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"Comment connaître ce qui est juste"


Lara.

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
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Il y a 15 heures, ping a dit :

Le mot n’est pas la chose. Aussi précis que tu peux être pour désigner la chose cela ne rendra jamais compte du réel de cette chose. Elle sera, à l’infini, autre chose que ce que tu dis.

Il faut bien lire jusqu'au bout les interventions déjà, pour que l'on se comprenne de la meilleur façon qui soit  .

 

Ceci est posé .

 

Je repost mon intervention :

Le 22/11/2017 à 21:55, pascalin a dit :

D'ailleurs à ce propos, tout les sujets philosophiques devraient poser et définir précisément les définitions exactes des termes qui sont employés pour l'élaboration de la problématique .

Définir précisément les définitions exactes des termes employés à l'élaboration du questionnement, ne sous-entends aucunement rendre compte du réel, de quelque façon que ce soit, des choses elles mêmes, comme tu le penses,

Ceci permet juste d'avoir la cohérence de l'acceptation des définitions employées pour l'élaboration de la problématique .

C'est de convenir d'une convention d'une définition de la conception de ce que l'on conceptualise dans le scheme abstractif de notre propre idéalisation .

Pour faire plus simple, pour pouvoir débattre de la façon la plus efficace et raisonnée qui soit, nous devons employer des mots, nous en sommes obligés, ces mots nous  renvoient obligatoirement à des notions, qui font sens par l'acceptation et la compréhension des définitions que l'on en a.

Pour clarifier encore plus ,

Lorsque tu emploies un mot, tu n'as qu'une acceptation, et qu'une seule, de la définition de ce mot qui fait sens de ce que tu penses de ce mot au moment ou tu le conceptualises.

Tu ne peux avoir une pensée flou du sens de la définition du mot que tu emploies, la définition du mot que tu emploies au moment ou tu le penses est forcément précise pour toi, et c'est cela qu'il faudrait préciser. 

Nous ne pouvons nous y soumettre .

Lorsque tu emploies un mot, tu n'as qu'une acceptation de la définition de ce mot qui fait sens dans ce que tu penses.

Tu ne peux avoir une pensée flou du sens de la définition du mot que tu emploies . 

 

 

Il y a 13 heures, Don Juan a dit :

Il me semblait que cela pouvait convenir comme définition, mais soit, allongeons, étirons.

Vous m'excuserez de le faire en images, j'aime les images.

Co-naissance : ce qui est nous, qui vient au monde avec nous, qui nous permet un lien de communication et d'interprétation insoupçonné. La connaissance ne "siège" pas au niveau de l'esprit ou du conscient, elle est au fond du puits de l'inconscient, c'est la nappe phréatique, elle est vive et non en sommeil, vive comme l'eau fraîche et toujours dans un réflexe ascensionnel, vers la lumière (l'activité consciente) visible en haut du puits. Mais le savoir lui barre le passage, il agit comme un gros bouchon dans le conduit "vertical".

Le savoir, comment est-il arrivé là ? Par les mots, par les sens, par les représentations, les leçons, les définitions, les idées, les croyances, les a priori, les expériences, etc. Le savoir sans les images mentales, la pensée, ne peut se former. Ce n'est pas péjoratif d'en parler ainsi, n'est-ce pas ? Ce que je dis, c'est que le savoir sans la participation de la connaissance, sans son conseil avisé, c'est comme une idéologie.

Nous pensons le savoir, tandis que la connaissance nous pense.

 

Est-ce que tu penses que ton post n'était pas nécessaire ? (pour toi ou les autres ?) pour que ton idée ne soit pas étirer ?

Perso, je pense que ton post permet d'avoir une précision dans l'élaboration de l'analyse que tu as de ce questionnement

je reviendrais pour le fond car là je manque de temps désolé Don Juan .

 

 

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Membre, 154ans Posté(e)
Don Juan Membre 2 441 messages
Forumeur expérimenté‚ 154ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, pascalin a dit :

Est-ce que tu penses que ton post n'était pas nécessaire ? (pour toi ou les autres ?) pour que ton idée ne soit pas étirer ?

Perso, je pense que ton post permet d'avoir une précision dans l'élaboration de l'analyse que tu as de ce questionnement

je reviendrais pour le fond car là je manque de temps désolé Don Juan .

Je n'en sais rien. On peut toujours l'espérer, mais avec les mots, je ne sais jamais ce qui est utile ou ce qui est en trop. Un long discours me rebute souvent, ce qui n'implique pas qu'une idée soit bien exprimée parce qu'en peu de mots. Si vous y trouvez une précision c'est bien, mais ça ne fait qu'une précision, c'est peu. Ce n'était pas en tous les cas une analyse. Un oiseau sait construire son nid de la même manière que ses parents, même si ce nid est d'une structure complexe, pourtant, il n'a pas vu ses parents fabriquer leur nid. Je vous parle donc de cet oiseau, je suis cet oiseau.

