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Catalogne....les indépendantises pourraient conserver la majorité.


PASCOU

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 7 minutes, pila a dit :

Ces élections ne sont pas vraies.

Qui a voté ? Les madrilènes installés à Barcelone ? C'est pas de jeu dans ce cas; ils ne sont pas catalans. Dans ce cas; les 52%-48% ne sont plus justes.

Il fallait faire un referendum avec par exemple les gens nés et/ou vivants en Catalogne depuis 25 ans et plus !

Le Roi et le Premier Ministre espagnols sont des nuls. S'ils avaient un peu d'intelligence, ils négocieraient un Royaume de Catalogne avec l'Infante sur le Trône. L'Empereur d'Autriche était bien Roi de Hongrie. Il y a bien un premier ministre en Ecosse !

 

Ce sont quand même les Indépendantistes qui ont la majorité.

Regarde ce petit tableau, et on voit bien qe le PP parti de rajoy est dans les choux!

http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/12/21/elections-regionales-en-catalogne-les-partis-independantistes-conservent-la-majorite-absolue_5233136_3214.html

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Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
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Les indépendantistes n'ont pas la Majorité des votants. Le FN s'est considéré un jour comme premier parti de France en voix à la suite d'une élection pour laquelle personne ne s'était déplacée.  :D

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 36 minutes, pila a dit :

Les indépendantistes n'ont pas la Majorité des votants. Le FN s'est considéré un jour comme premier parti de France en voix à la suite d'une élection pour laquelle personne ne s'était déplacée.  :D

Pari gagné pour les indépendantistes ? Selon des résultats quasi définitifs, jeudi 21 décembre, les trois partis indépendantistes (ERC-CatSi, Ensemble pour la Catalogne, CUP) obtiennent la majorité des sièges au parlement régional — 70 sur 135. C’est toutefois le parti centriste libéral Cuidadanos qui arrive en tête des suffrages avec 25 % des voix (37 sièges) alors que la participation a atteint un niveau historique (82 %, contre 75 % en 2015).

 

 

Oui, comme le FN, Cuidadanos dit qu'il a gagné avec25% des voix.(oui c'est le parti en tête, c'est tout)

C'est déjà pas mal il fiche une déculotté au PP de rajoy. 

S'il est le parti en tête en nombre de voix, il n'est pas majoritaire au parlement.

Donc il ne ment pas mais ne peut pas diriger.

Ensuite on verra qui va représenter les indépendantistes, sans doute Puigdemont et dans ce cas il aura gagné sur rajoy.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

 

Finalement on peut croire qui on veut, c'est ça qui est bien!

Oui absolument, tu peux croire qui ça t'arrange sans que ça dérange les autres. Maintenant tu peux aussi ne pas croire et observer les faits. Si ces faits mettent un peuple en danger tu peux continuer de croire que c'est pour leur bien... 

il y a une heure, PASCOU a dit :

Ce sont quand même les Indépendantistes qui ont la majorité.

Regarde ce petit tableau, et on voit bien qe le PP parti de rajoy est dans les choux!

http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/12/21/elections-regionales-en-catalogne-les-partis-independantistes-conservent-la-majorite-absolue_5233136_3214.html

Rajoy a envoyé l'armée /police contre des gosses... même si on était d'accord politiquement avec lui il n'était pas question de lui accorder sa confiance à nouveau. Quand tu envoies les forces armées contre une population pacifiste, c'est un aveu d'incompétence. 

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 54 minutes, Crabe_fantome a dit :

Oui absolument, tu peux croire qui ça t'arrange sans que ça dérange les autres. Maintenant tu peux aussi ne pas croire et observer les faits. Si ces faits mettent un peuple en danger tu peux continuer de croire que c'est pour leur bien... 

Rajoy a envoyé l'armée /police contre des gosses... même si on était d'accord politiquement avec lui il n'était pas question de lui accorder sa confiance à nouveau. Quand tu envoies les forces armées contre une population pacifiste, c'est un aveu d'incompétence. 

Mais c'est toi qui dis que ça met un peuple en danger, pas moi.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

C'est rajoy qu'il faut exiler.

