Un texte, quelques avis ? Conseils ? Critiques ?

Bonjour,

j'ai écris ce texte. Si quelqu'un veut bien le lire et me donner un avis.

"J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Elle avait un visage rondelet, un petit nez et des yeux marron qui lui déplaisaient de part leur simplicité. Sur le haut de sa joue droite, un grain de beauté, le même que celui de sa mère. Ses cheveux mal coiffés lui convenaient, bien que tout aussi sombres que ses yeux. Elle pouvait avec ses courtes mèches se faire deux petites couettes qui ne tenaient jamais la journée. Mais ça, peu importait.

Toujours mal habillée, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées. Elle n’avait jamais eu d’aussi belles robes que celles que son papa lui avait offertes. Elle se sentait comme une princesse dedans. Une, pleine de fleurs et de couleurs, tournoyait à son rythme et l’autre, d’un bleu roi très chic, s'accompagnait d'un petit gilet de laine d'une couleur identique.

Elle avait près d’elle un monde, elle pouvait aller dans ce monde quand bon lui semblait ! Parfois elle y invitait des amis ou sa sœur. Ils y faisaient de grandes choses ! Dans ce monde imaginaire elle ne manquait pas non plus d’amis, il y avait Thomas, son renard d’un orange vif, elle n’avait pas de meilleur conseillé que son sage et brave renard.

Mais elle avait aussi des craintes, elle ne pouvait supporter la nuit. Nombreux furent ses caprices pour dormir auprès de sa mère, et elle venait toujours à bout des interdictions, à tel point qu’elle ne pouvait dormir sans être près de sa mère. Seulement parfois son beau-père venait les visiter et elle devait rester seule dans sa chambre. Pour cela, elle maudissait cet homme. Pendant des heures alors elle paniquait, pleurait, tremblante de peur, ne sachant pas pourquoi une telle frayeur s’emparait d’elle. Elle allait alors, accompagnée d’un oreiller et de sa peluche, dormir sous le lit du salon.

- "Ici, personne ne me trouvera." se disait-elle, pensant se rassurer.

Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu’elle deviendrait chanteuse, elle chantait partout tout le temps, s’imaginant des brosses pour micro. Sa famille, ses amis lui complimentaient sans arrêt sa voix, et elle-même en était très fière. Ainsi elle commença la guitare, elle appela son instrument, Riri. C’était une élève très difficile ! Elle rigolait sans arrêt et disait toutes sortes de blagues à son professeur qui s’en amusait et s’en énervait parfois.

Que d’avenir pour cette enfant… Mais on me l'a pris, et plus jamais je ne la reverrai. Son sourire, ces idioties qu'elle me disait parfois, la douceur et l'innocence de cette enfant me manquera."

il y a 41 minutes, Naluue a dit :

Bonjour,

j'ai écris ce texte. Si quelqu'un veut bien le lire et me donner un avis.

"J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Elle avait un visage rondelet, un petit nez et des yeux marron qui lui déplaisaient de part leur simplicité. Sur le haut de sa joue droite, un grain de beauté, le même que celui de sa mère. Ses cheveux mal coiffés lui convenaient, bien que tout aussi sombres que ses yeux. Elle pouvait avec ses courtes mèches se faire deux petites couettes qui ne tenaient jamais la journée. Mais ça, peu importait.

Toujours mal habillée, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées. Elle n’avait jamais eu d’aussi belles robes que celles que son papa lui avait offertes. Elle se sentait comme une princesse dedans. Une, pleine de fleurs et de couleurs, tournoyait à son rythme et l’autre, d’un bleu roi très chic, s'accompagnait d'un petit gilet de laine d'une couleur identique.

Elle avait près d’elle un monde, elle pouvait aller dans ce monde quand bon lui semblait ! Parfois elle y invitait des amis ou sa sœur. Ils y faisaient de grandes choses ! Dans ce monde imaginaire elle ne manquait pas non plus d’amis, il y avait Thomas, son renard d’un orange vif, elle n’avait pas de meilleur conseillé que son sage et brave renard.

