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Ablation de la prostate, et effets secondaires, sujet tabou pour les hommes


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Invité Invités 0 message
Posté(e)

Ablation de la prostate, et effets secondaires, sujet tabou pour les hommes

 L’ablation de la prostate (prostatectomie) constitue un recours majeur en cas de cancer. Les conséquences pour la fonction urinaire et érectile peuvent être sévères, avec un impact psychologique très important.
 

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Membre, Ite missa est..., 76ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
76ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)

22 éjaculations par mois pour se protéger, il y a bien longtemps que j’ai augmenté la posologie.  

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 15 624 messages
Forumeur confit,
Posté(e)

Curieux les associations d'idées, l'ablation de la prostate et ses effets secondaires évoque chez moi la scène de collision entre la 2Cv de Bourvil et la grosse berline de De Funes dans le film le Corniaud !

Ah bah maintenant, elle va marcher beaucoup moins bien forcément !:smile2:

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 11 302 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)

Pas concernée parce que je suis de sexe féminin, je pense tout de même que lizy 1950  en ouvrant cette discute espérait et méritait mieux que vos railleries.

 

C'est dommage de claquer la porte sur le nez de quelqu'un comme vous l'avez fait. :(

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Membre, 75ans Posté(e)
hybridex Membre 8 333 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, l'abbe resina a dit :

22 éjaculations par mois pour se protéger, il y a bien longtemps que j’ai augmenté la posologie.  

On se rassure comme on peut. Mais tant que ça fait du bien, c'est toujours ça de pris. Pour te rassurer si par malheur ça t'arrivait, sache que après opération plus d'éjaculation mais toujours possibilité d'orgasme. Elle est pas belle la vie!

Sinon pour @lizy 1950  et tous ceux qui pourraient être concernés c'est vrai qu'il est très difficile d'en parler,  on n'en a pas envie parce que ça ne donne pas une image particulièrement flatteuse de soi. Et quel secours attendre des autres?

Je suis passé par là.

Avec une incontinence très importante, c'est pas du tout marrant. Heureusement, c'est un phénomène transitoire.

Petite explication que j'ai eu du mal à trouver: Les muscles du périnée forment une sorte de plancher. Le sphincter urinaire fonctionne en coinçant le tuyau de l'urètre sur ce plancher exactement comme quand on met le pied sur un tuyau d'arrosage. quand la chirurgie démolit le périnée, le sphincter marche beaucoup moins bien qu'avant, comme@Enchantant prend plaisir à le raconter, ce en quoi il a bien raison. Rien de tel qu'un peu d'humour pour se refaire le moral.

Ça se corrige avec de la kiné, une kiné un peu rébarbative. Quand j'étais prof de math, je ne me doutais pas qu'un jour je tracerais des courbes avec mon trou de balle. Eh oui, la kiné consiste à s'introduire une sonde dans l'anus, reliée à une petite machine, qui vous demande de tracer des courbes sur son écran en réalisant des contractions du périnée. Pour moi ça a été 60 séances pour retrouver un fonctionnement correct. Faut pas se décourager si ça marche très mal au début, les 20 premières séances étaient désespérantes.

Si d'aventure ça ne fonctionnait pas il y de petites chirurgies pour s'en sortir donc tout ça c'est une question de patience.

Mais qu'est ce que je n'étais pas fier, à la caisse de l'hyper, avec mes paquets de couches. j'achetais en grande quantité pour y passer le moins souvent possible.

L'impuissance, c'est plus compliqué, je crois qu'il n'y a que les piquouses dans la verge, j'ai pas encore osé essayer mais peut-être que j'y viendrai.

Je dis exprès les choses tout simplement et tout crument. Je crois qu'on se supporte mieux si on s'accepte comme un corps qui pisse qui pète et qui chie, parfois de travers, et ce n'est pas  parce qu'on a quelques défaillances qu'on cesse d'être un homme, même chose pour une femme, mais ce n'est pas le sujet.

Ce n'est pas ce petit foutu cancer de merde qui va m’empêcher de vivre. Il n'a pas ce droit là, d'ailleurs il n'en n'a aucun. Donc je randonne, je cours et j'y prends plaisir, je monte les escaliers quatre à quatre et me fous un peu de la gueule des gens  de mon âge qui sont bien incapables de me suivre faute d'entrainement. Je fais du théâtre etc... J'ai repris toutes mes activités 2 semaines après l'opération. Tout ça me réconcilie avec mon corps.