Revenez pour le fond, j'attendrais.

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)
Le 24/11/2017 à 08:52, Don Juan a dit :

Je n'en sais rien. On peut toujours l'espérer, mais avec les mots, je ne sais jamais ce qui est utile ou ce qui est en trop. Un long discours me rebute souvent, ce qui n'implique pas qu'une idée soit bien exprimée parce qu'en peu de mots. Si vous y trouvez une précision c'est bien, mais ça ne fait qu'une précision, c'est peu. Ce n'était pas en tous les cas une analyse. Un oiseau sait construire son nid de la même manière que ses parents, même si ce nid est d'une structure complexe, pourtant, il n'a pas vu ses parents fabriquer leur nid. Je vous parle donc de cet oiseau, je suis cet oiseau.

Revenez pour le fond, j'attendrais.

Une précision, même minime, est toujours mieux qu'une imprécision .

Pour ce qui est du nid, il existe des oiseaux qui n'en construisent pas, l'important ce n'est pas la capacité à construire son nid, c'est la capacité à survivre par tout les moyens, et ce même si certains nids sont plus douillets que d'autres et que c'est pas plus mal d'avoir le confort, mais ce n'est pas le plus important, il vaut mieux avoir la volonté, et il n'empêche que des oiseaux sans nids survivent, et ne sont en aucun cas moindre oiseau pour autant, car ils existent quand même, ils arrivent à survivre, c'est ça l'important non ? .

Et si cette métaphore du nids que tu exprimes qui provient de ce qui est de l'inné, cet inné n'est qu'un faux car il est basé sur de l'acquis de milliers d'années à moins que l'Oiseau de Feu existe et que ce qu'il convient, de ce qui juste, existe empiriquement

et que l' hirondelle fait, elle seule, le choix juste :

Citation

Il y a longtemps, bien longtemps, quand la terre était encore toute jeune, et que le monde n’était pas encore achevé, les oiseaux ne savaient pas bâtir leur nid. C'est l'oiseau de Feu qui le leur a appris. Il a rassemblé la poule, le hibou, l’épervier, le corbeau, le moineau et l’hirondelle et il leur a dit : « Ecoutez bien, je vais vous expliquer comment on bâtit un nid ». Les oiseaux écoutèrent, mais tout cela était trop savant pour la poule. Avant que l’Oiseau de Feu ait terminé sa première phrase, elle avait baissé la tête et s’était endormie. L'Oiseau de Feu expliquait : « Le plus important, pour bâtir un nid, c'est la patience ! Celui qui n’est pas patient n’apprendra jamais à bâtir un nid. » Quand le coléreux hibou entendit ça, il gonfla ses plumes et se dit : « Voilà un galopin qui veut m'apprendre la patience ! Je n'ai pas besoin de tes conseils, petit prétentieux ! » Il hulula d'un air moqueur et s'envola. L'Oiseau de Feu continua sans se laisser troubler : « Avant de commencer à bâtir votre nid, il vous faut choisir un endroit convenable. Le mieux, c’est une branche qui se divise en trois.» En entendant cela, l’épervier s’écria : « Pardi, c’est tout simple ! Des branches comme ça, il y en a tant et plus dans les arbres. Je n’ai pas besoin d’en savoir davantage ! » Il agita les ailes et s’envola. Mais l’Oiseau de Feu continuait sa leçon : « Alors, vous choisissez des brindilles, vous les recourbez avec votre bec et vos serres, et vous les pliez sur elles mêmes. En entendant cela, le corbeau croassa : « S’il faut avoir pour ça un bec et des griffes solides, je me ferai un nid comme un palais royal ! » Il déploya ses ailes et s’envola. L’oiseau de Feu, sans s’inquiéter, continua ses explications : « Les nids ne se construisent pas toujours sur les arbres. C’est encore mieux de se bâtir un nid sous un toit de maison, là où il ne pleut pas et où l’on est à l’abri du vent. » En entendant ça, le moineau gazouilla : « Alors, vite je vais voler vers la ville, pour choisir la meilleure place avant que les autres oiseaux n’y arrivent ! » Et sans saluer ni dire merci, il s’envola. Mais l’Oiseau de Feu n’avait pas encore terminé :-«Quand vous avez choisi la bonne place et tressé vos brindilles, vous devez apporter de la terre dans votre bec et boucher tous les trous. Vous garnissez l’intérieur du nid avec de l’herbe sèche et des plumes, de préférence du duvet. Alors seulement votre nid sera prêt. » L'Oiseau de Feu se tut. La jeune hirondelle, qui l’avait écouté avec respect jusqu’au bout, remercia poliment le roi des oiseaux et s’envola. L’Oiseau de Feu s’envola ensuite. Seule, dans l’herbe, restait la poule endormie. Elle s’éveilla au bout d’un moment. En se voyant seule, elle agita les ailes et caqueta : « Il me semble que j’ai fait un petit somme. Mais cela ne fait rien, mieux vaut dormir qu’écouter des paroles inutiles. Que pourrait-il m’apprendre à moi, vieille poule pleine de sagesse, ce jeune sot d’Oiseau de Feu ? » Et toujours caquetant, elle retourna à ses affaires. C’est depuis ce temps que les poules ne savent pas se bâtir de nid. Elles vivent dans les poulaillers que leur installent les hommes. -Mais le hibou non plus n’a pas appris à se bâtir un nid. Il vit dans des trous d’arbres, d’où il hulule sans cesse. L’épervier, lui, s’installe à une fourche de fortes branches, et, pour tout nid, il n’a que quelques branches croisées. Le corbeau se fait une sorte de nid, mais ce ne sont que quelques branchettes ramassées n’importe où, et pointant dans tous les sens. Le vent et la pluie y passent comme chez eux, jour et nuit. Le moineau niche sous les toits des maisons, là où il trouve une fente ou un trou. Seule l’hirondelle, qui écouta l’Oiseau de Feu jusqu’au bout, se bâtit un nid comme il convient. C’est un nid tout en terre, bien garni à l’intérieur d’herbe sèche et de duvet. Dans le nid de l’hirondelle, il ne vente ni ne pleut, et ses petits y sont bien au chaud, dans un nid douillet. C’est ainsi que les oiseaux ont appris à bâtir leur nid.