Mais elle avait aussi des craintes, elle ne pouvait supporter la nuit. Nombreux furent ses caprices pour dormir auprès de sa mère, et elle venait toujours à bout des interdictions, à tel point qu’elle ne pouvait dormir sans être près de sa mère. Mais parfois son beau-père venait les visiter et elle devait rester seule dans sa chambre. Pour cela, elle maudissait cet homme. Pendant des heures alors elle paniquait, pleurant, tremblante de peur, ne sachant pas pourquoi une telle frayeur s’emparait d’elle. Elle allait alors, accompagnée d’un oreiller et de sa peluche, dormir sous le lit du salon.

- "Ici, personne ne me trouvera." se disait-elle, pensant se rassurer.

Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu’elle deviendrait chanteuse, elle chantait partout tout le temps, s’imaginant des brosses pour micro. Sa famille, ses amis lui complimentaient sans arrêt sa voix, et elle-même en était très fière. Ainsi elle commença la guitare, elle appela son instrument, Riri. C’était une élève très difficile ! Elle rigolait sans arrêt et disait toutes sortes de blagues à son professeur qui s’en amusait et s’en énervait parfois.

Que d’avenir pour cette enfant… Mais on me l'a pris, et plus jamais je ne la reverrai. Son sourire, ces idioties qu'elle me disait parfois, la douceur et l'innocence de cette enfant me manquera."

Peut on être sincère?

il y a 52 minutes, Naluue a dit :

"J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Elle avait un visage rondelet, un petit nez et des yeux marron qui lui déplaisaient de part leur simplicité. Sur le haut de sa joue droite, un grain de beauté, le même que celui de sa mère. Ses cheveux mal coiffés lui convenaient, bien que tout aussi sombres que ses yeux. Elle pouvait avec ses courtes mèches se faire deux petites couettes qui ne tenaient jamais la journée. Mais ça, peu importait.

Toujours mal habillée, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées. Elle n’avait jamais eu d’aussi belles robes que celles que son papa lui avait offertes. Elle se sentait comme une princesse dedans. Une, pleine de fleurs et de couleurs, tournoyait à son rythme et l’autre, d’un bleu roi très chic, s'accompagnait d'un petit gilet de laine d'une couleur identique.

Elle avait près d’elle un monde, elle pouvait aller dans ce monde quand bon lui semblait ! Parfois elle y invitait des amis ou sa sœur. Ils y faisaient de grandes choses ! Dans ce monde imaginaire elle ne manquait pas non plus d’amis, il y avait Thomas, son renard d’un orange vif, elle n’avait pas de meilleur conseillé que son sage et brave renard.

Mais elle avait aussi des craintes, elle ne pouvait supporter la nuit. Nombreux furent ses caprices pour dormir auprès de sa mère, et elle venait toujours à bout des interdictions, à tel point qu’elle ne pouvait dormir sans être près de sa mère. Mais parfois son beau-père venait les visiter et elle devait rester seule dans sa chambre. Pour cela, elle maudissait cet homme. Pendant des heures alors elle paniquait, pleurant, tremblante de peur, ne sachant pas pourquoi une telle frayeur s’emparait d’elle. Elle allait alors, accompagnée d’un oreiller et de sa peluche, dormir sous le lit du salon.

- "Ici, personne ne me trouvera." se disait-elle, pensant se rassurer.

Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu’elle deviendrait chanteuse, elle chantait partout tout le temps, s’imaginant des brosses pour micro. Sa famille, ses amis lui complimentaient sans arrêt sa voix, et elle-même en était très fière. Ainsi elle commença la guitare, elle appela son instrument, Riri. C’était une élève très difficile ! Elle rigolait sans arrêt et disait toutes sortes de blagues à son professeur qui s’en amusait et s’en énervait parfois.