C'était mieux avant.......      oui, mais ça va encore maintenant. Limite je m'autorise plus à profiter des bons moments.

 

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Membre, Ite missa est..., 76ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
76ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)
Il y a 6 heures, hybridex a dit :

On se rassure comme on peut. Mais tant que ça fait du bien, c'est toujours ça de pris. Pour te rassurer si par malheur ça t'arrivait, sache que après opération plus d'éjaculation mais toujours possibilité d'orgasme. Elle est pas belle la vie!

Sinon pour @lizy 1950  et tous ceux qui pourraient être concernés c'est vrai qu'il est très difficile d'en parler,  on n'en a pas envie parce que ça ne donne pas une image particulièrement flatteuse de soi. Et quel secours attendre des autres?

Je suis passé par là.

Avec une incontinence très importante, c'est pas du tout marrant. Heureusement, c'est un phénomène transitoire.

Petite explication que j'ai eu du mal à trouver: Les muscles du périnée forment une sorte de plancher. Le sphincter urinaire fonctionne en coinçant le tuyau de l'urètre sur ce plancher exactement comme quand on met le pied sur un tuyau d'arrosage. quand la chirurgie démolit le périnée, le sphincter marche beaucoup moins bien qu'avant, comme@Enchantant prend plaisir à le raconter, ce en quoi il a bien raison. Rien de tel qu'un peu d'humour pour se refaire le moral.

Ça se corrige avec de la kiné, une kiné un peu rébarbative. Quand j'étais prof de math, je ne me doutais pas qu'un jour je tracerais des courbes avec mon trou de balle. Eh oui, la kiné consiste à s'introduire une sonde dans l'anus, reliée à une petite machine, qui vous demande de tracer des courbes sur son écran en réalisant des contractions du périnée. Pour moi ça a été 60 séances pour retrouver un fonctionnement correct. Faut pas se décourager si ça marche très mal au début, les 20 premières séances étaient désespérantes.

Si d'aventure ça ne fonctionnait pas il y de petites chirurgies pour s'en sortir donc tout ça c'est une question de patience.

Mais qu'est ce que je n'étais pas fier, à la caisse de l'hyper, avec mes paquets de couches. j'achetais en grande quantité pour y passer le moins souvent possible.

L'impuissance, c'est plus compliqué, je crois qu'il n'y a que les piquouses dans la verge, j'ai pas encore osé essayer mais peut-être que j'y viendrai.

Je dis exprès les choses tout simplement et tout crument. Je crois qu'on se supporte mieux si on s'accepte comme un corps qui pisse qui pète et qui chie, parfois de travers, et ce n'est pas  parce qu'on a quelques défaillances qu'on cesse d'être un homme, même chose pour une femme, mais ce n'est pas le sujet.

Ce n'est pas ce petit foutu cancer de merde qui va m’empêcher de vivre. Il n'a pas ce droit là, d'ailleurs il n'en n'a aucun. Donc je randonne, je cours et j'y prends plaisir, je monte les escaliers quatre à quatre et me fous un peu de la gueule des gens  de mon âge qui sont bien incapables de me suivre faute d'entrainement. Je fais du théâtre etc... J'ai repris toutes mes activités 2 semaines après l'opération. Tout ça me réconcilie avec mon corps.

C'était mieux avant.......      oui, mais ça va encore maintenant. Limite je m'autorise plus à profiter des bons moments.

 

Bravo pour ce témoignage, en fait, ce qui fait peur aux hommes, ce sont surtout ( dixit mon bon vieux proctologue ) les ptits jeunes le bistouri entre les dents prompts à opérer , parfois pas toujours à bon escient et qui se foute du nerf érectile. Ensuite, j’imagine que la technique évolue à grand pas dans ce domaine et que toutes ces opérations ne mènent pas à ce résultat.:baby:

En fait, ce qui me ferait craindre, plus que le cancer lui même, c’est la perte de l’érection ( la petite pilule bleue ? ) m’enfin, pour mon amoureuse, le cancer de la langue est rare. .:p

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Membre, 67ans Posté(e)
pic et repic Membre 14 401 messages
Maitre des forums‚ 67ans‚
Posté(e)

bonjour,

bien dit, en "quelques" lignes voici résumé l'essentiel des problèmes et c'est vrai que les médecins ( chirurgiens en tête ) restent très , très discrets sur tous ces effets secondaires .

j'en ai rencontré qui n'avait pratiquement eu aucune discussion avec leur médecin.....c'est dire !

bon je n'en suis pas encore là, mais c'est certain , si un jour je devais y passer ( sur la table) il faudra que le chirurgien soit très persuasif !

bonne journée.