On verra si les indépendantistes s'accordent entre ceux qui veulent partir sans aucune négociation et ceux qui veulent négocier, donc ça va encore durer un moment.

Mais déjà il devrait sortir les gens de prison, c'est Noël, et c'est vraiment un "con", ils ne sont pas un danger pour la population.

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PASCOU Membre 92 138 messages
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http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/12/22/le-triple-echec-de-mariano-rajoy-en-catalogne_5233320_3214.html

Mariano Rajoy lors d’un meeting, à Barcelone, le 18 décembre 2017. Mariano Rajoy lors d’un meeting, à Barcelone, le 18 décembre 2017. JAVIER SORIANO / AFP

 

En convoquant des élections régionales pour contrecarrer la tentative de sécession du gouvernement de Carles Puigdemont, Mariano Rajoy espérait « restaurer la stabilité » de la région et casser l’élan des indépendantistes. Un pari triplement perdu. Ces derniers sortent renforcés du scrutin du jeudi 21 décembre alors que le Parti populaire (PP) du premier ministre espagnol s’effondre au profit de son grand rival, Ciudadanos.

Avec trois députés, huit de moins que lors des dernières élections régionales de 2015 (et 165 000 voix de perdues), le PP disparaît pour ainsi dire de la scène politique catalane. Il n’y a pas si longtemps, lors du scrutin de 2012, il avait enregistré le meilleur résultat de son histoire, 19 sièges. C’est une défaite humiliante pour celui qui reste le premier parti en Espagne.

La presse espagnole n’a pas épargné le premier ministre conservateur : il s’agit du « plus grand échec de la carrière politique de Mariano Rajoy », d’un « fiasco », d’un « jour noir pour le PP », d’un « désastre » pour le parti au pouvoir, d’une « débâcle », ont titré plusieurs quotidiens.

 

Mariano Rajoy avait espéré que la « majorité silencieuse » des Catalans « unionistes » porterait un coup décisif au mouvement séparatiste. En fait, le Parti populaire n’a pas su capitaliser les dividendes politiques de la mise sous tutelle de la région. C’est Ciudadanos, qui dès le début de la crise avait réclamé le déclenchement de l’article 155 de la Constitution permettant de suspendre l’autonomie de la Catalogne, qui a réussi à se présenter comme le garant de l’unité de l’Espagne.

« Ce sont de très mauvais résultats », a reconnu le candidat du PP en Catalogne, Xavier García Albiol. « Non seulement pour nous, mais également pour les constitutionalistes qui n’ont pas su présenter une alternative à l’indépendantisme », a-t-il précisé. Mariano Rajoy devait...

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Bien sur nos journaux minimisent!

Ils bourrent le mou.

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PASCOU Membre 92 138 messages
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http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/12/23/catalogne-carles-puigdemont-toujours-inquiete-par-la-justice_5233894_3214.html

 Je veux revenir en Catalogne le plus tôt possible. Je voudrais revenir dès maintenant. Ce serait une bonne nouvelle pour l’Espagne », a-t-il déclaré dans un entretien accordé à l’agence de presse Reuters, samedi 23 décembre. Prié de dire s’il compte assister à la séance inaugurale du 23 janvier, il répond : « Ce serait naturel. Si je ne suis pas autorisé à être président, ce sera une anomalie pour le système démocratique espagnol. Je suis le président du gouvernement régional et je le resterai si l’Etat espagnol respecte les résultats du vote », ajoute-t-il.

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  • 3 semaines après...
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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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http://www.liberation.fr/planete/2018/01/10/puigdemont-president-a-distance-pour-la-catalogne_1621521

Le responsable destitué aspire à retrouver son fauteuil la semaine prochaine, mais sans quitter son exil belge. Une formule inédite qui suscite le scepticisme et se heurte à des écueils juridiques.

 

Puigdemont, président à distance pour la Catalogne ?