Que d’avenir pour cette enfant… Mais on me l'a pris, et plus jamais je ne la reverrai. Son sourire, ces idioties qu'elle me disait parfois, la douceur et l'innocence de cette enfant me manquera."

Joli texte, bien écrit.

il y a 11 minutes, PASCOU a dit :

Peut on être sincère?

 

Bien sûr !

Moi, dans ce monde de brutes, j’aime ça..

Quelques suggestions, notamment pour éviter certaines répétitions... bien sûr à prendre ou à laisser.

Toujours mal habillée, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées.

Toujours fagotée à la va-vite, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées.

Elle avait près d’elle un monde, elle pouvait aller dans ce monde quand bon lui semblait !

Elle avait près d'elle un monde dans lequel elle pouvait se dandiner ou virevolter quand bon lui semblait !

Parfois elle y invitait des amis ou sa sœur. Ils y faisaient de grandes choses ! Dans ce monde imaginaire elle ne manquait pas non plus d’amis, il y avait Thomas, son renard d’un orange vif, elle n’avait pas de meilleur conseillé que son sage et brave renard.

Dans son paradis imaginaire, elle ne manquait pas non plus d'amis. Il y avait notamment Thomas, son petit renard d'un orange vif. Ce brave et sage animal était son confident principal, ainsi que son meilleur conseillé.

Mais elle avait aussi des craintes, elle ne pouvait supporter la nuit. Nombreux furent ses caprices pour dormir auprès de sa mère, et elle venait toujours à bout des interdictions, à tel point qu’elle ne pouvait dormir sans être près de sa mère.

« … à tel point point qu'elle ne pouvait s'endormir qu'auprès de sa mère. »

Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu’elle deviendrait chanteuse, elle chantait partout tout le temps, s’imaginant des brosses pour micro.

Ah, et quelles bêtises sortaient parfois de sa bouche ! Elle s'aventurait à clamer devant tous qu'un jour elle deviendrait chanteuse de rock et crèverait le plafond des hit-parades, se répandant en vocalises  et en refrains improvisés lorsqu'elle était seule dans sa chambre, serrant bien fort le haut d'un manche à balai qu'elle balançait de gauche à droite comme s'il s'agissait d'un pied de micro.

Que d’avenir pour cette enfant… Mais on me l'a pris, et plus jamais je ne la reverrai. Son sourire, ces idioties qu'elle me disait parfois, la douceur et l'innocence de cette enfant me manquera."

Son sourire, ces idioties qu'elle me déclinait à brûle-pourpoint, la douceur et l'innocence de cette enfant sublime me manqueront.

il y a 22 minutes, Francis-Charles a dit :

Quelques suggestions, notamment pour éviter certaines répétitions... bien sûr à prendre ou à laisser.

Toujours mal habillée, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées.

Toujours fagotée à la va-vite, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées.

Elle avait près d’elle un monde, elle pouvait aller dans ce monde quand bon lui semblait !

Elle avait près d'elle un monde dans lequel elle pouvait se dandiner ou virevolter quand bon lui semblait !

Parfois elle y invitait des amis ou sa sœur. Ils y faisaient de grandes choses ! Dans ce monde imaginaire elle ne manquait pas non plus d’amis, il y avait Thomas, son renard d’un orange vif, elle n’avait pas de meilleur conseillé que son sage et brave renard.

Dans son paradis imaginaire, elle ne manquait pas non plus d'amis. Il y avait notamment Thomas, son petit renard d'un orange vif. Ce brave et sage animal était son confident principal, ainsi que son meilleur conseillé.

Mais elle avait aussi des craintes, elle ne pouvait supporter la nuit. Nombreux furent ses caprices pour dormir auprès de sa mère, et elle venait toujours à bout des interdictions, à tel point qu’elle ne pouvait dormir sans être près de sa mère.

« … à tel point point qu'elle ne pouvait s'endormir qu'auprès de sa mère. »

Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu’elle deviendrait chanteuse, elle chantait partout tout le temps, s’imaginant des brosses pour micro.