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Membre, 75ans Posté(e)
hybridex Membre 8 333 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)

Si j'en crois mon médecin, les chirurgiens sont le plus souvent des gens passionnés de chirurgie pour qui le patient est essentiellement l'occasion de pratiquer un bel acte chirurgical. Le mien était tout guilleret à la perspective du bon moment qu'il allait passer quand il m'a salué juste avant de m'opérer.

Dans un sens, c'est rassurant pour une intervention délicate d'avoir quelqu'un qui aime ça, qui se perfectionne constamment pour le faire mieux comme un sportif perfectionne ses mouvements. Mais hors des opérations, le bonhomme ne n'intéressait guère à moi, les consultations étaient hyper speed et j'avais beaucoup de mal à lui poser des questions.

La question de la nécessité de l'opération est très complexe car on ne sait pas bien diagnostiquer la dangerosité d'un cancer de la prostate dans ses débuts quand il est le plus facile à arrêter. 

Les différents examens produisent tous une proportion non négligeable de faux positifs et de faux négatifs de sorte que la décision d'intervention est toujours délicate. On n'est pas du tout aidé par les discours péremptoires des partisans comme des réticents à l'opération.

Les urologues sont essentiellement des chirurgiens qui poussent à l'opération, c'est leur intérêt, aussi bien financier que moral, c'est très difficile pour eux de voir un patient qu'ils suivent déclarer un cancer grave. Il semblerait, mais je n'ai pas de certitude sur le chiffre, que 30% des cancers de prostate bénins évoluent vers des formes graves à dix ans, ce n'est pas négligeable.

Les réticents à l'opération avancent, eux, que les heureux détenteurs d'un cancer de la prostate meurent dans leur très grande majorité d'autre chose. Reste à voir ce que devient la qualité de vie quand le cancer s'aggrave.

Pour autant que je puisse le savoir avec les traitements efficaces autres que l'opération on a peu près les mêmes risques d'effets secondaires.

La décision de se faire opérer est une décision bien difficile à prendre.

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Membre, Ite missa est..., 76ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
76ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)
il y a 16 minutes, hybridex a dit :

Si j'en crois mon médecin, les chirurgiens sont le plus souvent des gens passionnés de chirurgie pour qui le patient est essentiellement l'occasion de pratiquer un bel acte chirurgical. Le mien était tout guilleret à la perspective du bon moment qu'il allait passer quand il m'a salué juste avant de m'opérer.

Dans un sens, c'est rassurant pour une intervention délicate d'avoir quelqu'un qui aime ça, qui se perfectionne constamment pour le faire mieux comme un sportif perfectionne ses mouvements. Mais hors des opérations, le bonhomme ne n'intéressait guère à moi, les consultations étaient hyper speed et j'avais beaucoup de mal à lui poser des questions.

La question de la nécessité de l'opération est très complexe car on ne sait pas bien diagnostiquer la dangerosité d'un cancer de la prostate dans ses débuts quand il est le plus facile à arrêter. 

Les différents examens produisent tous une proportion non négligeable de faux positifs et de faux négatifs de sorte que la décision d'intervention est toujours délicate. On n'est pas du tout aidé par les discours péremptoires des partisans comme des réticents à l'opération.

Les urologues sont essentiellement des chirurgiens qui poussent à l'opération, c'est leur intérêt, aussi bien financier que moral, c'est très difficile pour eux de voir un patient qu'ils suivent déclarer un cancer grave. Il semblerait, mais je n'ai pas de certitude sur le chiffre, que 30% des cancers de prostate bénins évoluent vers des formes graves à dix ans, ce n'est pas négligeable.

Les réticents à l'opération avancent, eux, que les heureux détenteurs d'un cancer de la prostate meurent dans leur très grande majorité d'autre chose. Reste à voir ce que devient la qualité de vie quand le cancer s'aggrave.

Pour autant que je puisse le savoir avec les traitements efficaces autres que l'opération on a peu près les mêmes risques d'effets secondaires.

La décision de se faire opérer est une décision bien difficile à prendre.

Toujours demander plusieurs avis mais comme tu le fait si justement remarquer, rien n’est plus difficile à gérer que la prostate. Il y a quelques années, il se disait que la biopsie ne servait à rien, aujourd'hui, on ne fait plus de biopsies sans IRM, c’est déjà un progrès, mais malgré la biopsie, on peut passer à côté du diagnostic. Et puis, chaque cas et un cas particulier.