Dans une semaine, le 17 janvier, le Parlement catalan élu le 21 décembre tiendra sa première séance. Ensuite, les députés devront élire le président de la région, qui succédera à Carles Puigdemont, démis de ses fonctions le 31 octobre à la suite de sa déclaration unilatérale d’indépendance de la Catalogne. Sur le papier, l’équation est claire : les trois listes indépendantistes cumulent 70 députés, deux de plus que la majorité absolue. Elles devraient logiquement investir Puigdemont, candidat du parti arrivé en tête, le parti démocratique européen de Catalan (PdeCat). Or le sortant, exilé en Belgique pour échapper aux poursuites de la justice espagnole, n’a aucune intention de rentrer à Barcelone. Et son intention de diriger la Catalogne via Skype est loin de faire l’unanimité, même dans ses propres rangs.

Pacte

Mardi soir, Puigdemont et Marta Rovira, numéro 2 du parti indépendantiste ERC (gauche républicaine de Catalogne), se sont rencontrés à Bruxelles. Le numéro 1, le vice-président destitué Oriol Junqueras, visé par une enquête pour «rébellion et sédition», est en effet emprisonné depuis le 2 novembre près de Madrid. L’entrevue entre les deux principales forces séparatistes a débouché sur un pacte, mais mercredi matin, les deux parties semblaient en avoir une interprétation différente. Les partisans de l’ancien président donnent pour acquis qu’il suivra la séance inaugurale par visioconférence, et que son discours d’investiture sera lu par un(e) autre élu(e) du PdeCat. Pour ERC, cette hypothèse doit auparavant être validée par les letrados, les experts juridiques du Parlement régional. Ce point oppose toujours les spécialistes : le statut d’autonomie de la région n’a pas prévu le cas d’un aspirant président physiquement absent lors de sa propre investiture.

A lire aussiEn Catalogne, l’indépendantisme résiste à l’autoritarisme de Rajoy

Le PdeCat tient à la reconduite de son leader, même s’il faut pour cela bricoler un scénario abracadabrant. La restauration du président destitué par Madrid montrerait que le peuple catalan, par la voie pacifique du suffrage universel, annulait les effets de l’article 155 de la Constitution espagnole, employé par le chef du gouvernement, Mariano Rajoy, pour mettre fin à l’équipée indépendantiste du gouvernement catalan. Mais au-delà de la validité ou non de la candidature Puigdemont, il y a d’autres variables à prendre en compte. L’une d’elles est l’attitude de la Candidature d’union populaire (CUP), formation de gauche radicale et indépendantiste qui a obtenu quatre sièges. Sans eux, le bloc formé par PdeCat et ERC n’atteint pas la majorité absolue. En 2015, le ralliement de la CUP avait permis l’élection de Carles Puigdemont. Mais l’alliance avait coûté cher au PdeCat, qui avait dû renoncer à présenter son candidat Artur Mas, que les radicaux accusaient de représenter le monde des affaires et de la banque. Mas, ancien président régional, devenu président du parti, a présenté sa démission lundi.

Arguties

Dans les jours qui viennent, le débat politico-juridique catalan va être intense. Et d’autres questions se posent. Les sept députés indépendantistes emprisonnés ou exilés pourront-ils voter par procuration ? L’impossibilité de nommer un président indépendantiste peut-elle favoriser Ines Arrimadas, dont le parti de centre droit, Ciudadanos, est arrivé en tête des suffrages le 21 décembre ? Arguties juridiques et marchandages politiques vont se succéder avec une date butoir : le 31 janvier. Si à la fin du mois la Catalogne n’a toujours pas de président(e), il ne restera qu’une issue : organiser de nouvelles élections régionales.

François-Xavier Gomez
 
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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
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Un président Bluetooth, mais à longue distance.....fallait l'inventer.:D

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PASCOU Membre 92 138 messages
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https://www.francetvinfo.fr/monde/espagne/referendum-en-catalogne/catalogne-l-independantiste-roger-torrent-elu-president-du-parlement_2566065.html

Les indépendantistes catalans ont élu un des leurs, Roger Torrent, à la présidence du parlement de Catalogne, mercredi 17 janvier, lors de la première séance parlementaire depuis les élections régionales du 21 décembre.

Puigdemont voulait être élu depuis Bruxelles

Roger Torrent, élu de la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), a été désigné président du parlement par 65 voix contre 56. Il était le candidat préféré de deux principaux partis indépendantistes, Junts per Catalunya (Ensemble pour la Catalogne) et la Gauche républicaine de Catalogne (ERC).