Ah, et quelles bêtises sortaient parfois de sa bouche ! Elle s'aventurait à clamer devant tous qu'un jour elle deviendrait chanteuse de rock et crèverait le plafond des hit-parades, se répandant en vocalises  et en refrains improvisés lorsqu'elle était seule dans sa chambre, serrant bien fort le haut d'un manche à balai qu'elle balançait de gauche à droite comme s'il s'agissait d'un pied de micro.

Que d’avenir pour cette enfant… Mais on me l'a pris, et plus jamais je ne la reverrai. Son sourire, ces idioties qu'elle me disait parfois, la douceur et l'innocence de cette enfant me manquera."

Son sourire, ces idioties qu'elle me déclinait à brûle-pourpoint, la douceur et l'innocence de cette enfant sublime me manqueront.

 

 

J'aime beaucoup la façon dont vous arrangez mes phrases. Effectivement je trouve ça un peu mieux, je n'ai pas encore assez de vocabulaire pour être aussi original que vous ! 

Merci beaucoup, je vais noter tout ça près de mon texte. 

Moi je trouve ça pas mal, dans l'ensemble. Et j'ai rien envie de corriger (sauf "conseiller" à la place de "conseillé").

Il y a 7 heures, Naluue a dit :

Bonjour,

j'ai écris ce texte. Si quelqu'un veut bien le lire et me donner un avis.

"J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Elle avait un visage rondelet, un petit nez et des yeux marron qui lui déplaisaient de part leur simplicité. Sur le haut de sa joue droite, un grain de beauté, le même que celui de sa mère. Ses cheveux mal coiffés lui convenaient, bien que tout aussi sombres que ses yeux. Elle pouvait avec ses courtes mèches se faire deux petites couettes qui ne tenaient jamais la journée. Mais ça, peu importait.

Toujours mal habillée, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées. Elle n’avait jamais eu d’aussi belles robes que celles que son papa lui avait offertes. Elle se sentait comme une princesse dedans. Une, pleine de fleurs et de couleurs, tournoyait à son rythme et l’autre, d’un bleu roi très chic, s'accompagnait d'un petit gilet de laine d'une couleur identique.

Elle avait près d’elle un monde, elle pouvait aller dans ce monde quand bon lui semblait ! Parfois elle y invitait des amis ou sa sœur. Ils y faisaient de grandes choses ! Dans ce monde imaginaire elle ne manquait pas non plus d’amis, il y avait Thomas, son renard d’un orange vif, elle n’avait pas de meilleur conseillé que son sage et brave renard.

Mais elle avait aussi des craintes, elle ne pouvait supporter la nuit. Nombreux furent ses caprices pour dormir auprès de sa mère, et elle venait toujours à bout des interdictions, à tel point qu’elle ne pouvait dormir sans être près de sa mère. Seulement parfois son beau-père venait les visiter et elle devait rester seule dans sa chambre. Pour cela, elle maudissait cet homme. Pendant des heures alors elle paniquait, pleurait, tremblante de peur, ne sachant pas pourquoi une telle frayeur s’emparait d’elle. Elle allait alors, accompagnée d’un oreiller et de sa peluche, dormir sous le lit du salon.

- "Ici, personne ne me trouvera." se disait-elle, pensant se rassurer.

Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu’elle deviendrait chanteuse, elle chantait partout tout le temps, s’imaginant des brosses pour micro. Sa famille, ses amis lui complimentaient sans arrêt sa voix, et elle-même en était très fière. Ainsi elle commença la guitare, elle appela son instrument, Riri. C’était une élève très difficile ! Elle rigolait sans arrêt et disait toutes sortes de blagues à son professeur qui s’en amusait et s’en énervait parfois.

Que d’avenir pour cette enfant… Mais on me l'a pris, et plus jamais je ne la reverrai. Son sourire, ces idioties qu'elle me disait parfois, la douceur et l'innocence de cette enfant me manquera."

