Lettre à Johnny

Lettre à Johnny

Johnny,

Souvenirs, souvenirs, tant de souvenirs remontent de plus d’un demi-siècle de chansons où tu as allumé le feu dans les yeux et le cœur de plusieurs générations.

Combien ont déclamé des que je t’aime et des retiens la nuit comme un hymne à l’amour à leur jolie Sarah, leur Laura évaporée dans le bleu d’un regard, leur Marie, leur Lily, ah si tu savais.

Les bras en croix tu avais un peu de Jésus-Christ, un peu de l’Ange Gabrielle tout en ayant toujours quelque chose de Tennessee, une idole des jeunes et des moins jeunes, pour lequel beaucoup auraient pu finir au pénitencier.

Toute la musique que tu aimais c’était et ce sera toujours la nôtre, comme toi elle est née dans la rue, elle vient de là, elle vient du blues, du blues que l’on ressent sur l’instant mais le noir c’est noir disparaîtra bien vite pour suivre ton conseil de vivre pour le meilleur.

Ne regrette rien tu n’as pas oublié de vivre mais on est tous d’accord pour te dire « allez Johnny, reviens, je t’attends ! ».

Une chose est sûre, nous n’oublierons pas ton nom.

Et où tu iras, n’oublie pas de saluer les chevaliers du ciel !

                                                                   Pierre de Jade

Maintenant la question qu'il faut se poser c'est vers quel chanteur les beaufs de France vont se rabattre ?

Il y a 8 heures, Pierre-de-Jade a dit :

Lettre à Johnny

 

 

Johnny,

 

Souvenirs, souvenirs, tant de souvenirs remontent de plus d’un demi-siècle de chansons où tu as allumé le feu dans les yeux et le cœur de plusieurs générations.

 

Combien ont déclamé des que je t’aime et des retiens la nuit comme un hymne à l’amour à leur jolie Sarah, leur Laura évaporée dans le bleu d’un regard, leur Marie, leur Lily, ah si tu savais.

 

Les bras en croix tu avais un peu de Jésus-Christ, un peu de l’Ange Gabrielle tout en ayant toujours quelque chose de Tennessee, une idole des jeunes et des moins jeunes, pour lequel beaucoup auraient pu finir au pénitencier.

 

Toute la musique que tu aimais c’était et ce sera toujours la nôtre, comme toi elle est née dans la rue, elle vient de là, elle vient du blues, du blues que l’on ressent sur l’instant mais le noir c’est noir disparaîtra bien vite pour suivre ton conseil de vivre pour le meilleur.

 

Ne regrette rien tu n’as pas oublié de vivre mais on est tous d’accord pour te dire « allez Johnny, reviens, je t’attends ! ».

 

Une chose est sûre, nous n’oublierons pas ton nom.

 

Et où tu iras, n’oublie pas de saluer les chevaliers du ciel !

 

                                                                   Pierre de Jade

 

Belle tirade, il aura aimé

Il y a 7 heures, NeeD a dit :

Maintenant la question qu'il faut se poser c'est vers quel chanteur les beaufs de France vont se rabattre ?

Dans la nouvelle génération , celle que l'on va oublier vite fait et qui chantent sans conviction, des étoiles filantes, celles que l'on voit que le bout de la queue

Cette mort envahit tous les médias. Qu'est-ce que ça va être quand Trénet et Piaf mourront ?

Il y a 12 heures, NeeD a dit :

Maintenant la question qu'il faut se poser c'est vers quel chanteur les beaufs de France vont se rabattre ?

Florent Pagny ?????

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

Cette mort envahit tous les médias. Qu'est-ce que ça va être quand Trénet et Piaf mourront ?

bonjour

? ...cela est déja du passé , pour Johnny , il en sera de même car ,les générations suivantes ont , ou auront d'autres idoles .

 bonne journée

il y a 3 minutes, LAKLAS a dit :

Florent Pagny ?????

Qui ?

Le 06/12/2017 à 22:43, Pierre-de-Jade a dit :

Lettre à Johnny

 

 

Johnny,

 

Souvenirs, souvenirs, tant de souvenirs remontent de plus d’un demi-siècle de chansons où tu as allumé le feu dans les yeux et le cœur de plusieurs générations.

 

Combien ont déclamé des que je t’aime et des retiens la nuit comme un hymne à l’amour à leur jolie Sarah, leur Laura évaporée dans le bleu d’un regard, leur Marie, leur Lily, ah si tu savais.

 

Les bras en croix tu avais un peu de Jésus-Christ, un peu de l’Ange Gabrielle tout en ayant toujours quelque chose de Tennessee, une idole des jeunes et des moins jeunes, pour lequel beaucoup auraient pu finir au pénitencier.

 

Toute la musique que tu aimais c’était et ce sera toujours la nôtre, comme toi elle est née dans la rue, elle vient de là, elle vient du blues, du blues que l’on ressent sur l’instant mais le noir c’est noir disparaîtra bien vite pour suivre ton conseil de vivre pour le meilleur.

 

Ne regrette rien tu n’as pas oublié de vivre mais on est tous d’accord pour te dire « allez Johnny, reviens, je t’attends ! ».

 

Une chose est sûre, nous n’oublierons pas ton nom.

 

Et où tu iras, n’oublie pas de saluer les chevaliers du ciel !

 

                                                                   Pierre de Jade

 

Tu es né dans la rue et la rue te l'a bien rendu.