Le vote a eu lieu en l'absence de huit députés sécessionnistes placés en détention ou en exil volontaire à Bruxelles, dont l'ancien président de la région, Carles Puigdemont, destitué par Madrid. Depuis son exil en Belgique, Carles Puigdemont entendait être investi à la présidence, ce que Madrid refusait, deux mois après la crise politique sans précédent déclenchée par leur tentative de sécession. 

http://www.lindependant.fr/2018/01/17/catalogne-qui-est-roger-torrent-le-nouveau-president-du-parlement,3088362.php

Catalogne : qui est Roger Torrent, le nouveau président du Parlement ?

 

C'est un président de moins de 40 ans, le plus jeune dans l'histoire de l'institution catalane, que le Parlement a désigné ce mercredi midi à Barcelone.  

Roger Torrent incarne la jeune garde politique catalane. A 38 ans, le maire de Serria de Ter, commune située dans la banlieue de Gerone, n'est d'ailleurs pas un inconnu du paysage indépendantiste catalan. Un politicien élevé aux idées de la gauche indépendantiste catalane qu'il rejoint en 2000. Au cours de sa jeune carrière politique, il a combiné différents postes pour l'Esquerra Republicana (ERC) à la fois interne au parti ou dans les institutions publiques catalanes. Il est devenu député en 2012 après avoir dirigé la liste ERC sur Gérone. Avant de devenir en 2015 n°2 du parti. Politologue à l'Universitat autonóma de Barcelona, titulaire d'une maîtrise en études territoriales et urbaines, Roger Torrent s'est fait connaître ces derniers mois en demandant le vote à bulletin secret sur la déclaration unilatérale d'indépendance.

 

Pur produit de l'ERC, Roger Torrent est un professionnel de la politique, certainement l'homme de la situation pour remettre de l'ordre dans la maison. Sans concessions, serait-on tenté de dire. Car le nouveau président du Parlement exprime la double volonté de normalité mais aussi d'un retour aux commandes de l'ancien président de la Generalitat, Carles Puigdemont. 

Une prochaine session du Parlement décisive 

L'enjeu est de taille donc pour le jeune président. Si le scénario de l'installation du Parlement a été suivi à la lettre, selon le script dévoilé par les deux partis indépendantistes majoritaires lors des dernières élections du 21 décembre (Junts per Catalunya et l'ERC), reste à savoir si Carles Puigdemont sera, ou pourra, maintenant être reconduit dans ses fonctions. En dépit du choix en ce sens pris par les deux partis qu'il représente, Roger Torrent rappelle néanmoins que ce sera au nouveau Bureau du Parlement de trouver une solution d'investiture. Dans les règles. La  prochaine session du Parlement sera forcément déterminante quant à l'avenir institutionnel de la Catalogne. A savoir si un député en exil peut être élu ou pas. 

Dans son discours, ce mercredi, Roger Torrent a d'ailleurs souligné son désaccord au sujet de la situation de Carles Puigdemont et des autres élus catalans exilés en Belgique. "Ils sont menacés de recevoir le même traitement (que les "Jordis" incarcérés depuis 3 mois, NDLR) en cas de retour en Espagne", a-t-il déclaré. Et d'ajouter : "ce ne serait ni honnête, ni responsable de ma part, que de ne pas les représenter et les protéger mais il faut dénoncer fermement cette situation". Les choses sont claires pour Roger Torrent. Son rôle et sa fonction consistent à respecter la parole de chacun des 135 députés qui siègent désormais au Parlement, "ceux qui sont ici et surtout ceux qui ne peuvent pas être ici", rappelle-t-il. 

 

Un discours sans ambiguïtés mais le ton est clairement au dialogue et surtout à la politique. "Face au scénario démocratique sans précédent, la première étape consiste à mettre fin immédiatement à l'intervention des institutions de l'Etat espagnol", insiste aussi Roger Torrent, en référence à l'implication du ministère des finances dans les comptes de la Generalitat. "Il faut retrouver la normalité institutionnelle nécessaire pour être au service des citoyens", indiquera également le nouveau président du Parlement, successeur de Carme Forcadell, dont il ne manquera pas de saluer le travail.

