«Merci pour ce moment», écrivait Valérie Trierweiler en 2014, après un bref séjour à l’Élysée. Un titre caustique, comme un écho au malaise ressenti par l’ancienne première dame après la révélation de la liaison entre  François Hollande  et  Julie Gayet , en une de  Closer , en avril 2014.

Interrogée par Paris Match - magazine auquel elle contribue depuis près de vingt-neuf ans - ce samedi, Valérie Trierweiler est revenue sur l’un des bruits de couloir qui visaient, selon elle, à ternir son image. En janvier 2014, un témoignage anonyme d’un «haut fonctionnaire du Mobilier national», publié sur le site lecolonel.net, vient semer la discorde. Le témoin aurait été appelé en urgence, au matin du 10 janvier, pour restaurer la décoration présidentielle, saccagée selon lui par… Valérie Trierweiler en personne, qui vient d’apprendre la liaison entre son mari et Julie Gayet.