"J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Entre deux larmes, le temps d'un souffle j'ai vu cette merveilleuse enfant,  à cette seconde je compris que plus jamais je ne l'aurai près de moi.

il y a 1 minute, PASCOU a dit :

"J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Entre deux larmes, le temps d'un souffle j'ai vu cette merveilleuse enfant,  à cette seconde je compris que plus jamais je ne l'aurai près de moi.

Ah oui c'est bien mieux comme ça  !

à l’instant, Naluue a dit :

Ah oui c'est bien mieux comme ça  !

Il faut que ce soit fluide, , que l'on accroche pas sinon on perd le fil .

Pas toujours évident !

à l’instant, PASCOU a dit :

Il faut que ce soit fluide, , que l'on accroche pas sinon on perd le fil .

Pas toujours évident !

C'est vrai, j'espère qu'avec le temps j'arrangerai mes tournures de phrases. 

il y a 1 minute, Naluue a dit :

C'est vrai, j'espère qu'avec le temps j'arrangerai mes tournures de phrases. 

Bien entendu, il n' y a pas de raison, si vous aimez.

Elle avait un visage rondelet, un petit nez et des yeux marron qui lui déplaisaient de part leur simplicité. Sur le haut de sa joue droite, un grain de beauté, le même que celui de sa mère. Ses cheveux mal coiffés lui convenaient, bien que tout aussi sombres que ses yeux. Elle pouvait avec ses courtes mèches se faire deux petites couettes qui ne tenaient jamais la journée. Mais ça, peu importait.

......

De son visage ordinaire et un peu rond seul le grain de beauté sur sa joue, rappelant sa mère, et ses cheveux en tignasse lui convenaient. Ses yeux marrons la laissaient indifférente sous ses cheveux qu'elle aimait. Parfois la journée elle faisait des couettes qui ne duraient jamais ,ni d'ailleurs ne la souciaient.

Ton histoire a l'air sympa, on a envie de savoir la suite.

il y a une heure, PASCOU a dit :

De son visage ordinaire et un peu rond seul le grain de beauté sur sa joue, rappelant sa mère, et ses cheveux en tignasse lui convenaient. Ses yeux marrons la laissaient indifférente sous ses cheveux qu'elle aimait. Parfois la journée elle faisait des couettes qui ne duraient jamais ,ni d'ailleurs ne la souciaient.

Ne serait-ce pas un chouille redondant ?

Sinon, Naluue, quand les tournures semblent un peu lourdes, essayer d'intervertir les mots. Genre, je touille et je change de place. Parfois, la lumière jaillit 

il y a 11 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Ne serait-ce pas un chouille redondant ?

Sinon, Naluue, quand les tournures semblent un peu lourdes, essayer d'intervertir les mots. Genre, je touille et je change de place. Parfois, la lumière jaillit 

Si j'avais remarqué!

Mais mon but était un peu du même acabit que le votre, changer la place des mots, inverser des phrases etc....

Et puis comme vous le dîtes si bien se relire, et se relire encore.

Rien non plus ne vous empêche de faire le même exercice que moi avec une autre phrase.

il y a 59 minutes, PASCOU a dit :

Si j'avais remarqué!

 

Mais mon but était un peu du même acabit que le votre, changer la place des mots, inverser des phrases etc....

Et puis comme vous le dîtes si bien se relire, et se relire encore.

Rien non plus ne vous empêche de faire le même exercice que moi avec une autre phrase.

Je serais plus encline à laisser Naluue tâtonner et trouver son style 

il y a 4 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Je serais plus encline à laisser Naluue tâtonner et trouver son style 

Dans ce cas elle n'aurait pas non plus de réponse, moi je fais ce que je peux avec mes modestes moyens, on pose une question je réponds aussi avec mon style (redondant)

Elle fera la part des choses.

Puis je trouve ça amusant.