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PASCOU Membre 92 138 messages
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http://www.europe1.fr/international/catalogne-le-chef-du-parlement-propose-carles-puigdemont-comme-candidat-a-la-presidence-de-la-region-3552800

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L'actuel chef du parlement catalan annonce lundi qu'il propose l'ancien président du parlement régional Carles Puigdemont pour prendre la tête de la Catalogne.

Le président du parlement catalan a proposé lundi aux députés la candidature de l'indépendantiste Carles Puigdemont en vue de son investiture à la présidence de la Catalogne.

"Absolument légitime". Roger Torrent a fait cette annonce lors d'une brève allocution devant la presse à Barcelone, en estimant qu'une nouvelle candidature du président catalan destitué par Madrid était "absolument légitime", en dépit des poursuites qui le visent et de son installation à Bruxelles. Roger Torrent, membre de la Gauche républicaine de Catalogne (indépendantiste), a par ailleurs annoncé avoir adressé une lettre au président du gouvernement espagnol Mariano Rajoy.

Soutenu par les deux grands partis séparatistes. Il lui demande "un dialogue sur la situation anormale que vit le parlement" catalan dont huit députés sont en détention provisoire ou à l'étranger ce qui entraîne "une atteinte à leurs droits politiques", a-t-il écrit. La candidature de Carles Puigdemont est soutenue par les deux grands partis séparatistes de la chambre, qui à eux deux disposent de 66 élus sur 135

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http://www.lindependant.fr/2018/01/27/catalogne-les-juristes-du-tribunal-constitutionnel-invitent-a-rejeter-la-demande-du-gouvernement-puigdemont-pourrait-etre-candidat,3090775.php

Catalogne : les juristes du Tribunal constitutionnel invitent à rejeter la demande du gouvernement, Puigdemont pourrait être candidat

 

Tandis que les juges du tribunal constitutionnel espagnol se réunissent ce samedi pour examiner le recours du gouvernement espagnol demandant la suspension préventive de la candidature de Carles Puigdemont au mandat de président de la Generalitat, les juristes de la haute cour préconisent dans un rapport transmis aux juges le rejet de ce recours.

Le rapport des avocats proposant l'irrecevabilité de l'appel présenté par le gouvernement est ainsi dans la droite ligne des conclusions de l'avis du Conseil d'État.

 

La réunion plénière du TC a débuté ce samedi peu après 13 h. Elle a été interrompue vers 14h30 et a repris vers 16 h 45.

Carles Puigdemont pourrait bien maintenir sa candidature comme président de la Catalogne. Et pourrait être élu... à condition d'être présent le jour du vote, soit ce mardi.

Si la Cour déclare le recours recevable, la session d'investiture sera automatiquement suspendue. Les magistrats ont ensuite en théorie jusqu'à cinq mois pour rendre leur décision finale. Passant outre un avis défavorable du Conseil d'Etat, le gouvernement a saisi en urgence la Cour constitutionnelle pour contester la désignation de Carles Puigdemont aux fonctions de président de l'exécutif catalan. Il est actuellement le seul candidat à ce poste. Même si la liste de M. Puigdemont est arrivée en tête des élections régionales du 21 décembre en Catalogne, Madrid estime que son investiture serait "illégitime" puisqu'il est recherché par la justice espagnole pour rébellion et sédition et se trouve en exil à Bruxelles depuis fin octobre. En outre, le gouvernement s'oppose à une investiture à distance, souhaitée par l'indépendantiste qui risque d'être arrêté s'il revient en Espagne.

 

Consulté par le gouvernement de Mariano Rajoy, le Conseil d'Etat a estimé que le recours n'était pas recevable car Madrid ne peut pas s'opposer à l'avance à une élection qui n'a pas encore eu lieu. Si la session d'investiture de mardi était suspendue par la Cour constitutionnelle, le personnage-clé serait alors le nouveau président du parlement catalan, Roger Torrent, à qui il reviendrait d'obéir ou pas. Destitué avec l'ensemble de l'exécutif catalan après la tentative avortée de proclamation d'indépendance de la Catalogne le 27 octobre, M. Puigdemont a fui en Belgique pour éviter les poursuites judiciaires entamées contre lui pour sédition et rébellion

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