Merci pour tes retours.:hi:

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 11 302 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)

Merci à vous d'avoir accepté ce sujet si délicat.

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 15 624 messages
Forumeur confit,
Posté(e)
Il y a 14 heures, Sittelle a dit :

C'est dommage de claquer la porte sur le nez de quelqu'un comme vous l'avez fait. :(

Bonjour Sittelle,

Je ne raille personne, la période du cycle de reproduction chez les mammifères que nous sommes a un début et une fin.

Rien ne sert de se lamenter outre mesure sur le sujet lorsque les effets de la fin se manifeste.

La ménopause chez une femme n'est pas une catastrophe, c'est l'aboutissement d'un cycle programmé. Que la question se pose pour un septuagénaire avec sa prostate c'est du même tonneau.

J'ai un vieil oncle auquel on avait diagnostiqué un cancer de la prostate à 95 ans ?

Le médecin à argumenté avec justesse que l'évolution de ce type de cancer était très lent et que cela ne valait pas le coup de tenter l'opération, puis de dire en plaisantant à mon oncle : « Ne vous inquiéter pas ce n'est pas la prostate qui sera la cause de votre disparition »

Ce médecin avait raison, mon vieil oncle est mort à 102 ans

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 15 heures, Sittelle a dit :

Pas concernée parce que je suis de sexe féminin, je pense tout de même que lizy 1950  en ouvrant cette discute espérait et méritait mieux que vos railleries.

 

C'est dommage de claquer la porte sur le nez de quelqu'un comme vous l'avez fait. :(

Merci.
Je peux comprendre, que ces messieurs soient fermés à ce genre de dialogue.

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Membre, Ite missa est..., 76ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
76ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)
il y a 3 minutes, lizy 1950 a dit :

Merci.
Je peux comprendre, que ces messieurs soient fermés à ce genre de dialogue.

Calimero pas mort. Le mérite, c’est d’en parler pas d’être hermétique à l’humour pour désacraliser le sujet...:D

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 5 minutes, lizy 1950 a dit :

Merci.
Je peux comprendre, que ces messieurs soient fermés à ce genre de dialogue.

Je pense  aussi que les femmes sont plus ouverte quand on parle du cancer du sein.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, l'abbe resina a dit :

Calimero pas mort. Le mérite, c’est d’en parler pas d’être hermétique à l’humour pour désacraliser le sujet...:D

Désolée je ne voulais pas vous blesser, Je me renseigne simplement.
Je comprends votre humour et ne me formalise pas pour vos remarques

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Membre, Ite missa est..., 76ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
76ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)
il y a 24 minutes, lizy 1950 a dit :

Désolée je ne voulais pas vous blesser, Je me renseigne simplement.
Je comprends votre humour et ne me formalise pas pour vos remarques

Le but étant de faire avancer le schmilblick...C’est réussi...:o°

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Membre, 75ans Posté(e)
hybridex Membre 8 333 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
il y a une heure, lizy 1950 a dit :

Je pense  aussi que les femmes sont plus ouverte quand on parle du cancer du sein.

Le cancer du sein attire la compassion, les problèmes de prostate pas vraiment. L'image du sein est celui d'un organe noble, difficile d'en dire autant d'une prostate qui œuvre dans les bas fonds de notre corps. D'ailleurs les nerfs qui peuvent être lésés par l'opération sont appelés nerfs honteux.

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Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

Mon second plus vieux pote en durée ne peut plus aller avec les femmes. Et il a de nouveau quelques petits problèmes. J'espère que ce n'est pas une récidive. Il a 57 ans. Ca fait 6 ans qu'il est comme cela.

Heureusement qu'il a la Musique et la bibine.

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Membre, Ite missa est..., 76ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
76ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)
Il y a 2 heures, hybridex a dit :

Le cancer du sein attire la compassion, les problèmes de prostate pas vraiment. L'image du sein est celui d'un organe noble, difficile d'en dire autant d'une prostate qui œuvre dans les bas fonds de notre corps. D'ailleurs les nerfs qui peuvent être lésés par l'opération sont appelés nerfs honteux.

Ça, c’est honteux...:o°

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Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 719 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, hybridex a dit :

D'ailleurs les nerfs qui peuvent être lésés par l'opération sont appelés nerfs honteux.

Fini ça. ;)

Dans la nouvelle nomenclature on parle de nerf pudendal.

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