus longues de leur produit ou une évolutivité qui soit la plus longue possible : ça n'a, économiquement parlant, aucun intérêt pour elles.
Question de logique.
 

il y a 3 minutes, doug1991 a dit :

C'est surtout au consommateur d'arrêter d'acheter de la merde.

Le consommateur achète dans le panel qu'on lui propose, selon le budget qu'il peut consacrer au produit en question.

Il fait au final moins le marché qu'une liste finie d'acteurs qui proposent une liste finie de produits.

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Membre, Troll Rural, 32ans Posté(e)
doug1991 Membre 6 524 messages
32ans‚ Troll Rural,
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il y a 1 minute, Pheldwyn a dit :

Ben si, revendre le même produit demain.

Il y a souvent de l'obsolescence programmée, cachée ou par le fait de la conception.

C'est terriblement vrai en ce qui concerne les appareils (électroménager, informatique, hifi, ...).
Il y a les exemples connus et reconnus des téléviseurs et écrans (avec quelques condensateurs volontairement de mauvaise qualité placés où il faut), les imprimantes qui basent la durée de vie d'une pièce selon un nombre arbitraire de copies.
Les batteries de smartphone qui se veulent de moins en moins remplaçables, l'utilisation de vis spéciales pour rendre les réparations moins à la portée du consommateur, etc ...

La politique d'une entreprise est - selon son positionnement - de ne pas non plus faire du "trop" durable : il suffit, pour les entreprises "haut de gamme" de durer plus longtemps (ou au moins de donner l'impression de durer trop longtemps).
Il est de bon ton d'assurer une compatibilité avec le modèle juste d'avant, mais il faut aussi savoir mettre des "barrières" pour forcer à un moment donner un rachat.

Peu d'entreprises misent leur stratégie sur une recherche poussée vers des durées de vie toujours plus longues de leur produit ou une évolutivité qui soit la plus longue possible : ça n'a, économiquement parlant, aucun intérêt pour elles.
Question de logique.
 

Le consommateur achète dans le panel qu'on lui propose, selon le budget qu'il peut consacrer au produit en question.

Il fait au final moins le marché qu'une liste finie d'acteurs qui proposent une liste finie de produits.

Pour les smartphones ce n'est pas de l'OP, que la batterie soit soudée n'est pas cachée surtout. La durée de vie des smartphone courte est du a plusieurs facteurs batteries avec un retard technologique, évolution logiciel très rapide, utilisation intensive. Faire un smartphone durable est aujourd'hui quasi impossible.

Pour électroménager c'est une question de prix, ca coute rien aujourd'hui, quand mes grand parents achetaient de électroménager ca coutait plusieurs mois de salaire pour un simple mixeur. Aujourd'hui on trouve tout pour quelques centaine d'euro. 

Il suffit d'acheter correctement avec bon sens.

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Membre, Explorateur de Nuages, 45ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 22 497 messages
45ans‚ Explorateur de Nuages,
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il y a 6 minutes, doug1991 a dit :

Pour les smartphones ce n'est pas de l'OP, que la batterie soit soudée n'est pas cachée surtout.

Non, là c'était l'illustration d'un choix volontaire de conception.
 

il y a 6 minutes, doug1991 a dit :

La durée de vie des smartphone courte est du a plusieurs facteurs batteries avec un retard technologique, évolution logiciel très rapide, utilisation intensive. 

Dans le domaine du smartphone, tout est basée sur une certaine rétention technologique : il faut savoir ne pas sortir les nouveautés technologiques trop vite, ou ne pas sortir un modèle regroupant tous les points forts à la fois.

Il faut offrir un plus technologique lors de la sortie du modèle l'année suivante, il faut donc avoir veiller à ne pas trop en mettre à un instant t.
 

il y a 6 minutes, doug1991 a dit :

Pour électroménager c'est une question de prix, ca coute rien aujourd'hui, quand mes grand parents achetaient de électroménager ca coutait plusieurs mois de salaire pour un simple mixeur. Aujourd'hui on trouve tout pour quelques centaine d'euro. 

Souvent ce sont de petites pièces qui lâchent (courroies, etc ...), petite pièce dont le surcoût pour une qualité supérieure et plus durable est souvent minime par rapport au coût de revient de l'appareil (d'où l'idée que c'est un réel choix, une volonté) et tout est fait pour limiter leur remplacement.
Tu as aussi l'électronique débarqué dans les voitures, certes pour faciliter les diagnostiques, mais aussi pour brider davantage la réparation et créer de nouvelles prestations.

Après, il faut que le marché s'y prête : qu'une télé rendre l'âme au bout de quelques années et qu'il faille la changer ne choque plus trop. C'est presque admis (alors, que, encore une fois, souvent ce n'est pas grand chose).
Par contre, il y a certains secteurs plus "experts" où cela est moins admis et où une mauvaise expérience risque d'amener le client chez la concurrence (j'ai exemple le même ampli Yamaha depuis des années, par exemple, les circuits semblent plus robustes qu'une télé). 

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  • 1 mois après...
Membre, 51ans Posté(e)
Kubelwagen Membre 30 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)
Le 16/05/2018 à 12:37, Pheldwyn a dit :

Non, là c'était l'illustration d'un choix volontaire de conception.
 

Dans le domaine du smartphone, tout est basée sur une certaine rétention technologique : il faut savoir ne pas sortir les nouveautés technologiques trop vite, ou ne pas sortir un modèle regroupant tous les points forts à la fois.

Il faut offrir un plus technologique lors de la sortie du modèle l'année suivante, il faut donc avoir veiller à ne pas trop en mettre à un instant t.
 

Souvent ce sont de petites pièces qui lâchent (courroies, etc ...), petite pièce dont le surcoût pour une qualité supérieure et plus durable est souvent minime par rapport au coût de revient de l'appareil (d'où l'idée que c'est un réel choix, une volonté) et tout est fait pour limiter leur remplacement.
Tu as aussi l'électronique débarqué dans les voitures, certes pour faciliter les diagnostiques, mais aussi pour brider davantage la réparation et créer de nouvelles prestations.

Après, il faut que le marché s'y prête : qu'une télé rendre l'âme au bout de quelques années et qu'il faille la changer ne choque plus trop. C'est presque admis (alors, que, encore une fois, souvent ce n'est pas grand chose).
Par contre, il y a certains secteurs plus "experts" où cela est moins admis et où une mauvaise expérience risque d'amener le client chez la concurrence (j'ai exemple le même ampli Yamaha depuis des années, par exemple, les circuits semblent plus robustes qu'une télé). 

Pour les télévisions, l'électro-ménager, tout est fait pour vous tenter de racheter un exemplaire neuf. Plus de petits réparateurs, coûts de devis exorbitants ( 80 euros pour le devis seul, demandé en grande surface, pour un décodeur TNT à 40  euros neufs...) Fait par moi-même : 3 condensateurs changés, à 80 centimes pièces... Il suffit d'être un peu débrouillard, et nous avons quasiment tous internet pour nous aider ( tutos, forums, docs techniques).

 

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