Source : http://ekladata.com/QhnEvNJWTiekkPhLBThIIJjs3ro/Comment-les-oiseaux-ont-appris-a-batir-leur-nid.pdf

 

 

 

 

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Membre, 154ans Posté(e)
Don Juan Membre 2 441 messages
Forumeur expérimenté‚ 154ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, pascalin a dit :

Une précision, même minime, est toujours mieux qu'une imprécision .

Pour ce qui est du nid, il existe des oiseaux qui n'en construisent pas, l'important ce n'est pas la capacité à construire son nid, c'est la capacité à survivre par tout les moyens, et ce même si certains nids sont plus douillets que d'autres et que c'est pas plus mal d'avoir le confort, mais ce n'est pas le plus important, il vaut mieux avoir la volonté, et il n'empêche que des oiseaux sans nids survivent, et ne sont en aucun cas moindre oiseau pour autant, car ils existent quand même, ils arrivent à survivre, c'est ça l'important non ? .

Et si cette métaphore du nids que tu exprimes qui provient de ce qui est de l'inné, cet inné n'est qu'un faux car il est basé sur de l'acquis de milliers d'années à moins que l'Oiseau de Feu existe et que ce qu'il convient, de ce qui juste, existe empiriquement

et que l' hirondelle fait, elle seule, le choix juste :

 

Finalement, le retour pour précision a semé dans votre cerveau davantage d'imprécision, pour ne pas dire de confusion.

Vous n'avez pas traversé l'image, vous n'avez pas entendu les mots. Vos yeux et vos oreilles ne sauraient être en cause.

Je n'aurais su vous raconter l'histoire de la connaissance, histoire qu'au fond, tout le monde est censé avoir déjà entendue mille fois. Il n'y a que les évidences qui m'intéressent.

Merci de votre attention.

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)
Le 23/11/2017 à 08:59, Don Juan a dit :

J'avais écrit ceci :

 

Il me semblait que cela pouvait convenir comme définition, mais soit, allongeons, étirons.

Vous m'excuserez de le faire en images, j'aime les images.

Co-naissance : ce qui est nous, qui vient au monde avec nous, qui nous permet un lien de communication et d'interprétation insoupçonné. La connaissance ne "siège" pas au niveau de l'esprit ou du conscient, elle est au fond du puits de l'inconscient, c'est la nappe phréatique, elle est vive et non en sommeil, vive comme l'eau fraîche et toujours dans un réflexe ascensionnel, vers la lumière (l'activité consciente) visible en haut du puits. Mais le savoir lui barre le passage, il agit comme un gros bouchon dans le conduit "vertical".

Le savoir, comment est-il arrivé là ? Par les mots, par les sens, par les représentations, les leçons, les définitions, les idées, les croyances, les a priori, les expériences, etc. Le savoir sans les images mentales, la pensée, ne peut se former. Ce n'est pas péjoratif d'en parler ainsi, n'est-ce pas ? Ce que je dis, c'est que le savoir sans la participation de la connaissance, sans son conseil avisé, c'est comme une idéologie.

Nous pensons le savoir, tandis que la connaissance nous pense.