"J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Elle avait un visage rondelet, un petit nez et des yeux marron qui lui déplaisaient de part leur simplicité. Sur le haut de sa joue droite, un grain de beauté, le même que celui de sa mère. Ses cheveux mal coiffés lui convenaient, bien que tout aussi sombres que ses yeux. Elle pouvait avec ses courtes mèches se faire deux petites couettes qui ne tenaient jamais la journée. Mais ça, peu importait.

[Supprimez "de part" trouvez autre chose ("qui lui déplaisaient pour leur simplicité" par exemple, de part est trop lourd].

[Le "bien que" laisse songeur, la causalité introduite là n'est pas évidente à saisir].

[J'aime ce qui va sans doute être une caractéristique de votre style, cette syncope (temps bref, temps long) : "mais ça, peu importait", cela introduit du rythme].

Toujours mal habillée, elle se trouvait mignonne dans sa petite robe verte décorée de fleurs aux nuances rosées. Elle n’avait jamais eu d’aussi belles robes que celles que son papa lui avait offertes. Elle se sentait comme une princesse dedans. Une, pleine de fleurs et de couleurs, tournoyait à son rythme et l’autre, d’un bleu roi très chic, s'accompagnait d'un petit gilet de laine d'une couleur identique.

Elle avait près d’elle un monde, elle pouvait aller dans ce monde quand bon lui semblait ! Parfois elle y invitait des amis ou sa sœur. Ils y faisaient de grandes choses ! Dans ce monde imaginaire elle ne manquait pas non plus d’amis, il y avait Thomas, son renard d’un orange vif, elle n’avait pas de meilleur conseillé que son sage et brave renard.

[conseiller]

Mais elle avait aussi des craintes, elle ne pouvait supporter la nuit. Nombreux furent ses caprices pour dormir auprès de sa mère, et elle venait toujours à bout des interdictions, à tel point qu’elle ne pouvait dormir sans être près de sa mère. Seulement parfois son beau-père venait les visiter et elle devait rester seule dans sa chambre. Pour cela, elle maudissait cet homme. Pendant des heures alors elle paniquait, pleurait, tremblante de peur, ne sachant pas pourquoi une telle frayeur s’emparait d’elle. Elle allait alors, accompagnée d’un oreiller et de sa peluche, dormir sous le lit du salon.

- "Ici, personne ne me trouvera." se disait-elle, pensant se rassurer.

Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu’elle deviendrait chanteuse, elle chantait partout tout le temps, s’imaginant des brosses pour micro. Sa famille, ses amis lui complimentaient sans arrêt sa voix, et elle-même en était très fière. Ainsi elle commença la guitare, elle appela son instrument, Riri. C’était une élève très difficile ! Elle rigolait sans arrêt et disait toutes sortes de blagues à son professeur qui s’en amusait et s’en énervait parfois.

["Ah et quelles bêtises elle disait parfois ! Elle disait qu'elle..." : anadiplose ! Bravo vous vous exercez à introduire des figures de style. Mais l'anadiplose aurait été encore plus forte si vous aviez supprimé "parfois" "Ah quelles bêtises elle disait. Elle disait qu'elle..."].

Que d’avenir pour cette enfant… Mais on me l'a pris, et plus jamais je ne la reverrai. Son sourire, ces idioties qu'elle me disait parfois, la douceur et l'innocence de cette enfant me manquera."

["Quel avenir" plutôt, "que d'avenir" est lourd]

J’ai vu ce jour-là, pendant quelques secondes, juste le temps d’un souffle entre deux larmes, cette merveilleuse enfant. J’ai alors compris que plus jamais cette petite fille ne serait près de moi.

Entre deux larmes, le temps d'un souffle j'ai vu cette merveilleuse enfant,  à cette seconde je compris que plus jamais je ne l'aurai près de moi.

[Belle composition, c'est en écrivant sans cesse que vous deviendrez écrivaine, vous en avez l'étoffe. Tout est travail, de toute façon].