Vienne : un adolescent frappé par la foudre reste dans un état grave

Neuf autres jeunes, qui séjournaient dans un centre de plein air à Lathus, à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Poitiers, ont été pris en charge par les secours. Trois en sont sortis dans la nuit, six restent hospitalisés.

La foudre s'est abattue vers 19 heures sur le centre de plein air (CPA) de Lathus, à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Poitiers. Foudroyé, un adolescent de 15 ans a dû être transporté lundi à l'hôpital de Tours dans un «état très préoccupant», selon la préfecture, précisant que neuf autres jeunes avaient été plus légèrement blessés.

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Un arbre foudroyé est carrement grillé et fendu ... comment un etre vivant peut survivre apres avoir été foudroyé ?

il y a 5 minutes, shyiro a dit :

Un arbre foudroyé est carrement grillé et fendu ... comment un etre vivant peut survivre apres avoir été foudroyé ?

Il faudrait demander à un électricien mais il doit y avoir une histoire de mise à la terre ou un truc comme ça. si il avait des chaussures en plastique, il a été isolé d'une grosse partie de la décharge... !!

il y a 36 minutes, shyiro a dit :

Un arbre foudroyé est carrement grillé et fendu ... comment un etre vivant peut survivre apres avoir été foudroyé ?

Quelques éléments de réponses ici:

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/quels-sont-les-effets-de-la-foudre-sur-le-corps-humain_30538

dans les références citées il est nulle part fait allusion aux phénomènes d'induction électromagnétique.

Si la foudre s'abat sur un arbre, des gens debout à quelques dizaines de mètres ( pas sous l'arbre peuvent aussi être foudroyé.

L'éclair a une intensité de plus de 10 000 Ampères. le champ magnétique intense créé par ce courant induit des courants de Foucault dans les corps conducteurs (personnes, métaux...) situés dans le voisinage. ces courants de Foucault vont chauffer ( brûlures ou créer des réactions électrochimiques dans les organes vivant pouvant les tuer ou en diminuer les fonctions.

Au centre expérimental de St Pivat d'Allier (centre maintenant fermé) on tirait chaque jour d'orage ( une ou deux ois par jour l'été) une fusée en direction du nuage. Cette fusée tirait un fil métallique par lequel cheminait la foudre.

Des capteurs ont permis de savoir la durée de l'éclair (quelques ms) son intensité (au moins 10 000 A) la tension du nuage ( plus de 10 millions de Volts) et surtout la forme préférable pour les parafoudres et celles de pylones et des isolants.