 

 

Il y a 4 heures, Don Juan a dit :

Finalement, le retour pour précision a semé dans votre cerveau davantage d'imprécision, pour ne pas dire de confusion.

Vous n'avez pas traversé l'image, vous n'avez pas entendu les mots. Vos yeux et vos oreilles ne sauraient être en cause.

Je n'aurais su vous raconter l'histoire de la connaissance, histoire qu'au fond, tout le monde est censé avoir déjà entendue mille fois. Il n'y a que les évidences qui m'intéressent.

Merci de votre attention.

Et si je te disais que ton cheminement de pensées depuis tes premiers posts sur ce sujet n'est pas très clair voir même contradictoire et que tu fais un méli-mélo avec toi-même , remonte au post où tu soutiens que l'on ne peut connaitre ce qui est juste, et juste après mes posts, tu reconnais que faire souffrir ne peut être juste en aucun cas, donc c'est bien que tu as connaissance de cela et que nous en avons déjà parlé, et qu'à ce moment là, tu n'as pas émis d'objection     .

Le 19/11/2017 à 13:02, Don Juan a dit :

Je sais bien qu'il est malvenu de donner son avis personnel dans cette rubrique, et qu'il vaut mieux mille fois donner l'avis de personnes illustres, décédées de préférence, mais je prends le risque malgré tout : Ce qui est juste restera juste même après que la planète soit devenue sèche et stérile, inhabitée et abandonnée. Ce qui est juste ne dépend pas de nous.

Les pierres sont plus bas.

Le 19/11/2017 à 16:01, Don Juan a dit :

Je pense que la cohérence humaine a ses limites devant ce que je nomme "le juste". Mais comprenez-moi, je me suis prononcé sur ce point, la justice des hommes est autre chose que la "chose juste", et je ne fais pas allusion à un sens du juste divin, non, j'entends le terme avec un sens supérieur à l'entendement humain, c'est pourquoi après cette précision, je m'accordais à moi-même et à mon intention intime le caractère "hors sujet".

Nous pouvons en avoir probablement une certaine intuition parfois, sinon cela ne servirait à rien d'en parler.

Faire souffrir ne peut être juste en aucun cas, mais la souffrance peut être juste, sans qu'il nous appartienne d'en juger.

Le 19/11/2017 à 13:41, Don Juan a dit :

Il me semble que nous parlons là d'une cohérence et non du "juste". L'application ne peut avoir de rapport avec ce qui est juste, ce qui est juste est au-delà de nos jugements.

Le 19/11/2017 à 14:43, pascalin a dit :

Ce qui est juste peut-il être incohérent et déraisonnable ? je ne le pense pas .

 

Qu'entends-tu par "au delà de nos jugements" ? Que ça existe mais nous ne pouvons en avoir connaissance ?

Ou qu'il n'existe quoi que ce soit de juste ou d'injuste ?

 

Même si des injustices existent et que de plus nous en avons connaissance, nous pouvons avoir la vision inverse de reconnaitre ce qui est juste par le même biais du bien commun et de soi-même .

Ou alors tout les actes sont égaux et équivalents, ni justes ni injustes, neutres et aucune justice n'est possible et aucune vie en société non plus ; ce serait la loi de la jungle ou tout le monde pourrait faire ce qu'il veut, sans être inquiété mais en faisant souffrir les autres de toutes les manières possibles ( physiquement, moralement )  . 

Est-ce que de faire souffrir quelqu'un est juste ?

Je pense que nous avons , pour la plupart, une petite idée de ce qui convient de penser, et ce encore une foi, pour le bien de tous, sinon ce serait l'enfer sur Terre si la majeur partie de l'humanité penser que de faire souffrir, de faire du mal aux autres serait juste, car ceux qui sont hors de tout cadre de raisonnement, qui commettent crimes, meurtres, faits graves et autres injustices, ne sont heureusement qu'une minorité et que nous avons conscience de cela donc nous avons la faculté de percevoir ce qui est juste ou non, pas dans tout les cas, bien sur, mais pour les cas les plus graves, nous avons ce discernement en nous .

 

 

 

 

Je pense que je vais en rester là car il me semble que vous n'avez pas entendu les mots en amont des votres .

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Membre, 29ans Posté(e)
Lara. Membre 30 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)

On m'a oublié ? :ninja:

 

Merci à tous pour vos réponses !

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Membre, 154ans Posté(e)
Don Juan Membre 2 441 messages
Forumeur expérimenté‚ 154ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, Lara. a dit :

On m'a oublié ? :ninja:

 

Merci à tous pour vos réponses !

Nous avez-vous oublié ?

L'os a t-il été suffisamment rongé ?

Mais non, on ne pense qu'à vous, on vous attend, c'est à vous.

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